Chapitre 6 : Rentrée à Poudlard et ancienne connaissance

L'après-midi se passa très vite. Ils restèrent au moins une heure entière dans le magasin des jumeaux, explorant la boutique et ses nombreux trésors.

Puis ils retournèrent au terrier, l'esprit (et leur bourses) plus léger et le cœur réjoui. Tout le monde paraissait content de ses achats et impressionné du magasin de Fred et de Georges. Même Mme Weasley n'avait rien trouvé à redire ! Les jours passèrent eux aussi à une vitesse fulgurante. Hermione et Ron continuaient de se voir en cachette pour parler de tout et de rien, s'embrasser ou seulement rester ensemble en pouvant se tenir la main. Même si Hermione adorait le Terrier et tout ses habitants, elle n'était pas mécontente de retourner à Poudlard, où elle pourrait voir Ron seul plus souvent. Ils se trouvaient maintenant Voie n°9 ¾, et disaient aurevoir à la famille Weasley. - J'espère que vous nous écrirez plus souvent, gronda Mme Weasley.

Elle serra Ginny dans ses bras et passa à Hermione, qui manqua de souffle pendant l'étreinte. - Ne t'inquiète pas Maman, on t'écrira, promit Ginny. - Vous ferez mieux de vous dépêcher, tous les quatre, sinon vous allez manquer le train, fit remarquer Mr Weasley en montrant le Poudlard Express.

En effet, le train commençait à « démarrer ». - Il faut qu'on y aille, dit Ron en jetant un bref coup d'œil à Hermione. Il faut qu'on aille dans le wagon des préfets, Hermione et moi. - Oui, vous avez raison, allez, dépêchez-vous ! dit Mme Weasley à contre cœur. Ils coururent tous vers le train et grimpèrent à bord. - On va essayer de trouver un wagon libre ! cria Harry par dessus son épaule (Ginny l'entraînait déjà dans les couloirs). - D'accord, on vous rejoins plus tard ! répondit Hermione. Puis elle se tourna vers Ron et vit qu'il souriait d'un air malicieux...

- Alors, Mr Weasley, prêt pour remplir votre devoir ? demanda-t-elle en lui rendant son sourire. - Tout à fait, chère madame. Je crois que j'ai vais particulièrement apprécier mon devoir, surtout celui d'être seul avec toi dans le wagon des préfets, après la réunion... - Chut ! gloussa-t-elle. Bon, allons-y.

Ils prirent donc le chemin de l'avant de l'appareil, là où se trouvait la cabine des préfets (je ne crois pas me tromper en disant qu'elle est à l'avant du véhicule, mais si je me trompe, ben dsl !). La réunion commença peu de temps après leur arrivée, dès que Malefoy leur fit l'honneur de sa compagnie, dont ils se serraient bien passer... Ce fut très long pour Hermione, qui n'écouta qu'à moitié le discours du préfet en chef et les consignes de la préfète en chef. Elle ne cessait de jeter des regards à Ron. Enfin, après que les nouveaux mots de passe des salles communes est étaient donnés, la réunion prit fin. Tous les préfets sortirent un à un, parlant entre eux de nouvelles règles, trop sévère ou alors pas assez... Tous, sauf Malefoy qui les observait de ses yeux de fouine.

- Qu'est-ce que tu veux ? lui demanda Hermione avec mépris. Il se contenta de sourire d'un air féroce en les regardant tous les deux puis sortit du wagon. - Complètement débile, celui-là, marmonna Ron (dsl pour les fans de Malefoy ! ! ! ! ! ! !). - On s'en fiche ! Nous sommes enfin seuls maintenant... dit Hermione en se rapprochant de lui.

- Mais c'est que tu as raison, dis-moi... - J'ai toujours raison, répliqua Hermione en souriant. Ron la plaqua contre la vitre de la cabine (avec douceur quand même) et l'embrassa à plaine bouche. Hermione se blottit dans ses bras pour mieux sentir son odeur. C'était devenue comme une drogue ces derniers temps. Ils restèrent là un moment, serrés l'un contre l'autre, à s'embrasser, puis Ron s'éloigna un peu d'elle. - Je te l'ai jamais dit, Hermione, mais... Heu... dit-il maladroitement. Je t'ai toujours trouvé très jolie, et heu... Surtout ces derniers mois... - Merci, murmura-t-elle doucement. Ron, je t'... Heu.. J'adore être avec toi. Elle avait failli dire qu'elle l'aimait ! Elle avait failli tout gâcher ! Quelle idiote ! Car elle connaissait suffisamment Ron pour savoir comment il aurait réagit ! Il aurait était sans aucun doute effrayé par de tels sentiments et aurait prit la fuite... - Moi aussi, lui répondit-il en souriant. Elle ne comprit pas tout de suite le sens de cette phrase, tant elle était perdue dans ses pensés. Puis, prise d'une envie soudaine, elle se jeta dans ses bras et il la serra très fort contre lui, très fort contre son cœur.

- On ferait bien d'y aller, Harry va se demander ce qu'on fait... murmura Ron à contre cœur. Hermione poussa un soupir et l'embrassa une dernière fois. - Prêt à redevenir mon bon copain, Ron ? lui demanda-t-elle, la main sur la poignet de la porte. - Prêt, répondit-il en hochant la tête et en souriant d'un air triste. Elle ouvrit la porte et se retrouva nez à nez avec...

- Malefoy ! s'exclama-t-elle. Qu'est-ce que tu fiche ici ? En effet, Drago Malefoy se tenait sur le seuil, et les regardait d'un air mauvais. - Ca serait plutôt à moi de vous poser cette question, répondit-il de sa voix traînante. Il me semble que la réunion est finie depuis plus d'un quart d'heure... Qu'est-ce que vous faisiez tous les deux ? Hermione jeta un coup d'œil à Ron et vit que ses oreilles étaient rouges vifs. Il semblait se retenir de sauter sur Malefoy.

- Ca te regarde pas, répliqua-t-il. - Tiens, tiens, Weasley... Alors, tes parents ont finalement réussi à te payer une nouvelle année à Poudlard. J'imagine qu'ils ont du au moins vendre leur maison pour ça. Hermione dut retenir Ron par la taille tandis que celui-ci bondissait vers Malefoy. - Et toi, Malefoy, j'imagine que ton père doit beaucoup te manquer, maintenant qu'il est enfermé à Azkaban... lança Hermione. Allez viens Ron, on s'en va. Ne prête pas attention à ce genre de personne, il n'en vaut pas la peine. Ils sortirent du wagon, laissant Drago Malefoy seul. - Ah, celui-là, si je pouvais me retrouver seul avec lui en dehors de Poudlard, il ferait moins le malin, crois-moi, marmonna Ron à voix basse. Je ne comprend pas pourquoi Dumbledore ne le vire pas de l'école ! Mais Hermione pensait à autre chose, quelque chose qui pouvait vite se changer en catastrophe... - Tu crois qu'il nous a vu ? murmura-t-elle en pensant devant un groupe de 3ème année. Tu crois qu'il sait, pour nous ? - J'espère bien que non, parce que sinon, on peut dire adieu à notre secret... - Quel secret ? demanda une voix derrière eux.

Ron et Hermione sursautèrent et se retournèrent en même temps. - Quel secret ? répéta Harry en fronçant les sourcils. - Heu... Mais de quoi tu parle Harry ? dit Ron, mal à l'aise. - C'est quoi ce secret ? demanda-t-il en croisant les bras sur sa poitrine.

- Allons, Harry, on a pas de secret pour toi, tu le sais quand même... - C'est un secret qui lie les préfets, on est désolés Harry mais on ne peut rien te dire, vraiment... dit précipitamment Hermione, avant que Ron n'ouvre encore la bouche. Elle lui jeta un regard éloquent et il s'épressa d'acquiescer. - Et puis, qu'est-ce que tu fiche ici ? questionna-t-il. Pour changer de sujet de conversation.

- Je vous cherchez ! Il y a bien un quart d'heure que j'ai vu passer les autres préfets ! Où étiez-vous ? - On a dut aller régler un problème dans un wagon, heu... Un élève de 2ème année qui faisait exploser des pétards... Enfin, tu vois quoi... dit Hermione. Et où est Ginny ? - Oh... Dean est allé lui dire bonjour... lança-t-il d'un ton dégoûté. - Je croyais qu'ils n'étaient plus ensemble ? - Ils ne le sont plus, mais d'après ce que j'ai compris, Dean n'a pas encore avalé leur rupture. Ron et Hermione échangèrent un sourire complice. Ginny avait toujours sut comment s'y prendre avec les garçons...

Ils rejoignirent donc Ginny dans le wagon, qui était à nouveau seule. Elle leur expliqua que Dean était simplement venu lui parler en AMI (elle insista bien sur ce mot à l'intention d'Harry) et celui-ci sembla se détendre un peu. Hermione soupçonnait qu'il se passait quelque chose et se promit de questionner Ginny dès qu'elle en aurait l'occasion. Le voyage se passa dans la bonne humeur. Nombre de leurs camarades vinrent les saluer et, une fois n'est pas coutume, ils ne virent plus Malefoy pendant le trajet. Une fois arrivés dans le parc de Poudlard, ils prirent les diligences tirés par les Sombrals (que Harry était le seul des quatre à voir) et entrèrent enfin dans le hall d'entrée du château. - Aaahhh, ça fait du bien de revenir chez soi, soupira Harry en enlevant sa cape. Ils pénétrèrent dans la grande salle et s'installèrent à leur place favorites. Hermione se tourna vers la table des professeurs et vit que Dumbledore était toujours là, assis au milieu, entre le professeur Mac Gonagall et le professeur...

- Lupin ! s'exclama-t-elle. Il est revenu ! Tout le monde se tourna vers la table de professeur et ils purent constater qu'elle avait raison. Rémus Lupin se tenait à la droite de Dumbledore, et parlait avec lui. Il avait toujours cet air malade et fatigué, mais il avait toutefois une nouvelle robe de sorcier, qui changeait de ses habits miteux. - Comment cela se fait-il ? demanda Harry, abasourdi. Il semblait vraiment très heureux de le revoir, et Hermione le comprenait très bien, compte tenu de la mort de Sirius, Rémus Lupin devait lui aussi avoir beaucoup souffert de cette tragédie.

- Je suis sûr que c'est à cause du retour de Vous-savez-qui, dit Ginny. Maintenant, avec tout ce qui se passe dans le monde des sorciers, les gens sont plus aptes à suivre un loup-garou qui les protégeraient. Tout le monde acquiesça. La grande salle se remplit peu à peu, à mesure que le plafond magique, qui représentait l'état du ciel dehors, devenait de plus en plus sombre. Enfin, quand une ne manqua plus personne, la répartition des premières années put commençait. Comme de coutume, Mac Gonagall appela les élèves tremblants dans l'ordre alphabétique tandis que le choixpeaux leur donner le nom de leur nouvelle maison. Quand la dernière élève fut passé (Wizbikker : Serdaigle !) , Dumbledore se leva pour faire son discours.

J'ESPERE QUE CA VOUS AS PLU

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