Expériences nouvelles : Chapitre 3

Et voilà, un nouveau chapitre ... Il est un peu plus long que d'habitude car il y a plus de blabla pour le contexte ...(c'est ma faute, j'suis désolé) En tout cas, Cathy et moi esperons que ce chapitre vous plaira aussi

N'oubliez pas de nous laisser vos commentaires !!!

" A moi de te faire crier, murmura le serpent à l'oreille d'Hatori, qui sourit à cette idée plus qu'attrayante..." Le serpent s'empala alors doucement sur le sexe durcit du dragon, qui laissa échapper un petit cri de surprise. Lentement, la colonne de chair se fraya un chemin en Ayamé, frottant contre les parois de son intimité. Lorsqu'il fut totalement en lui, Ayamé commença à bouger de haut en bas, accélérant progressivement ses mouvements. Haletant, il prit appui sur les épaules du médecin, qui gémissait de plaisir pendant qu'Ayamé bougeait, voulant lui faire profiter d'un maximum de plaisir ... Mais le médecin, très impatient, n'en pouvait plus d'attendre, il attrapa alors les hanches du serpent de ses mains, voulant l'obliger à accélérer ses mouvements. Mais (comme tout le monde le sait), Ayamé est quelqu'un de très têtu, il n'en fit donc qu'à sa tête, alors qu'Hatori le suppliait de toutes les façons qu'il connaissait. Mais c'était en vain, car Ayamé l'ignorait et continuait de jouer avec lui, l'écoutant gémir. Il l'embrassa, le caressa, frottant son sexe sur son ventre, le faisant gémir encore plus ... Le dragon, fort excité par toutes les attentions d'Ayamé, délaissa les hanches de celui-ci pour s'occuper de son sexe, qu'il caressa avec un rythme adéquat à la situation. Mais malgré toutes les sensations qui l'envahissait, Ayamé ne changeait toujours pas d'avis, il nargua même le médecin en posant sa main sur la sienne accélérant ainsi son rythme. Hatori n'en pouvait plus, il rejeta la tête en arrière et le serpent en profita pour le mordre à la naissance de son cou, puis pour remonter le long de celui-ci et l'embrasser lors d'un long baiser rempli d'amour. Alors qu'il l'embrassait, Ayamé décida d'accélérer ses mouvements de hanches, provoquant un cri de surprise de son amant, qui se s'attendait pas à ce qu'il réponde à sa requête à un moment pareil ...

Maintenant, Ayamé s'amusait vraiment, il était dans son élément ... il lui souffla à l'oreille : " Alors comme ça, tu m'as puni ...Tu dois sûrement savoir que je suis plutôt rancunier ... " A bout de souffle, Hatori ne put que soupirer alors qu'il voyait son amant sourire pendant qu'il continuait d'accélérer ses mouvements. Malgré cette fatigue plus que présente, Hatori voulait intensifier ce contact, il mit alors ses hanches en mouvements ressentant toujours plus de sensations ... Ayamé continuait ses va et vient, s'empalant toujours plus sur le sexe du médecin, lui arrachant de nombreux cris de plaisir. Celui-ci cria le nom de son amant alors qu'il se libérait en lui, ayant atteint sa limite. Mais Ayamé avait encore de la marge, il accentua une dernière fois ses mouvements, provoquant un cri d'extase du médecin qui se libérait de nouveau, suivit de près par le serpent qui gémissait de plaisir.
Ayamé recueillit le liquide blanc de ses doigts et le goûta, il embrassa ensuite son amant, lui permettant de le goûter lui aussi. Après avoir repris leurs souffles, Hatori lui demanda : " Comment réussis-tu à te libérer si tard, alors que moi ... moi, je me suis libéré deux fois ... - J'ai de l'entraînement ..., avec Shiguré comme partenaire ... expliqua Ayamé, un sourire aux lèvres." Il l'embrassa une dernière fois et rompit leur union, pour qu'ils puissent se rhabiller. Hatori, épuisé par leurs ébats, reprit la route vers la maison de Shiguré. Ayamé (comme à son habitude) était en forme, et ses yeux pétillaient de joie, voyant son amant épuisé, il le réconforta, tout en lui lançant un léger clin d'œil : "Tu te débrouilles toujours aussi bien ... malgré ton manque d'entraînement ... " Hatori rougit à cette remarque, et repensa aux multiples ébats lorsqu'ils étaient encore lycéens ... Il espérait bien qu'il allait rattraper son retard pendant son séjour chez Shiguré (qu'il allait peut être prolongé ...) Ils s'échangèrent alors un dernier baiser, alors qu'ils arrivaient enfin devant la porte de la maison du chien.

Alors qu'Ayamé et Hatori étaient encore sur le chemin de la maison de Shiguré, les trois jeunes amants dormaient toujours, et Shiguré essayait d'éviter de croiser sa rédactrice, qui lui courait après essayant désespérément de récupérer les nouveaux chapitres de son livre ... Il était aux alentours de 11h, la maison était plutôt calme (logique étant donné que Kyo et Yuki étaient trop fatigués pour se battre ...). Jusqu'à ce que l'on entende un cri strident dans toute la maison. C'était Tohru qui était rentrée et qui criait de toutes ses forces alors qu'elle voyait la rédactrice de Shiguré qui essayait de s'ouvrir les veines (enfin elle aurait eu du mal, vu comme la lame du couteau était aiguisée ...). Alors que Tohru poussait toujours d'horribles cris à s'en faire mal aux oreilles, Shiguré arriva tranquillement pour voir ce qu'il se passait ...(on peut pas dire qu'il était vraiment inquiet...) Il vit Tohru et sa rédactrice en pleurs, il les rassura toutes les deux du mieux qu'il put, pendant que dans la salle de bain, Kyo se réveillait. Il essaya de se relever mais Yuki l'en empêcha, l'attirant un peu plus près de lui, le serrant contre son torse. Il soupira de bonheur ... Ainsi lové, Kyo se rendormit, voulant profiter de leur proximité au maximum. Quelques minutes plus tard, se fut Haru qui se réveilla à son tour, mais comme personne ne le retint (le pov'), il se leva, remit son caleçon et descendit au salon. Shiguré lui demanda alors : "Où sont les deux autres am..., il retint ses mots ne voulant pas être découvert, ... je voulais dire où sont Kyo et Yuki ? - Ils sont toujours dans la salle de bain, répondit naturellement Haru - Hein ? ! quoi ?! ... euh ... les deux ... dans la salle de bain ... ensemble ?! heu ... c'est normal ??? balbutia Tohru" Haru n'avait pas remarqué que Tohru était là, ce qui ne le dérangeait pas pour autant, elle découvrirait tôt ou tard ce qui se passait entre Yuki et Kyo ... (quoi que, elle est tellement naïve des fois ...) Enfin, malgré que Shiguré ait repris son dernier mot, il avait très bien compris qu'il les avait vu faire, ce qui ne le dérangea pas ... Tohru, qui essayait toujours de comprendre comment se faisait-il que deux garçons étaient dans la salle de bain en même temps, fut coupée dans ses pensées quand elle vit arriver les deux garçons en question. Elle trouvait qu'ils étaient bizarres. Ils avaient tous les deux un sourire aux lèvres, et ils marchaient étonnamment proches ... Enfin, pour ne plus y penser, elle leur dit qu'il était l'heure de manger et que tout était prêt.

Après de nombreux blablas de la part de Tohru pendant le repas, de nombreux regards envieux voulant tout dire de la part de Yuki et Kyo, de nombreux sous-entendus (très peu subtil) de la part de Shiguré et de la plus grande inattention de la part d'Haru, celui-ci se leva, expliquant qu'il devait faire quelque chose et qu'il reviendrait après. On entendit un "A tout à l'heure" général et il s'en alla. Tohru demanda alors à Yuki : " Tu n'avais pas dit qu'il fallait ramasser les fraises pendant la semaine ? - oui ... c'est vrai, répondit Yuki fort distrait par les multiples signaux que lui envoyait le chat. - Et si on allait s'en occuper ?, proposa Tohru réfléchissant déjà à ce qu'elle pourrait faire avec, pendant qu'il ne fait pas très chaud ... - Oui, pourquoi pas répondit-il, va chercher de quoi les ramasser, je te rejoins. - D'accord, dit-elle alors qu'elle se levait pour aller chercher les affaires. Shiguré s'était levé entre temps et était repartit dans son bureau pour travailler sur son livre. - Il faudra que tu attendes un peu, murmura Yuki à l'oreille du chat, qui tira une tête de déterré quand il entendit ça ... " Kyo soupira alors qu'il voyait Yuki s'en allait avec Tohru pour ramasser les "fameuses fraises".

Il se releva à son tour, et retourna dans la salle de bain (cette fois-ci pour se doucher). Il se déshabilla et rentra sous la douche, où il ouvra le robinet d'eau froide pour se réveiller un peu et surtout pour se calmer ... Mais ça n'avait pas l'air de marcher ... Plus il y pensait, plus ça le foutait en rogne ... Sans s'en rendre compte, il frappait violemment le mur de ses poings, ne pouvant plus s'arrêter ... Le fait que Yuki l'est laissé tombé pour aller ramasser des fraises avec (cette abrutie de) Tohru le mettait hors de lui. Il fit une grimace alors qu'il commençait à sentir la douleur arriver ... Il s'arrêta pour nettoyer les plaies qui saignaient abondamment, le sang se mêlant à l'eau froide qui coulait sur sa peau. Après quelques minutes, il sortit de la douche pour se faire un bandage sur les mains, voulant éviter que le sang ne coule de trop ... Alors qu'il finissait son pansement, il entendit un bruit provenant du salon. Il se sécha rapidement, enfila son caleçon et descendit voir ...
Il allait entrer dans la cuisine quand il se prit un violent coup en pleine tête, lui faisant perdre l'équilibre. Se retrouvant par terre, il essaya de se relever, mais il fut arrêté par Haru qui s'était installé sur lui pour l'empêcher de bouger. Haru lui assena plusieurs coups de poing, se défoulant sur lui et le faisant saigner à la lèvre. Pendant qu'il se préparait pour en donner un de plus, Kyo en profita pour lui en donner un coup de coude dans le ventre, et pour retourner la situation ... Haru se retrouvait maintenant en dessous, ne pouvant plus bouger, Kyo lui bloquant les mains contre le sol, les tenant fermement. Le chat, qui se trouvait fort bien installé sur le bas du ventre de Haru, le regarda et lui demanda : " Mais qu'est ce qui te prends putain ?! Haru ne répondait pas, impassible. - Putain Haru ?! explique toi bordel ! cria le chat encore plus énervé qu'il y a 20 minutes. - Y'a que tu m'énerves, voilà ce qui y'a ! Baka neko ! - ... c'est pas une raison pour me frapper comme ça bordel ! tu te mets à frapper tes ennemis par surprise maintenant ?! répondit Kyo, quelque peu déboussolé par ce qu'il venait d'entendre, et pi pourquoi je t'énerve au point que tu me frappes comme ça ? - Pourquoi c'est toi que Yuki a choisi ? ... murmura Haru, s'énervant au fur et à mesure que le temps passait ... Hein ?! pourquoi toi !!!?? - Nani ? mais de quoi tu parles ?! choisi pour quoi ?!je te suis pas !Explique toi !! - Tu es ... tu ... , il n'eut pas fini sa phrase qu'il poussa Kyo, qui avait lâché ses mains pendant qu'ils parlaient, et se rua sur lui, c'est toi qu'il aime !!! cria Haru, alors qu'il devenait rouge de colère."

Kyo n'eut pas le temps de comprendre, que Haru le releva et le refrappa de plus belle, l'envoyant dans le salon, où il s'écroula sur la petite table, la brisant sous le choc ... Kyo se releva bien décidé à se venger, et remarqua alors qu'il avait Black Haru en face de lui. Ca ne l'arrêta pas pour autant, il s'avança vers lui et lui jeta un coup de poing dans le ventre puis en pleine tête ... Haru s'écroula sur le sol, détruisant au passage la porte qui avait souvent été réparée par Tohru. Kyo s'approcha d'Haru et le regarda pendant un moment. Haru gisait par terre, sa chemise était déchirée, laissant apparaître son torse musclé, ce qui ne laissait pas Kyo impassible ... Voulant profiter du corps qui s'offrait à lui, il s'approcha encore plus du jeune homme évanoui, et s'assit de nouveau sur lui, comme il n'arrêtait pas de faire depuis 20 minutes ... (la chance ...). Il se pencha sur lui, vérifiant qu'il était bien évanoui et en profita pour le mordre à la base du cou, faisant couler un léger filet de sang. Le parfum d'Haru lui montait à la tête, ajoutant à la colère, toujours présente, une envie plus que pressante (non, non il ne veut pas aller aux toilettes ;) ). Oubliant Yuki et les circonstances qui l'avait poussé dans cette situation (plutôt agréable), il releva la tête, et commença à repousser la chemise, découvrant une peau fraîche et douce. Gourmand, il passa sa langue sur le torse de sa "proie" et s'amusa à titiller un téton, qui durcit immédiatement sous ce contact. Ses mains, toujours couvertes de bandages, descendirent vers son pantalon, pour le faire descendre le long de ses hanches puis de ces cuisses ; le contact se faisait de plus en plus direct, ce qui ne déplaisait pas au chat ...(on le comprend ... ). Mais alors qu'il allait recommencer la même opération avec le caleçon, le propriétaire du fameux caleçon sortit subitement de son sommeil forcé et, par la même occasion, repoussa Kyo qui était toujours installé sur lui ...
Haru, encore un peu dans les vapes, ne réalisa que quelques minutes plus tard qu'il avait perdu son pantalon ainsi que sa chemise ... Il regarda Kyo, se demandant ce qu'il s'était passé pendant qu'il avait été évanoui ... Le chat se releva légèrement, et lui adressa un sourire coquin comme réponse. Haru le regarda incrédule, et lui dit : "Tu m'as l'air bien entreprenant aujourd'hui ... C'est parce qu'il n'y a pas Yuki ? Alors tu te rabats sur le premier venu ? - hummm ... je vois que tu n'es pas intéressé ... ce n'est pas grave, je n'ai qu'à attendre que mon cher Yuki revienne, répondit Kyo sur un ton qui se voulait presque provocant." A cette phrase, Kyo se releva et fit mine de partir, se rhabillant après avoir ramassé ses fringues qui traînaient par terre. Haru, lui, restait bête ... il n'aurait jamais pensé qu'il répondrait quelque chose de ce genre ... Malgré lui, au vu de l'expérience sous la douche, il ne pouvait nier qu'il avait bien envi lui aussi de profiter du jeune homme qui se tenait devant lui. Il lui dit alors : " Tu sais Kyo, je crois qu'on éprouve la même chose pour Yuki, Kyo se retourna et le regarda surpris, mais ça ne nous engage en rien ... Après tout c'est lui qui est parti avec (cette abrutie) de Tohru. (On remerciera bien fort Tohru d'avoir permis à ces deux jeunes hommes d'être seul) - Oué ... t'as raison ! Autant profiter d'avoir la maison pour nous tout seul (mais sont-ils vraiment seul dans la maison ??), répondit Kyo, s'avançant vers celui à qui il parlait, tandis qu'il commençait à enlever, par la même occasion, son T-shirt, qu'il venait juste de remettre ... Mais, tu ne vas pas le regretter? Tu n'avais pas l'air d'être partant il y a quelques minutes ... - J'ai beaucoup réfléchi depuis ... et je préfère participer à ton jeu plutôt que de subir de nouveau tes coups de poings, répondit Haru ironiquement - Mais ... je n'ai jamais dit que ça ne ferait pas partit du jeu, expliqua le chat un sourire aux lèvres ...

Haru ne comprit pas tout de suite ce qu'il voulait dire par là ... Kyo s'approcha alors de sa proie, enlevant maintenant son pantalon. Il s'accroupit à côté d'elle, et reprit là où il s'était arrêté avant que sa proie ne se réveille (pour ceux/celles qui ne suivent pas, il lui enlève son caleçon !). Au fur et à mesure que le caleçon glissait le long de ces cuisses, Kyo observait le corps qu'il n'avait encore jamais vu sous cet angle (qu'il n'avait jamais vu du tout d'ailleurs ...). Il dévorait des yeux le jeune homme maintenant nu, pendant qu'il réfléchissait à un moyen de le ramener à son mode "Black", car il avait envie d'une étreinte violente que seul lui pouvait satisfaire ... Haru, lui, cherchait ce qui provoquait ce regard ... regard qu'il trouvait intéressant ... On pouvait y voir une lueur et une pointe de perversité. En suivant son regard, il comprit que c'était lui ou plutôt une partie de lui qu'il regardait ... Il n'eut pas le temps de réfléchir plus, que Kyo avait déjà entreprit son travail. Il léchait goulûment le sexe d'Haru, qui gémissait doucement à chaque aller et venue de la langue experte du chat. Mais Haru ne connaissait pas les réelles intentions du chat ... il allait rapidement se rendre compte qu'il ne pensait pas vraiment à ce genre de jeux quand il a dit vouloir y participer...
Kyo devait trouver un moyen de rendre Haru furax ... Moyen très facile à trouver après ce qu'il venait de lui avouer tout à l'heure ... Il délaissa alors le sexe d'Haru pour pouvoir parler, tandis que sa main avait déjà repris la suite, ne laissant pas le temps à Haru de faire quoi que se soit ... Tandis qu'Haru gémissait sous les mouvements de la main experte du chat, celui-ci le regarda dans les yeux et lui demanda : " Alors comme ca, Yuki m'aime ... C'est vrai qu'il me l'a dit plusieurs fois lorsque nous nous amusions ensemble ... D'ailleurs c'est un sentiment partagé ..." Kyo avait touché la corde sensible, car malgré les sensations qui parcourait son corps, son visage était devenu sévère ... Kyo allait enfin pouvoir passer aux choses sérieuses ... "Après tout c'est bien normal ... Il paraîtrait que la haine est un sentiment proche de l'amour ... Et apparemment, la haine que nous éprouvions l'un pour l'autre s'est transformé en amour ... Je ne suis d'ailleurs pas mécontent de la relation que nous entretenons ... " Cela avait suffi pour réveiller de nouveau "Black" Haru ... Kyo arrêta alors les mouvements de sa main, et recula pour admirer comment il était facile de jouer sur les sentiments d'Haru. L'étreinte violente qu'il espérait temps aller pouvoir commencer ...

Pendant ce temps, dehors, la voiture d'Hatori arrivait près de la maison de Shiguré. Les deux passagers descendirent du véhicule et Ayamé (comme à son habitude) sautilla joyeusement vers la porte et sonna. Hatori, lui, suivait simplement son ami, avec son éternel présence de marbre. En attendant que Shiguré ne vienne leur ouvrir, Ayamé se retourna et sourit au médecin, qui, par on ne sait quel miracle (celui de l'amour ?), se rapprocha de lui et déposa un léger baiser sur ses lèvres ... Le serpent étonné resta bouche bée à contempler le médecin alors que celui-ci rentrait, n'ayant aucune réponse de Shiguré. Quand il rentra à son tour, Ayamé trouva que la maison était beaucoup trop calme ... ce qui est plutôt inhabituel avec les nombreux combats entre son frère et Kyo ... "Ils étaient peut être trop fatigué, pensa-t-il, avec ce qu'ils ont fait sous la douche ... ça se comprend". Il sourit à cette pensée, et accéléra le pas vers la chambre de Shiguré, voulant à tout pris plus de détails sur la nouvelle découverte qu'il avait fait sur son frère. Ils traversèrent le salon, qui à leur grand étonnement, était complètement dévasté ... puis arrivèrent devant la porte de Shiguré, où Ayamé annonça son arrivée par son habituel discours, avec un arrière plan de fleurs et d'étoiles. Shiguré, entendant là l'appel de son ami, ouvrit la porte et entra dans son jeu, commençant leur habituel cinéma... Hatori les regardait, amusé, mais surtout désespéré ... Même si ils avaient vieillis, dans leurs têtes ils étaient toujours à l'époque du lycée ...
Après leurs retrouvailles, Ayamé demanda ce qu'il attendait depuis qu'il avait reçu son coup de téléphone ... Ils voulaient des détails sur ce qu'il s'était passé entre les trois garçons... Après le récit plus que démonstratif de Shiguré, c'est Ayamé qui prit le relais... racontant ce qu'il s'était passé entre lui et Hatori durant le trajet, ce qui eut pour effet de le faire virer au rouge vif. Gêné, le médecin détourna le regard, tandis qu'Ayamé souriait et continuait son récit. Shiguré, sous le choc de ce qu'il venait d'entendre, reprit ses esprits et lança à Hatori : " Hé ben ! T'as épuisé mon pov' petit Aya !", le dragon vira au rouge de plus belle (il va ressembler à une tomate si ça continue ...). Shiguré se retourna et avec un clin d'œil il dit au serpent : "Heureusement qu'on s'entraîne souvent...Mais il faut aussi travailler en équipe, n'est ce pas Hatori ?Rappelle toi quand on n'était encore qu'au lycée !! C'était vraiment excitant !! " Hatori se remémora les années du lycée, se rappelant à quel point ça avait été une période fantastique de sa vie, et à quel point ça pouvait lui manquer. Comme si ça se lisait sur son visage, les deux amis remarquèrent qu'il réfléchissait, ils en profitèrent pour se rapprocher de lui et pour le serrer dans leurs bras. Ayamé proposa alors : "Et si on recommençait nos jeux à trois ? Comme quand on était encore au lycée." Hatori, étonné de cet remarque, les regarda tour à tour, ne sachant comment réagir, il se laissa tout simplement faire, à la grande joie de ses "deux amis pervers". Pensant en premier lieu à leur ami commun, les "deux amis pervers" décidèrent de tout faire pour qu'il puisse revivre d'intenses moments de plaisirs. Ils poussèrent d'abord tous les meubles et tout ce qui pouvait traîner dans la chambre, pour libérer un maximum de place ; la chambre vide devenant un véritable terrain de jeux ...
Shiguré s'approcha alors du médecin, essayant de le mettre à l'aise, et l'embrassa tendrement, le médecin répondit à ce baiser en l'approfondissant un peu plus, et en enlaçant celui avec qui il le partageait. C'est alors Ayamé qui rentra en scène, il caressa affectueusement le dos d'Hatori et embrassa sa nuque, pendant que ses mains descendaient le long de sa colonne vertébral vers ses fesses musclées, les caressant elles aussi... Shiguré, lui, laissait ses mains explorer le bas ventre du médecin, puis les fit remonter pour déboutonner la chemise, qui commençait à devenir plus que gênante, tandis qu'Ayamé enlevait le pantalon, devenant lui aussi trop gênant pour la suite ... Lorsque le médecin fut totalement nu, les deux amis se déshabillèrent, mais celui-ci les stoppa, voulant profiter de leurs corps, pendant qu'il était encore maître de ses mouvements ... Le dragon s'attaqua alors à Shiguré, l'embrassant et lui caressant le torse, ouvrant de plus en plus son kimono. Après quelques caresses, il enleva totalement le kimono, découvrant que Shiguré n'avait pas changé ses habitudes ... il ne portait toujours pas de sous-vêtement, comme quand il était encore au lycée ... Hatori ne put s'empêcher de diriger ses lèvres vers le sexe dressé du chien, et de l'engloutir entièrement, ce qui fit le gémir ... Hatori adorait cette sensation, pouvoir contrôler les gémissements de Shiguré. Il suça avec application la colonne de chair, tout en caressant les testicules fragiles et pleines. Shiguré gémissait de plus en plus fort à chaques accélérations, mêlant ses mains dans la chevelure d'Hatori, et mouvant ses hanches par la même occasion, il le fit accélérer, pour approfondir et accentuer ce contact, qui lui procurait tant de plaisirs... Ses mouvements devenaient de plus en plus rapide, mais Hatori refusait de précipiter les choses, et se sépara difficilement du sexe du chien, celui-ci l'en empêchant, ne voulant pas qu'il s'arrête. Hatori lui sourit et lui dit : " J'adore te voir frustré comme tu l'es en ce moment ..." Shiguré, vexé mais amusé, l'embrassa sauvagement, le poussant contre le mur et lui murmura à l'oreille : " Toi aussi tu vas te sentir frustré dans un petit moment ... Attend de voir ce qu'on te réserve ...", il se tourna vers Ayamé et lui demanda, avec un sourire pervers au coin des lèvres : " Et si on reprenait notre bonne vieille combinaison qui a tant fait crié Hatori ..." Le serpent approuva d'un signe de tête et s'approcha du couple, affichant lui aussi un sourire pervers. Hatori, fouillant dans sa mémoire, ne savait pas de quelle combinaison ils parlaient... Car en fait, il avait crié dans toutes les positions qu'ils avaient pu testé ensemble ... Puis il se rappela enfin de cette fameuse journée où ses deux amis l'avaient fait jouir un nombre incalculable de fois (j'y suis peut être aller un peu fort avec ce mot ... ), il rougit et regarda ses deux amis, se demandant s'il pourrait parler demain ...
Comme ils l'avaient fait ce jour là, les deux amis, complices, placèrent Hatori dans la fameuse position si propice à la "réception" de plaisirs. Hatori se trouva donc les mains posés contre le mur, le dos légèrement courbé et les jambes écartées. Shiguré se plaça derrière le médecin pendant qu'Ayamé l'embrassait langoureusement, avant de lui lancer un clin d'œil et de s'agenouiller devant le sexe gonflé de plaisir du médecin.
Le serpent commença tout d'abord à déposer quelques petits baisers sur le sexe puis sur les bourses fragiles, puis commença, doucement, à lécher la colonne de chair. Sa langue tournoyait autour et jouait à titiller des endroits stratégiques. Hatori laissa échapper quelques petits gémissements, et mordit sa lèvre inférieure refusant de crier plus fort. Le serpent continua à s'amuser avec Hatori, jusqu'à ce qu'il engloutisse entièrement le sexe du médecin. Il commença alors de long va et vient, s'appliquant à goûter chaques parcelles se trouvant sur la route de sa langue, avide et gourmande.
Alors qu'Ayamé continuait son exploration, et qu'Hatori ne cessait de gémir, Shiguré, qui regardait attentivement la scène, décida de passer à l'action. Il commença à embrasser la nuque du dragon, qui ,surpris, tressaillit légèrement, ce qui accéléra les mouvements de langue d'Ayamé, le faisant gémir de plus belle. Shiguré, le sourire aux lèvres, embrassa de nouveau la nuque du dragon, puis descendit peu à peu le long de sa colonne vertébral, faisant frissonner Hatori. Amusé, le chien s'empara des belles fesses du médecin et les caressa doucement. Il donna un petite tape, qui fit pénétrer le sexe plus profondément dans la bouche d'Ayamé. Les cris d'Hatori se faisait plus long et plus fort, les attentions de Shiguré n'arrêtant pas de les accentuer ...Il lécha le dos du dragon, laissant une longue trace jusqu'à ce qu'il arrive à l'entrée de l'intimité du médecin, Shiguré écarta doucement les fesses du dragon, et positionna sa langue dans l'orifice brûlant, faisant frissonner le dragon, qui était toujours aux prises avec Ayamé, profitant des mouvements de sa victime pour le rendre encore plus fou qu'il ne l'était déjà ... Ayamé et Shiguré sourirent ensemble, pensant que les choses sérieuses allaient bientôt débuter ...