Salut! J'espère que je ne vous ai pas fais trop attendre. Quelques personnes trouvent que je coupe à des place où je ne devrait pas couper, c'est seulement pour garder un peu de suspense ET certains trouvent que je ne publie pas assez souvent. Il y a trois raisons :

1) Laissez-moi le temps d'écrire (je vous jure que c'est assez difficile avec l'école et je dois dire qu'avec tout ce qui m'est arrivé durant octobre, je n'ai pas eu beucoup de temps pour moi.)

2) Je n'ai pas Internet chez moi. Alors il faut soi que je me connecte à l'école ou à la biblio

3) Je suis dans une période d'examens –soupir de découragement et de fatigue-

4) NUNUCHE (c'est pas une raison mais c'est drôle à dire)


Réponses au rewiews

Lilith : Merci! Merci! Merci! Merci! MERCI! Tu m'encourage à continuer!

Onarluca : Voici la suite des aventures – ou plutôt des mésaventures- de Harry.

Petite Sorcière : Tu as trouvé ça amusant la défenestration de Peter. Harry n'a pas fini de faire des gaffes...

Greg : Merrrrci! Et maintenant voilà la suite!!!


Avertissement : Un personnage (devinez lequel) a été maltraité par une table et une cheminée durant se chapitre.

Disclaimer : Proverbe du jour----Lorsque les Trolls seront intelligents, Harry m'appartiendra...

Le début de mon chapitre –qui est très absurde d'ailleurs- m'a été inspiré par amie, Marie-Anne et son proverbe poche : Lorsque les cochons volent bas, les patates sont bonnes. C'est du Marie-Anne tout craché ça!!!


Chapitre 5 : Hogwarts! Hogwarts!

- Lorsque les cochons volent bas, les patates sont bonnes! dit Draco Malefoy

Un cochon ailé fonça droit sur Harry et vola en rase-mottes au-dessus d'un desert. C'est alors que le sable se metamorphosa en champ où poussaient...des patates. Malefoy se pencha et en sortit une de la terre. Mais la pomme de terre se transforma aussitôt en un espèce de réplique végétale d'une femme brune avec...attends une minute!

- Draco! C'est une Mandragore! cria Harry

Mais à peine eut-il fini de dire cette phrase que la plante se mit à pousser une plainte épouvantable. Draco tomba aussitôt sous le choc et Harry lui-même se sentit emporté vers un autre monde...de draps blancs. C'était seulement un rêve. Le cri que la Mandragore poussait dans son rêve résonnait encore à ses oreilles. En fait, le bruit ne venait pas du tout de sa tête, il semblait venir de sa commode. On aurait dit une bouilloire...

- Le scrutoscope?!

Harry se leva et allait voir l'objet lorsque son père fit irruption dans sa chambre.

- Veux-tu bien faire taire ce machin! dit brusquement son père. On l'entends jusqu'en bas.

- Ah euh oui. Bien sûr...

- James! Viens voir!

Pettigrew était là ce matin. Drôle de coïncidence que le scrutoscope devienne complètement fou en sa présence. Il décida de ne pas s'en occuper (pour l'instant) et de mettre l'objet dans le fond de son garde-robe, dans une boîte de souliers enterrée de vêtements. En relevant la tête, il s'aperçut qu'il était déjà neuf heures et que, on était le premier septembre! Où avait-il mit son billet? Il se mit à vider tous ses tiroirs et à tout jeter à terre. Il fallait qu'il le retrouve.

- Harry?! Qu'est-ce que tu là!!! s'écria sa mère.

- Je cherche mon billet de Hogwarts! Je l'ai perdu, dit précipittement Harry tout en continuant de vider ses tiroirs de leur contenu.

- Ça? dit sa mère brandissant une enveloppe sous le nez de Harry.

Celui-ci prit l'enveloppe d'un geste lent, pensant soudainement qu'il avait l'air fou une fois de plus. Il se souvenait plus ou moins qu'il avait donné son billet à sa mère car il avait tendance à égarer ses choses. En même temps, le souvenir de l'oncle Vernon le ruant de coups revint également. Ça devait s'être passé à peu près le même jour. Un mal de tête pris soudainement Harry. Comme il en avait l'habitude, il frotta sa cicatrice mais il sentit son front lisse sous sa main. Non, il n'avait plus de cicatrice. Il avait plutôt mal à la tête à cause des deux souvenirs contradictoires qui lui était venu en même temps. Un frisson lui parcouru le dos.

- Tu as une mine épouvatable. Tu te sens bien? Ne me réponds même pas, tu me donnera la même réponse que d'habitude. En tout cas, n'égare pas ton billet d'ici onze heures. Ton père et Peter vont aller te reconduire à la gare vers onze heures moins quart, alors dépêche toi, lui dit sa mère avec un sourire moins grand que d'habitude.

Après une douche rapide, il descendit prendre un petit déjeuner (toasts dorées) et remonta faire sa valise.

- Failamalle! dit Harry pointant sa baguette sur sa malle.

Ses vêtements s'élevèrent du plancher pour aller se poser dans la malle, a peu près en ordre. En fait, le seul fait qu'il soit en un même endroit faisait plus ordonné qu'éparpillés sur le plancher. Même un T-shirt solitaire sortit d'un tiroir pour aller s'écraser dans la nuque de Harry. Après avoir trainé ou plutôt échappé sa malle dans les escaliers, il alla attendre à la cuisine que son père et...lui, aient fini de jouer leur partie d'échec. Étonnamment, James remporta une victoire en quelques tours seulement. Harry se demandait comment ça se faisait que Pettigrew soit capable de jouer mais il ravala son commentaire.

- Viens Harry! Nous allons à la gare!

- Je t'attends à la porte depuis dix bonnes minutes déjà, dit Harry.

- On part par poudre de cheminette au Chaudron et ensuite on va en bus à la gare.

Harry poussa un soupir de découragement tout en trainant sa valise qui devait bien peser une...tonne.

- Locomotor Barda!

Ça serait beaucoup plus facile ainsi. Harry s'avança vers la cheminée priant pour ne pas être malade comme la dernière fois. Prenant une poignée de poudre scintillante il entra dans l'âtre avec sa valise qui le suivait toujours. Il fut emporté par l'habituel torrent de flammes et arriva debout pour une fois, dans un pub miteux. Non. Réflexion faite, il n'était pas si miteux que ça. La tête de Sanglier est 100 fois pire que ça.

- Yahoooo! s'exclama James en arrivant. J'adore prendre la cheminée. Pas toi Harry?

- Oh! Euh...oui, répondit Harry peu enthousiaste.

Peter arriva peu après eux et de manière beaucoup moins gracieuse. Il fut projeté hors de l'âtre et atterri le visage dans une table. James se précipita vers lui et Harry réprima un éclat de rire.

« Bien fait pour lui! »

-Harry! Viens m'aider à le relever s'il te plait.

Il s'avança et empoigna le bras gauche de Queudver même s'il lui répugnait de le faire. L'homme, le traitre, la chose, appellez le comme vous voulez (ça paraît que je le déteste) fit une gimace de douleur car Harry avait, sans faire exprès évidemment, serré un peu trop fort. L'ayant assi sur une chaise, James soigna ses ecchymoses et il partirent aussitôt du pub pour embarquer dans un autobus moldu.

- 5 livres, dit machinalement le chauffeur.

- Tenez, dit James tendant un billet de vingts livres au chauffeur qui ouvrit des yeux ronds.

Alors qu'il allait s'en emparer, Harry lui prit des mains.

- Papa! C'est un billet de 20 livres. Tu dois lui donner celui où il y a un 5 dessus, dit exaspérément Harry.

- Ah! Euh oui tu as raison, fit James tendant un billet de cinq cette fois.

Lorsqu'il furent assis à l'arrière comlètement du bus James se tourna vers son fils.

- Depuis quand sait tu te servir d'argent Moldu?

- Je...j'ai...j'ai seulement utilisé la logique. Si il y a un 5 sur le billett c'est qu'il vaut 5 livres et...c'est ça.

- Ah! Il servent donc à ça les chiffres sur les billets.

Le reste du trajet se déroula sans qu'un seul mot soit échangé. Lorsqu'il arrivèrent à la gare, tous les trois débarquèrent et se firent leurs adieux en avant de la bâtisse.

- Salut Harry! Passe une belle année, fait attention à toi, ne fait pas de mauvais coups, sois...-

- C'est maman qui t'as demandé de me dire tout ça?

- Euh...oui, j'avoue.

- Bye et je vais pense bien revenir à Noël.

- Parfait!

Harry se détourna et entendit un léger couinement dérrière lui. Comme il savait de qui il provenait, il ne revint même pas sur ses pas et continua en direction de la barrière qu'il passa en courant. Comme à chaque année, il se demandait comment les Moldus faisaient pour ne rien voir. Il repéra Ron sur le quai. Après une rapide vérification dans sa mémoire pour voir s'il était réellement ami avec lui, il alla à sa rencontre.

- Hé Ron!

- Harry! Je te cherchais justement. Viens, il y a un compartiment de libre là-bas.

Alors qu'ils inatallaient leurs effets personnels dans le filet à bagages, la porte du compartiment s'ouvrit.

- Qu'est-ce que tu fais là toi? dit dédaigneusement Ron.

Harry se retourna, croyant que c'était Draco Malfoy ou Pansy Parkinson mais il se retrouva devant une Hermione rouge jusqu'aux oreilles qui regardait le bout de ses chaussures.

- Je...euh...il n'y plus de place ailleurs qu'ici alors...eh bien...je me demandais si je pouvais m'installer ici.

- Certainement...

- ...pas!

Harry se retourna vivement du côté de Ron. Venait-il de dire ce qu'il pensait? Euh...un souvenir troublant fit surface. En fait, ce n'était pas réellement un souvenir mais plutôt une absence de souvenir. Il était complètement incapable de se rappeller Hermione à part quelques fois où il...avait été assez...méchant avec elle. Dans les quelques souvenirs qu'il avait d'elle, elle lui faisait plutôt penser à Luna Lovegood. Excepté que cette dernière faisait un peu exprès pour s'attirer les moqueries tandis qu'Hermione ne faisait rien pour mériter se traitement. Le train se mit en marche.

- Ron. S'il n'y a plus de place, on pourrait peut-être la laisser s'installer –Ron ouvrit la bouche pour protester mais Harry lui pila sur le pied- sur le banc en face et nous sur l'autre. Tu n'aura pas à lui parler.

Hermione regardait Harry avec des yeux ronds. Elle ne se serait jamais attendu à ça de lui. Ça ne lui ressemblait pas après tout.

« Oh! Je vois. Ils veulent me faire un coup je suis sûre. » pensa-t-elle. »

- Inquiète toi pas. On ne et fera pas de coup, dit Harry en voyant le regard suspicieux de son amie.

« Mmm...ouais. Je n'ai pas vraiment le choix d'accepter son offre. »

Pour toute réponse, Hermione posa sa valise dans le filet, ce qui arracha une exclamation à peine retenue de Ron. Décidément il n'était pas plus subtil qu'avant. Harry s'assit à côté de Ron et Hermione s'assit à côté de la cage d'Hedwige, qui la regarda de ses grands yeux d'ambre. Un silence lourd tomba sur les trois sorciers. Silence qui n'était rompu que par les soupir de Ron et les reniflements d'Hermione qui, de toute évidence se retenait pour ne pas fondre en larmes devant le dédain de Ron.

A/N : Dsl. J'ai eu plein d'examen cette semaine et je n'ai pas eu le temps de finir, alors je vous donne ce que j'ai de fait. J'essairai de publier la suite le plus tôt possible, lorsque j'aurai du temps, car ça brasse pas mal autour de moi, tant à l'école qu'ailleurs. Dsl Lilith de te faire attendre.

Shadows ; - )