Auteur : Kestrel
Disclaimer : Nan, il est puni, il peut pas venir vous voir.
Genre : Hum...Y en a qui sont bouchés ? Romance Draco/Hermione !
N/A : ROOOOOOOOXAAAAAAAAAANE ! oh, oh, oh, RRRRRRROOOOXAAAAAAAAA-AAAAAANE ! oh pardon j'ai cassé les vitres. Bon je suppose que ce chapitre est PG-13 ! ou un peu plus. Mais pas R du tout ! lol
Lettres, 10e partie.
Chapitre 10 : Ce soir, minuit.
Je sais ce que je vais faire. Je vais lui écrire. À rien ne sert de lutter, de toute façon, les Malefoy ont toujours ce qu'ils veulent, alors bon. Je vois que je serai pas l'exception. Je trempe ma plume dans l'encre. Et j'écris simplement :
D'accord, j'abandonne. Ce soir, minuit, le rocher du lac.
Je ne signe même pas, il sait qui c'est, non ? J'envoie ma lettre, ou plutôt mon petit mot. Je vais mal dormir. Heureusement que j'ai acheté un réveil magique, qui ne sonne que pour moi. Les autres n'entendent pas la sonnerie. Je le règle à onze heure et demi. Ce soir, je serai la première. Je vais voir Ginny. J'aurai du le faire avant. Mais c'est trop tard, la lettre est partie. Je toque à sa porte. Moi je suis préfète en chef, et elle, préfète. Donc elle a une chambre pour elle seule. C'est pratique, quand on veut parler sans que les autres entendent. Toc, toc, toc. Mes coups résonnent dans le vide. J'appelle.
- Ginny ? tu es là ?
Apparemment non. J'ouvre un peu la porte. Enfin, j'essaie. C'est fermé à clef. C'est drôle, d'habitude, elle laisse toujours ouvert. Je toque encore.
- Ginny, c'est Hermione.
Non, elle est pas là. Mais pourquoi a-t-elle fermé sa porte ? Je retourne dans ma chambre. J'appelle Tibby. C'est l'Elfe de Maison qui s'occupe des préfets en chef. J'ai renoncé depuis la cinquième année à la S.A.L.E. S'ils aiment être esclaves, c'est pas moi qui les empêcherait d'en être.Tibby arrive.
- Mademoiselle se sent mal ? demande-t-elle anxieusement en me voyant allongée sur le dos, le bras et la jambe pendant lamentablement du lit.
- Oui, je réponds. La bêtise masculine m'a terrassée. As-tu déjà croisé un homme vraiment désespérant ?
- Oh oui, soupira-t-elle.
Je l'invite à s'asseoir. Elle ne fond pas en remerciements pour moi de la traiter en égale. Je le lui ai interdit. C'était un ordre direct, elle ne veut pas y désobéir.
- Quand ? je lui demande.
- Tous les jours j'en croise un nouveau.
Je ris. Nous avons une discussion de filles. Nous parlons avec lassitude des hommes, si bêtes, qui passent leur temps à nous briser le cœur et à se pavaner. Et à se coiffer, pour un certain Serpentard, pour ne pas le nommer. Tous des crétins. Quand Tibby part, je la remercie chaleureusement. Ça m'a fait du bien de parler avec elle.
- C'est naturel, mademoiselle.
Elle s'incline et s'en va. Je ne pourrai jamais l'empêcher de s'incliner. Alors j'ai renoncé à la contredire. Elle se tuera le dos, c'est pas mon problème. Elle m'a donné de bons conseils : genre, soyez vous-même, ne vous laissez pas piéger par les belles paroles, ne regardez pas qu'avec vos yeux. J'apprécie beaucoup ce dernier conseil. Les filles sont peut-être cruelles, mais quoi qu'on en dise, elles se soutiennent les unes les autres contre les hommes. Où j'ai mis mes post-it ? noter : acheter une intelligence à Draco Malefoy. Intelligence artificielle. La sienne est plus qu'artificielle, elle débloque totalement, à se demander si elle existe vraiment. Je n'ai pas peur de toi, Draco Malefoy. Viens, je t'attends.
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Je tourne en rond dans ma chambre. Trente-sept, trente-huit, trente-neuf, quarante...je fais les cent pas. Toc, toc, toc. J'arrête de tourner en rond. Tant mieux, je commençais à avoir le tournis. Tas de plume feignant, hugh. Crétin volant, le retour. J'ouvre la fenêtre. Il entre. Chaque battement d'aile est une éternité. Alors huit éternités, ça fait quand même beaucoup. Lentement, toujours doucement, il se pose sur mon bureau. Le mot « rapidement » n'existe même pas dans son vocabulaire. Je me jette sur lui. Lui, si flegmatique d'habitude, pousse un hurlement perçant en me voyant me jeter sur lui. Il bat frénétiquement des ailes, perd quelques plumes, mais trop tard, je l'ai eu. J'arrache le morceau de parchemin de ses serres et le lâche. Il s'envole par la fenêtre, traumatisé à vie. Mais comment je vais répondre, alors ? J'ai pas envie de retourner à la volière ! Bah, tant pis. On fait pas attendre un Malefoy pressé d'avoir sa réponse. Je déplie fébrilement le papier. Il est minuscule. Alors soit il me dit jamais, dégage, m'approche plus, soit...
- D'accord, j'abandonne. Ce soir, minuit, le rocher du lac !
J'ai hurlé. Ouais ! Ce soir, elle sera à moi. Merci mon Dieu. Mais je crois pas en Dieu. On s'en fout. Minuit...Oh, va falloir que j'attende longtemps ! Ce soir, je serai le plus beau. C'est quelle heure ? Sept heure. C'est l'heure de bouffer. Là, au moins, y aura tout le monde de levé. Oh non, y aura tout le monde ! Ça veut dire qu'y aura Crabbe et Goyle. Oh, pitié pas ça. Réfléchis, Draco, réfléchis. Eux, ils descendent généralement vers sept heure et demi, le temps qu'ils arrivent à lire l'heure pour dire que c'est sept heure. Donc j'ai environ une demi-heure.
- Putain...je marmonne. Ils sont pas sensé me compliquer la vie, mais le contraire !
Je descends à toute allure. Je m'assieds rapidement, sans un regard pour Pansy, qui m'a malheureusement repéré, et qui me lance des œillades énamourées. Je suis maudit. La pire créature de la terre me colle et j'ai même pas le droit de la frapper ! Pauvre de moi. Oh, je deviens doué dans l'art de plaindre ma pauvre personne. Soupir. Je bouffe rapidement. Un regard à la table des Gryffondors. Potter, Weasley et Cora Spellman, une fille qu'ils ont ramassée cette année, sont là, mais pas mon bel ange. Qu'est-ce qu'ils lui ont fait ? Ils se lèvent. J'ai fini de manger, justement. Je me lève à leur suite. Ils sont à discuter dans le couloir. Je me cache dans un angle du mur et j'écoute. Ça, c'est ma spécialité.
- Harry, tu ne trouves pas qu'Hermione est bizarre en ce moment ?
- Si, répond le balafré, un air pensif peint sur son visage. D'abord, la lettre sensé être adressée à ses parents.
- Elle n'a jamais su nous mentir, coupe Weasley. C'était à qui, tu crois ?
Potter hausse les épaules et reprend.
- Ensuite, elle avait dit qu'elle viendrait avec nous voir Patmol dans la Forêt, mais elle est restée cloîtrée dans sa chambre.
Uh ? C'est qui, ça, Patmol ? Et qu'est-ce qu'il fout dans la Forêt ?
- Et ce matin, on l'a pas vue, reprend Weasley, sa chambre était vide à dix heure du matin, elle était pas à la biblio, et on l'a vue qu'au repas.
- Où elle a fait une superbe grimace à Malefoy, commente Spellman. On aurait dit qu'elle était terriblement en colère.
- Elle l'était, confirme Harry. Après, elle est partie on ne sait où, et est revenue calmée. Elle est partie dans sa chambre, prétendant lire.
- Et ce soir, termine la brunette, elle dit avoir mal à la tête et ne pas avoir faim. Pourtant, elle refuse de voir Pomfresh.
- C'est louche, approuva Weasley.
De quoi ils se mêlent, ceux-là ? Je suppose que ça, ce sont des amis, et que ça fait parti de leur rôle. Un rôle encombrant, je trouve. C'est en partie pour ça que j'ai pas d'amis. Leur manie de fouiner partout dès que vous leur dites un petit mensonge pour protéger votre vie privée... Agaçant au plus haut point. Bah, au moins, je sais pourquoi Hermione n'était pas là. Je sors et je les dépasse en lançant sarcastiquement :
- Alors, Potter ? Toujours à comploter dans les couloirs ?
Il me lance un drôle de regard. C'est sûr, il se demande pourquoi Hermione m'a fait une grimace ce midi.
- Tire-toi, dit-il finalement en détournant les yeux.
- Ah, mais Granger est partie...Peut-être qu'elle s'est rendu compte que vous ne la méritiez pas. Elle vaut mieux que vous.
Ils me regardent avec des yeux en soucoupes. Oups. J'ai peut-être un peu raté mon coup, cette fois. Je leur lance un regard amusé, faisant semblant de les trouver trop bêtes pour comprendre. Je m'esquive. J'ai eu chaud. Je crois qu'ils n'ont pas capté. C'est normal. Je retourne dans ma chambre. J'y aurai passé presque toute la journée. Bof. C'est sept heure vingt-cinq. Une chance que j'ai pas croisé Crabbe et Goyle dans les couloirs. Faut que je m'occupe jusqu'à minuit, maintenant. Je vais faire quoi ? Dormir, ce serait pas mal. Biiiiieeeeeen Draco ! Je m'allonge. Mon réveil est réglé à minuit moins le quart. Je me glisse dans les draps. Oh non, ils sont tièdes. J'ai chaud. Je repousse les draps et ferme les yeux. Non, là ça va pas. Mon coude rentre dans mes côtes. Je me mets sur le dos. Non, ça va pas non plus. Ma tête penche en arrière, j'ai horreur de ça. Je me mets sur le ventre. Non, c'est pas bon. Ma tête est toute tordue et je risque le torticolis. Comment je dors, d'habitude ? Oh, la barbe. Je recommence à me tortiller.
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Bip, bip, bip, bibiiiip ! Onze heure trente. Je me lève. J'ai pas très bien dormi. J'enlève rapidement ma chemise de nuit Gryffondor et j'ouvre l'armoire. Je passe un jean, un chemiser et une veste. J'enfile des chaussures et passe LA cape de Gryffondor.Elle est superbe, d'un noir parfait. Des boutons d'or en forme de lions et sur le col, un G brodé avec du fil rouge sang de chaque côté. Chaque préfet en chef à la cape de sa maison. Tu paries combien que Dra...Malefoy s'amène avec la sienne ? J'ouvre doucement la porte. Elle ne grince pas, Tibby a bien fait son travail. Par contre, ça craque quand je descends les escaliers. Je suis juste en face de la porte de Ginny. Je l'entends remuer et gémir dans son sommeil. Elle a le sommeil léger. Je m'immobilise, le temps qu'elle reprenne une respiration normale. Je descends sur la rampe. Je veux pas réveiller tout le dortoir, non plus. Je passe le tableau. La Grosse Dame n'est pas là. J'espère qu'elle sera de retour quand je reviendrais, sinon j'aurai un gros problème. Je parcours les couloirs. Tibby m'a juré qu'elle éloignerai Rusard en prétendant que quelqu'un a sali le grenier de la tour d'Astronomie. Merci beaucoup. Faudra que je lui dise merci. J'arrive dans le parc. J'ai mal choisi l'endroit.
- Merde, je jure entre mes dents.
Le rocher du lac est le plus exposé à la vue du château. Quiconque se penche à la fenêtre peut le voir. Mais au moins, je suis sûre que Dra...Malefoy sait où c'est. Je regarde autour de moi. La Forêt n'est pas loin. Je me cache à l'orée des arbres et j'attends. Soudain, quelque chose m'agrippe la robe. Je pousse un cri en tombant en arrière. Une forme noire saute au-dessus de ma tête et se retrouve en face de moi. Je vois sa tête se découper sur les étoiles. Je soupire de soulagement. Je me redresse.
- Patmol, je murmure. Tu m'as fais peur !
Il grogne. Je crois qu'il me demande pourquoi je n'étais pas là hier soir.
- Oh...euh...J'avais mal au ventre, je mens.
Il me regarde d'un air suspicieux. J'essaie d'effacer toute trace de culpabilité de mon visage. Il continue de me fixer. Je détourne le regard. En jouant avec des brins d'herbe, je lui demande :
- Toi, ça va ?
Il aboie joyeusement.
- Tant mieux.
Je lui parle un peu. Soudain, il dresse l'oreille. Il a entendu quelque chose. Il regarde le parc. Oh, je vois. Quelqu'un s'approche, et il est tout à fait repérable. Déjà l'heure.
- Va-t-en, je trouverai une explication quelconque pour justifier ma présence ici, je murmure.
Il s'enfuit dans les bois. Je me relève et sors des bois. L'heure de vérité.
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Bip, bip, bi...J'éteins le réveil d'un coup de poing. Je me suis pas endormi longtemps. Je me lève, passe un baggy noir, une chemise blanche et la cape de Serpentard. Elle a les boutons en argent, sculptés en forme de serpents, et de chaque côté du col est brodé en vert émeraude un S. Je descends les marches. Ils ronflent tous, c'est incroyable. La maison Serpentard ne regroupe que des loirs, à part moi. Je passe le mur de la salle commune et sors dans le parc. Je ne vois encore personne. J'arrive au rocher du lac. C'est pas un très bon endroit. À part le fait que tout le monde sait où c'est, y a que des inconvénients. Dont le majeur : si on jette un coup d'œil, même involontaire, par la fenêtre, on repère tout de suite qu'il y a quelqu'un au rocher. Je regarde autour de moi. Hermione sort de la Forêt, aucun sentiment exprimé sur son visage. Je lui fais un grand sourire. Ouh, drôle d'expérience. C'est mon premier vrai sourire. Incroyable. Je devrais dire quelque chose. Elle est bien habillée.
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Il est là. Je le savais, il a mis sa cape Serpentard. Pas croyable, il est habillé comme un moldu, dessous la cape ! Il me fait un beau sourire. Ça me fait tout drôle, de le voir sourire pour la première fois et de penser que c'est à moi qu'il fait ce beau sourire. Après tout, il est sympa, en ce moment, il a changé. Même si ce n'est qu'un rôle, ça me plait. Je lui souris. C'est peut-être défoulant de se disputer, mais ça m'épuise. C'est plus agréable de s'aimer. S'aimer ? Bof, pourquoi pas après tout ? Il est sexy, il fait des efforts pour être sympa, et il prétend m'aimer. Alors d'accord. Mon sourire s'élargi.
- Salut, Draco.
Pour la première fois, je l'appelle Draco. Drôle de sensation.
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Elle me sourit. J'avais pas remarqué comme ça la change, les dents de la bonne longueur. Son sourire est irrésistible, comme elle. Je sais pas à quoi elle pense, mais son sourire s'élargi. Je ne m'en plains pas. Elle m'appelle Draco. Incroyable.
- Salut Hermione.
Elle se rapproche et on s'assoit dos au château contre le rocher. Il y a du vent. On commence à parler. Elle me dit qu'elle n'y croit toujours pas complètement, c'est différent de ce que j'étais, elle pense que c'est peut-être un rôle, elle ne sait plus quoi penser, elle a renoncé à lutter, tant pis si c'est un rôle ou une nouvelle manière de la faire souffrir, ça lui plait pour le moment. Elle n'en peut plus de lutter, de se disputer, alors tant pis. Elle me dit qu'elle a détesté tous ces mensonges que je lui débitais à un moment, que ça la faisait souffrir plus qu'elle ne l'aurait pensé. Enfin, elle me dit en riant que je ne serai jamais un célèbre compositeur. J'aime l'entendre rire, alors je ris avec elle. Ça fait environ treize ans que je n'ai pas ri de bon cœur. Faut dire qu'on se demandait si j'avais encore un cœur. Avant de se taire, elle me dit qu'elle aime beaucoup ma nouvelle coiffure. Alors je la ferai tous les jours. C'est à moi de parler.
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J'ai déballé tout mon sac. Ça va nettement mieux. Il a même ri avec moi. C'est incroyable, je ne l'avais jamais entendu rire autrement que méchamment ou sarcastiquement. C'est à lui de parler. Il me dit qu'il ne s'en était jamais rendu compte, mais que toutes ces blagues vaseuses, ça le peinait, qu'il n'avait jamais été lui-même à Poudlard, il me raconte son enfance difficile, il me dit qu'il en a marre, qu'il ne deviendra jamais mangemort. Après, il me dit qu'il m'aime, qu'il est désolé pour tout ce qu'il a pu me faire, qu'il fera tout pour se faire pardonner, qu'il changera. Moi, je crois qu'il a déjà changé. Je le lui dis. Il sourit encore. Il y a un moment de silence où on se demande silencieusement si je l'aime. Je crois que oui. Alors ? Qu'est-ce que je lui dis ? Il attend patiemment. J'aurai jamais cru qu'il pouvait être patient pour quoi que ce soit. Bon, c'est pas le moment de s'interroger sur ces sautes de caractère. Je le regarde. Il est beau, avec sa cape, sa chemise et son baggy noir. Il est sympa, doux et visiblement romantique. Il me sourit une nouvelle fois. Je baisse les yeux. Je sais ce que je vais faire. Je relève mes yeux vers les siens et...
À
Suivre
...
Mwahahahaha ! Que va-t-il se passer ? Que va faire Hermione ? Vous le saurez dans le prochain épisode !
Draco : Hermione est sexy, finalement...Ta fic m'ouvre les yeux. Que puis-je faire pour te remercier ?
Autoresse/e/trice/euse/on-sait-pas-comen-ki-fo-dire : te taire ? nan, je plaisante. Signe-moi ce nouveau contrat.
Les Serpentards : la suite dans le prochain épisode, mesdames et messieurs !
RAR :
Ayuluna : ça c'est les caprices de malheureusement...celle là je l'ai eue, et elle me fait très plaisir, merci ! ça change ? c'est fait pour ! mdr de toute façon je serais bien incapable de faire un Draco plus euh..."comme les autres"
The.tit.fouine : a bas les pc ! a bas les pc ! ça fait que planter ! ça fait que planter ! (Kestrel est une fervente supportrice des Mac) ! mdrrr les cris du cœur font un malheur ! chuis flattée ! lol j'aime bien les reviews "pourries" alors ! Draco accepte de te faire un bisou pour réparer le mal causé par ton ordi ( le méchant ordi, vilain !).
Rox2004 : mdr vive les métamorphoses de Draco rapides ! merci bcp pour la review chuis flattée !
Dragonia : la suite arriiiive, chaud devant !! mci pour ta review !
Andromede : merrrde comment t'as su qu'ils allaient finir ensemble ? c'était un secret ;-) ! mdr c'est bizarre hin ? Draco n'est pas convainquant quand il est gentil, on le préfère bad boy !
Poupoux : oui bon je te le concède, la poêle c'est plus pratique...mais bon, quand j'emporte que le couvercle de la marmitte, ça va ! mdr le duo entre la poêle et Poupoux !!
The.tit.fouine 2e review : erf on review le chap 8 après le chap 9 mdr ? MERCI MOI AUSSI CHUIS TROP CONTENTE Y ME MANQUE PLUS QU'UNE REVIEW POUR ETRE A CENT !!!! (on imagine l'état de l'auteur si tit.fouine est surexcitée comme ça en étant lectrice...) eh bah non ! à Marseille aussi y a le "mon cul c'est du poulet" ! ou alors la variante : "et mon cul c'est du poulet au roquefort, tu veux gouter ?" mdr ! pour les délires on sent vraiment la fatigue ? mdr c'est juste que je suis essoufflée et un peu crevée par surexcitation à force de carburer au délire ! mdr, docteur maboul, à bientôt ! bzz !
