Voldemort à l'école des sorciers

Vous n'y croyiez plus, le voilà enfin qui arrive sur vos écrans : le chapitre 4 !!! Ce chapitre, c'est du délire total alors j'espère que vous suivrez. Cette version est bourrée de fautes parce Jaune ne l'a pas encore lu

Réponses aux reviews :

D'abord merci à tous ceux qui m'ont laissé un petit mot sinon :

- Epayss : enfin la suite, ô grande initiatrice du projet. Tu remarqueras que ça n'a rien à voir avec ce que je t'avais envoyé par mail… c'est presque moins tordu.

- Elava : celui est en quelque sorte plus long, m'étonnerait que j'en écrive beaucoup plus, j'ai pas le temps en ce moment, et puis ça dépend beaucoup de mon inspiration.

- Jaune : yeah ! Elle a trouvé (c'était vachement dur pour toi quand même).

- Rouge : oui les petits détails ça me connaît, maniaque comme je suis. Au fait c'était bien tes fêtes de hier soir ?

- Vivia : désolé c'était pas ça le passage mais ça aurait pu … Ton intuition a vu juste ! Leia est ta sœur jumelle (euh pardon je m'emballe…)

- Ona Balbuzard (toujours fidèle au poste) : Nan ! T'as pas encore trouvé pour l'anagramme ?! C'est tragique -) C'est quand même franchement pas dur… Pour ffic qui plante je connais (hélas) le coup d'écrire 40 lignes de review et pouf plus rien ! Mais faut pas désespérer !

- Amarante : Pour ce chapitre je me cite moi-même, c'est mieux (le problème c'est que y'a que Rouge qui reconnaît). Et bienvenue à une amie d'Epayss !

- Petite Elfe : bien sur que je suis méchante, je ne suis pas la fille d'un grand seigneur sith pour rien

Voilà bon courage pour votre lecture (vous allez vraiment en avoir besoin !)

Et comme toujours,

DCFM = Défense Contre les Forces du mal

Les passages « entre guillemets » sont des pensées (de Voldemort)

Chapitre ni 3 ni 4 : Où l'auteur s'égare en de vaines élucubrations psychosomatico-inutiles…

         Décor : une des salles du musée des Antiquités Nationales de Saint Germain en Laye (RER A depuis Paris)

         L'Habitat néolithique caractéristique est fait au nord de torchis, avec un toit en chaume et au sud de pierre sèche. Au néolithique moyen apparaissent les premières enceintes fortifiées et …

-Oh ! Regardez ça ! Des cailloux pointus ! Et cet espèce de truc bizarre pointu ! Ca alors ! Un squelette ! Et là ! Un vase ! Ma mère a presque le même !

- Harry ?

- Oui Hermione ?

- Tu crois qu'on lui explique ?

- Que ce sont des lames de silex taillé, une hache, une sépulture et une des premières céramiques ? Non.

- Eh ! C'est moi qui aurait du le dire ! Je suis l'encyclopédie sur pattes !

- Oups désolé.

- Et là ! Mais c'est fantastique ! Un poignard vert ! Comment ils ont réussi à lui donner cette couleur ?

- Je crois qu'il est passé à l'âge du bronze. Ce doit être du bronze bien corrodé.

- Affirmatif 'Mione.

- … Eh ! Vous avez vu ce grand machin doré ?

         Harry et Hermione soupirent. Ron (car c'est lui) continue à s'extasier devant les vitrines.

- Harry, tu sais ce qu'on fout là ?

- Sans doute une fantaisie de l'auteur.

         L'auteur apparaît, comme à son habitude vêtue de son pyjama vert, chaussettes et montures de lunettes assorties.

- D'abord corrigeons cette orthographe de macho.

         L'autrice apparaît, comme à son habitude vêtue de son pyjama vert, chaussettes et montures de lunettes assorties.

- Ah, c'est mieux. Et puis c'est de votre faute si vous êtes là ! Je recopiai paisiblement mes cours sur le néolithique quand z'avez commencé à vous balader dans ma tête. Comme si Salazar en archéologie orientale ça suffisait pas !

         Un peu plus loin, Ron continue à s'exclamer…

- Et il peut pas arrêter ses conneries l'autre rouquin ?!?

         L'auteur, Harry et Hermione rejoignent Ron occupé à admirer une fibule de l'âge de fer et l'assoient de force sur une chaise. Harry commence à s'impatienter

- Et maintenant ? On fait quoi ?

L'auteur hausse les épaules et disparaît.

                                                      GRAND BLANC

Et Voldemort (le méchant, le sadique le maléfique) apparaît. Hermione et Ron prennent la fuite. Seul Harry reste.

- Hin hin hin (Ha ha ha pour Rouge -), je suis méchant.

         Harry sort sa baguette.

- Voldemort! Bats-toi si t'es un homme!

« C'est bien là la problème ! »

« Quoi encore ?! »

« Je ne sais pas si quelqu'un qui passe ¾ d'heure tous les matins à s'épiler les sourcils peut être considéré comme tel. »

« Sur tes propres suggestions je te rappelle. »

« *Soupir* Est-ce que la notion de plaisanterie veut dire quelque chose pour toi, ô grand seigneur des ténèbres ? »

         Harry, en bon gryffondor, n'attaque pas le premier.

- Oh et puis zut ! J'ai faillit aller à Serpentard !

         Il lance le premier sort sur Voldemort (le méchant, le sadique le maléfique), plongé dans son dialogue intérieur…

« Attention ! »

         Celui-ci se retrouve projeté sur une vitrine qui se brise à l'impact. L'auteur (trice) apparaît, furax.

- Bordel Harry ! T'as que ça à faire, participer à la destruction de musées !?!

- Mais…euh…

         Voldemort(le méchant, le sadique le maléfique) se relève et commence à incanter un méchant sort tout vert (pourquoi Le Vert est associé à ce sort ? Ca vous détruit une réputation ce genre de trucs…). Mais au même moment Legolas apparaît et Voldemort (le méchant, le sadique le maléfique) l'aperçoit :

- Legolas ! Un autographe !

         L'elfe prend peur et s'enfuit. Voldemort (le méchant, le sadique le maléfique) part à sa poursuite. L'autrice soupire.

- Quand je dis que le coté obscur nuit gravement à la santé…

- T'as pas l'impression de l'avoir piquer à quelqu'un cette phrase non ? fit remarquer innocemment Harry.

-Bof (elle hausse les épaules) comme le « mais…euh » des guignols de l'info, le « impressionnant très impressionnant » du chapitre précédent piqué à Starwars (à ce propos personne n'a trouvé sauf Jaune qui sauve l'honneur, quoique c'était facile pour elle…), sans parler du Voldemort fan de Legolas qui provient de mes chroniques d'internat (coming soon sur ffic.net comme diraient les américains…)…

- Je vois. T'as as pu t'en empêché ?

- Non. Mais j'ai fais un disclaimer. Ca pardonne non ?

- Mouais…

         Harry commence à réfléchir.

- Dis l'auteur ?

- Oui ?

- Tu te rappelle que t'as une histoire à écrire ?

- De quoi tu parles ? L'Iran au deuxième millénaire ? Les techniques de la terre cuite dans l'Antiquité ?

- Non, soupira Harry. Poudlard ? Voldemort ? Ca te dit quelque chose ?(voyant la manque de réaction de l'auteur) Mais Poudlard, tu sais bien, un petit château…

         Éclair de génie de l'auteur. Un visiteur utilisant son téléphone portable fut instantanément foudroyé.

- Mais Harry ! On est dans un château !

         (Et oui, le musée des antiquités nationales est dans un château… admirez la ruse employée pour reculer l'arriver du château euh chapitre…)

         Le Harry en question commence à chercher une corde pour se pendre. Manque de pot (en argile du 3eme millénaire -) ce genre d'objet ne résiste pas au passage du temps. Il décida donc de faire un dernier essai pour revenir à ses moutons (domestiqués en premier au proche orient), à savoir l'histoire de Voldemort à l'école des sorciers.

- Oui, mais le château dont je te parle est tellement immense qu'on s'y perd tout le temps, et avec des escaliers qui bougent.

         Nouvel éclair de génie de l'auteur, qui frappe Legolas, dissimulé derrière une vitrine un peu plus loin. Il meurt instantanément, en dépit de sa nature elfique, et Voldemort triste, s'assit dans un coin et commence à pleurer.

- Ah, enfin débarrassés, commente l'auteur…

         Des fans de Legolas débarquent avec un air plutôt menaçant.

- …Oups. Tu parlais d'un château Harry ? On y va.

         Elle agite son crayon et ils se retrouvent … (suspense de la mort qui tue tout)… sous la pyramide du Louvre, avec Voldemort qui pleure toujours dans son coin.

- Poudlard ! s'exclame Harry, au bord de la crise de nerfs, levant les bras au ciel. Poudlard ! P-O-U-D-L-A-R-D ! C'est quand même pas compliqué.

- Ca suffit le balafré ! Tu m'as dit grand, y'a quelques 120 000 m² de surface ! Croie-moi, rien de plus facile pour se perde. Et pour les escaliers qui bougent, tu vois pas tous les escalators ?!

         Harry entreprend alors de demander à un des japonais qui le mitraille de lui prêter le cordon de son appareil photo pour qu'il se pende. Comme le japonais n'est pas sa langue maternelle (à Harry), enfin pas plus que le français me direz vous mais là c'est une histoire de commodités, il décide alors de se faire écraser par un escalator en coinçant les longs pans de ses robes dedans. Il prend son élan…

(Pour ceux qui se demandent où je suis allée chercher une idée pareille, y'a un monoprix près de chez moi avec un panneau disant de faire attention aux longs manteaux… L'imagination a fait le reste… imaginez ça avec beaucoup de ketchup -)

- Nooooooooonnnnn Harry ! Fais pas ça ! Où JK Rowling va me tuer ! Et y'aura pas de tome 6 et …

- Oh… Quel dommage…. Répond Harry sur un ton pas du tout désolé.

         L'auteur n'apprécie pas.

- Fais un pas de plus et tu peux dire adieu à ton éclair de feu (apparu dans la main de l'auteur comme par magie…)

         Harry se fige dans son mouvement.

- Non ! Pas mon éclair de feu ! Promis je me tue plus.

         Satisfaite, l'auteur retourne à ses occupations, à savoir rêvasser tout en prenant la pose sous les flashs des japonais. Tout à coup Force Rose (l'unique, le fantastique, le merveilleux) apparut.

-J'ai vu Matrix 3, dit-il d'un ton très neutre.

         Regard intéressé de tous les fans habitant dans des trous paumés et ne l'ayant pas encore vu pour cause d'absence de cinéma à deux pas de chez soi (rire sadique de l'auteur, qui tâche d'éviter le sabrolaser de Jaune, et par la même occasion la dérive de la fanfiction)

- Et c'est nul, conclut-il.

         Les fans sont déçus.

- Mais pas du tout ! s'exclame Vert, tentant de modérer les propos du super-héros

         Les fans reprennent espoir.

         Force Rose et Vert se lancent dans un débat assez animé, avec force de spoilers, que le grand méchant de la fin s'appelle en vérité Bugs Bunny et qu'il était passé du coté obscur de la Force à cause de l'invention des images de synthèse qui avait mis à sa carrière et donc…

         Les fans s'enfuient pour ne pas connaître la fin

         A ce moment précis de l'histoire (comme dirait Rouge -), le musée du Louvre est dans le chaos le plus total : des hordes de japonais déferlent sur l'entrée du musée pour venir photographier nos joyeux drilles (comprenez Voldie, Harry, Force Rose et l'auteur), tandis que les fans de Matrix fuient vers la sortie en se bouchant les oreilles. De son coté Voldemort (le méchant, le sadique, le maléfique…) entreprend, avec quelques fans de Legolas passant par là et ignorant le (la) coupable de ce crime abominable, de construire un autel juste sous la pyramide pour honorer sa mémoire et lui sacrifier des grenouilles vertes d'Amazonie. Force Rose et Vert sont toujours en train de débattre et Harry, qui a réussi à subtiliser son balai à l'auteur… Harry ?

- Moi je retourne me suicider !

         Sur cette déclaration, il monte sur son éclair de feu et prend son envol, semant la panique parmi les touristes moldus n'étant pas japonais ni fans de Matrix ou de Legolas. Arrivé juste sous le sommet de la pyramide, il prend son élan et effectue un plongeon magistral. Il passe au ras des pâquerettes des cheveux de Force Rose…

(Je sais, le jeu de mots est pitoyable. J'avoue, Force Rose n'est là quasiment que pour me permettre de la placer. Pour ceux qui sont paumés vous pouvez toujours vous référez à l'interlude de mon autre fic (ça doit être le ch5) et par la même occasion lisez le reste ! *Jingle pub*)

         … et remonte en chandelle. Ce petit exercice d'acrobatie suffit à faire revenir l'auteur à la réalité de l'instant : pourquoi était elle en train de taper ce texte stupide.

- Hey ! J'ai pas un chapitre à écrire moi ?

         Les applaudissements furent peut-être un peu trop ironiques.

- Bon, allons-y.

         Elle agite son crayon et le décor change. Nous sommes désormais face au château de Poudlard, qui se dresse, majestueux, dans le brouillard brumeux du matin. Seuls restent Voldemort, Harry, Force Rose et Vert. D'un geste, l'auteur renvoie Voldemort à sa séance de manucure et Harry à son lit, il est après tout 6h54 du matin, heure française, donc 5h54 en Écosse. Pour toutes les incohérences temporelles, prière de vous adresser au bureau des réclamations situé en bas à gauche du chapitre, le petit bouton indigo clair marqué « go ».

         Ne restent que Vert et Force Rose en costume traditionnel des chroniques d'internat, c'est à dire pas vraiment adapté  au climat de la région.

- Vert ?

- Oui ?

- Tu pourrais peut-être faire quelque chose pour le costume ?

- C'est vrai ça.

         Et d'un geste du crayon, ils se retrouvent en uniformes de Poudlard.

- Et pourquoi je suis à Poufsouffle moi ?

- Tu préfère peut-être Serpentard ?

- Nan, mais franchement Poufsouffle quoi ! et qu'est-ce que tu fabrique à Serdaigle toi d'abord ?

         Le délire se saurait être total sans l'apparition de Jaune (y'a des jours j'ai l'impression de jouer aux pots de peinture…).

-T'as un problème avec les Poufsouffles ?

         Après un sympathique débat, notre joyeuse compagnie rentre dans le château et disparaît, de toute façon là n'est pas le sujet de l'histoire….

         Le temps passe, le soleil se lève et le brouillard se dissipe…

Chapitre enfin 4 : Où l'on donne le premier cours de DCFM

         S'il existe un jour redouté tant par les professeurs que les élèves, c'est bien le premier cours de DCFM. Il suffit en général à révéler d'emblée le problème du professeur, qu'il soit d'ordre physique, psychologique ou autre. Une longue lignée de Serdaigle référence depuis plus de 500 ans tous les cas qui se sont présentés dans l'encyclopedia praeceptis , et jamais le même n'a été répété. C'est dire si les directeurs ont de l'imagination.

         En l'occurrence, les Gryffondor avaient la chance de commencer aujourd'hui, et en l'occurrence, ils ne furent pas déçus. La salle de classe tenait plus de la chambre d'enfant que du lieu d'apprentissage : murs pastels, petite nappe en dentelles sur le bureau, service à thé prêt à servir… ce qui contrastait considérablement avec les cages suspendues au plafond contenant des créatures peu ragoûtantes, visqueuses, gluantes et pas vraiment « jolies ».

         Si les Gryffondors étaient surpris par la pièce, le professeur n'était pas non plus au bout de ses surprises. Lavande et Parvati, tournées vers le mur du fond, faisaient grève. Les trois premiers rangs avaient été désertés, et Seamus et Dean, tentaient de déterminer à quel type de professeur ils avaient affaire, et prenait les paris sur combien de temps il resterait.

         Seul Harry (le grand, le beau, le courageux), accompagnés de ses deux fidèles amis Ron et Hermione (les fidèles, les loyaux, les braves…), avaient décidé de prendre place sur le devant de la classe,

« Eh »

         Quoi ?

« On est revenu à l'histoire normale, tu peux mettre le féminin ! »

         C'est vrai ! Merci du rappel.

« De rien »

         Revenons à nos moutons… face à Voldemort (la méchante, la sadique, la maléfique…), ce qu'ils ne savaient heureusement pas.

« Ah, c'est mieux ! »

« Et gnagnagna et gnagnagna. »

         Le professeur Julie Somedestrov commença particulièrement bien sa journée, et fit considérablement baiser sa cote de popularité en dérapant à l'entrée de la salle à cause de ses talons hauts sortis spécialement pour l'occasion…

« Je l'avais bien dis ! »

« C'est très important de faire bonne impression sur ses élèves pour le premier cours. Et la tenue joue beaucoup… »

« Ouais bah là c'est raté. »

         … Cette chute aurait pu devenir une merveilleuse cascade digne d'un film de kung-fu, si l'ongle de l'index de la main gauche de Voldemort ne s'était pas brisé sur le sol de pierre, le faisant hurlé de douleur …

-Aiiiiiiiieeeeeuuhhh !

         … donnant un résultat alors plus proche d'une scène comique de sitcom au rabais. Un panneau lumineux marqué « riez » se mis à clignoter et la classe explosa dans un fou rire tout à fait digne de ces merveilleuses séries télé.

         Forcément Harry (le grand, le beau le courageux) se précipita pour aider son professeur, occupé à contempler avec désolation son ongle cassé, à se relever. Il lui tendit la main droite. lorsque les deux mains se touchèrent, une violente décharge électrique les secoua fortement. Julie se releva et entreprit d'arranger sa tenue.

- Désolé Mr Potter, mes cheveux sont un peu électriques en ce moment. Il faut à tout prix que j'essaye un nouveau spray anti-électricité statique.

         Le Mr Potter, un peu secoué quand même (cheveux dressés sur la tête et doigts qui fument), hocha la tête et repartit vers sa table.

« Pourquoi tu l'as pas totalement électrocuté imbécile ? »

« Parce des fois que t'ai pas remarqué, ça m'aurait électrocuté aussi…. »

« Ca t'aurait peut être remis le cerveau en place au moins. »

         Mais…

- Et comment vous savez comment je m'appelle ? Vous n'avez même pas fait l'appel !

« Le salopard ! Il nous a repéré ! »

« Non pas ça ! Fleur papillon fleur papillon… »

         Harry explosa bien évidemment de rire.

« Ouf ! Il a rien senti. »

- Je crois que j'ai compris fit-il en se retenant d'exploser à nouveau de rire. La cicatrice je suppose ?

- Exactement Mr Potter, cinq points pour Gryffondor.

« T'as remarqué que t'es en train de la favoriser ? »

« Mais non ! De toute façon je me vengerai sur son prochain devoir ! »

« Pitié, il se prend vraiment pour un professeur ! Il veut même donner des devoirs ! »

« Oh la ferme ! »

         Comme la classe était (un peu) dissipée, Voldemort décida de prendre les choses en main et haussa le ton.

- C'est pas bientôt fini cette pagaille ! Interro pour tout le monde ! Vous me récitez la dernière leçon et…

- Professeur, fit Hermione, nous n'avons encore fait aucune leçon.

- Vingt points en moins à Gryffondor pour avoir couper la parole à un professeur et vingt autres pour avoir parler sans y être autorisé.

« Là, tu voies, je me rattrape ! »

« *préfère s'abstenir de répondre* »

- Et vous allez tous m'écrire au moins trois rouleaux de parchemins jusqu'à la fin du cours sur…

         Tous les élèves regardent leur professeur avec inquiétude.

« T'aurais pas une idée là comme ça ? »

« C'est toi le chef, à toi de trouver. »

« Lâche. »

- … Sur le profil psychologique des Macboon velus !

         Tous les élèves tentèrent de ce rappeler ce qu'est un Macboon velu et tentèrent d'écrire quelque chose d'autre que leur nom sur le parchemin (sauf Hermione évidemment).

« Je trouve que tu as vraiment une manière originale d'enseigner… »

« Ca leur fait du bien de réfléchir par eux même ! »

« Mouais… »

« L'enseignant doit savoir être sévère. »

« Tu sais quoi vieux ? Tu me fais vraiment penser à Rogue là tout de suite. Tu es sur que tu fais pas ça juste pour lui plaire ? »

« *hurlement d'horreur* »

- Stop ! Arrêtez vos devoirs ! Ca suffira pour aujourd'hui ! Ca vous dirait de faire un monopoly ?

         Regard (vraiment) inquiet des élèves

« *explose de rire* Ca marche à tous les coups ! »

***

Petite précision : la suite, c'est pas avant fin novembre, voire à noël. Et vous connaissez la chanson… Review !

Pour ceux que ça intéresse le Ch8 de mon autre fic, c'est ou pour demain (mais faut pas trop rêver) ou pour fin novembre.

Le jeu concours débile de la semaine pour passer le temps : trouver l'origine d'un de mes pseudos : Calenwen (indice pour aider un petit peu: Legolas)

A la prochaine