O tempora…
Autrice : Kalari
Base : Harry Potter
Genre : heu… angst, peut-être… Oh, je sais pas !
Couples: inhabituels (hé hé hé…)
Disclaimer : Bon ben c'est parti pour le bla-bla habituel… Les persos ne sont pas à moi, tous à JKR, je fais que m'amuser avec, je ne me fais pas de sous, etc, etc… Satisfaits ? Allez, c'est parti !
Ah oui, au fait...
Réponses aux reviews
Onarluca : superbe, carrément ! Ah ben merci beaucoup ! En apprendre plus dans ce chapitre ? Oui , bien sûr. Sinon, ça ne servirai pas à grand chose, tu ne crois pas ? Enfin, merci encore d'être toujours la première à reviewer (d'ailleurs, je ne sais toujours pas comment tu fais) et bonne lecture !
Broack Dincht : Déroutant, dis-tu ? Tant mieux, c'est l'effet recherché ! Et pour les noms en anglais... la réponse viendra très vite ! Merci pour les compliments (Kal toute rouge) et à bientôt !
Keres : I am very sorry, sista, mais j'ai pas pu résister ! M'enfin t'as pas a te plaindre ; je t'ai promis que tu saurai QUI c'est avant tout le monde, alors boude pas ! Jtm aussi, Kiss !
Zick : Alors, pour tes trois questions... (prends une ENORME inspiration) tu verras tu verras tu verras tu verras tu verras tu verras tu verras tu verras tu verras tu verras tu verras tu verras tu verras ! ! ! (tire sur sa cigarette, reprend une GRANDE inspiration) pas de spoiler pas de spoiler pas de spoiler pas de spoiler pas de spoiler pas de spoiler ! ! ! (inspire encore, avec difficulté) merci pour review merci pour review merci pour review merci pour review merci pour review... (s'écroule, à bout de souffle) a plus, Zick... (pin pon pin ! pin pon pin !)
Kestrel21 : heu... en fait j'ai pas vraiment tenu ma langue pour le yaoi... mais je l'ai brieffée pour pas qu'elle en parle ! Et OUI, lis d'autres fics HP ! ! ! Parce que tu rates vraiment quelque chose. Sans rire. Après, pour l'originalité de Crabbe et Goyle, certes, mais je donne plus dans l'homosexualité que dans la zoophilie. Tu m'excuseras... Allez, gros bisous, ma puce, et à bientôt !
Ce coup-ci, c'est parti...
)x(O)x(
Il se figea sous le regard glacé. Il savait pertinemment qu'il n'avait strictement rien à faire là, et l'homme sur le trône, sans dire un mot, le lui faisait parfaitement comprendre. Il se sentait minable, dérisoirement petit et insignifiant devant cet être superbe, hautain, et plus méprisant qu'une divinité devant un microbe.
Pourtant, il se redressa et toisa comme il était toisé.
L'Apollon, l'Hadès plutôt, se tenait droit dans son fauteuil d'argent, le menton fièrement levé, les yeux baissés vers lui, pauvre petite chose qui venait troubler sa quiétude.
Ses yeux... Deux lacs de ténèbres arrachés au manteau de la nuit la plus sombre.
Ses yeux... Deux trous noirs où l'âme se perd sans espoir de retour.
Ses yeux, bordés par d'épais cils noirs, d'une longueur peu commune...
Ses yeux, dont l'iris et la pupille se fondent en un abysse mortel, plus sombre qu'une aile de corbeau, plus dur que le jais, plus envoûtant qu'un œil de serpent.
Ses yeux, fixes, braqués droit devant lui, droit sur lui.
Ses yeux, qui seuls rendaient vivant cet être totalement immobile.
Si complètement immobile qu'il ne voyait même pas son souffle soulever sa poitrine.
Ses membres, son visage, n'étaient même pas agités d'un léger mouvement.
Rien, pas un frisson.
Immobile.
Tellement immobile…
Trop immobile.
Hésitant, il s'avança doucement, précautionneusement, comme on s'approche d'un tigre allongé. Un tigre parfaitement éveillé qui vous regarde approcher, sûr de sa force, sûr de pouvoir vous tuer d'un coup.
Mais l'être sur le trône ne bougeait pas.
Il avança pas à pas, prêt à bondir en arrière au moindre geste.
Mais l'être sur le trône ne bougeait pas.
Il approcha encore, et grimpa les quelques marches de marbre blanc, tous les muscles tendus, sur le qui-vive.
Mais l'être sur le trône ne bougeait pas.
Il s'arrêta à quelques centimètres des genoux cachés par l'amble robe noire et plongea son regard droit dans les yeux d'ébène.
Mais l'être sur le trône ne bougea pas.
Alors, il leva la main, lentement, si lentement qu'elle semblait suspendue dans les airs, comme si le temps s'était figé.
Il effleura du bout des doigts la joue douce, mais froide, si froide…
Et la statue sur le trône ne bougea pas.
)x(O)x(
A suivre…
C'est extrêmement court, je sais. C'est fait exprès. Pardonnez-moi, mais je ne peux vraiment pas faire autrement.
Mais sinon, vous en avez pensé quoi ?
Allez, kiss et à bientôt !
Enfin… A le plus vite possible !
Kal
