Bonjour à tous! Pour me faire pardonner, voici un autre chapitre, et beaucoup plus rapidement cette fois ci! Il était temps que nos deux merveilleux fantastiques géniales tourtereaux commencent à se dirent les vraies affaires. Et bien voici, fidèle à moi-même, un merveilleux chapitre plein de romantisme (modestie whippet modestie!) Un chapitre romantique? (là c'est mieux…) Merci encore et toujours à mes fidèles lecteurs et reviewers (parce que des fois les gens lisent mais ne laissent pas de review…Laissez nous des commentaires svp! Faite passer le mots! )
Et bien, pour ce qui est de ma fidèle palme d'or pour le plus long et le plus touchant review…je dois dire que KaTh-BlAcK a sérieusement remonté le peloton avec une review, ma foi, plutôt long et assez touchant mais je dois dire que, encore une fois, Guilderinette vole la vedette!
(Applaudissements frénétiques d'une foule en délire)
Je me suis rendu compte que je n'avais jamais mis de disclamer dans mes chapitres…je ne sais pas si c'est cruciale mais juste pour faire comme tout le monde, en voici un :
Disclamer : Certains personnages féminins de cette fic, on parle ici d'Hermione ainsi que certains personnages masculin, et on parle ici de Harry et de Ron, ne m'appartiennent pas. Ils sont tous à J.K. Rowling. (Whippet…tu n'oublis pas quelqu'un?) Non, pourquoi? Ha oui…grrrrrrrrr (un grr de frustration) un certain Draco…(pourquoi fallait-il que mon subconscient me le rappelle hein?) Il ne m'appartient pas non plus…snif snif. Pour le reste, histoire, lieux, perso, tout est à moi.
Bonne lecture!!!!!
Whippet!
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Chapitre 8. Lorsque le vent souffle…
Ils entrèrent, tous deux avec un léger sourire imprégné sur leurs lèvres. Draco, qui tenait encore Hermione par la main, se rendit compte qu'il était en compagnie d'une des plus jolie fille de Poudlard, et qu'il avait la chance de pouvoir l'observer à sa guise, sans qu'elle ne lui donne de baffe, ou quoi que ce soit d'autre. Son sourire s'élargit et son esprit fut envahi d'un sentiment de béatitude complète. Hermione, qui avait encore ses pensées embrouillées par le geste de Draco, si minime fut-il, marchait en direction de l'entrée du petit restaurant. L'air sentait bon les vacances et Draco dégageait encore et toujours cette odeur sublime. Il ne s'agissait pas de son gel à cheveux, remarqua-t-elle, car il n'en portait pas, mais bel et bien de son odeur à lui, de son odeur corporelle, fraîche et invitante.
Ils pénétrèrent dans le petit bistro. Mme. Easel, une vieille femme imposante mais qui rayonnait de par sa prestance, en apercevant Hermi, accourut aussitôt vers cette dernière et l'embrassa sur les deux joues. Elle remarqua aussi la présence du jeune homme aux yeux couleurs acier et aux cheveux plus que blond qui l'accompagnait.
-« Mais c'est fou comme ça peut faire longtemps que tu n'est pas venu me voir! Je pensais à toi dernièrement…Je suis tellement contente que tu sois là! »
-« Mais, Mme. Easel, je suis venu il y a deux semaines! Que vous disent vos cartes de ces temps-ci?»
-« La bonaventure est un art ma fille. Si tu veux, je t'en montrerai les bases une autres fois. Mais pour cela, il faudrait que tu viennes me voir plus souvent! Tu sauras, ma petite, que 2 semaines peuvent paraître des mois pour une vieille femme comme moi. Mais qui est donc ce jeune homme qui t'accompagne? » demanda la dame, avec une pointe de curiosité et d'envie.
-« Heu…C'est mon ami. Je l'héberge pour quelques jours. Est-ce que l'on pourrait avoir une table pour deux personnes, du côté non-fumeurs s'il vous plait? » dit Hermione, contente de revoir cette vieille femme qui lui réservait toujours une de ses meilleurs places, face à la fenêtre donnant sur la rue.
-« Mais pas avant que tu m'ais dit le nom de ce charmant jeune homme. Je te connais depuis ton enfance, ma jolie, et si tu emmènes un prétendant dans mon restaurant, et bien, je veux savoir de qui il s'agit. Personne n'est assez bien pour notre petite Hermy nationale. » dit l'imposante Mme. Easel, avec une voix maternel ainsi qu'un peu de sarcasme.
-« Si vous y tenez. Il s'appelle Draco. »
Lorsqu'il entendit Hermione prononcer son nom, il se retourna vers les deux femmes.
-« Oui, c'est ça, Draco Malfoy. Enchanté. »
-« Heummm. Un Malfoy. Je croyais que tu avais un peu plus de jugement, ma fille. Mais si il te rend heureuse…Bon, suivez moi. Je vous donne votre table. » termina Mme. Easel, qui retrouva aussitôt le sourire.
-« Nous ne sommes qu'amis. » répliquèrent les deux adolescents, tous deux en chuchotant pour eux-même. Pour le moment… fut la suite de leurs pensées.
Pendant sa petite conversation avec la vieille Mme. Easel, Hermione ne s'était même pas rendu compte qu'elle avait desserré l'étreinte de la main de Draco d'avec la sienne. Ils s'assirent, un peu moins joyeux, mais pas moins enthousiasme face au reste de la soirée.
-« C'est vraiment beau ici. Ça m'étonne que tu connaissent de si beaux endroits…Je te croyais plus du style bibliothèque. Mais je vois que je me suis royalement trompé sur ton compte. » commenca Draco.
-« Ça arrive des fois, à ma mère, d'être tanné de faire la cuisine. Ce n'est pas tout le monde qui a des elfes de maisons à son service. En parlant d'elfes de maison… »
-« Non! Je sais ce que tu va me dire…Dobby m'a déjà parlé de ta S.A.L.E… ou je pas trop quoi. »
-« Dobby te parle encore? C'est bizarre. Il voulait à tout pris fuir votre manoir. Il est libre…il fait ce qu'il veut. »
-« Je te ferai remarquer que ce n'était pas moi qui lui lançait des pierres par la tête…Mon père est le seul à faire ces trucs débiles. » répondit Draco, soudainement plus froidement.
-« Ne fais pas cette face là. On change de sujet. Je vois bien que ça te fait mal d'en parler. Je ne te forcerai pas à tout dire…si un jour tu veux, bien, je suis là. Ne l'oubli pas.
-« Je m'en souviendrai… »
La tournure de leur conversation changea du tout au tout à partir de ce moment. Ils parlèrent de leurs projets de vacances, de vie future, de leurs amis (Hermione tenta de monter Harry et Ron dans l'estime de Draco, mais rien à faire. Elle rencontra un mur…) Lui, il lui parla de Pansy, cette vieille folle qui lui collait au basque depuis son enfance.
-« Le problème, vois-tu, c'est que t'as l'air d'aimer ça… Une fille, quand tu lui en donne un peu, elle va en prendre le double. Je peux te dire que je suis totalement d'accord avec toi, Drakinouchet! C'est coome ça qu'elle t'appelle, non? hihihi…Ce qu'elle peut être collante! Elle ne te lâche pas d'une semelle, même dans les vestiaires de Quidditch! »
-« Ne m'appelle plus jamais, ô grand jamais, Drakinouchet. Compris? Et comment sais-tu qu'elle me suis jusque dans les vestiaires de Quidditch? On ne se pratique pas avec les Griffondors à ce que je sache!» demanda Draco, avec un sourire moqueur.
-« Heu…Je l'ai vu…je passais devant le stade…Oh et puis…qu'est-ce que j'ai à perdre? Harry m'avait demander d'observer vos pratiques afin qu'il puisse trouver votre faille…NON! Draco! J'ai rien dit d'intéressant. » dit Hermione, le rouge aux joue tandis que Draco, lui, voyait rouge.
-« Ha ce Potter…Il ne paie rien pour attendre! »
-« Pas tant que tu seras sous mon toit! »
Ce qu'il es beau quand il se fâche! Pensa Hermione. Cependant, Draco se retourna en sa direction, le cœur battant un peu plus fort…
-« J'ai pas dit ça tout haut??? » demanda Hermione, alors qu'une envie de s'enfouir 6 pieds sous terre l'imprégnait dans tout son corps. Faite qu'il n'ait rien entendu, pitier?
-« Oui. » fut la seule réponse que reçu Hermione.
-« Ha merde… » dit la belle brune, plus rouge qu'une tomate.
-« Mais ça ne me fait rien…c'est plutôt flatteur. Si ça peut te rassurer, moi aussi je te trouve belle quand tu te fâche. On est kit? » se risqua Draco, soudain plus à l'aise.
La nuit était tombée sur le petit quartier. Un vent chaud soufflait et faisait vaciller les flammes des petites bougies qui ornaient les tables. D'un commun accord, après qu'Hermione eut payer la facture (n/a Pas très galant notre Draki…mais il n'a pas un rond donc on peut bien lui pardonner…hihihi, mais on lui pardonne toujours! Surtout quand il est en caleçon…Whippet! Reviens sur terre…finit ton chapitre!)
Ils sortirent dans la rue pavée de briques. Une jolie fontaine trônait au centre de la place. Le petit bistro dégageait une faible lumière, mais juste assez pour aider les deux jeunes gens à voir où ils mettaient les pieds. Ils s'assirent sur le rebord de la fontaine. L'eau qui ruisselait donnait un merveilleux bruit de fond à cette soirée. Soudain, une musique envoûtante, charmante et invitante, qui provenait du restaurant avoisinant, traversa le silence de la nuit pour se rendre jusqu'aux oreilles des deux adolescents. Tous deux furent enveloppés par un sentiment d'allégresse intense.
Draco se leva, ce qui fit presque sursauter Hermione qui était perdu dans ses pensées, à contempler le ciel et l'homme qu'elle avait appris à aimer au fil des dernières années, à l'insu de celui-ci.
-« Tu veux danser? » demanda Draco, avec une assurance qu'il n'avait pas ressenti depuis fort longtemps.
-« Pourquoi pas? » répondit Hermione en se levant.
Il la prit par la taille, lentement, tout en la regardant droit dans les yeux. Elle, comme hypnotisée par la lueur que dégageait les yeux de Draco, enlaça le cou de ce dernier. Ils commencèrent à se laisser aller dans les bras l'un de l'autre, laissant sortir ainsi toutes leurs émotions à la surface. Ils s'enlacèrent un peu plus fort, jusqu'à sentir leurs cœur battre à l'unisson.
-« Tu es tellement belle » murmura Draco à l'oreille de la femme qu'il aimait.
Hermione se dégagea de l'étreinte. Elle se rendit compte alors qu'ils ne dansaient presque plus. Elle hésita une fraction de seconde puis lui dit
-« Draco…Je t'aime. »
C'est alors que leurs têtes se rapprochèrent, comme attirés l'une par l'autre. Leurs lèvres se touchèrent à peine, seulement un frôlement. Qui se serait contenter de seulement cela? Draco, impatient des lèvres d'Hermione, engagea un baiser plus long, plus passionné. Il le désirait depuis si longtemps! Hermione répondait à ses baisers, en redemandait. Pourtant, il s'arrêta à cet instant. Il s'était senti observé pendant quelques secondes.
-« Qu'est-ce qu'il y a? » demanda Hermione, soudain inquiète.
-« Oh, rien. Je peux te dire quelque chose moi aussi? »
-« Oui vas-y » répondit Hermione, qui enlaça de nouveau l'homme qui venait de l'embrasser comme jamais elle n'avait été embrassée.
-« Je t'aime » dit tout simplement Draco. Il avait prit tout son courage, avait surmonté tout ces principes d'homme afin de pouvoir dire sans hésiter c'est trois mots. Il l'embrassa encore une fois, doucement, sans se presser. Il venait de prendre conscience que son amour était réciproque. Il avait le goût d'aller le crier à tout le voisinage et même à cette drôle de bonne femme, cette Mme. Easel qu'Hermione aimait tant.
Et c'est cette même vieille femme qui avait causé le sentiment d'observation de Draco. Elle n'avait pu refouler son sentiment de curiosité face à sa petite Hermy, maintenant devenu grande. Elle l'avait toujours considéré comme sa propre fille. Et la voilà maintenant en train de vivre l'un des plus beaux moments de sa vie! Elle se fit la promesse à elle-même de ne jamais partager ce qu'elle avait vu cette nuit-là avec les parents de la jeune fille. Mme. Easel retourna à sa cuisine, un sourire un peu désolé dans le visage. Ses cartes magiques ne lui avaient rien présagé de bon face à cette union…mais elle décida de faire confiance au destin.
-« Bonne chance mes enfants. » murmura Mme. Easel à l'intention des jeunes gens qui quittaient la place à la recherche d'un taxi.
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Il s'écoula une bonne heure avant que les deux jeunes franchissent le cadre de porte. Il était minuit passé. Les parents d'Hermione les attendaient paisiblement, assit sur le canapé du salon. Lorsqu'ils entendirent la porte s'ouvrirent, ils se dirigèrent lentement vers leur fille et le jeune homme, l'air un peu déçu.
-« Hermy, où étais-tu? » demanda Gus, non pas sur un ton colérique mais plus de déception.
-« Au tournoi de tennis. Pourquoi? » dit Hermione.
-« Ne nous ment pas. J'ai trouvé les billets sur la couverture de ton lit. Pourquoi ne nous as-tu pas appelé? » demanda alors Carla, aussi déçu que sa fille puisse lui mentir.
-« Je me suis rendu compte que je les avais oubliés et on a décidé de faire autre chose au lieu de perdre notre temps ici à rien faire et de vous déranger, en plus, alors que vous étiez à votre réunion. » répondis Hermione, contrarié du fait que ses parents puisse lui gâcher sa soirée.
-« As-tu fait exprès de les oublier, Hermione? » demanda clairement son père.
-« Non papa. Je me suis rendu compte que je ne les avais pas quand on a voulu voir nos sièges et l »
-« C'est de ma faute Mr. Granger. C'est moi qui aie proposé de faire autre chose. Nous sommes allés nous promener en ville. Pas de drogue, d'alcool et tout ce qui va avec…je vous jure que l'on a tout respecté. »
Hermione regarda du coin de l'œil le nouveau Draco qui se trouvait à ses cotés. Il était presque soumis. Elle n'aimait guère ce genre de comportements mais elle devait avouer qu'il s'en tirait bien. Elle préférait quand il était un peu plus dur, et moins lèche-botte. Mais la situation le demandait.
Tout en le regardant, elle articula Merci avec ses lèvres, tandis que ses parents étaient plus occupé à livrer leurs états d'âmes qu'à observer les faits et gestes de leur fille.
Le jeune lui livra un regard qui voulais simplement dire De rien. Lorsqu'ils purent enfin monter à leur chambre respective, le serpentard regarda en direction de la belle griffondor. Ils se souhaitèrent une bonne nuit sans intonation spéciale car les parents de la jeune fille les suivaient de très près. Ils étaient autant sinon plus fatigué que les jeunes gens. Trop d'émotions en une même soirée.
Hermione se déshabilla et enfila son pyjama. Une paire de culotte courte en tissu léger ainsi qu'une petite camisole à brettelle fait dans le même tissus : d'un bleu poudre qui ne cachait pas son nombril, percé depuis seulement quelques jours. Elle entendit soudain résonner dans sa tête la voix de sa mère lui disant N'oublie pas tes dents.
-« Oui maman. » répondit pour elle-même Hermione, tout en se dirigeant vers la chambre de bain.
Lorsqu'elle ouvrit la porte, elle frappa inconsciemment un jeune homme blond qui se trouvait justement derrière.
-« Ouch! » chuchota Draco, pour ne pas réveiller les parents d'Hermione qui s'étaient endormis depuis peu.
-« Désol » répondit Hermione sur le même ton de voix.
-« Tu m'as assommé! Tu aurais pu faire attention. » dit Draco soudainement sur un ton plus moqueur.
Il regarda la jeune fille qui se situait droit devant lui. Ça lui va vraiment bien ce petit pyjama! Il approcha alors le visage d'Hermione et l'embrassa fougueusement.
-« Là! Tu es pardonné maintenant. » finit Draco.
-« Depuis quand as-tu le nombril percé? C'est vraiment sexy! » questionna Draco, avec un œil scrutateur.
-« Chut! Pas si fort! Mes parents pourraient entendre. » dit Hermione en tentant de cacher son piercing, au cas où son père ou sa mère aie une envie soudaine de venir aux toilettes.
-« Tes parents ne le savent pas? Heummm…ils finiront par le savoir un jour. Mais pour l'instant, je trouve ça plutôt sexy, donc ne le cache pas! » supplia Draco.
Hermione lâcha son pyjama et s'approcha un peu plus de son homme. Elle l'embrassa et celui-ci le lui rendit bien. Ils s'étreignirent jusqu'à en perdre le souffle. Dans le feu de l'action, Draco souleva Hermione et la déposa sur le comptoir. Ils continuèrent à s'embrasser passionnément. Ils lui donna de petits baisers dans le cou, derrière les oreilles…tellement heureux qu'elle, Hermione Granger, puisse aimer un être tel que lui, Draco Malfoy, celui qu'elle considérait comme son pire ennemi jusqu'à tout récemment.
Sur le fait, Carla entra dans la chambre de bain…
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Voilà! Un peu plus court comme chapitre mais je trouve que ma fin est un « tit » peu chiante…mais c'est la vie! Qu'est ce que vous voulez? Niark niark niark!
« La suite la semaine prochaine! » Ne vous gêner pas pour laisser des reviews! Je suis une vraie maniaque! Je vérifie presque à toutes les heures (quand je m'ennuie, on s'entend) si je n'ai pas eu de nouveaux reviews… (Obsédé la fille, trouve toi un passe-temps me dirai vous.) Ma sœur ne s'est pas gênée pour me dire que c'était cucu comme chapitre mais, mais mais mais mais…je l'ai envoyé paître dans les champs! Avec les moutons! Mouhahaha! Bon ça suffit les niaiseries!
REVIEWER! C'EST UN ORDRE! Heu…S'il vous plait? Ça serait gentil?
Bonne semaine à tout ce beau monde que vous êtes!!
Whippet (qui va encore aller regarder si elle n'a pas reçu de nouveaux reviews…il est 11h30…Bah!!Ca se peut!)
