Auteur : Natth
Série : Cross-over entre Dukalyon et Le Seigneur des Anneaux
Genre : Aventure, avec un peu d'humour et de romance
Couple : Kentaro x Takeshi et quelques autres
Disclamer : Ils ne sont pas à moi mais ils vont si bien ensemble… Je n'ai pas pu résister
Désolée pour ce nouveau retard. Je pensais faire cette partie beaucoup plus vite --
Cependant, je voulais y mettre pas mal de choses, si bien que le temps d'écriture a fini par se rallonger, en même temps que la taille du chapitre
Merci beaucoup pour toutes les reviews
Hé non, les aventures de Takeshi et Kentaro ne sont pas terminées. D'ailleurs, elles s'accélèrent dans cette partie, tandis que d'autres profitent un peu plus de l'existence…
J'espère que cela vous plaira. Bonne lecture !
Au secours de la Terre du Milieu
Épisode 5 : Retrouvailles autour d'un combat
Sans hésiter, les Dukalyon se précipitèrent à la suite du mage.
- Misérable ! cria Takeshi. Arrête-toi immédiatement ! Tu n'as plus aucune chance de t'enfuir ! Il n'y a aucune issue dans cette tour !
- Mais qui a dit, pauvres idiots, que je cherche à m'échapper ? Je suis le maître ici ! C'est vous qui allez trembler… Vous ! Sans oublier cet être que j'ai réussi à ramener de votre monde, et dont je vais me servir pour atteindre mon but !
D'un geste théâtral, il leur désigna Kotobuki, ligoté dans un coin.
- Oh non !, s'écria Kentaro. Ce n'est pas possible, c'est…
- J'ai réussi ! J'ai enfin ouvert un passage sur un autre monde ! Et d'ici peu de temps, je m'y rendrai facilement. Cela ne me demandera pas plus d'efforts que de pousser une simple porte. Grâce à la magie, je n'aurai aucun mal à dominer cette contrée !
Takeshi se précipita vers le mage, furieux.
- Et vous espérez qu'on vous laissera faire peut-être ? NOUS sommes les défenseurs du monde que vous voulez envahir !
- OUAIS ! hurla Kentaro. Et tant qu'on sera là, aucune grosse brute ne pourra l'attaquer ! Et encore moins un vieux magicien à moitié gâteux !
Saroumane lança un regard haineux au jeune homme. Il s'approcha de lui, l'air très menaçant.
- Toi… Misérable vermisseau… Je te jure que tu vas regretter amèrement ces paroles… Je vous trouvais assez amusants, imbéciles qui croyez avoir la moindre chance contre l'homme le plus puissant qui ait jamais existé. Mais je ne vous permettrais pas de vous moquer de moi !
Furieux, le mage commença à marmonner d'obscures paroles.
« Je n'aime pas ça… » pensa Takeshi, « Il va sans doute essayer de nous lancer un sort ou quelque chose du même genre. Et si les deux autres ne se méfient pas… »
Brusquement, un vacarme assourdissant éclata, terrifiant toutes les créatures aux alentours, et faisant bondir deux jeunes Hobbits déjà très angoissés.
- Qu'est-ce… qu'est-ce que tu crois qui s'est passé ? demanda Pippin, tout tremblant, à son compagnon.
- Je… Je n'en sais rien…, répondit Merry, à peine plus calme. Mais… Mais j'espère que cela ne vient pas de Saroumane…
Les deux jeunes gens regardèrent la tour, de nouveau plongée dans le silence. À la voir ainsi, en partie noyée, elle ne paraissait pas bien effrayante.
Pourtant, ils savaient tous les deux que ce n'était pas le cas. Un dangereux sorcier y vivait, sans doute aujourd'hui le plus puissant de toute la Terre du Milieu.
- Si seulement Gandalf était encore vivant… murmura tristement Pippin. Il n'y a que lui qui serait capable de vaincre ce criminel !
- Malheureusement, il est perdu pour toujours… Il a été tué par le Balrog. C'est vraiment trop injuste ! Ça n'aurait pas dû arriver ! Je… Je ne peux pas croire qu'un simple démon…
Merry se tut, submergé par l'émotion. Il s'éloigna de quelques pas, essayant de se calmer.
Encore plus malheureux, Pippin sentit ses yeux se remplir de larmes. Il baissa brusquement la tête pour que son ami ne le remarque pas.
Mais pourquoi diable étaient-ils passés par cette fichue montagne ? Soi-disant par souci de sécurité… Hélas, cela n'avait servi à rien ! Gandalf était mort sans qu'aucun d'entre eux puisse l'éviter. Ils n'avaient même pas pu l'aider.
« Et moi encore moins que les autres… »
Il était affreusement triste, se croyant plus inutile que jamais. Absorbé par son chagrin, il ne s'était pas rendu compte que son ami s'était rapproché de lui.
En entendant les pleurs de Pippin, Merry se tourna vers lui. Désolé, il le vit sangloter de plus en plus fort. Il semblait ne plus pouvoir s'arrêter.
Le cœur du jeune Hobbit se brisa. Après ce qu'il avait vécu, il savait qu'il pourrait tout supporter sauf ça. Sauf voir son meilleur ami aussi désespéré. Il en oublia sa propre angoisse. Il ne voulait plus que le soulager, lui dire qu'en dépit de ce qui s'était passé, tout irait bien désormais.
Soudain, il se précipita vers lui et le serra dans ses bras.
- S'il te plaît… S'il te plaît Pippin, calme-toi… Je t'en prie… Te voir comme ça, c'est… ça fait si mal…
Merry espérait consoler son cousin, mais ses paroles eurent d'abord l'effet inverse. Très ému qu'il lui parle aussi gentiment, Pippin pleura encore plus. Il se blottit contre son ami, se cramponnant à lui de toutes ses forces.
- Je… je… Je ne veux pas te… faire de peine. Je… Je ne sais pas ce… ce qu'on peut faire… Tout tourne à la… catastrophe… C'est dur…
Il s'effondra dans ses bras, incapable de retenir ses larmes. Merry le laissa pleurer pendant un long moment. Finalement, Pippin se calma un peu.
- Excuse-moi… dit-il à son ami. Je ne sais pas ce qui m'a pris. Je me suis senti tellement triste d'un seul coup…
- Ce n'est rien, répondit Merry. Je comprends.
Cependant, il voyait bien que son ami était encore très malheureux. Mais il allait le rassurer, lui montrer qu'il n'aurait jamais à lutter seul.
Il le serra très fort contre lui, avant d'ajouter :
- Ne t'inquiète pas. Quoi qu'il arrive, je… Je te promets que je resterai toujours à tes côtés. Il n'y a qu'avec toi que j'aurais le courage de lutter contre tout ce qui nous attend…
-
Encore un peu tremblant, Pippin se redressa et regarda son ami en souriant timidement.
- Je sais. Je te fais confiance. À toi uniquement. Je suis sûr que tu seras toujours là… avec moi.
Merry rougit un peu sous ces compliments. Il ne relâcha pas la main de son compagnon. Au contraire, son étreinte devint plus ferme. Si Pippin croyait en lui, quelle chose pourrait encore lui faire peur ?
Pendant ce temps, à quelques kilomètres de là…
La petite troupe, menée par Gandalf, n'avait pas tardé à se mettre en route après le départ des Dukalyon. Le mage jugeait qu'il était temps de mettre fin au pouvoir de Saroumane. Il aidait depuis beaucoup trop longtemps l'Ombre à s'étendre. À présent, il fallait l'empêcher définitivement de nuire.
« C'est un combat bien difficile que j'aurai à mener… » pensait le mage. « Mais je ne me laisserai pas emporter par les ténèbres de Sauron ! »
Tous ses compagnons avaient en Gandalf une confiance absolue. À juste titre, car lui seul semblait capable de lutter contre le pouvoir perverti qu'ils affronteraient bientôt.
Pourtant deux d'entre eux se sentaient un peu loin de ces sinistres préoccupations.
Hélas, même s'ils en mouraient d'envie, ils ne pouvaient pas se laisser aller. L'heure était grave. Ils se battraient bientôt contre leur pire ennemi.
Aussi, il était un peu tard pour profiter de leurs sentiments tout neufs.
Gimli se maudissait de ne pas avoir avoué plus tôt ce qu'il éprouvait à… son elfe.
« Tant de temps perdu ! Quand je pense que j'aurais pu être tué sans lui avoir rien dit ! Quel idiot, quel imbécile, quel… »
Soudain, Legolas se retourna. Ses yeux brillants se posèrent sur lui, et se remplirent de tendresse.
- Est-ce que tout va bien, mon amour ? Je sais que tu n'es pas très à l'aise à cheval. N'hésite pas à m'avertir si tu as du mal à rester en selle.
Sa voix mélodieuse envahit Gimli, effaçant toute pensée en lui. Le nain devint rouge vif, très touché d'entendre son elfe lui parler ainsi.
Legolas lui sourit gentiment puis reporta son attention sur la route. Il adorait voir son aimé réagir ainsi. Il le trouvait vraiment adorable.
Rêveur, il repensa au moment merveilleux où Gimli lui avait déclaré son amour. Il l'avait vu venir vers lui très décidé, comme s'il allait devoir faire une chose terrible et pourtant absolument nécessaire. Legolas avait même cru un moment que son ami était en colère contre lui.
« C'est étrange… Je ne l'ai jamais vu aussi déterminé. »
Alors que l'elfe discutait avec d'autres archers, le nain, sans dire un mot, l'avait pris par le bras. Legolas avait bien sûr protesté. C'était fort impoli de faire une chose pareille ! Gimli devait s'excuser tout de suite auprès de leurs amis.
Mais le nain ne semblait pas l'écouter. Il avait vraiment l'air très pressé. Il courait presque, comme s'il voulait fuir les autres.
« C'était d'ailleurs le cas » se dit Legolas en souriant.
Dès qu'ils furent hors de vue, Gimli l'avait lâché et s'était écarté de quelques pas, sans se retourner. L'elfe comprenait de moins en moins ce qui lui arrivait, mais il commençait sérieusement à s'inquiéter.
« Pourquoi ne dit-il rien ? Je suis son ami ! S'il a des ennuis, je veux l'aider ! »
Durant leur séjour en Lothlórien, Legolas s'était énormément attaché au nain. Il ne se souvenait pas d'avoir ressenti une telle affection pour un ami. À vrai dire, il n'était pas sûr d'avoir éprouvé autant de choses pour qui que ce soit. Il était décidé à le soutenir en toutes circonstances.
La voix de Gimli le fit redescendre sur terre. Il lui avait demandé quelque chose. Malheureusement Legolas, perdu dans ses pensées, n'avait rien entendu.
- Excuse-moi, je réfléchissais… Je n'ai pas fait attention à ce que tu as dit.
-
- Ce n'est pas grave, dit le nain d'une voix sinistre, de toute façon, j'ai été stupide de croire… Non, oublie ça, c'est sans importance.
-
Gimli s'éloigna en traînant des pieds, la tête basse, complètement désespéré. Stupéfait, Legolas le regarda partir, avant de réagir et de le rattraper en courant.
- Attends ! Je vois bien que tu voulais m'annoncer quelque chose de grave. Je suis désolé. Je n'ai pas écouté ce que tu disais. En fait, je pensais à…
L'elfe se tut brusquement. Il avait failli dire « à toi ».
« Pourquoi suis-je aussi gêné ? Cela ne me dérangeait pas tout à l'heure… Pourtant, à présent, ce sentiment me trouble de plus en plus… »
- Tu n'as pas écouté parce que ça ne te plaisait pas ! cria le nain, soudainement en colère. Je suis stupide ! Comment est-ce que j'ai pu croire que tu… tu…
- Que je QUOI ? lâcha Legolas, lui aussi irrité. Parle donc ! Depuis quand un elfe te fait-il peur ? C'est franchement décevant ! Je croyais qu'on était amis, que tu me faisais confiance ! Je dois m'être tromp…
- JE SUIS AMOUREUX DE TOI ! hurla Gimli, qui ne supportait pas ce que Legolas venait de dire.
Puis il était parti en courant, abandonnant l'elfe en train de se remettre de sa surprise.
Dès qu'il le put, Legolas partit à la recherche de celui qui l'aimait. Car il devait lui parler, lui dire ce qu'il éprouvait.
Il en était sûr à présent. Ses sentiments si forts, son trouble quand le nain allait se déclarer…
Tout cela ne prouvait qu'une chose : lui aussi était amoureux de Gimli.
Il chercha son compagnon pendant près d'une heure à travers la forteresse. Finalement, il le retrouva seul dans un coin, à ruminer son échec.
Sans lui laisser le temps de réfléchir, il se jeta dans ses bras et lui dit qu'il l'aimait aussi.
Il soupira de joie quand il sentit les bras puissants de son amour se refermer sur lui.
- Nous approchons ! lança une voix forte devant eux.
À regret, Legolas interrompit sa douce rêverie et regarda devant eux.
Aragorn ne s'était pas trompé. Après une très longue chevauchée, ils atteignaient enfin la tour de Saroumane.
Là, ils s'arrêtèrent, stupéfaits.
Les abords de la tour étaient envahis par l'eau. Plus loin, on pouvait voir les restes d'un barrage. Et tout à côté se tenaient des créatures incroyables !
- Des Ents… murmura Gandalf.
Cependant, dans la tour, Takeshi et Kentaro ne savaient rien de l'arrivée de leurs alliés.
Ils ne se souciaient pas de ce qui se passait dehors, bien trop occupés à éviter les coups de plus en plus violents de leur adversaire.
L'attaque de Saroumane était très différente de ce que les Dukalyon avaient rencontré jusqu'alors. Dans chacun de ses gestes, on sentait la présence de forces inconnues et immenses, bien supérieures à celle des deux jeunes gens.
Takeshi avait cru que leurs pouvoirs, étrangers à ce monde, battraient ce cruel magicien. Hélas, il devait se rendre à l'évidence.
Ils n'étaient pas préparés à affronter une telle puissance.
Le jeune homme serra les dents. Il savait qu'ils n'avaient aucune chance de battre Saroumane.
« Nos pouvoirs sont bien trop faibles comparés aux siens. Si on reste plus longtemps ici, on va se faire massacrer ! Notre seule chance est de nous enfuir. Mais on ne peut pas abandonner Kotobuki ! Comment faire ? À moins que… »
Le Dukalyon venait de remarquer le Palantir de Saroumane, cette boule sombre qui permettait à leur ennemi de voir les choses les plus secrètes. Gandalf leur en avait longuement parlé, surtout pour leur dire d'éviter de l'approcher.
« Pourtant, si on parvenait à s'en servir, peut-être que cela nous donnerait plus de pouvoirs. Tant pis ! On ne peut plus se montrer prudent ! Il faut agir vite ! »
D'autant que la situation ne faisait que s'aggraver. A présent, Saroumane s'était saisi de Kotobuki et, les tenant en respect grâce à son bâton, il proféra d'horribles menaces.
- Pauvres niais ! Le moment est venu de me débarrasser de vous ! Et de votre ami pleurnichard ! Préparez-vous à souffrir…
D'un geste, le mage arracha les vêtements déjà bien abîmés de Kotobuki.
- Bien ! Le voici prêt à se soumettre à moi ! Je vais pouvoir le prendre, le vider, en user comme bon me semble !
Il y eut un moment de flottement chez les Dukalyon.
Les deux garçons ne s'attendaient pas du tout à ça. Ils fixaient le magicien d'un air profondément dégoûté, tandis que Kotobuki, terrifié, tentait désespérément de se libérer.
Saroumane perçut le malaise. Il les dévisagea tous trois avec méfiance.
« Hum, réaction surprenante ! Ils préparent sûrement un plan d'attaque. »
Au lieu de cela, Kentaro, dont les yeux grands ouverts incarnaient l'innocence même, murmura d'une petite voix très choquée :
- Vous… Vous n'allez quand même pas… Vous, un homme d'âge mûr… Avec un jeune garçon…
Le mage ne comprit pas tout de suite. Déconcerté, il regarda Kentaro, se demandant où il voulait en venir.
Soudain, la lumière se fit dans son esprit.
- QUOI ! Mais… Mais vous êtes fous ! Jamais je n'ai pensé à… Quelle horreur ! Je vais vous détruire, vous et vos idées répugnantes !
Saroumane n'avait évidemment jamais pensé à ça. Il projetait juste de prendre Kotobuki pour s'en servir comme d'une clé lui ouvrant le chemin de la Terre. Peu importe si cela devait complètement vider le jeune homme… de son énergie.
Le magicien était scandalisé par ce qu'on avait imaginé sur lui. À un tel point qu'il baissa sa défense.
Takeshi ne rata pas cette occasion.
- Crétin ! Ça ne va pas de dire des bêtises pareilles ! Tu veux vraiment qu'il nous achève !
Pris d'une fureur aussi brusque qu'incompréhensible, le Dukalyon sauta sur son camarade. Mais alors qu'il faisait mine de l'étrangler, il lui souffla à l'oreille :
- On y va ! Sans quoi on ne pourra plus arrêter Saroumane !
Kentaro lui fit un clin d'œil, prouvant qu'il avait compris.
Aussitôt, Takeshi cria :
- MAINTENANT !
Et se rua sur le Palantir.
Aussi vif que lui, Kentaro bondit sur le magicien et lui envoya un bon coup de pied dans l'estomac, avant de l'entraîner dans sa chute.
Très surpris, le souffle coupé par ce coup violent, Saroumane vit avec horreur Takeshi s'emparer du Palantir. À moitié étouffé par le poids de Kotobuki et de l'autre Dukalyon, il articula d'une voix faible :
- Mi… miséra… ble… Lâche… ça…
Serrant son bâton, il le dirigea vers le jeune homme. Heureusement, ce dernier s'écarta à temps, et le pouvoir du mage ne put que faire crouler le mur derrière lui.
- Il ne faut pas lui laisser de répit ! Kentaro, Kotobuki, maintenez-le !
- Plus facile à dire qu'à faire ! cria Kentaro.
Kotobuki, presque assommé, s'était effondré sur lui et gênait ses mouvements. Il essayait de le repousser doucement, quand Saroumane, à nouveau très menaçant, posa son bâton sur le front du Dukalyon.
- TU VAS MOURIR !
- NAAAN, JE NE VEUX PAS ! TAKÉNOUUUUU !
- LÂCHE-LE, MONSTRE !
S'en suivit une mêlée indescriptible, qui disparut brusquement dans un énorme nuage noir.
Puis vint le silence, plus lourd encore que cette fumée gluante.
Comme elle se dissipait, Saroumane réapparut.
- Qu'est-ce… qu'est-ce qui s'est passé ?
Il regarda autour de lui.
Ses trois assaillants avaient disparu. Le Palantir avait roulé dans un coin, à côté de son bâton. Le magicien les ramassa. Au moment où il se redressait, il vit une forme s'agiter dans un coin.
Avide de vengeance, il allait se dirigeait vers elle. Mais quelque chose le retint.
Ou plutôt quelqu'un.
Un être puissant, à tel point qu'il se sentait écrasé par son énergie, avant même qu'il ne soit entré dans la tour.
Un être disparu, qu'il espérait ne plus jamais revoir.
« Gandalf ! »
À SUIVRE…