Chapitre 10
Le lion
La liste finale des joueurs avait été assez bien acceptée, même par ceux qui n'étaient pas prit dans l'équipe. Le vendredi après le souper, Harry alla rejoindre Cho pour faire une petite promenade en tête à tête dans le parc de l'école.
- Tu sais Cho, commença Harry, je crois que ce sera la plus belle année que de ma vie. Bien si ce n'est pas le cas, c'est le meilleur commencement d'année de toute ma vie.
Cho éclata de rire. Harry en lui voyant son sourire radieux, il se mit a sourire et à la regarder tendrement. Il l'emmena dans un coin sombre et tranquille.
- Cho, repris Harry en s'assoyant sur le gazon, tu est la plus belle chose qui met arrivé.
Cho se mit à rougir regarda le sol avant de reprendre la parole.
- Je t'aime énormément Harry. Je sais que l'an passé j'ai pu être mélangeante avec Cédric mais maintenant tout est claire dans ma tête. C'est toi que j'aime, et ce, pour toujours.
Harry la regarda dans ces merveilleux, beaux et captivants petits yeux et la prit dans ses bras avant de l'embrasser.
Il y eu une voix qui raisonna dans tout le parc. Bien plus qu'une voix, un hurlement. Un hurlement animal et non humain.
- Cho je crois qu'il est temps qu'on entre dans l'école peut-être que ce sont des loup, ou des loup- garou même.
- Mais de quoi tu parles Harry, dit Cho surprise de cette soudaine montée d'angoisse ? De quel hurlement tu parles harry.
Cho sentit la peur monter en elle d'un coup.
- Ce n'est rien, fit Harry en afficha un sourire remarquablement forcé sur son visage. Ça doit être dans ma tête.
Cho fit un signe approbatif de la tête mais restait quand même sur ses gardes.
- Tu ne crois pas qu'ont devraient entrer à l'intérieur, demanda Harry à Cho dans l'espoir de la mettre à l'abri si la chose qui avait fait se hurlement revenait ?
- D'accord Harry, répondit Cho se demandant ce qui pouvait bien venir de se passer.
En se levant, juste avant de ce mettre en route pour le château, Harry jeta un coup d'œil au alentour pour voir si il ne pouvait pas apercevoir quelque chose. Sans vainc. Il vit par contre, la cabane Hagrid. En voyant la fumée qui sortait de la cheminée, Harry se rappela que, ni lui, ni Ron, ni Hermione n'avait été prendre de ses nouvelles, et ça, depuis le début des cours.
De retour au château, il embrassa Cho.
- Je crois que suis épuisé par cette première semaine, alors je vais aller me coucher, lui dit Harry.
Cho était très embêté par ce qui venait de se passé mais ne posa pas de question et le laissa aller se coucher.
Arriver dans la salle commune Hermione et Ron étaient coucher un à côté de l'autre à côté du feu.
- Hermione, Ron, fit Harry essoufflé du au fait qu'il ai courut pour se rendre à la salle commune. Je crois que j'entends des choses dans ma tête.
- Tu veux dire, continua Hermione, que tu entends des serpents comme à la deuxième année.
- Non, pas du tout, repris Harry, c'était plus comme des hurlements d'animal.
- Faut avoué que c'est assez inquiétant, dit Ron.
- J'ai aussi vue, dit Harry, en cherchant d'où venait ces sons, la cabane de Hagrid et sa m'a fait penser qu'on ne la pas encore visité.
- J'y suis aller moi, dit Hermione !
- Et quand, continua Ron ?
- Pendant les essaies, répondit Hermione.
- Comment il va, dit Harry, tu le sais ?
- Il va très bien c'est seulement qu'il a encore un peu de mal avec Graup, dit Hermione.
Les jeunes parlèrent un peu de Graup et de Hagrid. Jusqu'à ce que Ron décide d'aller ce coucher. Hermione laissa un doux baiser à Ron avant qu'il monte au dortoir en compagnie de Harry.
La discussion ne fit pas longue car tout de suite après s'être étendu, Ron se mit à ronfler. Alors Harry se coucha et mit environ 10 minutes avant de plonger dans le monde des rêves.
Harry était dans une pièce sombre ressemblante au bureau de Dumbledore. Non ! S'était bel et bien le bureau du directeur. Harry regardait autour quand il se rendit compte qu'il était dans le corps de Fumseck, le Phénix de Dumbledore. Il était enfermé dans une cage et personne n'était dans la pièce.
- Mais qu'est-ce que je fais ici moi, se demanda Harry en ne voyant personne autour.
À la fin de sa pensé, Dumbledore arriva en transplanant dans la pièce. Il y avait un autre personne avec lui il était maigre et plus petit que Dumbledore.
- Je crois bien que notre plan va à merveille Monsieur.
Harry reconnu cette voix aigu et gelé c'était celle de Lord Voldemort.
- Mais qu'est-ce qu'il fait ici, se dit Harry.
Il arrêta de penser à ça et écouta la suite de la conversation.
- C'est vrai que ça ce passe très bien jusqu'à maintenant, dit Dumbledore, mais il ne fat pas trop s'emballer car il y a deux amis de Harry Potter qui pourrait lui être d'une grande aide contre vous. Il y a aussi Rubéus Hagrid, qui, malgré le fait qu'il soit demi géant et demi sorcier, il pourrait faire bien des dommages.
- Vous avez tout à fait raison monsieur, repris Voldemort, il faut faire attention à ses amis.
- Ce Hagrid ne le sait pas encore, dit Dumbledore mais il jouera un rôle très important dans la fin de cette guerre.
Harry resta sans un bruit pour ne pas manquer un seul mot de la conversation. Il n'en croyait pas ses yeux, Dumbledore et Voldemort étaient alliés.
- Je crois que le plus grand danger, continua Dumbledore, c'est ce foutu sang-mêlé de Hagrid.
Harry, en entendant ces mots, ce mit à bouger dans la cage et les deux hommes se retournèrent vers lui.
Il remua dans tous les sens pour sortir de la cage, sans vainc. Il ferma alors les yeux en voyant les hommes approcher de lui et, en les réouvrant, il était en sueur dans son lit, n'ayant plus aucunes couvertures, elles étaient toutes par terres.
Il se leva pour reprendre ces esprit, il se mit devant le fenêtre éclairée par la lumière que projetait la lune. Harry se rendit compte, à ce moment, que son corp était emplit de poil, beaucoup de poil. Il alla prendre un petit miroir dans sa valise et se mit à regarder son visage d'un air apeuré. Harry avait le visage aussi poilu que le reste de son corps.
Il replaça le miroir sur sa table de chevet, avant de partir à la course vers la salle commune.
Il courru dans les couloirs assombris par cette nuit d'octobre et il s'arrêta devant la gargouille menant au bureau de Dumbledore.
Harry resta là, debout, devant la porte.
- Mais quel est ce mot de passe, se demanda Harry ? Ouvre toi, hurla Harry dans la nuit !
La gargouille commença à monter laissant place au Professeur Dumbledore habillé d'une jacquette en flanalette de très mauvais goût.
- Voulez-vous bien me dire pourquoi vous criez comme cela dans les couloirs, la nuit monsieur Potter.
- J'ai rêvé à vous monsieur, et à mon réveil, j'était comme ça, dit Harry montrant ces mains au professeur.
- Je vois, repris Dumbledore. Entrez !
Dumbledore fit place à Harry devant lui pour monter les escaliers circulaires qui précédait l'entrée du bureau du vieil homme.
La conversation s'annonssait des plus interressante car en s'assoyant, Harry remarqua l'air embêté de Dumbledore.
- Que veux-tu me dire de si important, débuta Dumbledore.
- C'est que j'ai fait un rêve étrange, dit Harry, très étrange. Vous y étiez professeur et le rêve ce passait ici même, j'étais là, dans la tête de Fumseck, à écouter votre conversation.
- Notre conversation vous avez dit, repris Dumbledore, vous parlez de qui lorsque vous dites votre conversation Harry.
- Vous étiez en compagnie de Voldemort monsieur, répondit Harry.
Dumbledore parut facher pas cette affirmation.
- Vous savez Harry, repris le professeur, j'ai unn lien très proche avec Voldemort mais pas à ce point. Au fait, maintenant que j'y pense, vous ne faites plus du tout d'occlumantie.
- J'en ai fais quelque fois cette été mais ces tout, répondit Harry. Mais est-ce que vous étiez proche vous et Voldemort.
- Harry je vais t'avouer quelque chose, dit Dumbledore, je suis le grand-père de Voldemort. J'était très proche de lui lors de son enfancec mais maintenant, les seules fois que je le rencontre, c'est pour l'empêcher de te tuer.
- C'est donc pour ça qu'il vous crains tant, supposa Harry.
- Je n'ai seulement fais que lui enseigner tout ce qu'il sait, continua Dumbledore. J'était, à l'époque, son professeur.
Harry encore sous le choc de cette révélation, resta en silence pendant au moins une minute avant de se lever.
- Je suis désolé professeur dee vous avoir importuné si tard le soir, repris Harry.
- Ce n'est rien voyons, dit Dumbledore. Si il y a quoi que ce soit, tu m'en parle.
- J'oubliais professeur, enchaîna Harry, je sais pas pourquoi, mais à la suite de mon rêve, je me suis lever de mon lit et mon corps entier était velu, comme un animal.
Dumbledore parut réfléchir un instant avant de se lever et de l'examiner d'un coup d'œil.
- Un instant mon cher, fit Dumbledore juste avant de prendre sa baguette magique sur son bureau.
Il fit un coup de baguette en prononsant une formule incomprenable vers Harry, qui se sentit bizarre tout d'un coup. Il se mit à avoir une douleur intense dans la gorge et se mit à tousser. Tranquillement, sa toux se transformant en rugissement. Sa peau prit uune aparrance plus rosée qu'a l'habitude. Le poil qui avait recouvert son corps, à son réveil, recommença à pousser. Harry sentit la douleur qui envahissait sa gorge s'intensifier. Il se jetta à quatre pattes et son nez commença à devenir un museau.
