Salut tout le monde ! me revoila, toute contente d'être en week-end, et avec mon chap 10 à vous faire lire ! par contre, je ne répondrai pas aux reviews sur ce chap, je suis clakée, j'ai mes devoirs a faire, et par dessus tout, j'en ai pas vraiment le courage ! lol shame on me, je sais.. mais promis je répondrai a tout ceux de ce chap, bien kom il faut, et je répondrais a toutes vos questions, meme si elles foutent en l'air mon pseudo suspens.. lol
Enfin voilà, je remercie quand même Fleur Delacour87, Dragonia, Le Saut de l'Ange, Alisa Adams, Zeeve Lelula, les divans infernales, Stéphanie, Serpentis-draco, Ange-Noire, Audinette, Marie-Anne, Kiras01, Caro et Laure, ma ptite folle préférée ki vient de se réveiller et de tilter kel avait une amie ki publiait une fic et à qui elle ne donnait même pas ses encouragements ! mdr, bref je les remercie pour leur belle tite review, et Magic Dream, rassure toi, j'ai bien l'intention de lire ta fic, c'est juste que je vais prendre un peu de temps, vu que j'ai « qq » chap de retard ! lol par contr,e je viens de lire ta note finale, alors ds kel sens je dosi la lire ? si je commence par le début, y'ora pas de pb ?
enfin voilà, j'espère que ce chap vous plaira, je c plus trop skil continent, mais je l'aime bien, perso ! bon, ej vous laisse, bonne lecture !
Rappel :
Evidemment que quelque chose le tourmentait, mais il ne pouvait lui en parler pour le moment. Il devait d'abord attendre, attendre et voir… Il lui fallait être patient et confiant, mais son enthousiasme de début de relation était déjà bien entamé, depuis quelques jours en fait. Depuis qu'il avait aidé Hermione a déménager quelques cartons… Son regard se perdit dans les flammes qui effectuaient une danse hypnotisante dans la cheminée. Oui, il se rappelait de cette après midi là, où tout avait changé, où il avait prit conscience que dix années avait passé, et que quelque chose était cass
Chapitre 10
« J'en ai tellement souffert »
Flash
Hermione avait demandé à Draco de venir chez elle l'aider à prendre quelques affaires et quelques cartons, profitant de l'absence d'Harry pour une énième mission en Europe de l'est. Elle souhaitait avant tout prendre ce dont elle avait besoin, mais elle décida de remporter également les cartons auxquels elle tenait le plus, comme ses affaires de Poudlard. Cartons après cartons, ils avaient tout déplacé, et tandis qu'Hermione était retournée chez elle pour quelques dernières bricoles, Draco avait essayé de remettre un peu d'ordre dans le grenier, vide il y avait encore quelques heures, et à présent rempli de souvenirs appartenant à Hermione, tous plus intimes les uns que les autres.
La curiosité l'avait piqué, et il s'était saisit d'un carton. Il en retira plusieurs objets assez inintéressants mais qui tenaient à cœur à la jeune femme, comme des lettres, des photos, des plumes ou autres bracelets… Il avait refermé la boîte et avait observé les autres, son regard se posant sur la boîte qui visiblement renfermait leur dernière année. Gardait elle des souvenirs de lui, de leur histoire ? Avait –elle conservé comme pour les autres boîtes ses devoirs et photos prises lors des week-end à Pré-au-Lard ?
En fait, Drago se surprit surtout à être curieux quand à leur histoire… Avait elle comptée ? l'avait elle oubliée ? Il se décida à l'ouvrir.
Elle contenait, comme toutes les autres photos, plumes, notes et autres choses dont seule une fille comme Hermione pouvait avoir envie de garder. Puis son regard se posa sur un amas de lettres apparemment. La plupart étaient issues de leur échange, d'autres venaient de sa famille, il y avait aussi celle qu'il lui avait laissé avant de partir. Cette dernière le troubla, car le temps semblait avoir agit sur elle, comme il avait agit sur eux, ces dix dernières années… La lettre était usée, comme si elle avait été pliée et repliée des centaines de fois.. certains mots étaient effacés, comme éclaboussés par des pleurs… Une vague de culpabilité le submergea soudainement. Il avait vraiment était à côté de la plaque, pensant la rendre heureuse par son départ, alors que l'état de cette lettre montrait l'étendue de son erreur. Elle avait souffert, tellement, bien plus qu'il ne l'aurait cru, les autres lettres présentes en faisant foi.
Il reposa la dîtes lettre et en prie une autre qui l'intrigua. C'était une lettre, tout comme deux autres, qui lui étaient adressées, mais dont il n'avait jamais eu connaissance. Et pour cause… ces lettres étaient avant tout pour Hermione un moyen d'extérioriser sa douleur qu'elle ne pouvait confiée. Elle lui parlait à lui, comme s'il était présent à ses côtés, comme si elle déversait sur lui toute sa peine et sa colère accumulée. L'une d'elle datait de quelques jours après son départ. Il la déplia et la survola…
« J'ai trouvé devant la porte, un morceau de toi, des mots jetés comme des notes sur un piano de bois (…) J'ai bien remarqué l'absence de ton parfum et des photos, c'est dans ce monde en silence, que j'ai lu tes mots. Tu disais "pardon", je ne peux plus rester, ton être au cœur m'est accroché, je laisse juste une lettre, la lâcheté peut-être, et j'ai lu "pardon", pour moi tu as souffert, et ma conscience vit aux enfers s'il me faut choisir, pardon, laisse-moi fuir (…) Tu es parti par amour, en pensant à moi, qui ne veut pas m'endormir ailleurs que dans tes bras… Je te dis "oh non", au nom de nos années tu sais, moi, je peux oublier… Oui, tu m'as fait souffrir, mais sans toi c'est bien pire…
Et j'ai lu "pardon", pour moi tu as souffert, et ma conscience vit aux enfers, s'il me faut choisir, je te laisse… revenir…. »
Il stoppa sa lecture et prit une autre lettre, datant de quelques jours plus tard… D'emblée, elle paraissait plus forte, comme 'guérie', mais en lisant les quelques mots couchés sur papier, il comprit que sa douleur ne s'était pas atténuée, elle avait seulement mué en une rancune, une colère sourde contre lui…
« Je me souviens de tout du premier jour, naïve j'aspirais au
parfait amour…
Pour peine
perdue je me suis battue, au bonheur évanoui, que reste t-il de mes
chimères ?
Je t'ai tout
donné, tout sans hésiter, ma peau, mon sang, mon cœur et une annéePourquoi
me trahir ? Dis-moi ton plaisir à torturer ainsi sans un regret mes sens et ma
vie…
Je hais cet ange noir que tu es, je porte cette entaille que tu m'as fais. Et je transpire de tout mon sang, ma passion de toi et ma rage autant.
Garde tes mots et tes présents, je les méprise autant que tu me mens, j'implore que l'on brise les chaînes qui m'attachent à toi, car pourtant je t'aime... »
- Tu es vraiment sûr que tu ne me caches rien ? le tira de ses pensées la voix inquiète d'Hermione, le voyant une nouvelle fois si loin d'elle.
- Pourquoi tu ne m'as jamais envoyé les lettres que tu m'avais écrites ? questionna t-il sans détour.
- Quelles lettres ? s'étonna Hermione, qui ne voyait pas de quoi il parlait.
- L'autre jour, quand je t'ai aidée à amener quelques vieux cartons chez moi, je suis tombé sur une boîte qui renfermait entre autres des lettres, et différents souvenirs de notre histoire.
- J'y avais jeté un sort sur cette boîte…
- Pourquoi ?
- Ca me paraît évident, je ne voulais pas que Harry tombe dessus. Mais d'abord, de quel droit tu as lu ces lettres, c'est personnel, ça ne te regardait pas, s'irrita Hermione, mal à l'aise.
- Ca ne me regarde pas ? plaisanta Draco avec ironie. Elles me sont adressées ces lettres, et tu y écrivais tes sentiments à mon égard, tes pensées…
- Justement, j'étais très mal, j'écrivais mes pensées les plus sombres, une sorte de journal intime, ce n'était pas réel, j'étais en colère…
- Oh, alors je devrais être rassuré de savoir que tu ne me haïssais pas pour de vrai ?
- N'inverse pas les rôles Draco, c'est moi qui devrais me sentir trahie, pas toi !
- Je ne t'ai pas trahie, j'ai juste ouvert une boîte par curiosité, c'est tout. Mais comprends moi, souffla t-il, j'aurais pensé que rien n'avait changé, que tout aurait pu reprendre entre nous, que tu m'aimais toujours, du moins autant que j'avais pu t'aimer pendant tout ce temps… Et d'un autre côté je découvre ces lettres, où je vois à quel point tu as souffert, à quel point tu m'en as voulu et tu m'as détesté… Pendant que moi je crevais d'envie de te retrouver, de te supplier de me pardonner, pendant que je regrettais chaque minute que tu passais dans les bras de Potter, je me consolais en me disant que tu m'aimais, que la situation devait être aussi pénible pour toi qu'elle l'était pour moi.. alors que j'avais faux depuis le début. Chaque minute que je passais à t'aimer, toi tu t'éloignais de moi, me haïssant chaque seconde davantage.
- Bien sûr que je t'aimais, se radoucit aussitôt Hermione en se rapprochant de lui, le prenant dans ses bras. Je n'ai jamais cessé de t'aimer toute ces années, et pas un jour ne s'est déroulé sans que je ne pense à toi, mais c'était dur, j'ai eu beaucoup de mal à surmonter ton départ, et je ne pouvais en parler à personne mise à part Ginny. Alors j'écrivais… tout ce que je ne pouvais dire je le mettais sur papier, et ça m'aidait à aller mieux, à comprendre…
- Tout ne sera jamais comme avant… murmura Draco, en se détachant d'elle.
- Non, jamais... Mais ça pourrait être encore mieux, c'est à nous de décider, de se laisser une chance, tu ne crois pas ?
- Seul l'avenir nous le dira.. se contenta de répondre Draco, son regard se perdant dans le vide. Il se rallongea, et Hermione vint poser sa tête contre son torse, prenant sa mains dans la sienne et entrecroisant leurs doigts.
- Ca marchera, ponctua Hermione, confiante.
Ils étaient restés un moment ainsi, dans les bras l'un de l'autre, aucun d'eux n'osant ajouter ma moindre remarque.
Puis les jours passèrent, et un jour, en fin de matinée, en allait chercher des documents au ministère, Hermione tomba nez à nez avec Harry qui rentrait d'une mission.
- Bonjour… fit-elle, distante.
- Ca fait un bout de temps que je ne t'avais pas vu… commença Harry.
- Le temps passe… Bon, tu m'excuses, je dois filer, je dois passer prendre Manon à l'école. Oh et pendant que j'y pense, merci… pour ma nouvelle affectation, s'empressa d'ajouter Hermione.
- Je te devais bien ça… Elle me manque… ajouta t-il, après un long silence gêné.
- Tu lui manques aussi, c'est normale, se radoucit Hermione en le voyant aussi triste. Qu'est ce que tu fais maintenant ? demanda elle subitement.
- Maintenant ? heu, je devais remplir le compte rendu de ma mission, mais ce n'est pas urgent. Pourquoi ?
- Parce que c'est injuste que je prive Manon de son père, donc si tu n'as rien de prévu, tu pourrais aller la chercher à l'école, l'emmener déjeuner en ville, et passer l'après midi avec elle, je ferais un mot comme quoi elle avait un rendez vous, qu'en dis-tu ? proposa Hermione, s'étonnant elle même d'être aussi clémente.
- Tu es sûre ?
- Pas vraiment, mais tu es son père, et notre séparation de devrait en rien l'affecter, ce n'est qu'une enfant…
- En parlant de ça, je suis désolé, je n'aurais jamais du te frapper… s'excusa Harry, changeant de conversation.
- Ne t'excuse pas, je le méritais, je n'aurais jamais du aller aussi loin, c'est à toi de me pardonner.
- Alors si tu ne me reproches pas de t'avoir frappée, pourquoi être partie ?
- Par lâcheté sans doute… Cela faisait plusieurs semaines que je ne supportais plus cette situation, te voir en coup de vent, me lever alors que tu étais déjà parti, m'inquiétant sans cesse… J'en avais assez, et j'avais pris ma décision bien avant que tu rentres, ce jour là.. J'ai juste profiter de l'occasion pour me décider, pour partir sans avoir à me justifier, rejetant la faute sur toi alors que tu n'y étais pour rien…
- Mais pourquoi ne pas m'en avoir parlé plus tôt ?
- J'ai essayé… tant de fois, mais à chaque fois je perdais courage… Plus j'attendais, et plus c'était difficile, car je t'aimais, j'avais une famille, une fillette adorable qui ne méritait pas ça… En fait, je crois que je n'avais pas de vraie raison de partir, c'est pour ça que je n'arrivais jamais à t'en parler, je ne voulais pas me justifier. Alors quand tu m'as giflée, j'y ai trouvé ma seule échappatoire réelle… Je suis désolée…
- Ce n'est rien, c'est de ma faute, je n'aurais jamais du me laisser autant dirigé par mon travail… Viens, ajouta t-il en l'attirant contre lui, alors qu'elle posait sa tête contre son épaule.
- Je ne veux pas me disputer avec toi Harry, je tiens trop à toi pour que l'on se quitte fâchés…
- Rassure toi, je serai toujours ton ami, si c'est ce que tu souhaites, je ne te laisserai jamais tomber…
- Merci, murmura t-elle en s'écartant, puis elle sécha rapidement les larmes qui perlaient à ses yeux.
- Tu es sûre que ça ne te dérange pas que j'aille chercher Manon ? demanda t-il une nouvelle fois, et quand Hermione lui fit signe que non, il la remercia et lui déposa un baiser sur le front, avant de s'éloigner.
Hermione sourit, plus de soulagement que de bonheur. Même si elle n'aimait plus Harry, plus comme il le voudrait en tout cas, elle avait quand même besoin de lui, et d'avoir été éloignée de lui aussi longtemps, sa fille par la même occasion, elle en avait souffert, quelque part. Mais de savoir à présent qu'ils resteraient amis et qu'elle pouvait toujours compter sur lui, malgré leur rupture la réconfortait. Elle alla chercher ses documents et décida d'aller faire un tour à Poudlard, puisque Harry prenait Manon pour la journée.
Quand elle arriva, elle retrouva la chaleur des années passés au château, s'étonnant qu'il ait si peu changé, si semblable à ses souvenirs. Elle observa de loin Draco donnait un cour aux premières années, et aux couleurs, elle reconnut la maison de sa fille, et dû admettre qu'elle se débrouillait vraiment bien. Elle semblait à l'aise, si sûre d'elle sur son balai qu'Hermione doutait un instant qu'il s'agisse bien de sa fille à elle, qui avait toujours refusé d'approcher un balai. Elle avait vraiment hérité de l'habilité de son père, Hermione en était très fière.
- Bonjour maman ! fit une voix au dessus de sa tête.
- Lizzie ! Tu m'as fait peur, je ne t'avais pas vu ! Mais tu n'es pas sensée être en cours là, tu devrais filer, avant de te faire punir ! se put s'empêcher Hermione.
- Tu parles, Draco est super cool, il ne nous punit jamais… expliqua Liz.
- Draco ? Et depuis quand tu appelles tes professeurs par leur prénom ?s'étonna Hermione.
- Depuis qu'il nous l'a demandé. Il trouve que ça le vieillit et que ça fait trop sérieux, donc on doit l'appeler Draco. Mais dis moi, pourquoi tu es ici toi ? poursuivit elle, toujours sur son balai.
- Je suis venue voir le professeur Mc Gonagall…
- Alors c'est vrai ?
- De quoi ?
- Draco m'as dit que tu allais remplacer cette vieille chouette !
- Elisabeth ! s'offusqua Hermione. Je te conseille d'être un peu plus respectueuse envers tes professeurs ! Le professeur Mc Gonagall est un excellent instructeur, et je serai heureuse si je devenais à moitié aussi sage qu'elle ! Bon, retourne en cours, sinon je demanderai personnellement à Draco de te coller en retenue !
- Tu n'oserais pas ? s'horrifia Liz, sans pour autant cesser de sourire.
- File !
En voyant sa mère reprendre son sérieux et user de son autorité sur elle, Elisabeth reprit un peu de hauteur et retourna suivre le cours de Draco, et Hermione douta un instant qu'il se soit aperçut de son absence. Elle les observa encore un moment puis se dirigea vers le bureau de son professeur qui selon Draco n'avait pas cour ce jour là.
Quand elle l'invita à entrer, Mc Gonagall fut agréable surprise de la revoir, depuis tout ce temps. Elle parlèrent de ces dix dernières années, des filles de Hermione, de son travail, de sa situation avec Harry, de tout, pendant près d'une heure. Elles parlèrent aussi du poste de professeur de potion que lui cédait Mc Gonagall, lui proposant des appartements aux château, mais elle refusa, sa fille était encore petite et allant à l'école à Londres.
- Quel a été la réaction d'Elisabeth en apprenant la vérité ? questionna soudainement Mc Gonagall, en portant sa tasse de thé à ses lèvres.
- Quelle vérité ? feignit Hermione.
- A propos de son père, répondit la vielle dame, comme si cela paraissait évident.
- Non, je ne lui ai rien dit encore, et j'ignore quand et comment lui apprendre la nouvelle… J'espère sans doute qu'elle finisse par comprendre d'elle même…
- C'est étrange, en les voyant si complices, j'aurais juré que vous aviez parlé à Draco.
- Non, malheureusement… Et plus le temps passe, moins j'en ai la force… J'ai déjà fait souffrir tant de personnes autours de moi, je ne veux pas les faire souffrir d'avantage.
- Il faudra bien qu'elle l'apprenne un jour pourtant… Un jour viendra où elle aura besoin de son père.
- Un père, elle en a déjà un ! répliqua Hermione, un peu sèchement. Excusez moi professeur, je…
- Minerva Hermione, appelez moi Minerva, vous n'êtes plus mon élève.
- Très bien.. Minerva, excuse moi, je suis un peu tendue en ce moment… Je vais devoir vous laisser, je vous vois en début de semaine prochaine, pour voir où vous en êtes dans votre programme.
- Très bien, alors je vous dis à la semaine prochaine Hermione. Je vous raccompagne…
Le chemin du retour fut silencieux, avoir parler du père d'Elisabeth avait jeté un froid. Elles se saluèrent et dans un pop, Hermione transplana.
Comme convenue, Hermione était revenue quelques jours plus tard et elle avait reprit les notes de son ancien professeur, qu'elle étudia toute une soirée avant d'élaborer le planning de ses prochains cours. Elle était un peu anxieuse, mais c'était sans compter sur le soutien de Draco qui lui assurait que tout irait bien, qu'elle serait un professeur talentueux et qu'elle n'aurait aucun problème, que tout les élèves l'adoreraient.
- Je doute que tous sans exception partagent ton euphorie…
- Si tu veux parler des serpentards, je peux les briefer si tu veux…
- Non ! s'offensa Hermione. Je suis grande, je sais me défendre, je n'ai pas besoin que tu me protèges !
- De toute façon, je doute fort qu'il tente quoi que ce soit contre la mère de leur brillante attrapeuse ! Elle est trop influente au sein de sa maison pour qu'ils osent la contrer. D'ailleurs, tu ne m'avais jamais dit que ta fille était chez les serpentards !
- Et alors ?
- Et alors ? tu ne trouves pas étonnant que ta fille soit la bas, compte tenue de vos maisons respectives à toi et à Harry ?
- Au début peut être, c'est vrai, mais tu as appris à la connaître ces dernières semaines, ça ne devrait pas t'étonner encore. Elisabeth est une fillette adorable, aimante et respectueuse, mais c'est une chipie ! Elle est pleine de malice et est toujours prête à jouer de sales tours autours d'elle. Je crois que les jumeaux ont eu une mauvaise influence sur elle finalement, plaisanta Hermione. Ne t'en formalise pas, comme dit Harry, ce vieux choixpeau doit se faire vieux, sinon, crois moi, il n'aurait jamais envoyé Emma, la fille de Fred, chez les sairdaigles, au grand damne de son père.
Ils avaient continué de parler un moment, Draco l'aidant à préparer ces cours de dernières années. Puis, ils s'étaient couchés, ensemble, blottis l'un contre l'autre.
A son plus grand étonnement, ses cours se déroulaient à la perfection. Aucun élèves ne montraient la moindre résistance à recevoir des cours venant d'une sorcière à l'ascendance moldue, même les serpentards. Ils apprenaient vite, retenaient et se montraient même assez doués dans la matière. Un mois passa ainsi, sans incident majeur, sans retenue de plus d'une soirée, et sans aucun T aux devoirs. Hermione s'en félicita, tout était parfait. Peut être un peu trop, justement…
Un soir, en rentrant chez elle, elle trouva les rideaux tirés, les lumières tamisés, et Draco assis dans un fauteuil.
- Un rien mélodramatique dis moi… avait-elle sourit, mais c'était avant de voir le sérieux qu'arborait Draco, et qui n'augurait rien de bon. Quelqu'un est mort ? s'inquiéta t-elle.
- Je vais partir… se contenta Draco.
- Quoi ?
- Je vais partir, répéta Draco, en se levant du fauteuil.
- Ca j'avais compris, je te remercie. Pourquoi est ce que tu veux partir, et où surtout ? tu comptes encore me quitter, et me laisser toute seule, c'est ça ? s'irrita Hermione, la gorge nouée.
- Tout ça va un peu trop vite Hermione, les cours, nous, notre relation… Tout cela prend un tournant qui m'effraie, te…
- Je croyais que tu m'aimais ! lui reprocha t-elle.
- C'est le cas, mais ça n'a rien à voir…
- Au contraire, ça a tout à voir ! Si vraiment tu m'aimais, tu ne me quitterais pas comme ça, quand bon te semble. Si tu tenais un tant soit peu à moi, tu me demanderais mon avis avant de prendre une telle décision… Mais tu sais quoi, s'empressa t-elle d'ajouter alors qu'il allait répliquer, je m'en moque. Pars si ça te chante, ça m'est égale !
Avant même qu'il n'ajoute un mot, elle avait quitter la pièce. Draco laissa échapper un soupir et se laissa retomber dans le fauteuil.
A suivre…
Et la en lisant la fin ej me rend compte que vous n'allez pas être contente, car je n'ai pas fait un seul chap entier où tout va bien et où ils sont ensemble.. et la suite n'en sera que pire.. enfin voilà, j'espère que vous avez aimé, et vous souhaite bon week-end ! je posterai la suite dès mardi en fin d'aprem, voilà ! a bientot
