Auteure : Toujours la même !! Môa !
Base : Ryry Popote ! Du 1 au 5!!
Titre : Le vers qu'il faut laisser s'envoler ! ( Edmond Rostand. Cyrano de Bergerac Acte I Scène IV)
Couple : Devinez ! Quel est mon couple fétiche ? Bingo !! C'est Draky-mamôur vs Ryry-chouchou!! (Trad habituel : Harry Potter vs Draco Malfoy. Pff c'est la même chose !!)
Rating : R !! Miam !! :)
Disclaimer : Bon il y a 999999 demande pour Dray avant la mienne alors j'essaye pour Harry ! Comment ça il y a aussi 999999 demandes avant la mienne ? Quoi JKR refuse toujours de nous donner à nous, pauvre auteur de fics que nous sommes, ses personnages ?!! On aura essayé au moins !! -- Sinon tous les magnifiques textes qui ponctuent le mien sont à leur auteur respectif ! Et Roxane est à moi !!
Résumer (De mon chef d'œuvre !! Tu recommences ! Moi ?! Mais pas du tout !!) : « James Evans ! Tu ne connais pas James Evans, Draco !? Mais il s'agit du meilleur tragédien de ces dix dernières années ! Il est anglais comme toi et en plus il a le plus beau fessier au monde ! » Slash HPDM
Note de môa :
Bonjour tout le monde voilà le chapitre trois tant attendu !
Bonne lecture !
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Des deux côtés de la porte se trouvait un homme terrorisé et pourtant impatient. Tous deux tremblaient d'appréhension.
Il fallut tout son courage Griffondoresque à Potter pour se lever et allé ouvrire fébrilement la porte. Geste qu'il ne regretta jamais tans la vision de Draco en colle roulé était alléchante. Il déglutit difficilement avant de sourire, d'un sourire plus que crispé, au blond et de le laissé entrer.
Draco aussi avait été saisi par la beauté de son amour. Il avait changé. Ses cheveux longs devaient y être pour quelque chose, ainsi que cette lueur de confiance qui brillait dans les yeux de jade du brun malgré son trouble et sa gêne manifeste. Il répondit au sourire de Potter tout aussi crispé.
Un lourd silence s'installa sur la pièce. Au moment ou Harry allait enfin briser le silence son téléphone portable s'en chargea avec sa sonnerie french cancan. (Non c'est pas celle de l'auteur enfin pas vraiment mais voilà quoi !) À ce son les deux garçons sursautèrent et Harry poussa un soupire avant de décrocher.
« Allo ? Dit le brun morose.
- À l'huile ! Répondit tout sourire son interlocuteur.
- Rox je t'ai déjà dit que tu avais un humour à toute épreuve ? Répliqua le tragédien sur le même ton, ayant parfaitement reconnu sa compagne de scène.
- Trèves de plaisanterie Ryry ! Riposta la blonde faisant fit du commentaire ô combien gentil de son ami. Je t'appelle pour te dire que je ne dors pas à l'appart ce soir. Tu as donc le champ libre ! C'est y pas gentil et bien pensant de ma part ? Non ne me remercie pas c'est ma grande bonté d'âme qui t'offre cette chance inouïe de te foutre en l'air avec l'homme de ta vie en d'autre mot mon frangin. Bonne chance et n'oubliez pas les protections parce que c'est important de se protéger. Bise. »
Et avant que le Ryry en question ai pu répliquer elle lui raccrocha au nez. Le brun tenait toujours son portable à l'oreille et était aussi rouge qu'un humain pouvait l'être, c'est à dire d'une belle teinte bordeaux qui s'accordait magnifiquement bien avec son pantalon noir et sa chemise blanche. Puis il décolla son appareil de son oreille et se mis à insulter copieusement Roxane de tous les noms d'oiseaux qu'il connaissait.
Draco, qui ne comprenait rien à la scène, commençait à s'inquiéter de la santé mentale de son cher et tendre. Il toussa pour lui faire remarquer sa présence. Harry stoppa immédiatement son gentil discourt destinée à la sœur maudite de sa tendre moitié et fixa celui-ci l'air gêné.
« C'était ta hum… sœur, expliqua t-il en passant nerveusement la main dans sa masse capillaire.
- Que voulait-elle, demanda doucement Draco.
- Juste me prévenir qu'elle me laissait l'appart pour ce soir, répondit l'ex-griffi reprenant sa belle teinte bordeaux.
- L'appart ? Questionna le blond en fronçant les sourcils.
- On habite ensemble, expliqua le brun. »
Le regard de Malfoy se voilà et il sera les poings, la mâchoire crispé. Harry remarquant dans quel état sa déclaration l'avait plongée se dépêcha de remettre les pendules à l'heure.
« Nous sommes colocataires. L'appart lui appartient mais j'y ai ma chambre et je lui verse un loyer à la fin de chaque mois. »
Draco plongea ses deux billes de métal dans les forêts amazoniennes de Potter.
« Il n'y a rien entre nous. Il s'agit juste de ma meilleure amie, appuya Harry renvoyant son regard à Malfoy. »
Celui-ci hocha la tête pour lui monter qu'il avait compris. Dans sa tête il avait déjà sabré le champagne.
« Ça te dit de venir manger à la maison ? Demanda Potter après un instant de silence.
- Avec plaisir, accepta Draco, lui faisant son sourire marque déposé Colgate. »
Ils sortirent par la porte des artistes pour rejoindre le smart Rouge et verte de Potter. Draco s'étonna qu'Harry ai passé son permis. Celui-ci rit et lui répondit que la voiture était très utile surtout lorsque l'on se déplaçait beaucoup dans le monde moldu.
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Le voyage se passa bien. Les deux hommes en profitèrent pour prendre des nouvelles de l'autre. Ainsi Harry appris que le blond et Dumby avait créé des liens Grand-père petit-fils et que ce dernier avait été plus qu'utile pour le soutient morale du blond pendant ses années sans lui. Le brun avait été étonné de voir Draco s'ouvrire si facilement. Le blond n'avait mis que deux minutes à lui avoué que ces quatre années passées à attendre des nouvelles de lui avaient été les pires de sa vie. Puis il avait avoué que le fait qu'Harry l'ai repoussé l'avait presque détruit.
Potter s'était excusé honteux.
Aucun des deux n'ignorait les sentiments l'autre ce qui facilitait considérablement les choses.
Harry, lui, lui avait raconté sa rencontre avec Roxane juste avant leur… altercation, son départ pour la France, ces années passées dans ce pays où il avait réalisé son rêve. Puis il avait osé parler de la peur qui l'avait saisi pendant leur baisé, du vide qui l'avait poursuivit pendant ces années loin de lui…
Ils étaient tellement plongé dans leur conversation qu'Harry faillit continuer sa route alors qu'ils étaient arrivé.
Malfoy fut surpris de voir que Franck et Harry habitait la même ville. À cette remarque le survivant éclata de rire.
« Il est venu à Boulogne pour être plus près de Rox : Il avait peur que quelqu'un la lui prenne.
- Je suppose que tu parle de ma sœur lorsque tu dis Rox, grogna Draco claquant avec violence sa portière.
- Je me suis toujours demandé s'il s'agissait de son vrai prénom.
- Non se n'est pas son prénom. Petite elle le détestait, je comprends qu'elle s'en est débarrassée. Mais j'aime pas savoir que ce type lui tourne autour, répondit le blond sur le même ton.
- Heu… tu parles d'un ami à toi là, s'inquiéta Potter.
- Possible mais j'aime qui lui tourne autour, répliqua Draco butté. »
Harry le regarda tout sourire alors qu'ils entraient dans l'immense bloque de béton qui servait d'immeuble pour arriver dans un très long couloir au sol de marbre.
« Ne souffrirais-tu pas du complexe du grand frère Draco ? Ricana t-il doucement alors qu'il vérifiait le courrier. Le grand Dragon, il ne veut pas laisser sa petite fleur au gentil Franck de peur qui la lui vole.
- Tu dis n'importe quoi et puis c'est ma grande sœur, bougonna Malfoy en enfonçant ses mains dans ses poches. »
Ils entrèrent dans un minuscule ascenseur, ridicule pour les vingt quatre appartements que comptait l'escalier B de la résidence Jean Baptiste.
« Grande sœur ?
- Elle est née environ une demi-heure avant moi, expliqua Malfoy.
- Ah j'avais oublié que vous étiez jumeaux. C'est fou, vous ne vous ressemblez pas du tout. Autant du côté physique que du côté moral.
- Normal, nous avons été élevés séparément. Moi par notre père, elle par notre mère. De plus elle n'était pas considérée comme étant une « Malfoy » Sang Pur oblige. »
Harry hocha la tête. Il glissa la clé dans la serrure de la porte blindée et la tourna. La porte s'ouvrit sur une vieille glace décorée d'une multitude de photos.
L'appartement était agréable. Ses trois pièces spacieuse et claire. La chambre de Roxane était ouverte et laissait voir un foutoir impossible. Des livres et des feuilles traînaient un peu partout ainsi que des vêtements et des sacs en plastiques. Sur un meuble destiné à cet effet un ordinateur trônait entouré par une multitude de bougie.
Draco fronça le nez devant le désordre et les bougies.
« C'est son lieu de culte, expliqua Harry sans que le blond lui demande quoi que ce soit.
- Lieu de culte ?
- Bénire, admirer, servir Internet et ff. net, répondit simplement le brun comme si c'était normal. Je te rassure, elle n'allume jamais les bougies et ne célèbre pas de messes noires en l'honneur de son ordi. C'est juste qu'elle a la fleme de retirer les bougies qui date de la dernière panne d'électricité que l'on a eu c'est à dire plus d'un an et puis elle trouve que ça fait kitch. Tu veux manger quoi ? J'ai de la pizza si tu veux.
Draco hocha de la tête. Lorsque cela fut près, dix minutes plus tard, et qu'ils se mirent à table Malfoy posa une question qui le tarabustait.
« Vous ne faites pas de dîné spéciale pour la première avec toute l'équipe etc etc ?
- Non on le fait à la dernière représentation.
- Ah…
- La plupart du temps on va chez Franck -son appart est vraiment grand- et on ce fait un buffet télé. On passe un bon moment quoi. Rien de super médiatisé dans un magnifique resto qui vaut la peau des fesses.
- Vous regarder quel genre de films ? Demanda le blond intéressé alors qu'il dévorait sa part de pizza au chorizo et au parmesan.
- Des comédies. Il faudrait qu'on se regarde Mission Cléopâtre une fois.
- Pourquoi ? C'est bien ? »
Potter qui s'apprêtait à enfourner une énorme bouchée la laissa tombée dans son assiette les yeux exorbités.
« Tu ne connais pas Mission Cléopâtre avec le moins huit mille, imothèpe (Zoo pas sûr de l'orth.) Les chacaux et les tombeaux ? Mais c'est de la culture générale !! S'écria t-il avant de disparaître dans une autre pièce et de revenir avec dans les mains un petit boîtier coloré. »
Il en sortit un disque brillant et l'inséra dans une machine branchée à la télé. Après avoir réglé quelques trucs avec un autre boîtier plein de touches le film commença.
Au bout de deux minutes à peines Draco était déjà plongé dans l'histoire, riant à gorge déployée.
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Ils avaient quitté la table pour s'installer adossé contre le canapé, assis par terre. C'était tout naturellement qu'Harry s'était installé entre les jambes du blond et que celui-ci lui tenait amoureusement la taille. La tête du brun reposait paisiblement contre le torse du blond et ses mains étaient posés sur celles de celui-ci. Lorsque Draco riait son souffle venait chatouiller la peau fragile et sensible du cou de Harry, le faisant frissonner.
Puis le film se termina mais aucun des deux hommes ne se leva pour éteindre le lecteur DVD. Ils voulaient rester là serré l'un contre l'autre, la chaleur de l'un réchauffant l'autre, le souffle de l'un faisant frissonner l'autre. Ils étaient si bien. Ils s'étaient enfin retrouvé. Ils étaient enfin ensemble.
Tous les deux.
Ensemble.
Seuls.
Dans les bras de l'autre.
Enlacés.
Amoureux.
Draco sourit et déposa un petit baisé sur la joue rose de Harry. Celui-ci poussa un petit gémissement de contentement.
« Tu avais raison. Il est génial ce film, murmura doucement le blond à l'oreille de brun le faisant frémir de plaisir.
- J'ai toujours raison.
- Ah oui ? Et qu'allons nous faire pour le reste de la nuit ?
- L'amour jusqu'au matin, répliqua Potter se retournant pour embrasser son futur amant.
- Tu sais que tu as raté ta vocation ? Tu aurais du être devin ! Déclara le blond tout contre les lèvres pleines et rouges de son ange. »
D'un coup il se leva prenant dans ses bras Harry à la façon nuit de noce : un bras sous les épaules l'autre sous les genoux, le faisant crier de surprise puis rire comme un gosse.
Il le déposa doucement sur son lit pour le recouvrire tout de suite de son corps. Leurs bouches s'aspirèrent pour commencer une lutte douce et sensuelle. Leurs langues bataillaient durement se goûtant avec passion et suçant le reste de leur cavité buccal. Leurs mains elles étaient partit à la découverte des moindres recoins du corps de l'autre, taquinant, caressant, pinçant, flattant chaque centimètre carré de la peau incandescente que cachait leur vêtement.
Alors que Draco s'attaquait à la rangée de bouton qui l'empêchait de se rassasier du torse de son homme, Harry essayait de lui retirer son pull qui lui posait le même problème. Ils furent obligés de stopper leur baisé pour que le brun puisse passer par-dessus la tête du blond le vêtement gênant permettant ainsi à Malfoy de lui enlever sa chemise.
Ils reprirent possession de leurs lèvres et le contacte de leur deux torse dénudé les firent trembler de désire. Toutes leurs terminaisons nerveuses étaient en feu.
Puis le blond fit glisser sa bouche le long de la mâchoire de Potter le faisant adorablement gémir. Il s'attaqua à son cou laissant bons nombres de suçon sur la peau fragile ainsi que des traînées de salives. Il vint ensuite mordiller son lobe de l'oreille gauche alors que l'une de ses mains lui taquinait un téton et que l'autre lui caressait son ventre plat.
Harry, loin de rester en reste, lui caressait les hanches et les flancs et bougeait sensuellement du bassin. Il sentait l'érection brûlante du blond contre son aine droite alors que la sienne se frottait contre l'un de ses cuisses.
Des gémissements rauque ou étouffé sortaient de leurs deux gorges.
Draco quitta le cou d'Harry pour partir à la découverte de son torse.
Il embrassa et mordilla ses deux clavicules avant de passer sa langue dans le creux qu'elles formaient faisant se cambrer le brun. Ensuite il glissa cette même langue jusqu'à un téton dressé et en fit le tour avant de le mordre doucement.
Potter avait enfouit ses mains dans la chevelure douce de son tortionnaire et poussait de faible gémissement se cambrant à chaque coup de langue ou de dent sur sa personne. Ses reins étaient en feu et il bougeait désespérément du bassin pour calmer son bas-ventre qui le faisait atrocement souffrir tant il était gonflé.
Le frottement du membre durci de Harry contre sa cuisse excitait diablement Draco. On ne parlait même pas de ses déhanchements. À chaque fois que Potter bougeait son bassin le pénis de Malfoy se durcissait un peu plus le rendant très douloureux.
Le blond continuait quand même ces tortures. À présent il dessinait du bout de la langue les abdominaux parfaits du brun. Celui-ci n'était plus que gémissement et avait agrippé les draps de ses mains pour les serrer de toutes ses forces. Il était cambré au maximum, arquant son dos à sans faire mal.
Enfin Draco stoppa ses caresses ce qui lui fallut un grognement de frustration. Il sourit, remontant sa tête à la hauteur de celle de son amant pour échanger un baisé sulfureux.
Alors que sa langue se perdait dans la douceur de la grotte buccale du blond Harry retourna la situation d'un fort coup de hanche. Il emprisonna Malfoy sous lui faisant fit de ses grognements de mécontentement.
Avec sadisme il lui fit subire les même caresses, savourant ses gémissements et surtout le goût et la texture de sa peau.
Mais Potter lui ne s'arrêta pas à la barrière que formait le pantalon de Draco.
Il déposa doucement l'un de ses mains sur la bosse qui déformait considérablement le vêtement et y exerça une pression. Les yeux de Malfoy se fermèrent et il rejeta la tête en arrière poussant râle de pur plaisir.
Harry se laissa quelque instant pour admirer la beauté de son homme.
Ses cheveux étaient éparpillés autour de son crane. Ses lèvres rouges de leur dernier baiser étaient entrouvertes et laissaient de temps en temps passer de doux gémissements. Son torse, qui était tapissé de petit suçons ainsi que de griffures légères, se soulevait à un rythme parfaitement irrégulier.
Le blond plongea son regard acier dans les yeux de Harry. Le voile de désir qui les enfermaient rendit fou le brun. Moins que la supplique que lui adressa Malfoy.
« Harry… »
La voix n'était plus qu'un gémissement.
Potter se jeta presque sur la braguette dérangeante. Lorsqu'il réussit enfin à l'ouvrire il passa deux doigts dedans pour faire glisser le pantalon le long des hanches fines et des jambes fuselées de Draco.
La vue du caleçon noir déformé par l'érection du blond le fit littéralement fondre.
Lentement il en souleva l'élastique et un passa trois doigts qui se mirent à caresser avec tout autant de lenteur la verge gorgée de sang.
Draco poussa un cri et voulu saisir la main de Harry pour qu'elle le prenne entièrement. Celui-ci la repoussa avec sadisme et sourit au blond en secouant le doigt.
« Tututu.. »
Il reprit sa torture en agaçant le gland pourpre du bout de ses doigts.
Malfoy se tendit criant le nom de son amour.
« HARRY… »
À cette appelle le brun retira le sous-vêtement libérant enfin le sexe de sa prison de tissu. Il sourit à nouveau à Draco en se pourléchant les babines. Malfoy frissonna imaginant bien ce que le brun avait en tête. Son pénis en tremblait d'anticipation.
Harry baissa donc la tête et déposa un petit baissé sur la tête du désire fièrement dresser du blond.
Immédiatement les mains de Draco migrèrent dans la tignasse folle de Potter et la serra, poussant un cri animal.
Harry sourit et repris son travaille glissant sa langue le long du sexe appréciant sa texture et son goût. Il taquina les testicules gonflés de ses dents avant de déposer une multitude de petits baisés sur tout le sexe.
Malfoy n'en pouvait plus. Son sexe lui faisait mal tellement il était tendu et les caresses de Potter n'arrangeaient rien. Il souleva ses hanches et pressa ses mains sur la tête de Potter pour lui faire comprendre son désir.
Mais Harry n'y fit pas attention et continua ses supplices.
Draco criait, suppliait, gémissait. Des larmes coulaient le long de ses joues.
« Harry… Sil te plait, gémit-il pitoyablement bougeant furieusement des hanches.
Le brun le pris enfin en bouche.
Draco en cria de plaisir.
Harry le suça avec application alternant va et vient rapide et lent, coups de langue…
Malfoy était tendu au maximum et remuait les hanches au même rythme que Harry sur son sexe.
« Oh mon dieu. »
Potter le tenait au fond de sa gorge dans un va et vient enragé.
Sentant l'orgasme venir Draco tira sur les cheveux de Harry pour qu'il se retire. Harry l'ignora complètement et continua son activité.
« Je viens… HARRY… Je vais venir… »
Et il jouit dans la bouche de Potter qui se fit un plaisir de tout avaler.
Il se redressa et alla embrasser à pleine bouche son amant qui respirait difficilement. Draco accepta avec empressement le baisé y répondant avec fougue pour montrer à Harry à quel point il avait apprécié ce qu'il venait de lui faire.
« Tu es extraordinaire Harry Potter, déclara Draco à la fin de leur baisé.
Je sais, répondit Harry avec une fausse suffisance, c'est de famille.
Quelle modestie ! »
Draco sourit puis vicieusement retourna Harry. Il se trouvait maintenant sur les cuise encore recouverte de celui-ci et lui sourit dangereusement.
« À mon tour petit lion. »
Devant son air de prédateur Harry déglutit difficilement.
Son sexe frottait contre la paroi de son caleçon et lui faisait très mal.
Le blond pris sa baguette et la pointa sur Harry murmurant une formule : « Protecto Sexus. »
Puis il mit un de ses doigts, préalablement léché par ses bons soins, à l'intérieur du nombril de Potter puis le fit glisser jusqu'à la barrière que formait encore le jean.
Alors il commença à le défaire lentement. Harry gémissait.
Lorsqu'il eut retiré tous les boutons du pantalon il le fit glisser sur les jambes parfaites de son amant. Le vêtement fini donc par terre, vite suivit du caleçon dérangeant.
À la vu du sexe dressé et écumant de Harry, Draco se senti durcire.
Doucement il écarta les cuisses de Harry et se plaça entre elles. Lorsque le brun senti Malfoy entre ses jambes il ne put que laisser échapper un cri d'anticipation.
Puis il ne sentit plus que le doigt du blond qui s'insinuait entre ses fesses et qui commençait à entrer dans son entré secrète. Il se tendit un peu sous l'intrusion mais Draco s'empressa de l'embraser et il se décontracta aussitôt.
Un autre doigt entra, suivit par un troisième, faisant crier le brun de plaisir.
Enfin les doigts furent remplacés par quelque chose de plus gros et plus dur.
Harry gémit de douleur. Douleur qui fut vite remplacer par du plaisir à l'état pur lorsque Draco frôla sa prostate.
Ils se mirent tous deux à bouger dans un parfait ensemble. Le corps recouvert de sueur, criant leur plaisir commun.
Les coups de reins se firent plus durs, laissant Harry complètement pantelant de plaisir.
Une main vient se poser sur son sexe alors que l'autre tenait ses hanches. Elle le masturba à la même allure que les coups de boutoirs qu'il subissait.
C'est ainsi que Potter vient dans la main de Draco, hurlant son prénom, faisant se contracter son anus autour du sexe du blond.
Draco se libéra alors, hurlant lui aussi le prénom de son amant.
Il s'écroula sur le brun, haletant mais repus.
Harry lui caressa doucement sa chevelure collée par la sueur et lui murmura doucement à l'oreille :
« Je t'aime. »
Draco le serra alors dans ses bras et redressa la tête pour le regarder dans les yeux.
« Je t'aime aussi. »
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Le lendemain Harry fut réveillé par un bruit de grille pain qui saute. Il fut surprit car Draco le tenait fermement dans ses bras et était encore profondément endormi. Il était d'ailleurs adorable. Doucement le brun déposa un petit baisé sur le front du blond avant de ce dégager de sa chaude étreinte.
Il saisit un caleçon dans sa commode pour s'en vêtire puis se dirigea vers la cuisine pour voir ce qu'il s'y passait.
Il trouva dans la pièce Roxane préparant une montagne de toaste.
La jeune fille le remarqua et lui jeta un regard moqueur.
« Bonjours ! Bien dormit, je suppose ! »
Alors qu'Harry allait répondre en rougissant deux bras le ceinturèrent et une voix répondit à ça place.
« Parfaitement ma chère sœur. Pourquoi ?
- Pour savoir. D'habitude il est le premier levé et c'est lui qui me traîne hors de mon lit en me traitant de marmotte alors vue l'heure je me posais juste la question, Répondit simplement la blonde en mordant dans sa tartine.
- Il n'est pas si tard que ça, déclara Harry mi-amusé mi-inquiet.
- Juste neuf heures et demi.
- QUOI, s'écria Harry paniqué. »
Il se dégagea de l'étreinte de Draco et couru dans sa chambre. Deux minutes plus tard il revient habillé à peu près correctement.
Il saisit un toaste que lui tendait Roxane et l'engloutit. Il en pris deux autres et les mangeas à la même vitesse.
« Pourquoi ne m'as-tu pas réveillé ? Demanda t-il entre deux bouchée à la jeune fille qui buvait tranquillement son thé.
- Parce que j'ai prévenu le boss que tu serais en retard et puis vous étiez SI mignon tous les deux. Vous n'avez pas oublié les protections j'espère !
- Ça te regarde en quoi ? Grogna Draco qui était parti s'habiller.
- Ryry est mon meilleur ami et toi, tu es mon frère, je n'ai aucune envi de vous perdre ! »
Draco se renfrogna, vexe de s'être fait rabaisser le caquet par sa sœur.
« Bon, il faut qu'on y aille, dit Rox en se levant.
- Pourquoi y allez-vous si tôt ? Demanda Draco.
- Parce que le matin il y a des embouteillages monstres dans Paris, comme tout le temps en faite et que logiquement nous aurions du y être pour sept heures.
- Si tôt !! S'écria le blond.
- Et bien vu qu'on ne fait pas le point le soir de la première on le fait le matin ! Ce soir James joue encore et il faut que le metteur en scène nous dise ce qui a cloché…
- Mais c'était parfait !
- Non, répliqua Harry en enfilant son manteau. Je me suis trompé à la scène du nez, il y a eu un problème à la scène du balcon et la scène finale à été décalé sur la scène ce qui à fait bizarre.
- Tant que ça ?
- Beaucoup plus sûrement ! Le metteur en scène nous le dira. Tu passe à midi ? Demanda Potter.
- Bien sûr, répondit Draco en l'embrassant tendrement. »
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Lorsque Draco arriva la répétition venait juste de se finir. Roxane arriva la première, elle le présenta donc à tout le monde. Toute l'équipe fut surprise d'apprendre que Rox avait un frère jumeau.
« Elle vous a caché beaucoup de chose ! Déclara Draco. Son prénom par exemple.
- Draco tu ouvre la bouche je te découpe comme une mortadelle d'Italie, menaça la jeune fille. »
Tout le monde rit au clin d'œil fait à Cyrano.
« Mais je ne vais rien dire ma chère Panathénées !
- Tu l'auras voulu Draco Dionysos Malfoy, répliqua méchamment la jeune fille en insistant bien sur le second prénom de son frère.
- C'est très bas Pana !
- Autant que toi ! »
Et ils continuèrent à se chercher des poux pendant un certain temps.
Enfin Harry arriva à les séparer et Franck traîna la jeune fille pour l'amenée dans un restaurant.
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Le couple alla dans la salle du théâtre pour parler. Elle était vide. La scène portait les décors de Cyrano. Ceux de la scène du balcon plus exactement.
Harry sourit. Il était heureux de se retrouver là, dans cet endroit qu'il chérissait tant avec l'homme qu'il aimait. Doucement il se mit à caresser le velours rouge sang d'un des fauteuils.
Draco lui admirait son petit ami. Il l'avait tellement attendu et maintenant il était la près de lui, lui appartenant corps et âme. Dans un élan d'amour il le prit possessivement dans ses bras. Potter se laissa aller contre le torse, se blottissant dans ses bras forts.
« Je t'aime tellement Harry. Je veux passer le reste de ma vie avec toi. Tu verras ma mère t'adoreras et te demandera de lui faire une ribambelle de petit enfant. On sera si bien ensemble au manoir.
- Au manoir ? Questionna Harry en fronçant les sourcils.
- Oui. Tu dormiras dans ma chambre. J'ai tout une aile de la demeure à ma disposition. Tu pourras la décorer à ton goût. Je suis sûr que se serra magnifique.
- Mais je ne veux pas rentrer en Angleterre. C'est ici ma place Draco. C'est ici ma vie. Dans ce pays, dans ses théâtres. Je n'ai rien à faire en Angleterre, paniqua Harry en se décollant du blond et en le regardant dans les yeux.
- C'est ici que je travaille. Je ne vais pas abandonner mon travail.
- Mais ce n'est qu'un passe temps. Tu vas t'en lasser. Tu ne compte pas passer le restant de ta vie à jouer de la tragédie ?
- Tu es comme Hermione et Ron. Tu ne vois que toi et le « sauveur ». Ma vie elle est ici et nulle par ailleurs. Que m'offres-tu en Angleterre ? Un manoir où je pourrais m'occuper de la déco et des enfants ? Mais oui je veux avoir des enfants. Des enfants de toi. Mais pas comme ça. Je ne deviendrais pas homme au foyer Draco. Mon univers c'est le théâtre, on ne me l'enlèvera pas. Si tu m'enlève le théâtre Draco tu m'arrache mon oxygène.
- Tu ne m'aimes pas Harry. Si tu choisis ton métier plutôt que moi c'est que tu ne m'aimes pas, déclara douloureusement Malfoy.
- Ne dis pas que je ne t'aime pas. Ce n'est pas parce que je refuse d'abandonner mon métier pour aller vivre avec toi que je ne t'aime pas. Mai pourquoi devrais-je à chaque fois quitter ce que je me suis construis pour les autres ? J'ai trouvé ma place et j'y reste. Plus jamais je ne laisserais ma vie dans les mains des autres.
- C'est moi ou le théâtre Harry.
- Ne me demande pas de choisir ! Si toi tu m'aimais, tu ne me demanderais jamais cela. Pourquoi tu ne quitterais pas TOI l'Angleterre ? Pourquoi cela devrait être à moi de faire le choix ? Pourquoi Draco ? »
Le brun était en larmes. Malfoy le regarda désolé.
« Je ne sais pas.
- Tu ne sais pas ?
- Non.
- Et bien moi j'ai fait mon choix. Si tu repars, tu ne me reverras plus jamais. »
Puis il se mit à courir laissant là un homme désespéré.
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Roxane entra dans la salle. Elle trouva Draco assis sur un fauteuil, la tête dans les mains. Doucement elle s'installa à ses côtés et lui secoua l'épaule.
« Hey !
- Hey.
- Que s'est-il passé ? James est revenu en larme. Cela faisait deux ans qu'il n'avait pas pleurés.
- Je lui presque imposé de venir habiter au Manoir.
- C'était vraiment pas le truc à faire, répliqua la blonde en soupirant.
- Ça je m'en suis rendu compte figure-toi, déclara sèchement Malfoy en se relevant.
- Comprends-le ! Il te retrouve enfin et toi tu lui impose son avenir. Le théâtre c'est ça vie.
- Et moi je suis quoi ? La roue de secoure ?
- Tu es placé juste avant le théâtre.
- Vraiment ? Demanda méchamment le jeune homme.
- Écoute Draco : Même si James t'aime, il ne pourra pas vivre sans le théâtre. De même, il ne pourra pas vivre sans toi, même avec le théâtre, plus maintenant du moins.
- Ne l'appelle pas James, il s'appelle Harry, grogna Draco entre ses dents.
- Non ! Ici il s'appelle James. Avec toi il est Harry mais ICI s'est James et ça tu n'y pourras jamais rien. Harry ne peut vivre sans James.
- Donc James ne peut vivre sans Harry !
- Ça ne marche pas comme ça frangin. James peut parfaitement vivre sans Harry tant que tu es avec lui. Mais si c'est Harry que tu veux, il faut te battre. Tu peux parfaitement rester avec James ici sans que Harry ne revienne. Tu comprends ?
- Non !
- Bien, soupira Rox. James c'est l'homme que tu as vu sur scène. Il n'est pas vraiment différent de Harry mais ce n'est pas Harry. Harry c'est celui avec lequel tu as passé la nuit et celui auquel tu viens de parler. Tu as bien vu que pour Harry, James est indispensable.
- C'est une image que tu me fais là ! James c'est le théâtre.
- Sff (sifflement) Que tu es doué !
- Donc si je ne veux pas perdre Harry je dois accepter le théâtre dans sa vie.
- Oui ! »
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Harry était assis par terre dans sa loge, recroquevillé comme un enfant. Ses joues étaient trempées de larmes et celles-ci ne s'arrêtaient pas de couler. Soit-il perdait sa passion : Le théâtre, soit-il perdait Draco : Sa vie.
Il ne savait plus.
Inconsciemment il se mit à déclamer des vers d'Antigone.
« Vous me dégoûtez tous avec votre bonheur ! Avec votre vie qu'il faut aimer coûte que coûte. On dirait de chiens qui lèchent tout ce qu'ils trouvent. Et cette petite chance pour tous les jours, si on n'est pas trop exigeant. Moi, je veux tout, tout de suite, -et que ce soit entier- ou alors je refuse ! Je ne veux pas être modeste, moi, et me contenter d'un petit morceau si j'ai été bien sage. Je veux être sûre de tout aujourd'hui et que cela soit aussi beau que quand j'étais petite -ou mourir. »
Draco qui était à la porte l'entendit de ça petite voix tremblante. Il la poussa donc la porte et vient le prendre dans ses bras.
« On va parler, on va décider ensemble de ce qu'on va faire. On va la faire tous les deux notre vie. »
Fin.
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Vilà c'est fini ! Ça vous a plu ? Moi bof mais bon ! Pour le lemon c'est mon deuxième alors soyez gentils !
Non je rigole ! Partez pas !! La fin je la mettrais samedi ! Le 11 ! Pourquoi ? Parce que c'est mon niniversaire ! 16 ans ! ;D Et ça sera mon cadeau pour vous !!
Putain de site de "censsured" Il ne veut plus mettre ses bars!!!!
Désolez mais je fais pas les RARs aujourd'hui sinon je ne posterais jamais ce chapitre !!
Donc merci à tout le monde !! Vos messages me font réellement plaisir ! Le mot sadique revient souvent ! Je me demande pourquoi !! Lol ! Vraiment merci et n'hésitez pas à me bombarder encore car je vous promets de répondre cette fois si !!
En merci et à dans quatre jours !!
Un petit commentaire ? ;)
Zoo.
