Hum ?? Vous vous souvenez de moi?? Oui oui…whippet, c'est bien ça. Heu, vous vous souvenez, j'avais promis un chapitre? Ouais, je sais…ya pas mal longtemps de ça…NON! Attendez que j'aie fini avant de me lancer des gougounes par la tête!! (Ouiii! Si vous préférez m'envoyer des cannes de tomates…pas de problème! Mais sans les cannes SVP!) Et bien…IL EST LÀ!!!!! TADA!! Mon chapitre est là!! Ça m'a prit tout mon petit change mais il est bel et bien là! Tout fringant, n'attendant que vous pour le lire! Gna! Alors…j'ai un petit mot à adresser à chacun de vous :
Merci à TOUS mes revieweurs de lire si fidèlement ma fic!! JE VOUS AIMEUHHHHH!!!! Xxxxxx
Désolé si je n'ai pas pris le temps de répondre individuellement à chacun, mais j'ai toujours TROP hâte de poster mon chapitre donc…je le fait aujourd'hui, devant tous : MERCI!!!!! (Et même ceux qui ne laissent pas de reviews…Je vous boudes, mais je vous aimeuh pareil!! Lol)
Alors, j'avais fait une promesse à une TRÈS bonne amie. Pour me faire pardonné de ma leeeeeenteur extrême, je devais lui dédier ce chapitre. Alors…hum hum :
En tant qu'auteur de cette Ô combien merveilleuse fic (je n'exagère JAMAIS!! Lol) je dédie très solennellement le chapitre 14 à…DIDINE!!!!!!!! ZI T'AIMEUH!!!! Bon bien…c'est fait! Lol!
Disclamer : NIARK!! TOUT EST À MOUAAAAA!!!! JE VAIS CONQUÉRIR LE MONDDDEUH!! hey!! Ya personne qui me contredit là!!! Même pas une tite voix intérieur??? Personne?? Youhouuu?? Ya quelqu'un là-dedans??? POUF!!!!
- Hey mais ça va pas la tête!!!!! On ne dérange pas les gentilles consciences qui prennent leur seules VACANCES qu'ose leur donner leur maître en plus de 16 années d'existence! Gna! Mais qu'est-ce que tu veux????
- Bah…je trouve ça plate dire des trucs et qu'il y ait pas de conscience pour m'obstiner!!! Steplait?!?!?! Aller!! Obstine moua!!!
- Bon d'accord!! Non, ce n'est pas à toua…c'est à J.K. Rowling…ya que l'histoire qui est à toua…et tu conquérra le monde PLUS TARD!!! Bon…suivant!
-MICHI!!!!
Chapitre 14 : Tout se vie de l'intérieur…
Tout était silencieux. Aucun bruits de pas, de cape, de vie ne venait troubler le silence précaire de la pièce. Aucune lumière n'avait osé profaner les murs de ce qui semblait être un long couloir froid et humide. Rien n'avait bougé depuis des lustres. Pourtant, la porte, dans un grincement pénible, s'ouvrit et laissa entrevoir trois silhouettes.
-« Allez, venez… » dit l'une d'elle presque sans voix. Avoir émis un décibel de plus aurait été un sacrilège!
-« Mais où est-ce qu'on est? » répondit la deuxième silhouette, légèrement plus petite que les deux autres.
-« Dans les souterrains! C'est relié à tous les bureaux et toutes les pièces de tortures et salles de réunions du manoir. Tout ça a été installé lorsque Voldemort a…comment dire…pris possession du bâtiment. C'était pour pouvoir s'enfuir en cas de siège des Aurores. » répondit la première ombre.
-« Brillant! Et très utile pour nous dans ce cas! » ajouta la seconde.
-« Hey! Les gars! J'ai entendu quelque chose! » gémit la troisième.
Une lumière apparut soudain juste en dessous de ce qui semblait être le nez de Ron.
-« WAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!! »
Le cri que le jeune homme poussa entraîna celui des deux autres. Seules les chauves-souris furent témoins de la belle cacophonie que jouait les trois jeunes hommes.
-« Heyyy!! Wo! C'est juste moi! Calme toi! » lanca Harry à Ron, se rendant soudainement compte qu'un si petit geste, fut-il d'allumer une lumière, pouvait susciter autant de réaction.
-« Ha! Ouf!! Tu m'as fait peur avec ta lumière! J'ai bien cru qu'on était cuit! Et je ne voulais pas vraiment me faire coincé de nouveau par cette brute aux doigts gros comme des bûches! » lâcha Ron, en un soupir de soulagement.
-« Ouais…Bon, avec tout ça, j'en ai échappé ma baguette! Plus de lumière! Ron, allume la tienne que je puisse retrouver la mienne! »
Ron plongea ses mains dans ses poches. Harry commença à paniquer lorsque Ron tarda à illuminer la pièce.
-« Ron? Où est la baguette d'Hermy? » dit Harry, d'un ton qui dépassait le découragement.
-« Heu…Bien… »
-« RON!!!!!! Ne me dit pas que tu as encore perdue ta baguette! ÇA, c'est le comble! » lanca Harry, maintenant exaspéré.
-« Na! Je blaguais! Je l'ai! » répliqua Ron, sourire aux lèvres, tout en éclairant les murs d'une flamme relativement faible.
-« Désolé, je ne peux pas faire mieux. Ce n'est pas ma baguette… » s'excusa Ron devant le peu de lumière que diffusait le bout de bâton.
-« Pas grave…On va faire avec! » dit Harry, tout en s'agenouillant au sol, cherchant à tâtons sa propre baguette.
-« Ce que vous pouvez être puérils! » lanca Draco, appuyé contre le mur, un sourire moqueur bien accroché aux lèvres. Il semblait bien s'amuser de la situation.
-« Qu'est-ce qui te fais marrer encore? »
-« Le temps de votre petit débat fort sympathique, j'aurais eu le temps de vous attaquer par l'arrière une bonne dizaine de fois. Mais bon…On se tient les coudes, non? Tiens, ta baguette. » conclue Draco, tout en se précipitant tête première dans les profondeurs de se couloir obscure qui n'offrait aucun puit de lumière.
-« Ah…heu…merci. » répondit Harry d'une façon dont lui-même n'était pas sûr d'avoir compris.
Harry et Ron suivirent le jeune blond à travers le dédalle d'intersections et de longs passages malodorants. Harry avait, non sans une certaine réticence, prêté sa baguette à Draco afin que celui-ci puisse les mener à bon terme. Soudain, ce dernier s'arrêta sans préavis au beau milieu de ce qui leur apparaissait comme un cul-de-sac.
-« Ne me dites pas que le grand Draco Malfoy aurait le sens d'orientation d'une fille? » se moqua Ron. Il regretta aussitôt sa mauvaise plaisanterie lorsque Draco se retourna, lui montrant d'assez près son poing.
-« Jolies jointures! »
-« Ça va faire 5 ans que je me les formes sur des imbéciles en ton genre! » cracha Draco, hors de lui.
-« STOP! Ça suffit! Bande de gamins! Mais vous avez fini? Pendant que vous vous chamailler, Hermione est peut-être en train de souffrir! On avait dit qu'on oubliait les vieilles rancunes, non? » répliqua Harry, déçu que les deux autres puissent aussi facilement oublier le but de leur mission.
Draco abaissa aussi vite ses poings. Il se prit la tête et respira quelques bons coups. Ron quant à lui, était rudement soulagé d'avoir encore son nez intact.
-« Je suis désolé. Si vous saviez comment je m'en veux! Tout est de ma faute! S'il arrivait quelque chose à Hermione…Je m'en voudrais toute ma vie! » dit Draco d'une voix triste.
Il s'accota contre un mur et se laissa glisser jusqu'au sol, la tête entre les mains. Il semblait tellement démuni à l'instant présent, que même les deux jeunes hommes ne trouvèrent pas l'audace de le taquiner.
-« Si on savait où elle se trouvait… » ajouta Harry, maintenant aussi découragé que pouvais l'être Draco.
-« Allez Ron, c'est le temps de nous sortir un truc stupide! Des fois que ça nous mettrait sur une piste! » lança Draco en désespoir de cause.
-« Désolé…j'ai rien qui me vient. » répondis Ron tout en venant s'asseoir a côté de son pire ennemi.
Une aura de tristesse et d'impuissance planait au-dessus des trois jeunes adolescents. La volonté y était, mais aucun n'était dupe. Les chances de la retrouver parmi plus de 100 salles dispersées sur plus d'un demi kilomètre carré étaient très minces. Chacun pensait de son côté. Où Lucius aurait bien pu l'amener? Le temps passait sans que personne ne souffle mots. Les trois garçons espéraient maintenant que la solution tombe du ciel.
-« Heu…les gars? Je peux le dire, mon truc stupide, mais à retardement? » lança d'une petite voix Ron.
-« Vas-y. On a rien à y perdre! » répondirent en même temps les deux autres d'une voix monocorde.
-« On a qu'à aller demander à Lucius où il l'a cacher! Il est le seul à le savoir. »
-« Ouais, c'est ça! On se pointe à son bureau et on dit : Lucius! Mon pote! Alors, belle journée? Pas trop de boulot? Au fait, tu n'aurais pas martyrisé une jolie bouclée brune aujourd'hui? » ironisa Draco.
-« Non, mais attendez…C'est ça! Son bureau…Elle est là! J'en suis sûr! » ajouta Draco sur qui on pouvait voir apparaître un vrai sourire, un sourire de joie!
-« Que je peux être idiot! Mon père apprécie torturer ses victimes psychologiquement avant de les refiler à Macnair. Il s'amuse dans son bureau…Mais lequel? Il doit bien y en avoir 3 ou 4 dans ce manoir… »
-« Et c'est SANS commentaires, merci! » rajouta Draco, clouant ainsi le bec aux deux autres qui s'apprêtaient à donner leur avis sur le fait que Draco soit un idiot.
Draco replongea dans ses pensées. Il se leva soudainement comme une balle et se mit en route vers une faille du mur qui leur faisait face. Ne sachant pas où ils allaient, Harry et Ron suivirent le blondinet à travers la fissure et s'engagèrent dans un endroit encore plus lugubre et dépourvu de chaleur.
Ils marchèrent près d'une dizaine de minutes avant de finalement s'arrêter aussi brutalement que la première fois. Cette fois, ils étaient bel et bien au milieu de nulle part.
-« Malfoy? Bordel! Où sommes-nous? » demanda Harry, loin d'être convaincu de la sûreté de l'endroit. À la lueur de leur baguette, ils furent en mesure d'observer tous les objets contondants qui jonchaient le mur, reflétant avec une force décuplée les simples petits faisceaux de lumière. Ils firent le tour, faisant bien attention de ne rien déplacer, observant les objets de tortures avec un regard d'effroi. Même Draco, à qui pourtant la vue lui était familière, ne pu retenir un léger frisson lui parcourir le dos jusqu'à la nuque. Il était toujours torse nu, n'ayant pas eu le temps d'enfiler une pièce de vêtement convenable. Il aurait pu farfouiller dans les vieux chiffons qui jonchaient le sol de la pièce où il avait laissé sa mère, dans cette salle où elle pourrait peut-être être en sécurité. Lui et les deux jeunes griffondors avait recouvert la femme de la cape d'invisibilité et l'avait conduite dans une salle qui devait sûrement ne pas figurée sur les plans initiaux du manoir. C'était une pièce ronde, sans coin d'ombre ni trou pour se cacher. Aucune fenêtre ne venait éclairer l'endroit, laissant la pièce baigner dans une lueur presque réconfortante dû aux chandelles qui, par dizaines, laissaient danser leur flamme au gré des courants d'air volatiles. La femme était alors dans un piteux état. Harry, ne l'ayant rencontré qu'une seule fois dans sa vie, à la Coupe du Monde de Quidditch, ne pu que confirmer ce que tout le monde savait déjà. La femme que Draco appelait mère n'était plus que l'ombre d'elle-même. Elle affichait un visage émacié, des joues creuses, un teint laiteux et un regard perdu…frôlant le vide. Draco avait porté sa mère avec une tendresse que les deux autres garçons ne connaissaient pas chez lui. Il l'avait installé confortablement sur ce qui semblait être un molleton douillet au niveau du sol. Il l'avait recouvert avec de belles couvertures, éloignant ainsi les vieilles crasseuses qu'elle transportait avec elle depuis des jours. Malgré tout ça, malgré toutes ces difficultés, Narcissa Malfoy trouvait le moyen de sourire. Un sourire franc, simple, joli, qui ne demandait pas moins qu'un sourire en retour. Elle regardait la scène se dérouler tout comme les deux jeunes adolescents, ne pouvant agir en rien.
Soudain, un silence s'installa et, comme par enchantement, la voix de Narcissa, blessée et éraflée par le manque d'eau, transperça le silence lourd de la nuit.
-« Draco…Mon fils…Tu es ma fierté, tu le sais? Je suis tellement fière de toi! Tu es grand, beau, plein de pouvoir…Voudrais-tu faire quelque chose pour moi? »
-« Oui, maman. Tout ce que tu veux… » répondit-il.
-« Va chercher ton amie… Laisse moi ici sans remords et va la chercher. Personne ne mérite de vivre les mêmes souffrances que mon imbécile de mari m'a fait endurer pendant plus de 20 ans… Va la sauver et dit lui qu'elle est sûrement la plus chanceuse des femmes d'avoir réussi à mettre la main sur l'homme merveilleux que tu es devenu, mon ange. » fini la femme, tout en fermant les yeux. Les trois jeunes hommes savaient qu'elle n'était pas passée dans l'autre monde. Seulement tous ces efforts avaient été de trop. C'est alors qu'ils avaient quitté la pièce sans un regard vers l'arrière. Il s'était immédiatement dirigé vers les souterrains, place où ils étaient maintenant coincés.
-« Qu'est-ce qu'on fait ici? » lanca Ron, perplexe.
-« On va prendre quelques couteaux et une hache et ensuite, nous allons aller abattre quelques vaches dans le champs de mon voisin…Mais qu'est-ce que tu crois Weasley? On va tout d'abord s'armer comme il faut! À défaut d'avoir assez de baguettes pour tout le monde, vaut mieux être capable d'en tabasser quelques uns… » dit Draco tout en ravalant sa salive. L'idée de se lancer corps et âme dans une bataille sanglante ne lui tentait guère, mais si la situation le demandait… Il n'avait aucun remords ci cela devait être pour sauver la femme qu'il aimait…Hermione.
-« Ha! Alors…allons-y pour du portatif! » répliqua Ron, presque rassuré.
Après avoir chacun choisi une arme à leur goût, Draco les conduisit à ce qui semblait être une trappe situé dans un plafond qui paraissait à des années lumières de l'endroit où ils étaient.
-« Désolé, Malfoy. Ron a beau être grand, mais il y a tout de même des limites! » lanca à la blague Harry.
Raaaaahhh!! Ce qu'ils m'énervent ces deux là! Comment Hermione a-t-elle fait pour les endurer toutes ces années?
-« Je sens que les vacances ne vous ont pas fait de bien…Le manoir est une maison de Sang Pure qui pratiquent la MAGIE depuis des millénaires… Alors…À votre avis, comment allons nous atteindre cette trappe? » questionna ironiquement Draco.
-« Na! C'est beau, on a compris… Alors, on y monte à cette trappe, oui ou non? »
Draco emprunta la baguette d'Harry et prononça une formule à voix basse. Harry fut surpris d'entendre la résonance que produisait cette pièce. Un simple murmure fut répercuté sur tous les murs pendant plusieurs secondes…
-« Sous quoi sommes-nous maintenant? »
-« Sous les deux premiers bureaux de mon père… Ils donnent aussi accès à plusieurs informations telles les mots de passes de certaines autres pièces…Très pratique finalement! »
-« Chuuuuuuuuuuut!! J'entends quelque chose! » lança aussitôt Ron, qui était désormais accoté sur le mur, l'oreille tendue contre la paroi rocheuse et suintante.
-« Arghhh! Weasley! Pas la peine de nous embêter avec tes bruits! Il n'y a personne! »
-« Non! Je vous jure! J'entends des voix de l'autre côté de ce mur! Venez! »
Harry et Draco, intrigués, s'approchèrent doucement et vinrent tendre l'oreille tout comme Ron. Ils ne purent que constater que le rouquin disait vrai. Il y avait bel et bien des voix!
-« … Alors, sale petite sang de bourbe…Je sens que tu t'amuses follement en ma présence. Je te sens nerveuse…Aurais-tu peur? » lança une voix masculine et rocailleuse.
-« …Jamais!!! » répliqua la voix d'une jeune fille. On l'entendit alors par la suite cracher au visage de l'homme, ce que celui-ci n'apprécia guère.
-« Hermione… » murmura Draco à l'intention des deux autres. Les voix étaient tellement étouffées par le mur de pierre qu'il était difficile de discerner les paroles, mais il l'aurait reconnue entre toutes. C'était la voix d'Hermione…et celle de son père…
-« Vite! Il faut se rendre de l'autre côté! Si nous prenons la trappe, nous devrons faire le tour…Il serait tellement plus facile de couper à travers le mur! » dit Draco, maintenant impatient.
-« Pourquoi pas? » lanca Harry, avec un sourire en coin qui laissait présagé qu'il avait une idée.
Pendant ce temps…dans le bureau de Lucius Malfoy…
-« J'aimerais que tu me dises quelques choses… Sens toi libre de répondre si tu veux…Mais saches que si tu ne le fais pas, tu regretteras de ne pas l'avoir fait! »
Lucius, la baguette à la main, se promenait de long en large dans la pièce. La pauvre Mme. Easel, de nouveau bâillonnée, ne pouvait qu'assister à la torture morale qu'infligeait l'homme cruel à la jeune fille qui lui faisait face. Elle ne pouvait que lui lancé des regards de soutient et d'amour profond, essayant de ne jamais perdre le contact visuel d'avec elle.
Hermione était épuisée. Elle se sentait comme si cela faisait des jours qu'elle était assise dans cette maudite chaise, attachée avec une corde qui lui coupait la circulation sanguine des poignets. Elle tombait de fatigue, ne pouvant presque plus tenir sa tête à la verticale. Pourtant, elle ne voulait pas lâcher prise. Elle luttait, répondait à toutes les attaques, ne pouvant se résoudre à abandonner devant l'ennemi. Jamais il ne m'aura… Je préfère pourrir ici pour le restant de ma vie que lui révéler tous les secrets…
-« Dis-moi où se situe le quartier général de ce ridicule regroupement qu'à monté Dumbledore? Je le sais que tu sais… » tentait Lucius qui commençait à se lasser. Il lui avait infligé une multitude de sortilèges, mais toutefois en se refusant le droit d'utiliser les sortilèges classés impardonnable par le ministère de la magie. Il était à court d'idée… Pourtant, une idée malveillante et encore plus cruelle réussi à se frayer un chemin jusqu'au cerveau de cet être ignoble portant le nom de Malfoy.
-« Dit-le! Tu n'as qu'à me dire où il se trouve et je te laisserai partir… » dit Lucius en dernier ultimatum.
-« Tout cela serais trop facile… » Hermione reprit son souffle et son courage à la fois. Elle n'en pouvait plus de subir le regard de cet homme qui ressemblait tellement à Draco…
Soudain, elle entendit une voix calme et rafraîchissante l'envelopper, la caresser. Une voix de femme…Celle de Mme. Easel. Elle ferma les yeux et se plongea à fond dans ce qui semblait être un mirage, une impression flou…Le son ne venait pas de l'extérieur, mais bien de sa tête…
Hermione…Je suis avec toi. Ne lâche pas…Il ne faut surtout pas lâcher…Si tu faiblis, il sentira qu'il t'a vaincu… Je suis là, près de toi…Cherche en toi la force qu'il te manque. Elle est là, n'attendant seulement que tu la sollicites.
Hermione ouvrit les yeux. Elle ne pu que les entrouvrir, n'ayant qu'en vu une fine ligne…Elle se retourna vers Mme. Easel et lui sourit. Elle essaya de lui transmettre un message par la pensée à son tour, mais elle ne s'en sentait même plus la force. Elle continuait de sourire, ne sachant plus quoi faire d'autre.
Soudain, Lucius, maintenant devenu presque incontrôlable, se posta devant la jeune fille, toujours la baguette à la main.
-« Dit-le!!!! »
-« Non… » émit-elle en un souffle.
-« Tu l'auras voulu… »
Hermione ferma les yeux au même moment où Lucius levait sa baguette et lui lançais un sort rare, inconnu de la majorité des sorciers moyens. Un sort qui, de par sa forme, peut prendre les plus beaux aspects tout comme les pires…
Hermione était maintenant seule dans la pièce. Plus personne. Pourtant elle entendait un souffle qui se mêlait au sien. Un souffle qu'elle connaissait bien…Draco.
Draco était là, face à elle, ne bougeant pas. Il la regardait d'un drôle d'air, ne semblant pas savoir quoi faire. Harry et Ron n'étaient pas là, sûrement en train de faire le guet à l'extérieur. Elle plongea son regard dans celui d'un bleu gris qui la fixait en retour. Ils se dévisagèrent ainsi durant de longues minutes. L'atmosphère était étrange. L'air semblait lourd tout autour d'elle…Pourtant, lorsqu'elle regardait ces yeux bleus…tout devenait léger pour elle. C'est à ce moment que Draco s'avança vers elle, la détacha lentement, prenant le temps de bien enlever les cordes qui lui avait si brutalement retenue les bras. Elle pouvait sentir son odeur typique… l'odeur qui l'avait marquée depuis les tous premiers jours. Lorsqu'elle fut enfin libre, elle se glissa lentement dans les bras de Draco, savourant chaque secondes qui passaient. Le temps semblait arrêté pour les laisser vivre. Ils se serrèrent si fort que seul un être avec une vue exceptionnelle aurait pu discerner la présence de deux corps. Draco se desserra de l'étreinte et vint poser ses lèvres délicatement sur celles asséchés d'Hermione. Même dans cet état pitoyable, il semblait la trouver belle. La jeune fille répondit en allant presque s'abreuver des baisers que lui donnait Draco. Elle enroula ses bras autour du cou du jeune homme et laissa couler des larmes de joie, qui vinrent se mêler à tout le reste. Il lui avait tellement manqué! Le simple geste qu'était de poser ses lèvres sur les siennes lui avait reconstruit une force qu'elle pensait détruite.
Ils approfondirent leurs baisers, ne voulant pas que cela s'arrête. Ils semblaient tellement heureux de s'être enfin retrouvés! Elle laissa traîner ses mains sur son torse et sur son dos, essayant d'imprimer ce moment dans sa tête afin d'effacer l'image de Lucius. Draco ne se laissa pas prier pour explorer la jeune fille, laissant lui aussi ses mains balader un peu partout sur le corps de la jeune fille. Hermione ne voyait plus rien que Draco en face d'elle…Elle ne voyait pas les hommes cagoulés…
Tout se déroula en une fraction de seconde. Ils empoignèrent Draco par derrière, l'arrachant à elle d'une façon brutale. Il le plaquèrent contre la cheminée et commencèrent à le ruer de coup dans le ventre et sur le visage. Ils étaient plus d'une vingtaine à se relayer afin d'asséner le plus de coups possibles au blondinet. Hermione, horrifiée, semblait incapable de bouger ou de dire quoi que ce soit. Ses pieds étaient fixés au sol, comme pris dans du ciment. Elle criait, essayant de les faire arrêter par les mots, mais cela ne les atteignit même pas. Elle essayait se déprendre de ce sable mouvant qui semblait vouloir l'aspirer. Elle sentait ses forces la quitter aussi vite qu'elles étaient réapparues. Une rivière de larme se déversait sur ses joues tandis qu'elle hurlait afin qu'ils arrêtent…en vain. Draco, inconscient, gisait au sol. Le feu dans la cheminée continuait à crépiter comme si de rien n'était. C'est alors qu'un des hommes prit le tisonnier et s'approcha de Draco. Un autre homme empoigna le bras du jeune homme immobile, le mettant dans une position afin que le premier homme puisse avoir une surface de travaille propre. Il prit le tisonnier et commença à inscrire un signe dans la chaire claire du jeune homme. La Marque des Ténèbres. Hermione, qui s'était arrêtée de hurler sous la terreur face au geste que les hommes s'apprêtaient à faire sur l'homme qu'elle aimait, ne pu réprimer un cri profond venant du plus profond d'elle-même…
-« NOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN!!!!!! »
Mme. Easel, souffrant de son incapacité à pouvoir agir, observait la scène. Hermione, toujours attachée à sa chaise, gesticulant de tous bords tous côtés, les yeux clos, perdue entre deux mondes, semblait souffrir au plus haut point. Lucius pouvait être un homme cruel… Combien de fois lui avait-il fait subir le même sort? Torturer les gens par le biais de ceux que nous aimons est plus dure que tout. La torture est un art que bien peu de gens maîtrisent…Lucius peut se vanter d'avoir atteint l'excellence...
Alors, alors, alors??? Ya de l'action mais pas trop, Il y a de la romance…mais pas beaucoup…(ça sen vient, ça sen vient!! Lol! Prochain chapitre!!) Alors…pour me faire pardonner ma bien trop longue pose entre mes deux chapitres…bah…je vous offre tous un cornet de crème glacée!!!! (mois d'octobre Whippy…) ha oui? DÉJÀ???? Merdouille de merdouille!!! (Me rend compte que ça fait encore plus longtemps que j'ai pas posté…ouf!) Alors…commentaires commentaires!!!! J'ai fait ma part du boulot, je m'attends à ce que vous fassiez la votre!! Gna! Un tit review c'est toujours apprécié! Lol
Alors…cest pas mal ça! Le prochain chapitre…quand j'aurai de l'inspiration! (Ca ce peut que ça ne soit pas tout de suite! Lol!)
alors Dadmax? Content(e)?? Ça s'appelle du service ça!! Lol!!
Merci encore!!
Whippy! –xxx-
