Auteur : devinez qui c ! ben c moi ! Kestrel ! kikoo tt le monde !
Disclaimer : mamaaaaaaaaaaaaaan ! où tu l'as mis ?
N/A : je m'excuse parce que c'est vraiment trop nul comme partie et en plus elle est en retard. Je suis partie en live total. Donc si elle est en retard, c'est que non seulement comme je vous l'avais dit elle a été perdue et ce que j'attendais est arrivé de Suisse et ça a mis plus longtemps, et deuxièmement que j'ai un peu arrangé la fin même si c'est toujours nul.
Genre : euh…gros délires de l'auteur pour certains passages…
Note sur l'histoire : en exclu, RON va parler dans cette partie ! on va enfin savoir ce qui se passe dans son cerveau immature ! et je vous le dis : C'EST LA DERNIERE PARTIE !
Lettres, 14e partie.
Chapitre 14 : FIN !
C'est loooong ! Arg ! Je vois Cora qui remue sur sa chaise. Je gigote. J'ai chaud. J'ai soif. Au secours ! J'en ai marre. Drrrrriiiiiiing ! Je bondis de ma chaise et fourre mes affaires dans mon sac. Je sors de la salle sous le regard étonné de McGonagall. D'habitude, je suis la dernière à sortir et je pose des questions sur le cours. Pas envie. Je grimpe jusqu'à la tour de Gryffondor. Le dernier cours de la journée est toujours le plus long. Qu'est-ce que je vais faire ? Il doit bien rester trois heures ou quatre avant d'aller dormir ! Ginny. Où est sa salle de cours ? Cora m'a déjà rattrapée. Elle a de longues jambes. Si elle voulait, elle pourrait faire de la course de vitesse en championnat, mais elle préfère faire de la magie. Qu'est-ce qu'elle avait, Ginny aujourd'hui ? Histoire de la Magie, non ? j'ouvre la porte de la salle. Tsss. Ça a sonné, ils ne s'en sont pas aperçu. Ils dorment tous, la tête posée sur leur bureau. Et Binns parle dans le vide, comme d'hab. Cora sourit. Elle met ses mains en porte-voix et hurle :
- Ça a sonné !
Les élèves se redressent d'un coup. Ils rangent leurs affaires en trente-trois secondes et quittent la classe accompagnés par le regard indigné de Binns. Ginny nous rejoins rapidement dans le couloir. Le repas est dans environ une heure. On monte dans ma chambre. La penderie est vidée. Je les laisserai pas sortir avant que tout soit rangé, c'est clair. Brr. On gèle tout d'un coup. Comment j'ai pu avoir eu chaud tout à l'heure ? Je ferme la fenêtre. On décide de ce qu'on va porter demain. Les filles ont aussi pris tous leurs beaux vêtements. Ça y est, on a décidé. On descend manger.
Bip bip bip bibiiiiip ! quatre heure trente ! je me lève, prends mes affaires et descend dans la chambre de Ginny. Cora descend les marches. Le réveil de Ginny sonne pile au moment où on entre dans sa chambre. Elle le balance contre le mur et se lève. On descend dans la salle de bain des préfets. Je dis le mot de passe et on entre. Tout y passe : épilation, masque capillaire, masque pour la peau, shampooing vanille, gel douche noix de coco, manucure, etc, etc. Lorsqu'on sort, on est transformées. Ginny est habillée d'un haut noir moulant manches trois quart, une jupe kaki fendue sur le côté et des sandales noires à semelles compensées et ses cheveux sont un peu bouclés. Cora a une chemise blanche déboutonnée en haut qui laisse voir un peu de son soutif-dentelle-noir, un pantacourt noir avec des lacets sur les jambes, les cheveux lâchés –elle n'a jamais voulu y toucher–, et des mules rouges. Quant à moi, j'ai un chemisier blanc déboutonné en bas, une minijupe noire sur un pantalon jean noir et des chaussures noires. On est superbes. On retourne dans la salle commune. Gros silence, tout d'un coup. On a une très légère couche de maquillage et un tout petit changement au niveau de la peau (bronzage pour Ginny et moi, Cora est indienne, et on a toutes la peau superbe, lisse, épilée et hydratée) (chais pas si ça se dit en fait, peau épilée), mais visiblement, ça se remarque. Le silence s'éternise, je trouve (comme ma fic) ! ça nous agace un peu. Cora fait :
- Coucou, oui, c'est nous ! qu'est-ce qu'il y a ?
Dean s'approche un peu avec Seamus.
- Vous êtes…
Je souris intérieurement.
- Quoi ? demande Ginny en faisant semblant de s'agacer.
Seamus hausse les épaules.
- Sublimes, termine Parvati derrière nous.
Je sens qu'elle va poser des questions du genre : « c'est pour qui ces beautés ? » « pourquoi vous ne nous avez pas prévenu ? » « vous vouliez attirer les regards ? » etc, etc. Évidemment, ça ne loupe pas. Oh, pourquoi, pourquoi Ron sort-il avec elle ? Mon Dieu, c'est pas vrai…mon Dieu, d'abord je crois pas en Dieu. Elle m'énerve celle-là. Je réponds :
- Dans l'ordre : on ne se fait pas belles nécessairement pour quelqu'un, parce que, oui.
Elle me jette un regard froid. Elle, elle a pas oublié la lettre "pour mes parents" c'est clair. Harry et Ron descendent les escaliers. Ron ouvre de grands, grands yeux, et Harry nous sourit. Il a changé, depuis la cinquième année. Il est plus calme et n'est étonné par rien.
- Vous êtes superbes les filles, nous dit-il.
Ginny rougit.
- Merci, répondons-nous.
Harry me fait un discret clin d'œil. Je lui souris en retour. Ron n'a toujours rien dit. Celui-là alors…
- On va déjeuner ? je propose l'air de rien.
- On est partis, dit Ron en continuant de nous lancer des regards interrogateurs.
On sort de la salle commune. Bien évidemment, Parvati nous suit. Arg ! J'ai des envies de meurtres, tout d'un coup, j'me demande pourquoi, tiens ! On traverse les couloirs, je jubile. Sans vouloir nous vanter, Parvati est un torchon, à côté de nous, bien qu'elle soit assez jolie. Ha ! ha ! je jubile et elle enrage ! douce vengeance…J'attends avec impatience le moment où on va entrer dans la Grande Salle. On ouvre la porte et on entre. Comme tout à l'heure, dès qu'on nous remarque, c'est le silence. Mon regard se braque sur la table des Serpentards. Draco nous a vu, il nous regarde, les yeux grands comme des soucoupes. Je souris. J'examine les réactions des autres. Intéressant…Les Poufsouffles nous regardent avec toute leur discrétion, comme d'hab, les Serdaigles ont les yeux comme des soucoupes, il y en a un qui siffle, les Serpentards sifflent tout ce qu'ils peuvent et hurlent des grossiertés et les Gryffondors murmurent et hurlent. Quelle réaction, pour seulement trois filles ! c'est dingue ça…Fred et George, qui sont là pour la semaine, gueulent :
- OUAIIIIIIS ! SŒURETTE ! LES PLUS BELLES À GRYFFONDOR !
On leur fait un bô sourire et on s'assoit. On se fait aborder de tous les côtés. Les mecs…Arg ! on n'a pas changé ! on a juste d'autres vêtements ! c'est pas que ça me fait pas plaisir, mais c'est lourd, quand même ! Harry fronce les sourcils. On est tout ce qu'il lui reste, il ne veut pas voir quelqu'un nous arracher à lui. Déjà que ça a dû être dur à digérer que je sorte avec Draco…Il remue. Baaaah…Il m'énerve Dean ! Je m'agite. Harry dit d'un ton sec :
- Dean, ce ne sont pas des attractions…bien qu'elles t'attirent. Laisse-les en paix s'te plait.
Dean s'en va. Il sait quand il ne faut pas énerver Harry. D'ailleurs, l'année dernière il a fait un massacre…Pauvre Cho (je lui attribue tous les malheurs, je ne peux pas me la voir, cette grenouille asiatique !)…On attire les mecs comme des mouches. Même Colin Crivey se ramène ! Zack, un septième année, aussi. Mais il dégerpit, comme les autres –au grand regret de Ginny–, quand Harry dit d'un ton glacé en posant ses mains sur celles de Cora et de Ginny :
- Propriété privée. Dégagez !
Cora rit en lui ébourrifant les cheveux pendant que Ron dit à Ginny :
- Il est trop vieux pour toi (Zack) !
Je reporte mon attention sur Harry et Cora.
- Propriété privée…J'aime bien…mais si je peux plus draguer…
Harry lui file un coup de coude. Ils se sourient en riant. Puis, comme d'un commun accord, on reporte tous notre attention sur nos assiettes. Les profs n'ont rien dit. Ça m'étonne un peu, quand même. Je les regarde. Ils bouffent. Visiblement, ils en ont marre de tenter (vainement) d'arrêter nos âneries. Seul Dumbledore me fait un clin d'œil. Je regarde la table des Serpentards. On s'affronte un moment du regard, avec Draco. Il a pigé mon truc (encore heureux ! ça voudrait dire qu'il est con, sinon ! lol). Je lui souris, aguicheuse. Il enrage. Ha ! ha ! On continue à se provoquer du regard. J'ai juré que je gagnerai et je gagnerai ! Je n'ai jamais remarqué que Ron me regardait fixement.
On va en cours. C'est l'euphorie totale. Ce soir, il y a un championnat de Quidditch. J'ai encore une idée. Je dis aux deux autres :
- J'ai une idée.
Et en chœur elles disent :
- Oh mon Dieu…
Comment ça "oh mon Dieu" ??? Et d'abord, je crois pas en Dieu ! oui, je sais, je l'ai déjà dit. N'empêche, c'est quoi c'bordel ?
- Comment ça oh mon Dieu ?!
- Comme ça s'écrit, répond l'autre brune, qui me nargue.
- KOUA ? je hurle.
- Oui, reprend-elle, o-h espace m-o-n espace D-i-e-u.
Ginny ricane. Je les retiens…
- Bah oui, dit Ginny, tes idées, depuis le temps qu'elles ratent, on s'en méfie…
Bon, d'accord ! elles ratent souvent, mais et alors ? Celle-là, elle a marché, d'abord !
- Comment ça ?! Celle-là, elle a pas marché, peut-être ?
- Si, si, s'impatiente Kestrel. Allez, c'est quoi ton idée géniale ?
- On va…
Et je leur chuchote mon idée (bah oui, faut pas que vous entendiez !). Elles approuvent. C'est dingue comme j'ai envie de me faire remarquer aujourd'hui !
…Beuh…j'ai jamais trouvé les cours aussi longs qu'aujourd'hui…c'est pire qu'hier. (C'est pas pour dire, l'auteur, là, mais tu pourrais me rendre un service ! (NA : j'ai envie de parler aujourd'hui)
Auteur : kwa ? kessta encore ?
H : avance un peu les cours !
A : bon, ok…trois coups de plume et un coup de clavier, et un soupçon de machine à écrire !
H : …elle délire…
A : POUF !!!)
Aaaaah ! c'est enfin fini (merci qui ?) ! Je me précipite dans les vestiaires de l'équipe Gryffondor.
Je retrouve les filles dans le dortoir.
---
(narrateur off, moi, quoi)
Harry tournait la tête dans tous les sens, avec Ron à ses côtés, effectuant une brillante imitation de son meilleur ami.
- Elles sont où ? fut la brillante question que posa Ron après avoir tourné la tête dans tous les sens pendant trois quart d'heure, essayant de faire comprendre à la terre entière qu'il avait perdu sa sœur et ses meilleures amies. Harry répondit évidemment (que pourrait-il répondre d'autre, je vous le demande ?) :
- J'en sais rien.
Bon, soyons sérieux une seconde (en admettant que je puisse l'être aujourd'hui). Harry reprit :
- Tant pis, faut qu'on aille jouer. Aller amène-toi.
Et Ron le suivit comme un bon petit ch…euh, Ron le suivit sur le terrain. Le match qui opposait Gryffondor à Serpentard commença. Toujours pas de Ginny, Cora ou Hermione en vue. Harry décola en haussant les épaules et se concentra sur le vif d'or. Mais que se passait-il dans le vestiaire ?
Vestiaire :
Parvati, Lavande et l'autre conne, langue-de-vipère nommée plus rarement Adélie, passait les vestiaires au peigne fin, se baladant partout à l'intérieur en culotte.
- M…m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m… m…MAIS ! hurla Adélie, un peu longue à la détente.
- Exactement ! beugla Lavande.
- Où sont nos uniformes ? rugit Parvati, résumant parfaitement ce que les deux autres bécasses voulaient dire depuis…depuis tout le temps que l'autre disait : m… m… m… m… m… m… m… m… donc, elles avaient perdu leurs uniformes De POM-POM GIRL !
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Nous nous habillons rapidement en pom-pom girl. Évidemment, j'avais arrangé les uniformes. J'ai raccourci la jupe et le T-shirt. On dévale les escaliers quatre à quatre. Les couloirs sont déserts. On sort dans le parc. En passant devant les vestiaires, on entend un remue-ménage incroyable (oui, les trois débiles ont décidé de regarder dans le plafond, histoire de voir si y avait pas leurs uniformes). On pouffe et on se précipite sur le terrain. On commence notre numéro en faisant le plus de bruit possible. Tous les joueurs nous regardent, stoppés en pleine action. Harry faillit tomber de son balai. On bouge, on s'excite, on hurle. Draco a freiné pile, à quelques mètres du vif. On l'a empêché de gagner, comme c'est dommage.
- LE VIF, LE VIF, LE VIF !
Les joueurs reprennent leurs esprits dès que Lee Jordan hurle dans son porte-voix :
- La surprise du jour ! ils ont changé de pom-pom girl ! tant mieux ! espérons que ça va motiver ! Les filles, vous êtes superbes !
En chœur, frappées de la même idée, on hurle :
- TOI AUSSI, LEE !
On fait des grimaces en direction du commentateur.
- Je sais, je sais, se vante-t-il.
- JORDAN !
Il reprend le commentaire du match. Draco me lance un regard et repart. On hurle encore pendant un moment, puis on s'arrête pour reprendre notre respiration. À ce moment, le vif d'or vient tourbillonner autour de nous. EEEK ! on va se faire pulvériser (exactement, oui, j'en ai marre de ta gueule) ! Draco et Harry fonce à toute vitesse vers nous. On hurle. Mais pas pour encourager. On fait :
-WAAAAAAAAA … AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !
Harry et Draco passent à un ou deux millimètre de nos tête, concentrès sur le vif d'or, des pros. C'est la première fois que je vois du Quidditch d'aussi près (ça a faillit être la dernière fois !). Harry tend le bras et attrappe le vif, une seconde avant Draco, dont la main se referme sur celle d'Harry. On recommence une danse endiablée. Lee gueule dans son mégaphone :
- OUAIS ! Harry a attrapé le vif UNE SECONDE avant l'autre c…euh Malefoy ! ON A GAGNÉEUH ! ET UN ET DEUX ET TROIS CENT À ZÉRO ! ON EST ON EST ON EST LES CHAMPIONS !
- Bon, ça va Jordan ! dit McGonagall.
Les joueurs descendent, on les entourent, Serpentards et Gryffondors. On hurle avec les joueurs. Les Serpentards essayent de partir, mais y a toujours un Gryffondor qui les empêchent de partir pour les narguer. Et on danse, et on danse autour des Serpentards. Les Gryffondors sont descendus des gradins et font pareil. Dans la mêlée, personne ne voit que je suis collée à Draco (obsédée !), sauf une personne, mais je ne l'ai jamais su. C'est le gros bordel sur le terrain (et dans ma tête), jusqu'à ce que McGonagall se ramène et nous disperse. On retourne au château, sauf les joueurs qui vont se changer dans les vestiaires. Je me cache (c ça, joue à cache-cache !) derrière les vestiaires de Serpentard. Ils sortent tous, sauf le mien (le tien ?). J'entre. Il est sous la douche (pas de choses obscènes dans ma fic !). Il traîne. Puis il sort, une serviette autour des reins. Il faillit lâcher sa serviette quand il me voit (PAS DE CHOSES OBSCÈNES J'AI DIT !). Je le reluque un peu.
- Qu'est-ce que tu fais là ? C'est le vestiaire Serpentard, et celui des mecs en plus.
Je m'assois.
- Ne me dit pas que tu n'es pas content de me voir, je ne te croirais pas…dis-je.
Il se rapproche (rooooooooh !).
Je sors, satisfaite (ne vous méprenez pas, c tout public ici !). Après un match de Quidditch il ne se contrôle même pas. Il avait oublié le pari, ce qui fait que j'ai gagné ! hihi, il ne s'en est souvenu qu'après m'avoir embrassée passionément. Il en a presque lâché sa serviette ! Je ne remarque pas que quelqu'un m'a vue. Je rentre au château et après m'être changée, je redescends pour le dîner. Je m'assois dos au mur, entre Ginny et la place réservée à Ron. Il arrive un peu après. On discute, on rigole, on commente le match, mais pas Ron. Qu'est-ce qu'il a, à la fin ? On monte dans la salle commune après avoir bouffé. Bien entendu, Fred et George foutent le bordel, aidés par nou stous, fêtant la victoire de Gryffondor. Ron se tait toujours. Ça m'agaec. On danse on boit on bouffe jusqu'à deux ou trois heures du mat'. Par chance, les cours de dem…ce matin sont annulés. Il n'y a plus personne, à part nous, maintenant. Ron se tait. Il n'a pas dit un seul mot depuis hier on dirait ! ça M'EXASPERE !
- RON ! je hurle. Qu'est-ce qu'il y a, à la fin ? Tu fais la gueule ou quoi ? T'es pas content de la victoire ? Qu'est-ce que t'as, merde ?
Il me regarde. Je vous jure que je m'attendais à tout, sauf à ÇA ! il me dit :
- Qu'est-ce qu'il y a avec Malefoy ?
Silence de Harry, Ginny et Cora. Une fois le choc passé, je nie tout en bloc. C'est la meilleure solution, avec Ron.
- Rien, pourquoi ? Qu'est-ce qu'il te prend ? si, de la haine.
- Ne mens pas.
Ben pourquoi pas ? C'est, je crois, de loin la meilleure solution.
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Comment peut-elle me mentir comme ça ? Moi, son meilleur ami ! Je sais, on s'est disputés et tout et tout, mais quand même ! je l'ai vue ! ses regards à table, ses vêtements, le coup des pom-pom girl, le passage dans les vestiaires de Serpentard…Comment est-il possible que je sois le seul à m'en être aperçu ? oh, mais peut-être que les autres le savent ! voilà, je suis tenu à l'écart ! Harry aurait pu me le dire, je suis son meilleur pote ! mais non ! ils pensent que je suis un crétin jaloux qui piquerait une colère s'ils me le disaient (je m'abstiendrais de dire que c'est le cas) ! J'y crois pas ! Elle me regarde. Je la regarde. Ils nous regardent. Elle inspire, visiblement énervée.
- Qu'est-ce que tu veux que je te dises ?!
- La vérité.
C'est trop demander ? Quoi, c'est vrai ! je suis leur ami, ils pourraient me faire confiance (mauvais plan), me le dire !
- Eh bien, dit-elle, la vérité, c'est que je sors avec Draco, voilà !
QUOI ?! comment ?! mais elle n'a pas le droit ! c'est notre ennemi, elle pactise avec l'ennemi, cette co… ! c'est notre opposé, il est à Serpentard, il est arrogant, horrible, cynique, pervers, affreux ! je suis plus beau que lui en plus (mais oui bien sûr…) ! si elle devait sortir avec quelqu'un ce devrait être avec moi ! et d'abord, elle a pas le droit ! comment elle peut nous faire ça ? Et les autres qui ne disent rien !
- COMMENT ?!
- Tu as bien entendu !
- Mais tu n'as pas le droit !
- Ah oui ?! eh bien je le prends, tiens !
- Tu pactises avec l'ennemi !
Ils lèvent tous les yeux au ciel. Bien sûr, tous contre Ron ! (ouaiiis lynchage !) Hermione lève les bras.
- Voilà ! je le savais ! tu allais désapprouver ! tu n'acceptes pas que j'aie une relation, mais ça tu vois c'est ma vie privée et j'en fais ce que j'en veux t'as pas ton mot à dire ! tu me prends comme je suis avec qui je suis ou bien tu dégages !
Comment ? non mais ça va pas ? ce serait plutôt à elle de dégager ! elle sort avec MALEFOY !
- Pas du tout ! et comment peux-tu sortir avec un mec comme ça ?
Elle me pointe du doigt et agite son doigt.
- En fait Ron, tu es jaloux ! toujours ! quand je sortais avec Viktor, quand Harry a été désigné champion du tournoi, et maintenant quand je sors avec Draco !
Je suis soufflé. Moi, jaloux ? n'importe quoi !
- Moi jaloux ? non mais tu m'as bien regardé ? Jaloux de Malefoy, manquerait plus que ça !
- Parfaitement ! c'est pas possible pourquoi tu peux pas accepter que je sorte avec quelqu'un ? c'est ma vie ! j'ai horreur de ce mec que tu es, qui crois avoir le droit de tout décider pour les autres ! tu voudrais que la vie se passe comme tu le veux sans faire d'efforts, eh bah désolée c'est pas comme ça que ça marche ! tout ça, on devrait même pas en parler ça te regarde pas !
- SI ! je suis ton meilleur ami, et si tu sors avec quelqu'un, il va traîner avec nous, et je ne veux pas de Malefoy !
- Alors dégage ! et puis jusqu'ici, il était pas vraiment avec nous ! d'abord mon meilleur ami c'est Harry ! lui au moins il est pas jaloux et il fait pas des caca nerveux pour rien ! arrête de crier tu vas réveiller tout le monde !
Harry, Harry, Harry ! toujours Harry ! j'en ai marre ! je crie encore plus fort.
- C'est toi qui crie ! et Harry, pas jaloux ? T'as pas vu la tête qu'il a fait quand tous les mecs sont venus vous draguer ?
Le visage d'Harry se crispe un peu plus. Hermione donne l'impression d'étouffer de rage.
- Lui au moins il a ses raisons. Toi, pas une seule rationnelle ! laisse le en dehors de ça !
Je suis hors de moi. Les mots sortent tout seuls.
- Oui, pauvre Harry ! protégeons le ! laissons-le en dehors ! mais lui aussi il est impliqué ! il sait ! Ginny et Cora aussi ! je suis pas idiot !
- Eh bah tu fais très bien semblant, me fait Hermione d'une voix glacée. Tu vois comment tu réagis ? Après tu t'étonne qu'on ne te dise pas tout ! mais c'est normal, avec toi, la moindre petite chose qui ne te plait pas se change en apocalypse !
- Parce que pour toi sortir avec Malefoy c'est le paradis ?
- Figure toi que oui, c'est cent fois mieux que de te parler !
- Espèce de…
- RON ! hurle Cora. Non mais tu vas la laisser oui ? c'est son problème ! elle s'arrange pour que ça ne nous ennuie pas, pour que tout puisse coller, alors soit un peu tolérant, peut-être qu'il n'est pas comme tu crois !
Et encore tous contre Ron ! Ma tête est sur le point d'exploser (crève ! crève !).
- Bien sûr ! et il nous insulte chaque jour, c'est du pipeau ! il veut profiter d'elle ! ferme la Cora tu sais pas de quoi tu parles !
Elle pince les lèvres. On dirait qu'on a le droit de rien lui dire à elle ! Elle prend sa veste en cuir et l'enfile.
- Excusez moi je vais pulvériser quelques vampires.
Harry la retient par le bras.
- Arrête tu vas en attirer trop, vêtue comme ça…
Elle se retourne.
- Ne t'inquiète pas. A part la poussière sur ma veste ça ira.
Il la lâche à contre cœur et elle prend un pieu sur la cheminée avant de partir. Ça arrive souvent que des élèves chassent le vampire, pour se défouler, ou par obligation, du coup on se cache plus et les pieux sont à la disposition de tout le monde. Je me tourne vers Hermione.
- Ecoute tu sors pas avec lui et c'est tout !
- Oh, je vois. Tu estimes avoir le droit, le pouvoir, et l'autorité nécessaire pour m'ordonner ça je présume ? tu t'estimes assez bien pour penser que t'as le droit de dire qui aime qui, c'est ça ? mais te prends pas pour Merlin mon pauvre !
- C'est simple ! tu le laisses tomber ou… c'est lui ou moi ! voilà !
Elle me toise.
- C'est ce que je disais. Tu t'estimes assez pour penser que je vais te choisir automatiquement, oh oui, quelle merveilleuse personne tu es, tout le monde décrocherait la Lune pour toi…va mourir Ron ! c'est pas toi qui décide !
Et elle gravit les escaliers quatre à quatre. Je me tourne vers les autres, interloqué.
- Non mais vous avez vu ? on lui parle plus jusqu'à ce qu'elle vienne nous supplier et…
- Ron…m'interrompt Ginny d'un air dégoûté. Je crois que t'as pas compris ce qu'elle t'a dit. Y a pas de nous. T'es en solo mon vieux ! oh God, j'arrive pas à croire que tu puisses être mon frère ! j'en mourrais de honte !
Et elle file rejoindre Hermione.
- Non mais je rêve ! qu'est-ce qu'elles ont toutes là ?!
- Hey, Ron…t'es mon premier meilleur ami…murmure Harry. Et j'ai pas envie qu'on se fâche. Mais vraiment, ouvre un peu les yeux ! essaye d'être compréhensif ! elle l'aime, c'est bon c'est son droit, on peut lui faire confiance ! c'est Hermione notre meilleure amie, tu te rappelles ? l'intello qui pense toujours à tout. Si t'as des doutes, pense bien qu'elle aussi les a eu et qu'elle y a pensé avant toi, et même à d'autres trucs auxquels t'as pas pensé.
Je le dévisage.
- Toi aussi tu me laisses tomber alors ?
- Mais non ! seulement…
- Ça va j'ai capté ! vous me dégoûtez, tous !
Et je monte à mon tour dans le dortoir. Je ne veux plus jamais les voir !
---
- Tu sais quoi ? dis-je à Draco.
- Quoi donc ?
- Je crois bien que je ne suis plus amie avec Ron.
- Il a appris pour nous c'est ça ?
- Comment t'as deviné ?
- C'est typique de ce débile de réagir mal aux choses qui le contrarient.
Je rigole doucement. La tour d'astronomie, c'est bien comme lieu. Personne n'y vient à part Rusard. Quand il n'est pas occupé au deuxième sous sol avec Peeves comme maintenant. Je me tourne vers Dray.
- Il a dit que c'était lui ou toi.
Il roule des yeux.
- Il ne doute de rien.
- Toi non plus, remarqué-je.
- Si t'es là, c'est que c'est moi que t'as choisi…
- Ouais…souris-je.
Il m'embrasse et me chuchote à l'oreille :
- C'est gentil, merci…
Sa main glisse le long de mes cheveux pour venir sur ma joue puis descend encore et il passe son pouce au coin de mes lèvres. Hm…il pose un ptit bisou trop choupi sur mes lèvres.
- S'il t'emmerde encore, dis le moi, hein ?
- T'irais lui faire mal ?
- Evidemment.
- Alors d'accord !
Il éclate de rire et se lève avant de m'aider à me relever.
- Désolé ma belle…je suis crevé, il est bientôt quatre heure du matin, et j'ai joué un match éreintant…à part le moment où j'ai eu la vision de toi en minijupe bien sûr.
Je lui souris.
- D'accord, vas te coucher…
- Bonne nuit.
- Fais d'beaux rêves !
- Pas de problème, je penserai à toi avant de me coucher !
Il me lance un clin d'œil et se retourne. Il me fait un dernier signe, et il passe la porte sans se retourner. Vous savez quoi ? je vous parie que notre histoire va durer.
FIN
…(ça veut dire que l'auteuse se cache les yeux dans le principe "je vous vois pas vous me voyez pas" tellement elle a honte de vous avoir sorti cette partie)
RAR :
Zeeve lelula : Hermione on l'aime hein ?! lol ! merci pour ta review.
Rox2004 : ouais je sais…lui aussi il est nul hein ? désolée. Mais merci d'avoir reviewé quand même.
The.tit.fouine : yo ! pour le pari, non même pas vécu…ça me paraissait naturel. Mais évidemment il finit vite et pas détaillé lui aussi ! ouais ouais les femmes au pouvoir ! les mecs n'ont pas encore trouvé le bouton ON de leur cerveau (auréole). Lol !
Mdr y a des gars qui sont pas très…décidés. Tu me parles comme tu veux, j'ai 14 ans en plus même pas 15 !
Bon courage pour les neuf ans d'études -- mon ordonnance attendra lol. Mais il faudra que tu fasses preuve de solidarité avec les flemmards qui n'ont pas envie de travailler, mais plutôt de boulotter/écrire/potasser des fics.
La crise de Ron…ben la voilà ! il est ressemblant ? en tout cas moi j'la trouve longue (tout comme Ron est long à la détente) même si j'ai abrégé le plus possible…RON N'EST QU'UN DECEREBRE QUI A LE QI D'UN VERACRASSE MORT : AUX CHIOOOOTTES !!!! à bas Ron ! à bas Ron ! j'hallucine, JKR elle va le foutre avec Hermione à tous les coups, alors que ses seules actions d'éclats c'était des caca nerveux !
Lol c'est glamour girl, qui a parlé de review la plus longue en plaisantant !
Et là c pas que tu restes sur ta faim…c'est la fin (roh le jeu de mot naze ! –TA GUEULE (quelle émotion c'est p-e la dernière fois que je le dis dans cette fic !))
Dis moi ta devil's deal…ELLE EST EN ANGLAIS !! bon ça va je suis pas anglophobe mais lire l'anglais…me gave ! mdr, non je lis, mais au bout d'un moment je dois m'arrêter. Donc ça va me prendre loooongtemps ! pour ce qui est des R, ça me fait pas encore peur ;-).
Ben les fics de fruit basket je les trouve…sur c'est le seul endroit où y en a…c dans Anime, y a tous les mangas. Pour l'âge, vois pas pk y en aurait ! les mangas, ma mère lit pas. Mais les HP, oui ! , bz.
Serpentis-draco : merci…mais celui là, bof bof je sais pas s'il valait la peine d'être attendu ac impatience…
The.tit.fouine bis : lol j'ai été un peu surprise quand j'ai vu le 12 après le 13 mais bon, ça a aucune importance ! merci de reviewer les deux !
Pis je vais pas te laisser mourir, t'es ma meilleure revieweuse ! mdr oui Draco, il est bo, il est fort, il est musclé…mais dans le film surtout le un on dirait un farfadet !!! ptdr ! mais bon, Lucius c'est pas mon truc…cet acteur j'le préfère dans la peau du capitaine crochet ! et s'il était en première année dans les fics…ce serait pas drôle !!! on ne bave pas devant les nains.
J'ai pas vu la parodie HP. Je lis pas trop ça. Y z'ont aussi sorti une parodie du SdA, je sais plus comment ça s'appelle…y en a même plusieurs…mais c'est trop exagéré je trouve.
T'as des exams en décembre toi ? o.O moi j'y connais rien au système scolaire, je sais même pas ce qu'il y a après le lycée en fait…mdr !
Bon bin voilà hin…merci bcp bcp bcp encore et tjs. cotcot
Ayuluna : pas de chance ! en plus c'est toujours les tiennes é.è bon heureusement celle là je l'ai eue ! et merci bcp de l'avoir laissée, wala !
Fofolleuh : moi aussi c'était un peu ça…ça me gavait encore encore encore, et après gt trop contente quand je réussissai à faire le truc, mais le rapport ce que je subis/la joie que ça me rapporte était immense…alors j'ai laissé tomber ! désolée pour le dialogue…y a des fois où je m'embrouille avec mes propres idées et je suis plus très claire du coup…bon ben voilà, merci pour ta review ! (arg c'est la dernière fois que je le dis pour cette fic !)