Désolé si j'ai pris autant de temps avant d'updater, blamez les examens et les travaux ! Question du jour (ou du chapitre plutot): Est-ce que Max devrait crever? Parce qu'il pourrait être juste gravement blessé. À vous de décider! Ce chapitre-ci, c'est un peu juste de la torture... et du viol. Il fallait que je me défoule! Mais c'est pas trop sanglant, comme ; il pèla sa peau avec une pèle-patate. Ni; il enfonca sa bite dans l'anus de Ray (non non, c'est pas tant décrit!) C'est plus subtil! Mais je sais plus comment continuer... Je pensais faire crever Kai dans une couppe de chapitre, mais vous m'en voudriez beaucoup! Ou je pourrais terminer en lemon... On verra! Alors bon, nous y voila. Bonne lecture!
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Le poignard glissa sur la peau de Ray, suivi d'un coup de genou fortement envoyé à son ventre. Le jeune garcon s'écrasa sur un sol, le souffle coupé, le coup l'empechant de gémir. La terreur se lisait dans son regard, sur un visage contorsionné par la douleur. Boris rit, une joie sadique éclairant son visage masqué alors qu'il se penchait sur le chinois en faisant danser l'object pointu au-dessus de sa tête.
Les minutes qui suivirent furent les plus horribles de la vie de Ray et certaines des plus douloureuses de Kai. Ce dernier hurlait, désespérant au rythme des coups de couteaux, hurlant au son des gémissements de Ray, frappant la vitre alors que Boris abattait un fouet sur le jeune garcon. Le cruel bourreau prenait un malin plaisir à observer le visage du garcon qui exprimait une douleur jusqu'à la ignoré. Les coups de pied et de poing agrémentait les giclements de sang, laissant Ray trembler de douleur. Chacun de ses cris et gémissements ajoutait à l'impuissance que Kai ressentait de derrière sa vitre de verre. La respiration saccadée du chinois, ses pleurs étouffés, le suivaient alors qu'il était projeté contre le mur, et là seulement, sembla perdre connaissance.
Boris recula lentement, tourna un visage cruellement amusé vers Kai, qui fixa ses yeux agrandies par le desepoir sur la personne à laquelle il vouait une haine éternelle. La rage illumina son regard et son poing s'abattit sur la vitre alors que les injures fusaient de sa bouche, déformant son visage par la haine alors qu'il crachait des paroles que Boris ne pouvait bien entendre de l'autre coté de la vitre. L'homme masqué se retourna, se penchant sur le corps inaminé, le secouant faiblement. Ray était écraser sur le sol, à plat ventre sur la pierre glacé.
- Releve-toi ou tu crèves, lui lanca Voltaire de l'autre bout de la piece ou il se tenait appuyé contre le mur tel que le faisait habituellement son petit-fils. Son regard absorbait avec délice le desepoir de Kai. Contre toute attenta, Ray remua légérement.
S'appuyant sur ses mains meurtries, il tenta de se relever avec peine. Ses jambes blessées tremblèrent quelques instants sous le poids de son corps lacéré avant de fléchir à nouveau. Ray bascula vers l'avant et s'effondra sur ses genoux, le sol froid entrant douloureusement en contact avec ses multiples cicatrices. Il se retrouva à quatre pattes, la douleur répartie entre ses paumes presque dénudées de peau et ses genoux recouverts de coupures ensanglantées. Ses bras vidés de trop de sang lâchèrent prise et Ray s'écroula à plat ventre sur le sol glacé, baignant dans son propre sang. Il ne sentait presque plus la douleur tant elle était forte. Son corps était couvert de nombreuses traces de fouet et de nombreuses foulures et côtes brisés le rendait d'autant plus inapte se défendre contre l'homme qui se penchait à présent sur lui, un sourire satisfait au coin des lèvres. Les yeux félins de Ray rencontrèrent le regard malfaisant de Boris, qui ne semblait pas prêt à abandonner la partie de sitôt.
-Alors, tu ne désire pas céder ta place à Kai?, demanda t'il d'une voix glaciale.
Ray le fixa d'un air à la fois têtu et empli de douleur, comme celui d'un brave soldat avant sa mort, relevant à peine sa tête du sol ou il restait étendu, incapable de bouger.
- Non, répondit-il dans un souffle.
Se visage se crispa à ce simple mot qui semblait lui avoir prit toutes ses forces. Il laissa retomber sa tête sur la pierre froide, fermant les yeux dans un ultime effort de chasser la douleur.
" Dommage " répondit cruellementBoris, tournant son regard amusé vers la vitre de verre. " Regarde bien Kai, et après ca, tu me diras si tu t'entêtes toujours à ne pas entrer dans l'équipe de ton grand-père. " Amusé, Voltaire eut un sourire satisfait, posant son regard malfaisant sur son petit-fils.
À ces mots, ce dernier frappa à nouveau contre la vitre, se mettant à hurler, l'air désespéré. Boris l'ignora, tournant son cruel regard sur le blessé, qui respirait avec difficulté. La douleur se lisait sur chaque trait de son visage, ses yeux fortement fermés, son visage, crispé. Ray était maintenant à demi recroquevillé sur lui-même, les bras autour de son ventre ou un hématome se formait lentement, ses côtes brisés se faisant cruellement ressentir. Boris le regarda d'un air amusé et se pencha sur sa victime, agrippant son pantalon à moitié déchiré et mouillé de sang. Il le baissa brusquement, ne tenant pas compte du gémissement de douleur de Ray, dont les jambes lacérés collaient au vêtement. Le bas de son corps était nu à présent et Ray eut un tremblement en devinant les intentions deBoris.
" Nooon... ", gémit-il en entendant la ceinture de Boris tomber sur le sol avec un bruit métallique, alors que Voltaire se mit à rire. Ray n'avait même plus la force pour tenter de se relever ou de se débattre, mais de toute façon, il ne savait que trop bien que 'aurait été inutile. Chaque mouvement doublait la douleur qu'il ressentait déjà et il resta donc immobile, les yeux toujours fermés comme si cela pouvait diminuer l'horreur de la situation. Il ne fallut que quelques secondes de cette pénible attente avant que Boris ne se mette à son acte indécent, pénétrant violemment sa victime, ses proportions d'homme mur cruellement plus grandes que celles encore enfantines de Ray. Ce dernier hurla de douleur, son visage exprimant l'horreur d'un enfant qui ne comprend pas ce qui lui arrive. Ses yeux étaient maintenant grands ouverts, montrant un désespoir inouï. A ce viol s'ajoutait son corps blessé, dont chaque blessure se faisait douloureusement ressentir à chacune des fortes pénétrations de Boris.
" Kaaaiii!!! " Ray hurla plus fort que ses côtes brisés ne lui permettaient, amplifiant la douleur. Pourtant, il ne pouvait s'empêcher de pousser des cris de désespoir, appelant l'aide qu'il ne pouvait avoir. Il ne cria que deux fois, la deuxième plus forte que jamais. Un cri mêlée d'atroce douleur, palpable et d'ultime désespoir. Le cri que pousse quelqu'un avant de tomber de la falaise. " KAAAIII!!! "
Ce dernier se jeta de tout son poids sur la vitre, se mettant à la frapper plus fort que jamais avec ses poings. Ses hurlements se firent nettement entendre, même de l'autre côté de l'épaisse vitre.
" RAY!!! NOOON!!!RAAAAAAAAY!!!! "
Il hurlait au meurtre, le visage ravagé par la colère, le désespoir, la douleur, la culpabilité... Tant d'émotions sur ce petit visage déformé par l'horreur, creusé par l'horrible impuissance qu'il ressentait. Il aurait tout donné pour pouvoir se jeter sur Boris, lui arracher son coeur de pierre animé uniquement par la haine. Pour pouvoir arracher Ray à ses griffes et s'il le fallait, prendre sa place.
C'est la que Boris se releva, riant aux éclats comme si cette torture avait été une partie de plaisir. Et elle l'était pour cet homme ignoble, sans pitié, que seule la cruauté faisait vivre. Il se tourna vers Kai, tout sourire.
- Pauvre petit, il n'a même plus la force de hurler. Et dire que tu n'as rien pu faire pour le sauver.
Boris secoua la tête, laissant la parole à Voltaire qui s'avanca vers la vitre.
- Ce n'est pas pour dire que tu as beaucoup essayé... Il compte si peu pour toi, ce Ray?
Les yeux de Kai étincelaient de rage.
- TA GUEULE!!!
- Oh, ne te fâches pas, mon cher petit-fils. Tu vas pouvoir l'avoir dans tes bras dans quelques minutes...
Il posa son regard quasi-satanique sur Ray, qui ne bougeait plus d'un poil, semblant inconscient.
" - À moins bien sur que Boris le tue... Je ne lui laisse la vie que si tu acceptes de revenir.
Kai sembla plus désespéré jamais et se jeta à bout de forces contre la vitre, hurlant
- D'accord!!! Je le ferais!!! MAIS LAISSE-LE!!!
Un sourire satisfait s'afficha sur les lèvres de Voltaire. Il se tourna vers Boris.
- Prend le mome et met le derrière la vitre avec mon imbécile de petit-fils. Laisse-les seuls une heure ou deux avant de foutre le blessé dehors. Je veux que Kai puisse palper ses regrets.
Il se tourna vers Kai.
- Ton entrainement commence ce soir.
Sur ce, il tourna les talons et s'en fut d'un pas vif, éclatant d'un rire malveillant. Le temps sembla se figer alors que Voltaire et Boris quittait la pièce, laissant un homme vêtu de noir soulever sans trop de grâce le corps inerte de Ray et se poster devant la vitre qui s'ouvrait lentement. Il projeta le jeune homme dans la cellule et quitta à son tour la pièce empregnée de douleur.
- Ray!!!
Kai attrapa son ami de justesse alors qu'il s'écrasait dans ses bras.
- Ray...
Kai se retrouva assis, avec dans ses bras la personne la plus chère à ses yeux. Ce dernier était affalé contre le corps de son partenaire et était encore à demi-conscient. Son corps se secouait fébrilement, les épaules se relevant au rythme des sanglots qu'il ne pouvait contenir. Il pleura chaudement, le visage enfoui contre la poitrine de Kai qui l'entourait de ses bras forts. Ses dernières forces lui servirent à pleurer alors que le capitaine versait des larmes silencieuses, la tête sur celle de son précieux ami. Leur desespoir emplit la pièce durant ces quelques minutes avant que Ray ne s'endorme, à bout de forces, laissant Kai seul avec l'horrible réalité; il ne pouvait rien faire à part voir son ami mourir sous ses yeux. Par sa seule et unique faute.
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Eh bien, c'est ca là... Quant au reste, eh bien j'en sais trop rien! Je vais improviser (J'ai kan même une petite idée) a part si vous avez des idées et des suggestions. Pauvre Ray... Yach, y'a des jours ou je me déteste! Je ne sais pas non plus si Ray va mourir ou pas. Verdict? Je sais que ce chapitre c'était juste du viol de la torture mais il le fallait bien. L'histoire n'est pas encore fini!
p.s désolé, j'ai pas pu faire de réponses aux reviews ce chapitre-ci, mais je me rattraperez au prochain!
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Le poignard glissa sur la peau de Ray, suivi d'un coup de genou fortement envoyé à son ventre. Le jeune garcon s'écrasa sur un sol, le souffle coupé, le coup l'empechant de gémir. La terreur se lisait dans son regard, sur un visage contorsionné par la douleur. Boris rit, une joie sadique éclairant son visage masqué alors qu'il se penchait sur le chinois en faisant danser l'object pointu au-dessus de sa tête.
Les minutes qui suivirent furent les plus horribles de la vie de Ray et certaines des plus douloureuses de Kai. Ce dernier hurlait, désespérant au rythme des coups de couteaux, hurlant au son des gémissements de Ray, frappant la vitre alors que Boris abattait un fouet sur le jeune garcon. Le cruel bourreau prenait un malin plaisir à observer le visage du garcon qui exprimait une douleur jusqu'à la ignoré. Les coups de pied et de poing agrémentait les giclements de sang, laissant Ray trembler de douleur. Chacun de ses cris et gémissements ajoutait à l'impuissance que Kai ressentait de derrière sa vitre de verre. La respiration saccadée du chinois, ses pleurs étouffés, le suivaient alors qu'il était projeté contre le mur, et là seulement, sembla perdre connaissance.
Boris recula lentement, tourna un visage cruellement amusé vers Kai, qui fixa ses yeux agrandies par le desepoir sur la personne à laquelle il vouait une haine éternelle. La rage illumina son regard et son poing s'abattit sur la vitre alors que les injures fusaient de sa bouche, déformant son visage par la haine alors qu'il crachait des paroles que Boris ne pouvait bien entendre de l'autre coté de la vitre. L'homme masqué se retourna, se penchant sur le corps inaminé, le secouant faiblement. Ray était écraser sur le sol, à plat ventre sur la pierre glacé.
- Releve-toi ou tu crèves, lui lanca Voltaire de l'autre bout de la piece ou il se tenait appuyé contre le mur tel que le faisait habituellement son petit-fils. Son regard absorbait avec délice le desepoir de Kai. Contre toute attenta, Ray remua légérement.
S'appuyant sur ses mains meurtries, il tenta de se relever avec peine. Ses jambes blessées tremblèrent quelques instants sous le poids de son corps lacéré avant de fléchir à nouveau. Ray bascula vers l'avant et s'effondra sur ses genoux, le sol froid entrant douloureusement en contact avec ses multiples cicatrices. Il se retrouva à quatre pattes, la douleur répartie entre ses paumes presque dénudées de peau et ses genoux recouverts de coupures ensanglantées. Ses bras vidés de trop de sang lâchèrent prise et Ray s'écroula à plat ventre sur le sol glacé, baignant dans son propre sang. Il ne sentait presque plus la douleur tant elle était forte. Son corps était couvert de nombreuses traces de fouet et de nombreuses foulures et côtes brisés le rendait d'autant plus inapte se défendre contre l'homme qui se penchait à présent sur lui, un sourire satisfait au coin des lèvres. Les yeux félins de Ray rencontrèrent le regard malfaisant de Boris, qui ne semblait pas prêt à abandonner la partie de sitôt.
-Alors, tu ne désire pas céder ta place à Kai?, demanda t'il d'une voix glaciale.
Ray le fixa d'un air à la fois têtu et empli de douleur, comme celui d'un brave soldat avant sa mort, relevant à peine sa tête du sol ou il restait étendu, incapable de bouger.
- Non, répondit-il dans un souffle.
Se visage se crispa à ce simple mot qui semblait lui avoir prit toutes ses forces. Il laissa retomber sa tête sur la pierre froide, fermant les yeux dans un ultime effort de chasser la douleur.
" Dommage " répondit cruellementBoris, tournant son regard amusé vers la vitre de verre. " Regarde bien Kai, et après ca, tu me diras si tu t'entêtes toujours à ne pas entrer dans l'équipe de ton grand-père. " Amusé, Voltaire eut un sourire satisfait, posant son regard malfaisant sur son petit-fils.
À ces mots, ce dernier frappa à nouveau contre la vitre, se mettant à hurler, l'air désespéré. Boris l'ignora, tournant son cruel regard sur le blessé, qui respirait avec difficulté. La douleur se lisait sur chaque trait de son visage, ses yeux fortement fermés, son visage, crispé. Ray était maintenant à demi recroquevillé sur lui-même, les bras autour de son ventre ou un hématome se formait lentement, ses côtes brisés se faisant cruellement ressentir. Boris le regarda d'un air amusé et se pencha sur sa victime, agrippant son pantalon à moitié déchiré et mouillé de sang. Il le baissa brusquement, ne tenant pas compte du gémissement de douleur de Ray, dont les jambes lacérés collaient au vêtement. Le bas de son corps était nu à présent et Ray eut un tremblement en devinant les intentions deBoris.
" Nooon... ", gémit-il en entendant la ceinture de Boris tomber sur le sol avec un bruit métallique, alors que Voltaire se mit à rire. Ray n'avait même plus la force pour tenter de se relever ou de se débattre, mais de toute façon, il ne savait que trop bien que 'aurait été inutile. Chaque mouvement doublait la douleur qu'il ressentait déjà et il resta donc immobile, les yeux toujours fermés comme si cela pouvait diminuer l'horreur de la situation. Il ne fallut que quelques secondes de cette pénible attente avant que Boris ne se mette à son acte indécent, pénétrant violemment sa victime, ses proportions d'homme mur cruellement plus grandes que celles encore enfantines de Ray. Ce dernier hurla de douleur, son visage exprimant l'horreur d'un enfant qui ne comprend pas ce qui lui arrive. Ses yeux étaient maintenant grands ouverts, montrant un désespoir inouï. A ce viol s'ajoutait son corps blessé, dont chaque blessure se faisait douloureusement ressentir à chacune des fortes pénétrations de Boris.
" Kaaaiii!!! " Ray hurla plus fort que ses côtes brisés ne lui permettaient, amplifiant la douleur. Pourtant, il ne pouvait s'empêcher de pousser des cris de désespoir, appelant l'aide qu'il ne pouvait avoir. Il ne cria que deux fois, la deuxième plus forte que jamais. Un cri mêlée d'atroce douleur, palpable et d'ultime désespoir. Le cri que pousse quelqu'un avant de tomber de la falaise. " KAAAIII!!! "
Ce dernier se jeta de tout son poids sur la vitre, se mettant à la frapper plus fort que jamais avec ses poings. Ses hurlements se firent nettement entendre, même de l'autre côté de l'épaisse vitre.
" RAY!!! NOOON!!!RAAAAAAAAY!!!! "
Il hurlait au meurtre, le visage ravagé par la colère, le désespoir, la douleur, la culpabilité... Tant d'émotions sur ce petit visage déformé par l'horreur, creusé par l'horrible impuissance qu'il ressentait. Il aurait tout donné pour pouvoir se jeter sur Boris, lui arracher son coeur de pierre animé uniquement par la haine. Pour pouvoir arracher Ray à ses griffes et s'il le fallait, prendre sa place.
C'est la que Boris se releva, riant aux éclats comme si cette torture avait été une partie de plaisir. Et elle l'était pour cet homme ignoble, sans pitié, que seule la cruauté faisait vivre. Il se tourna vers Kai, tout sourire.
- Pauvre petit, il n'a même plus la force de hurler. Et dire que tu n'as rien pu faire pour le sauver.
Boris secoua la tête, laissant la parole à Voltaire qui s'avanca vers la vitre.
- Ce n'est pas pour dire que tu as beaucoup essayé... Il compte si peu pour toi, ce Ray?
Les yeux de Kai étincelaient de rage.
- TA GUEULE!!!
- Oh, ne te fâches pas, mon cher petit-fils. Tu vas pouvoir l'avoir dans tes bras dans quelques minutes...
Il posa son regard quasi-satanique sur Ray, qui ne bougeait plus d'un poil, semblant inconscient.
" - À moins bien sur que Boris le tue... Je ne lui laisse la vie que si tu acceptes de revenir.
Kai sembla plus désespéré jamais et se jeta à bout de forces contre la vitre, hurlant
- D'accord!!! Je le ferais!!! MAIS LAISSE-LE!!!
Un sourire satisfait s'afficha sur les lèvres de Voltaire. Il se tourna vers Boris.
- Prend le mome et met le derrière la vitre avec mon imbécile de petit-fils. Laisse-les seuls une heure ou deux avant de foutre le blessé dehors. Je veux que Kai puisse palper ses regrets.
Il se tourna vers Kai.
- Ton entrainement commence ce soir.
Sur ce, il tourna les talons et s'en fut d'un pas vif, éclatant d'un rire malveillant. Le temps sembla se figer alors que Voltaire et Boris quittait la pièce, laissant un homme vêtu de noir soulever sans trop de grâce le corps inerte de Ray et se poster devant la vitre qui s'ouvrait lentement. Il projeta le jeune homme dans la cellule et quitta à son tour la pièce empregnée de douleur.
- Ray!!!
Kai attrapa son ami de justesse alors qu'il s'écrasait dans ses bras.
- Ray...
Kai se retrouva assis, avec dans ses bras la personne la plus chère à ses yeux. Ce dernier était affalé contre le corps de son partenaire et était encore à demi-conscient. Son corps se secouait fébrilement, les épaules se relevant au rythme des sanglots qu'il ne pouvait contenir. Il pleura chaudement, le visage enfoui contre la poitrine de Kai qui l'entourait de ses bras forts. Ses dernières forces lui servirent à pleurer alors que le capitaine versait des larmes silencieuses, la tête sur celle de son précieux ami. Leur desespoir emplit la pièce durant ces quelques minutes avant que Ray ne s'endorme, à bout de forces, laissant Kai seul avec l'horrible réalité; il ne pouvait rien faire à part voir son ami mourir sous ses yeux. Par sa seule et unique faute.
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Eh bien, c'est ca là... Quant au reste, eh bien j'en sais trop rien! Je vais improviser (J'ai kan même une petite idée) a part si vous avez des idées et des suggestions. Pauvre Ray... Yach, y'a des jours ou je me déteste! Je ne sais pas non plus si Ray va mourir ou pas. Verdict? Je sais que ce chapitre c'était juste du viol de la torture mais il le fallait bien. L'histoire n'est pas encore fini!
p.s désolé, j'ai pas pu faire de réponses aux reviews ce chapitre-ci, mais je me rattraperez au prochain!