Bonjouuuuuuuuur!!!!
Alors...Où en étais-je avec cette histoire, moua-là? Hum... Difficile à dire... Ça doit faire plus de deux mois que je n'ai pas posté... Hum... Je crois que le plus difficile à écrire cette fois-ci a été lorsque j'ai écrit un certain passage avec la mère de Draco. J'ai du me relire pour trouver si je l'avait tué ou non... (désolé, je ne me souvenais plus...lol) N'ayant pas trouvé de passage où elle mourrait (vu peut-être ma grande lâcheté...lol) je vous serais gré de faire comme si elle ne l'était pas si advenait le cas qu'elle soit morte! (C'est compliqué mon affaire...lol, je ne me suis même plus moi-même!) Mais si advenait le cas qu'elle soit toujours bien en vie (ce que je crois être le cas)... OUBLIEZ CE QUE JE VIENS DE DIRE! lol
Alooooooors... Je dois encore une fois adresser un énorme merci à toutes les personnes qui ont pris le temps de laisser un review. Si vous saviez combien cela me fait plaisir d'aller sur mon compte Hotmail et de voir « 1 nouveau message » et que lorsque je clique...je vois le Ô combien beau nom botfanfiction qui m'a envoyer un beau petit message... roooh la JOIE! C'est mon salaire et c'est grâce à vous si j'ai encore une fois le courage de poster ce 16e chapitre. Au début, je ne comptais pas en faire plus de 5, ne sachant même pas si cela allait fonctionner...Et bien...j'avais tout faux, faut dire! Vous avez l'air d'aimer et ça me TOUUUUUCHE!!! a une chtite larme..snif!
Bon...alors mon petit disclamer juste à MOUA!
Disclamer : Il était une fois, dans un grand vilain et michant manoir, vivait l'homme le plus sexy que la gente féminine n'aie jamais connu...il s'appelait...DRACOOOO!!! (bave bave...) Mais...Une michante (encore plus que le manoir...lol) bonne femme décida un jour de dire : ÇA SUFFIT! Ce bel homme est à MOUA!! Cette michante bonne femme s'appelait J.K. Rowling... (on la grifferait...lol) Et...après s'être approprié cette merveille de la nature, elle décida de subtiliser la deuxième merveille du monde... RYRY! (non mais pour qui elle se prend!!!! Beuh!) et ensuite vint tous les personnages qui étaient rattachés à ces deux bêtes du s...(WO! Whippy! Calme toi le pompon nom d'un clavier électrocuté par ta bave!!) Alors, ce harem comprenait Hermione, Ron et le miiiiiiiichant LULU!! (Sevy et Lochkart ne sont pas inclus du tout dans cette histoire...Il sont oubliés à quelque part dans le fin fond des Highlands...beuh! lol) Maaaaais! La gentille Whippet vint un jour s'emparer d'un contexte et de 3 gentils personnages comme Gus, Carla et la Ô combien gentille Mme. Easel. Alors...après sûrement le plus long disclamer que vous ayez lu...
BONNE LECTURE!!!!!
Chapitre 16 : La fin du supplice...
C'est avec peine et misère que Draco réussi à transporter le corps d'Hermione. La jeune fille, n'ayant pas refait signe de vie depuis sa récente agitation, ne l'aidait pas beaucoup dans sa tentative pour la conduire en lieu sûr. Le couloir, si calme fut-il, n'était pas vraiment l'endroit qui les aiderait à mieux sortir de ce foutu manoir. Harry vint aider Draco en soutenant les épaules frêles de la jeune fille. Le périple de retour allait être long et peut-être même plus difficile que l'allée, mais les trois jeunes garçons étaient prêt à tout pour pouvoir revoir, ne serait-ce qu'une seule fois les rayons du soleil illuminer leur visage, maintenant indéchiffrables à travers l'énorme couche de cendre et de saletés qui les recouvraient. Il s'était écoulé près d'une demi journée depuis le départ mystérieux de Mme. Easel et Draco recherchait toujours le sens de ces paroles qui lui semblaient si sages, mais ô combien plus difficile à déchiffrer. Nous savons de quoi elle voulait parler…Bon sang! Je ne sais pas moi… Qu'est-ce qui ramène des morts une femme telle qu'Hermione? Pour la millionième fois, il l'avait serrée sur son cœur, espérant ainsi lui communiquer encore une fois un tant soit peu de chaleur, elle qui en était totalement dépourvue.
L'escalade de l'escalier principal s'avéra plus ardue que ce à quoi ils s'attendaient. Comment rester subtile avec un tel fardeau? Ils grimpèrent les marches rendues glissantes grâce à l'humidité qui régnait dans la cage d'escalier. Ces marches étaient situées totalement à l'autre extrémité du couloir sombre où ils avaient vécu tant d'aventures en seulement une journée et demie. En y pensant bien, Draco se mit à compter les jours où il avait vécu avec Hermione, ces jours qu'il chérissait plus que tout. Un… Une voiture sur le bord de l'autoroute…2… Hermione, avec ses boucles brunes si invitante à s'y glisser les doigts…3… Il se remémora chacun des instants, sentant revenir en lui de plus en plus fréquemment ces vagues de nostalgie. Une semaine s'était écoulée. Seulement une semaine. C'est fou ce qui peut arriver en une seule et unique semaine! Pourtant, il aurait dû se douter de ce qui se tramait. Ça se sentait dans l'air que quelque chose allait se produire, allait chambouler sa vie. Il eu une image qui s'imposa brusquement à lui, une image qu'il aurait préféré oublier, ne pas voir. Lucius, étendu au sol, mort. Des mains de Potter… S'il avait pu éviter de croiser le corps inerte de son père en se dirigeant vers l'escalier, il l'aurait fait volontiers. Comment était-il mort au juste? Il se retourna en direction du jeune Potter afin de lui poser la question, mais il se rendit alors compte que le seul interlocuteur disponible était un vieux téléphone moldu débraillé dont il ne restait que le combiné, jonchant sur une marche.
-« Potter? Weasley? Bon sang… Où êtes-vous? »
Draco scruta les murs éclairés faiblement par une torche allumée plus bas. Hermione, toujours dans ses bras, donna alors un violent coup de tête dans l'épaule du blondinet. Par réflexe, il la serra de nouveau sur son cœur, lui disant tout bas un je t'aime…avant de ressentir la douleur dans son épaule.
-« OUCH!!! Ce n'est pas parce que tu dors et que tu ne sens rien que moi, automatiquement, je suis comme toi!!! » lança Draco, sans vraiment faire attention aux deux yeux noisettes qui le fixait désormais. Distrait par son inquiétude face aux deux autres griffondors, il prit un certain temps avant de s'apercevoir de la soudaine légèreté des membres de la jeune fille. Il se retourna lentement, appréhendant l'instant qui allait suivre. Il rencontra un regard a semi fiévreux, semi conscient… avec un soupçon de lucidité. Cette dernière parcelle participa de beaucoup à l'élaboration des courts mots qui franchirent les lèvres de la jeune fille.
-« Draco? C'est toi? » eut-elle le temps de prononcer avant que ses lèvres soient capturées fiévreusement par le beau blond, pour qui une larme de joie avait malencontreusement franchit la limite de son œil. Elle déferla le long de sa joue pour aller se mêler à celles d'Hermione. La jeune fille pleurait à chaudes larmes, pleurant toute la peur qu'elle avait eu de ne jamais le revoir, toute sa haine envers Lucius, toute son inquiétude face à Mme. Easel qu'elle considérait comme une mère. Toutes ces émotions étaient contenues dans de simples larmes. Hermione embrassait Draco comme si cela devait être la dernière fois…Elle l'aimait tellement! Leur bouche communiaient parfaitement, transmettant ainsi d'une bouche à une autre toutes ces paroles qui n'ont pas besoins d'être dites. Le simple baiser suffisait à divulguer le trop plein d'émotions contenue dans de si petit corps, comparé à l'immensité des sentiments eux-mêmes… Ce baiser devenait vital. Rompre le contact briserait la magie, leur lien. Ils voulaient rester soudé pour toujours, ne plus jamais être confronté à de telles épreuves. Même s'ils ne s'embrassaient plus avec une folle passion, même si leurs lèvres ne bougeaient plus, elles restaient soudées, profitant du répit pour reprendre leur souffle. Hermione, étant étendu sur le sol, tout près de la porte qui menait à l'extérieur de la cage d'escalier, toujours les yeux fermés, savourait l'instant de silence absolue, mais elle dû se résigner à rompre le lien. Cela se fit en douceur, lentement, très lentement, à contre cœur.
Ils se serrèrent plus fort qu'il était humainement possible d'imaginer. Même si Hermione n'avait pas été consciente physiquement des preuves d'affections du jeune homme pendant son long voyage dans un monde où elle-même aurait de la difficulté à décrire, elle savait qu'il avait été là pour elle, qu'il l'aimait.
-« OH!! Draco? Harry…Ron… Où sont-ils? Ne me dit pas qu'ils… Ne me dit pas… » dit Hermione. Draco voyait de nouveau des larmes perler au coin de ces si magnifiques yeux.
-« Ne pleure pas… Je me posais la même question. Ils étaient là ils y a de cela quelques minutes, et pouf, plus de Harry et Ron! Je me demande où ils ont bien pu filer comme ça… » finit Draco plus pour lui-même.
-« Où sommes-nous? » demanda timidement Hermione, ne desserrant pas son étreinte. Elle était toujours dans un état précaire et le froid envahissait toujours ses pauvres membres.
-« Théoriquement, nous sommes tout près du Hall d'entrée. Je devais aller voir, mais… NON…Ils n'ont pas fait ça?? »
-« Quoi? Draco, parle! Tu me fais peur! »
-« Ils ont dû aller faire du repérage pour voir si la voie était libre… Je ne sais pas si tu te souviens de la belle petite fiesta qui a eu lieu ici hier… En espérant que le Seigneur des Ténèbres ait eu recours aux services de ses fidèles, car sinon… Un mangemort soul comme une botte ou bien sur un lendemain de veille… Je crains que cela ne soit encore plus sadique que d'ordinaire. Souhaitons qu'ils soient tous souls-morts dans le salon… » répondit Draco, tout en se levant précipitamment.
Il aida Hermione à se redresser, la soutenant afin qu'elle ne s'effondre pas immédiatement. Il lui donna un bref baiser sur la tempe et il ouvrit la porte qui menait bel et bien à quelques mètres du hall.
D'un pas précipité, Draco aboutit dans le dit Hall, ne sachant pas où regarder en premier. Le salon? Il s'avança prudemment, restant derrière la porte au cas où un représentant de ces stupides de mangemorts ne soit toujours là. Il risqua un coup d'œil. Personne. Il en fut autant soulagé qu'inquiété. Personne signifiait aussi qu'Harry et Ron n'y étaient pas. Il avança jusqu'au vestibule. Cette pièce était pratiquement aussi grande que le salon et la cuisine réunis de la maison d'Hermione. Il avait aimé sa maison jadis. Ce lieu qu'il détestait tant maintenant avait été ce qu'il avait appelé si souvent « maison », sans jamais vraiment le ressentir en dedans de lui. Il aurait dû se sentir en sécurité dans ce lieu, pourtant il cherchait à le fuir au plus vite. Pénétrant dans la pièce qui menait au deux immenses portes, il senti une main s'abattre sur son épaule déjà endolorie.
Une main se plaqua sur sa bouche l'empêchant de parler. Après les quelques secondes qui s'écoulèrent, il entendit la voix qu'il s'attendait d'entendre.
-« Ne refait JAMAIS ça, Malfoy! Tu sais la frousse que tu nous as foutue? Nous sommes déjà sur les nerfs et toi, tu fais exprès de marcher à pas feutré? Non mais! » lança, d'un ton soulagé, Ron qui l'observait maintenant.
-« Tu aurais préféré que je marche comme un débile qui veut absolument se faire prendre alors? La marche des éléphants, très peu pour moi, Weasley! » répliqua ironiquement Draco, sans toute fois y ajouté le sarcasme dont il était capable. En fait, il était heureux que les deux gryffons soit toujours en vie et non en train de servir de pantin à ces abrutis de mangemorts qui ne savent même pas boire.
-« Où est Hermione? » interroga Harry. Ce dernier semblait occupé par quelque chose, distrait par un objet quelconque dans la penderie adjacente.
-« Dans la cage d'escalier. Je ne voulais pas l'amener ici, ne sachant pas où vous étiez... »
-« On te l'as dit pourtant...Tu était trop occupé à faire des minouches à ta bien-aimée...alors nous avons décider d'aller jeter un coup d'œil! »
-« Rigolez, rigolez... Je ne faisais pas de MINOUCHES! J'essayais de la réveiller! Et, vous voyez? J'ai réussi! » dit Draco lorsqu'il vit apparaître Hermione dans le cadre de porte. Il se dépêcha d'aller la soutenir, car sa démarche semblait encore un tantinet chancelante.
-« Qu'est-ce...Qu'est-ce que tu regardes, Harry? » demanda Hermione, intrigué par ce qui intéressait tellement le jeune homme.
-« Je cherche notre porte de sortie! » lança-t-il joyeusement. Il se poussa un peu du champ de vision des trois autres et leur laissa le temps d'observer sa trouvaille.
Dans la penderie, une porte camouflée dans le papier peint de haute qualité semblait ne pas avoir été ouverte depuis des lustres. Une portes faite de bois, mais qui, malgré toutes ces années, n'avait aucune marque, trace ou bien rayure. Les joies de la magie!
-« Il nous est impossible de sortir d'ici par la porte principale...Nous devrons trouver un endroit qui n'est pas sous surveillance magique. Et...si je ne m'amuse... Malfoy, tu as encore quelqu'un à aller chercher... » termina Harry, d'une voix de plus en plus faible.
Draco devint blême. Il l'avait oublié!!!!! Il n'était pas allé la rechercher!
-« Ma mère!!!!! Je l'ai complètement oublié! Je dois allé la chercher...Je ne la laisse pas ici, c'est certain! »
Draco reparti en quatrième vitesse retrouvé sa mère, le seul être qui lui ai démontré son amour en ce bas monde. Il grimpa les marches quatre à quatre, ne portant même pas attention à éviter sa course des plus bruyantes.
Il arriva en face de la porte où il l'avait laissé. Un endroit qu'il avait jugé sûr. Il entrouvrit la porte et y aperçu la masse de couverture. Sa mère y était toujours.
-« Maman? Tu es là? » dit-il timidement. La masse de tissu qui devait recouvrir sa mère bougea lentement. Pourtant, ce qu'il vit apparaître ne fut pas sa mère, mais bien un des elfes de maison qui travaillait quelques jours plus tôt aux cuisines.
-« Mr. Draco Mal...Mal...Mal...Malfoy ne devait pas revenir. Il y a du danger pour Mr. Draco. Twiny s'est bien occupé de Mme. Narcissa, mais Twiny n'a pas été capable de faire mieux. Twiny demande pardon à Mr. Draco. Pardonnez-moi! Twiny se punira d'elle-même, monsieur. Twiny aimait bi...bi...bi...bien Mme. Narcissa. »
Draco, n'en pouvant plus d'entendre l'elfe parler, se précipita sur le corps de sa mère. Il le savait pourtant. Sa mère avait attrapé quelque chose lors de son séjour dans le cachot. Elle avait tellement toussé! Il l'avait réconforté des heures et des heures, ne sachant pas quoi faire. Même s'il avait eu sa baguette, seule une personne comme Mme. Pomfresh aurait été capable de soigner son mal étrange. Il s'en voulait tout de même. Tout ça est arrivé par sa faute! S'il n'avait pas fuit au lieu d'affronter son ignoble de père, sa mère n'aurait pas croupie des jours dans ce foutu cachot. Ils se seraient enfuis bien avant, essayant de semer celui que personne n'oserait fuir. Ils se seraient alliés à la cause de Dumbledor. Oui, c'est ce qu'il aurait fait.
Il serra le corps inerte de sa mère dans ses bras qui regorgeait encore d'une mince chaleur.
-« Maman...Je regrette de ne pas te l'avoir dit plutôt...Je t'aime maman... Je ne l'ai jamais dit à personne excepté aux deux femmes de ma vie. Je t'aimerai toujours maman, quoi qu'il advienne. » Il reposa lentement le corps sur la paillasse et fit le geste de fermer les yeux de la femme même si ceux-ci l'étaient déjà. Désormais orphelin, Draco était libre. Il se releva sans gestes brusques. Il se retourna en direction de l'elfe qui s'apprêtait à se refermer la porte sur les doigts en signe de punition.
-« Non mais arrête!!!!! Twiny, arrête ça tout de suite! »
Draco retint de justesse la porte qui allait s'abattre sur les pauvres doigts fragiles de l'elfe.
-« Ce n'est pas de ta faute, Twiny. Je crois que cela était écrit qu'elle devait mourir. Il n'y avait rien à faire. Même ta magie n'aurait eu aucune répercutions. Je vais te demander une faveur. Je veux qu'elle ait un enterrement descend. Ma mère ne doit pas croupir ici, compris? Arrange-toi pour qu'elle soit préparée dignement et qu'elle soit enterrée non dans le jardin du manoir, mais bien là où ses ancêtres le sont. Elle ne mérite pas de vivre sa mort au côté de ce manoir qui lui a servit de prison. Alors, va, elfe! Et que tout soit fait! Envoie-moi un hibou lorsque tout sera accompli! Et reste discrète... » termina Draco.
Tout au long des instructions, l'elfe avait hoché de la tête. Oui, elle avait compris!
-« Les désirs de Mr. Draco se...se...se...se...seront respectés! » dit-elle avant de disparaître par l'embrasure de la porte. Il se retourna une dernière fois, regardant le visage devenu soudainement paisible de sa mère. Elle lui avait souhaité du bonheur avant qu'il ne parte à la recherche d'Hermione. C'est à ce moment qu'il aurait dû la serrer dans ses bras convenablement, lui dire qu'il avait été privilégié d'avoir une mère comme elle. Il était maintenant trop tard. Il sortie de la pièce, refermant derrière lui la porte afin que personne ne vienne briser le silence de cet endroit.
Lorsque Harry, Ron et Hermione virent Draco descendre lentement des escaliers, ils surent. Il affichait une mine tellement triste, lasse et déconfite que même le plus aveugle de tous aurait pu le sentir à des kilomètres. Lorsqu'il arriva à la hauteur des autres, il y eu un instant de silence. Personne ne parlait, de peur de briser quelque chose en Malfoy. Le barrage qui retenait ses larmes semblait plus que mince, mais il tenait bon.
-« Sortons d'ici. Ne restons pas plus longtemps. » fut tout ce qui sorti de la bouche de Draco. Les trois autres acquiescèrent et, affichant un air où se mélangeait le bonheur de sortir de cet endroit et la tristesse infinie suite à cette perte, les quatre compagnons empruntèrent la porte située dans la penderie.
Le premier rayon de soleil qui toucha leur visage fut comme une récompense durement gagnée. La porte débouchait alors sur l'arrière du manoir. D'après les renseignements de Draco, la place où se situaient les balais était on ne peut plus mieux choisie. Aucune surveillance n'était faite de ce côté du manoir, car il donnait sur un terrain vague et à découvert. La venue de l'ennemi sur ce côté était totalement impossible. Ils se dépêchèrent de parvenir aux balais. Harry prit la cape d'invisibilité qu'il avait toujours sur lui. Le soleil était déjà à son zénith. Ils devaient faire vite. Peu importait si Voldemort était toujours présent sur les lieux, mais l'important était juste de pouvoir quitter cet endroit immonde en un seul morceau. Ils se recouvrirent tous de la cape. Un mangemort quelque peu observateur, s'il avait eu à passer par là, aurait été drôlement surpris de constater la présence de 8 pieds marchant sans propriétaire. La cape ne recouvrait pas jusqu'au sol, d'où l'étrangeté de la situation.
Après avoir contourné mainte et mainte statues et monuments, ils finirent par retrouver l'endroit précis où ils avaient laissé leurs moyens de transport. Ils firent le compte des baguettes. Une...et deux. Draco avait toujours celle d'Hermione et Harry possédait toujours la sienne.
Hermione, quant à elle, était beaucoup mieux. L'air frais lui avait aidé à retrouver ses esprits. Pourtant, elle redevint blême lorsqu'elle vit réapparaître les fameux balais.
-« Il faut vraiment remonter sur ces machins? Vous savez, moi et les balais...Nous ne sommes pas beaucoup amis... » dit-elle prudemment.
-« Ne t'en fait pas Hermy. Draco va se faire un plaisir de t'accueillir derrière lui, n'est-ce pas Malfoy? » dit Harry, se souvenant que trop bien des belles marques de griffures qui lui marquaient encore les côtes.
-« Avec plaisir, ma belle. Allez, monte. On n'a pas de temps à perdre. Il faut filer. » dit Draco regardant autour de lui. C'était trop calme tout comme ça l'est avant une tempête. Valait mieux partir avant que tout ne se déclanche. Revivre la même chose que ces deux jours derniers, non merci! Et il croyait viser juste en disant cela. Personne n'aurait pu le contredire.
Ils décollèrent finalement, à une vitesse époustouflante.
-« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!!! DRACOOOOO!!! Vas moins vite bordel!!!!! »
-« Désolé, Hermy. Mais je n'ai pas le choix... »
-« Oh que si tu as le choix! Ralentis ou bien c'est moi qui vais te ralentir mon bonhomme!!!! »
Draco ralentit contre son gré. Il voyait bien qu'Hermione n'avait pas développé sa passion envers le vol en balais. Il fit attention le plus possible afin de ne pas commettre de fausses manœuvres ou bien de coups brusques. Si bien que la jeune fille finit par se détendre à l'arrière. La formation des quatre jeunes avançait lentement mais sûrement. Ils étaient hors de ce manoir maudit. La mission avait été accomplie. Draco était vivant et Lucius avait périt.
Un sourire béat vint s'afficher sur les lèvres des quatre jeunes adolescents. Il restait encore un mois entier avant le retour à Poudlard. Harry et Ron s'était fait, en quelques sortes, un nouvel ami en la personne de Draco. Hermione avait retrouvé son amour et Draco ne pouvait demander mieux. Il avait des amis sur qui il pouvait compter et la femme de sa vie qui lui enserrait la taille doucement, en toute confiance. La vie allait désormais être belle. Pas de tout repos, mais belle tout de même. Il eut soudainement le visage de sa mère qui vint s'imprimer dans sa vision. Il perdit de nouveau son impression de joie. Il prit la main d'Hermione et la serra fort. Il avait besoin d'elle en ce moment. Plus que jamais.
Il était près de 21h lorsque la troupe finit par atterrir dans la cour des Granger. La mauvaise température soudaine les ayant surpris, ils avaient dû faire un arrêt près d'un abris bus d'une ville inconnue. À l'aide d'un sort, ils avaient cachés les balais et avaient fait apparaître des vêtements décents à se mettre au cas où une horde de femme en délire ne veuille soudainement s'emparer du jeune blondinet toujours torse nu.
Franchement, WHIPPY! Nous savons tous que c'est de toi que tu parles ici... On repassera pour la subtilité!!!! n/a: PAS VRAI!!! (mais quand même...peut-être que siiii...lol)
Il faisait nuit. Seules les lumières extérieurs de la maison des Granger éclairaient le pas de la porte. Ils marchèrent jusqu'à ce qu'ils ne puissent plus avancer. Ils étaient sains et saufs.
Soudain, les lumières qui étaient toujours éteintes s'allumèrent. Ils entendirent un vacarme surprenant provenant des escaliers de l'intérieur. La porte s'ouvrit avec un grand fracas. Mr. et Mme. Granger étaient là, avec des cernes leur touchant presque les genoux tellement ils étaient foncés. Un sourire de joie presque hystérique vint s'apposer sur le visage des deux adultes. Carla Granger s'empara de sa fille et la serra contre elle avec une telle force mais aussi une telle douceur.
-« Ma fille à moi, ma grande fille...Tu es revenue...tu n'as rien... tu sais que je t'aime, tu le sais? »
-« Oui maman...Tu le sais que je t'aime aussi? Tu le sais? »
Cette aventure avait fait comprendre à Draco et à Hermione l'importance de leurs parents dans leur vie. Hermione avait la chance d'avoir un père aimant, mais tout de même... C'était comme comparer des pommes et des oranges. Ils avaient un parcours différent, mais tellement compatible.
Après avoir raconté en gros et en large leur périple, ils finirent par pénétrer parce qu'ils allaient tous appelé ce soir là, leur maison.
Ils soupèrent dans un état de soulagement total. Plusieurs questions avaient été posées à table. Et plusieurs d'entre elles n'avaient pas trouvé de réponses. Ils finirent de souper et allèrent s'installer dans le salon. La soirée fut douce et calme. Les bruits de feuilles qui voletaient grâce au vent à l'extérieur donnaient un air magique à cette rencontre. Les parents d'Hermione prirent rapidement congé, mais donnèrent chacun leur tour un baiser sur le front de leur fille et serrèrent la main des trois autres jeunes hommes présents. Ils étaient reconnaissant que leur seule et unique fille soit de retour. Ils avaient déjà perdus un fils, ils ne voulaient pas perdre la seule enfant qu'il leur restait. Ils montèrent lentement, sachant qu'ils allaient passé une merveilleuse nuit, pouvant maintenant dormir sur leurs deux oreilles.
Les quatre adolescents restèrent assis sur les divans pendant quelques minutes. Hermione était blottie tout contre Draco et Harry et Ron étaient assis tout près de l'âtre du feu. Il était temps qu'ils repartent chez eux. Mme. Weasley, si elle n'avait pas lancé le compté au complet à leur recherche, ne devrait certainement pas tarder à le faire. Dans un silence presque complet, ils étaient maintenant debout, se regardant à tour de rôle. Les mots étaient maintenant insuffisants pour exprimer leurs émotions. Hermione fut la seule à s'exprimer.
-« Merci... J'ai la chance d'avoir les meilleurs amis du monde... » dit-elle avant de leur donner chacun un baiser sur la joue. Elle les serra contre elle, ne pouvant être plus reconnaissante. Ron tendit la poudre de cheminette vers Harry qui s'en prit une poignée. Ils étaient prêts. Chargés de leurs balais et de la cape, ils pénétrèrent dans la cheminé dont le feu était désormais éteint.
-« Bon alors... Bonne fin de soirée. Tu nous envois un hibou 'Mione? » questionna Ron.
-« Bien sûr, Ron. Dès demain. Je n'y manquerai pas... » répondit la jeune fille.
-« Le Terrier! » crièrent les deux gryffondors afin de retourner à la rencontre de ce qui était désormais le plus dangereux pour leur survie...Mme. Weasley.
-« Tout est fini... Tu as réussis, ma belle... Nous sommes là, ensemble. Je t'aime » dit Draco dans le cou d'Hermione. Elle eu un léger frisson au contact des lèvres du jeune homme contre sa peau. Ces deux derniers jours avaient été tellement difficiles...Tout ce qu'elle désirait était de pouvoir s'abandonner dans ses bras. Elle se retourna vers cet homme qui la fixait désormais. Leur regard se mêlèrent et ne purent se détacher. Hermione s'approcha soudainement et ne pu réprimer son envie d'arracher un baiser aux lèvres tellement pleine du jeune homme. D'un coup de baguette, Draco ralluma le feu et se laissa faire totalement. Il embrassa Hermione, en redemandant toujours plus. La jeune fille étendit ses bras autour de la nuque du jeune homme, glissant ses doigts dans ses cheveux frais lavés. Il sentait drôlement bon et Hermione ne pu résister à aller prendre une grande respiration dans le cou de Draco, ce qui le fit rire. Il était un tantinet chatouilleux. Elle posa un baiser dans ce cou si chaud et revint plonger son regard de couleur noisette dans celui couleur bleu glacier... Jamais un glacier n'avait paru aussi chaud. Draco, ne résistant plus, la pris, la leva et la mena jusque sur le divan. Il la déposa tout doucement, l'embrassant doucement. La joie était de nouveau de retour. L'espace de ces instants, Draco oubliait sa mère, son père, sa vie antérieure. Il était devenue un autre lui-même. Il était Draco Malfoy, l'homme amoureux et attentif, l'homme convaincu qu'un avenir lui faisait maintenant face. Un avenir possible, et du bon côté.
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Tadada...tadada...TADADA!!!!! Voi-LÀ! La fin du chapitre 16!!!! Mais, je n'ai qu'un mot à vous dire...ce n'est pas encore la FIN-FIN!!! J'ai le goût de continuer avec un épilogue...où la scène R tant attendu ferait enfin SURFACE!!! Je suis réellement désolé...Mais où vouliez-vous que je plante une scène R dans le contexte??? Très difficile...alors je l'ai mise à la fin... Et je vous laisse sur votre FAIM! MOUAHAHAHAHA!!!! (Vilain truc d'auteur! Lol) Alors...en espérant e pas trop avoir contrarié votre âme de lecteur... Je sais que ça fait longtemps que vous attendiez ce chapitre... et je m'en excuseeeeee!!! Pitiez? Si vous plé??? (avec l'accent espagnole...c'est bien non? Lol) Bon alors...Bisous à tous! Je vous aime bande de...lecteurs que jadore! MDR!
RAAAH!!!! Je suis en $&?&??&!!! J'ai perdu toute ma correction!!! Pour une fois que je prenais le temps de relire et de corriger mes fautes...J'ai tout perdu!!! BOU WOU HOU! Désolé à ceux que cela bloque dans leur élan, mais je ne me retape pas 10 pages certains! (il est 11h pm tout de meme...DODO!)
Whippy!
