Titre
de l'histoire : Le monde dont j'ai toujours
rêvé…
Auteur : EstelleMLM
Titre
du chapitre : Une volonté de fer.
Disclaimer :
Ce premier chapitre m'appartient entièrement. Il n'y a
aucun personnage d'appartenance extérieure que celle de mon
esprit, et tous les lieux sont à moi. Tout au long de cette
fanfiction, le scénario, l'histoire, certains persos et
lieux… sont à moi ! Et àpersonne d'autre. Il
est interdit de plagier cette fanfiction, sous peine de grosses
engueulades pouvant aller jusqu'à la poursuite judiciaire
(droit de l'écrivain). Vous l'aurez remarqué,
certains persos ne m'appartient pas du tout, mais sont à
JKRowling. Evidemment, je ne touche pas d'argent pour écrire
cette fiction, et on ne me force pas non plus à l'écrire
en me pointant un flingue sur la tempe.
Résumé de
l'histoire : Une jeune fille du nom d'Estelle, 17 ans,
1m73, 54 kilos et ceinture noire de karaté, cherche à
s'échapper de la monotonie quotidienne… et il semblerait
qu'elle a trouvé la solution. Après avoir récité
une drôle de formule plutôt bancale, elle se retrouve
propulsée dans un monde qui lui est encore inconnu. Mais elle
ne tardera pas à s'y acclimater, trouvant enfin des
personnes avec qui s'entendre, et qui ne brimeraient pas ses
pouvoirs.
Résumé du chapitre : Une jeune
fille du nom d'Estelle, 17 ans, 1m73, 54 kilos et ceinture noire de
karaté, cherche à s'échapper de la monotonie
quotidienne… et il semblerait qu'elle a trouvé la
solution.
b u Chapitre 1. /b /u
- Et
ferme la porte à double-tour !
- C'est bon maman, je
suis pas encore totalement débile !
Exaspérée
au plus haut point, Estelle claque la porte derrière elle,
puis ferma soigneusement la porte ; elle remit soigneusement son
sac à bandoulière, puis courut dans les couloirs de
l'immeuble, dévala les escaliers, et se retrouva dehors sous
le soleil éclatant de juillet. Elle se mit à chanter
une improvisation dehors, alors que les passants la fixaient avec des
yeux de merlan frit. Elle s'esclaffait bruyamment en faisant des
gestes obscènes à ceux qui la regardaient avec trop
d'insistance. Ces-derniers s'en offusquaient, mais ne disaient
rien.
Sauf
qu'Estelle fut trop téméraire, à un certain
moment. Effectivement, elle avait tiré la langue à un
groupe qui se prétendait racaille, et ceux-ci avaient répliqué
de façon assez virulente. Alors la jeune femme leur avait
balancé des tas d'insultes à la face, ne supportant
pas de se faire marcher sur les pieds.
Alors les quatre balourds
voulurent l'attaquer. Mais ils ne savaient pas à quoi ils se
frottaient ! Estelle, c'était tout juste dix-sept ans,
1m73, 54 kilos… et une ceinture noire de karaté. En deux
temps, trois mouvements, ses agresseurs étaient à
terre. La « victime » cracha aux pieds de ses
agresseurs, et repartit comme une fleur sans se soucier des regards
courroucés des témoins –qui avaient appelé la
police, soit dit en passant.
Estelle se rendait à la
bibliothèque pour faire des recherches. Pas n'importe
quelles recherches. Elle les faisait en secret pour que personne de
sa connaissance ne vienne la traiter de folle, d'idiote, de pauvre
fille indécemment crédule… Elle cherchait une sorte
de formule qui l'enverrait dans le monde dont elle a toujours
rêvé.
Stupide, n'est-ce pas ? Peut-être,
se disait-elle. Elle voulait juste quitter la monotonie d'un monde
où tout l'avenir est calculé. Parfois, Estelle se
sentait mal en pensant que sa « route » était
toute tracée, mais elle refusait d'être victime d'un
stupide destin, auquel elle ne croyait pas. Après tout, qui
avait un jour pu se vanter d'avoir eu de l'emprise sur
elle ?
Estelle était insaisissable, solitaire et
rêveuse. Elle désirait atterrir dans un monde…
d'action et d'aventure où elle pourrait dévoiler
ses pouvoirs magiques. Un monde où elle pourrait enfin se
trouver une place.
Alors elle arriva à la bibliothèque,
prit quelques livres sous son bras, et s'assit. Elle passa de
nombreuses heures à feuilleter, prenant des notes. Elle ne
pouvait se retenir de se traiter d'idiote. Estelle avait toujours
été très rationnelle, et savait très bien
que ce qu'elle faisait était stupide. Mais elle
espérait.
Dix-neuf heures.
-Madame, s'il vous plaît,
à quelle heure ferme la médiathèque ?
-
Dix-neuf heures trente pile, rugit la bibliothécaire en la
fixant d'un mauvais œil.
Estelle soupira et reprit
tranquillement sa lecture, lorsqu'au bout de quinze minutes, elle
poussa un cri strident suivi d'une exclamation rauque de la
bibliothécaire qui la fit taire d'un coup d'œil. Mais
Estelle lui adressa un immense sourire, et éclata de rire
malgré ses réprimandes. Puis elle sortit, un livre sous
le bras, cherchant sa carte de l'autre.
Elle était
convaincue d'avoir trouvé LE livre. Celui qui lui
permettrait d'atteindre le monde dont elle a toujours rêvé.
Elle se rendit à la caisse, passa son livre à
l'enregistreuse et décampa vite. Elle était tellement
excitée qu'elle se mit à courir en hurlant de joie,
lorsqu'on la saisit par le bras. Instinctivement, elle balança
le policier à terre. Le policier ?
- Oups, désolée !
minauda Estelle tout en pensant « merde, un keuf de mes
deux ! »
Mais elle ne se formalisa pas de cet
arrêt et continua sa course. Elle rentra chez elle, et voyant
qu'elle était seule, verrouilla la porte de l'intérieur
de façon à ce qu'aucun membre de sa famille ne puisse
rentrer dans l'appartement. Puis elle écrivit une longue
lettre qui présentait un adieu à tous les gens auxquels
elle avait tenu un jour (ses parents, sa sœur, son ancienne
meilleure amie qu'elle avait perdue en sautant une classe, …).
Puis elle la posa par terre, bien en évidence, et alla
chercher le matériel dont elle avait besoin dans la
cuisine.
Elle devait se munir de quatorze bougies, une casserole,
un peu de son propre sang. Elle disposa les bougies en cercle sur la
table de la cuisine, fit une étrange mixture qu'elle jeta
dans la casserole. Puis elle alla chercher le livre qu'elle avait
emprunté. Elle se saisit d'un couteau, et se fendit la main.
Alors elle vit quelques gouttes de sang se mélanger à
sa mixture dans la casserole, et elle récita le formule qui
était écrite dans son livre.
« J'aimerais
vivre dans le monde dont j'ai rêvé,
Pour lui
souvent j'ai pleuré,
Et mes larmes de sang ont
coulé.
Aujourd'hui, je vous demande
De bien vouloir me
faire offrande,
Et d'accepter que j'interrompe mon destin
Qui
s'échappe peu à peu de vos mains.
Je vous demande
en toute impunité
De m'envoyer dans le monde dont j'ai
toujours rêvé. »
Rien ne se passa, et
Estelle éclata de rire, des éclats de rire qui se
transformèrent bientôt en sanglots. Elle s'était
sentie si prêt du but, elle avait failli partir… Soudain, un
grand bruit la fit vaciller et tomber de sa chaise. La porte d'entrée
de l'appartement venait d'être défoncée. Elle
se rendit dans le couloir, et vit sa mère qui jetait des
regards affolés autour d'elle alors que les pompiers, fiers
d'eux, allaient ranger quelque chose qui avait dû leur servir
de bélier.
Estelle s'apprêta à se précipiter
sur sa mère, mais disparut dans une explosion de mille et une
couleurs.
Tout était blanc. Estelle ne comprenait pas.
Elle avait beau crier des « où suis-je ? »
désespérés, personne ne lui répondait.
Elle se sentait mal, tenue d'un vertige insondable, et avait de
plus en plus de mal à garder ses deux jambes au sol. Rien de
plus normal, puisqu'il n'y avait plus de sol. Il n'y avait ni
matière, ni couleur. Juste une lumière blanche
éblouissante. Estelle voulait vomir, se déchaîner…
mais elle vit soudain quelque chose apparaître sous ses pieds.
Une ville. La jeune femme flottait dans les airs, et voyait le
sol se rapprocher d'elle à une vitesse déconcertante.
Alors elle hurla, et soudain, la lumière blanche disparut
totalement.
- Qu'est-ce qui s'est passé ? demanda
une première voix.
- Je ne sais pas, elle est apparue, en
plein milieu de la rue ! répondit une deuxième
voix, grave et méchante.
- Tu délires, vieux
frère !
- Tu crois que t'es bien placé pour
dire ça, écervelé ?
Estelle ouvrit les
yeux. Non, rectification : Estelle tenta d'ouvrir les yeux,
mais ses paupières étaient lourdes, si lourdes… trop
lourdes.
Mais parmi les quelques silhouettes qu'elle arrivait à
distinguer, elle en vit arriver une, rouge sang. La personne se
pencha vers elle, et Estelle eut juste le temps d'apercevoir deux
yeux d'un vert éclatant avant de refermer lentement ses
paupières douloureuses qu'elle avait ouvertes quelques
instants auparavant.
b Fin du chapitre 1 !
/b
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en soit, laissez une review, critique ou autre chose, j'accepte
tout !
Le chapitre deux est prévu pour bientôt !
Bisous à tous.
