Chapitre 4 Et les larmes dans nos yeux...(Trunks)

Trunks se réveilla au petit matin avec le soleil dans la face. Il avait ENCORE oublier de fermer le store. Il se redressa, appuyé sur son coude, et se frotta les yeux de son autre main. Il contempla sa chambre, son bordel habituel. Quelque chose avait bouger. Tiens... Pourquoi sa chaise était-elle a coté de son lit, et non devant son bureau ? Qui avait allumer sa lampe de chevet ? Conscient que quelque chose se passait, Trunks s'assit en vitesse. Et c'est là qu'il la vit. La lettre. Il la saisit d'une main fébrile. L'écriture de son père ?? Il ouvrit l'envellope, et commença a lire, sans pouvoir s'expliquer la boule qui commençait a se former dans sa gorge. Il se mit a rire aux premiers mots. Ca, il le savait, son père n'était pas fort sur les mots du tout. Il remarqua des taches incolore sur le papier, qui avait étendue l'encre. Des larmes. Végéta avait pleurer ? Cela ne fit qu'augmenter la mauvaise impression de Trunks. Il sentait la boule dans sa gorge monter, puis descendre. Son père attendait derrière sa porte lorsqu'il fessait des cauchemars ?!? Mais bien sur qu'il aurait aimer que son père soit là ! Trunks avait toujours déborder d'admiration devant son père. De savoir que ce grand guerrier, ce héros pour lui, était près de lui, pour chasser ses mauvais rêves, auraient calmer Trunks aussitôt. Lui aussi aurait aimer que son père soit plus présent. Il ne se rappellait pas vraiment de ses premières années, et très peu du retour de son père, mais il se souvenait que sa mère pleurait souvent, et parlait beaucoup de lui. A travers les paroles de Bulma, il avait apprit a aimer et a respecter son père, et avait été très impressionné de le rencontrer enfin. Lui, savait quel mot il avait dit. Un mot qui avait fait éclatté sa mère en sanglots. Papa. Sa mère le lui avait dit bien souvent. Trunks réprima un sanglot en lisant les mots de son père. Son père était fier de lui. Végéta avait peu parler de son père, mais Trunks était prêt a l'affirmer haut et fort; son père a lui était mille fois mieux que le roi des saïyens. Et il aimait son père. Combien de journées Trunks avait-il passé devant la vitre de la salle anti-gravité, a regarder son père s'entraîner ? Il ne savait pas. Il avait arrêter, ou presque, le jour où Végéta l'avait fait entrer, et avait décidé de l'entraîner. Trunks se rappellait de sa joie ce jour-là. Il ne croyait pas que son père était aussi fort, mais Végéta l'entraînait en douceur, il n'avait jamais blessé Trunks. Mais parfois, encore, Trunks allait devant la vitre et regardait son père s'entraîner. Il aimait le voir si calme, si concentré...si Végéta. Trunks aurait aimé avoir un peu du caractère de son père. Un caractère saïyen. Froid, calculateur, mais capable de tendresse et d'amour. Il avait essayer d'avoir un peu de cet orgeuil saïyen qu'il enviait a son père, mais Bulma lui avait dit qu'il était mieux comme il était, alors il n'avait pas insisté. En se rendant compte qu'il n'avait pas fini sa lecture, Trunks repencha les yeux vers la feuille, ou les traces de larmes l'inquiétaient.

Ce que je n'avais pas compris, c'est que j'étais fier de toi, et ce, peu importe ce que tu ferais. Je veux que tu te souvienne de ça, Trunks. Je suis fier de toi. Peu importe ce que tu accomplira dans la vie.

Trunks sourit. Lui aussi était fier de son père. Il l'aimait tellement. Rien ne pouvait venir a bout du prince des saïyens. Il était immortel. Trunks pourrait a jamais s'engeuler avec lui, et laisser Végéta se rapprocher lentement pour se faire pardonner sans jamais s'excuser. A jamais, il pourrait s'entraîner avec son père, rire avec lui, comme cela arrivait DE TEMPS EN TEMPS.

Je vais mourir, Trunks.

Non. Il avait mal lu. C'était impossible.

Je vais mourir, Trunks. Le médecin a été clair. C'est ma dernière nuit, Trunks. Demain, je ne serai plus là. Rien ne pourra me sauver, pas même les Dragon Ball. Ne pleure pas Trunks.

Des larmes coulèrent sur les joues du jeune homme sans qu'il ne puisse les retenir. Ne pas pleurer ? Alors que son père, l'homme qu'il respectait et aimait le plus au monde, allait mourir ? Ne pas pleurer ? Rester tout bêtement là, a se dire que la vie était chienne ? Non. Cela lui était impossible.

Je vais mourir, Trunks.

Non ! Tout, mais pas ça ! Pas son père. Pas Végéta !

De là-haut, je continus de veiller sur vous. Je... Je dois te dire quelque chose que je ne t'ai jamais dis: Je t'aime, mon fils...

Je t'aime, mon fils... Je t'aime, mon fils... Ces mots que Trunks avait attendu toute sa vie, pour lesquels il aurait renoncer a tout, il les aurait échanger a présent. Il les aurait échanger pour que Végéta revienne. Qu'il veille sur sa famille, qu'il pose encore son regard froid sur eux, qu'ils devinent son amour sans qu'il ne le dise. Jamais plus Trunks ne verrait son père. Jamais plus il ne pourrait le regarder s'entraîner, lui dire des bêtises pour le seul plaisir de voir le saïyen s'énerver. Plus jamais il ne verrait Sangoku et Végéta se disputer joyeusement comme a leur habitude. Jamais pu il ne pourrait serrer son père dans ses bras, lui dire combien il l'aimait, sans que son père ne fasse autre chose que sourire.

Je t'aime, mon fils...

Je t'aime, mon fils...

Je t'aime, mon fils...

Je t'aime, mon fils...

Trunks éclatta en sanglots et glissa au sol, tenant la lettre fortement dans son poing. Il comprenait a présent les larmes sur le papier, et les siennes allèrent s'y mèler. Tout en sanglotant et en tremblant, Trunks sorti l'album photo. Des photos de sa famille. Au début, des photos de lui bébé et de sa mère, puis bientôt Végéta s'était ajouter. Trunks regarda pendant un long moment le visage innexpressif de son père. Trunks grandissait au fil des photos, et bientôt Bra s'était aussi ajoutée. La dernière photo datait d'une semaine a peine. Son père, si calme, avait passer un bra autour de la taille de son épouse, alors que Bra lui avait grimper dans le dos. Trunks était a coté de son père, qui lui souriait avec fierté. Plus jamais Trunks ne sentirait ce sentiment, de voir le regard de son père posé sur lui.

-PAPAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !

Plus jamais...

Je t'aime, mon fils...

Note de l'auteure:

Bon, voilà, le prochain chapitre, ce sera Bra qui découvre sa lettre. Je ne pensais que faire trois chapitre, mais finalement j'ai opté pour la suggestion d'Atalia, mais si ça ne vous plait pas, dites-moi le et j'arrête ca la.