Fin de la vie en solitaire pour Harry ! Hé oui, il est l'heure pour lui de revoir ses amis ! D'ailleurs, je peux vous dire une chose...Voldemort n'a pas finit de frapper. Si vous voulez mon avis, il a déjà commencé ! Mais j'arrête avec mon mystère et je vous laisse lire ! BONNE LECTURE !

DISCLAMER : Dans ce chapitre, tous, absolument tous appartient à notre écrivain favoris, J.K Rowling ! De plus, je ne touche pas d'argent ! Juste la satisfaction de publier mes potterfictions !

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Harry Potter et le grimoire sacré

Chapitre 3 : Des retrouvailles tant espérées

Vers le milieu du mois d'août, Harry jugeait qu'il était temps d'acheter ses fournitures scolaires. Il s'habilla rapidement et alla prendre son maigre petit-déjeuner. Il voulait partir le plus tôt possible, comme ça, il pouvait voir Ron et Hermione et leur parler de cette lettre si étrange venant du ciel. Quand Dudley vit son cousin se presser autant à manger son pain moisit avec un fond de confiture, il lui demanda :

« Qu'est-ce que tu vas faire encore ? Appeler un autre détraque choses pour m'assommer ?

- Ce ne sont pas tes oignons et si tu continues à me poser des questions qui ne te concernent pas, je vais vraiment les appeler ces détraque choses ! » Menaça Harry de mauvaise humeur tout en sachant très bien qu'il ne pouvait pas.

« MAMAN !!!

- Bon débarras ! »

Harry savait exactement comment il allait aller au chemin de traverse.

Il prit sa baguette magique, alla dans un coin où il était sûr que personne ne le verra, derrières les poubelles et agita sa baguette magique. Un bus violet, à trois étages roulant à toute allure vers Harry apparut quelques secondes après. Il freina brusquement devant Harry et un garçon, grand et mince avec un peu d'acné sur le visage commença à lui parler :

« Bienvenue à bord du magicobus, transports d'urgence pour sorciers en perditions. Faites un signe avec votre baguette magique et... »

L'homme s'arrêta net de parler et regarda Harry.

« Hé mais on s'est déjà vu je crois. Tu t'appelles Harry Potter c'est ça ?

- Oui. J'ai déjà pris le magicobus deux fois.

- Bon rentre vite. Je te préviens, Le chauffeur n'est pas de bonne humeur ce matin ! »

Harry remarqua que les chaises qu'il avait vu la dernière fois qu'il avait pris ce bus si étrange c'est-à-dire, il n'y a même pas un an, n'avait pas changé à l'exception d'un coin qu'il y avait maintenant, un endroit aménagé pour faire une sieste pendant le voyage. Par chance, il n'y avait aucuns passagers ce qui donnait à Harry, le privilège d'aller tout de suite au chemin de traverse.

« On t'emmène où le mioche ?! » Grogna le chauffeur d'une voie plus monocorde et moins sympathique que d'habitude.

« Au chemin de traverse s'il vous plait. Stan, pourquoi il n'est pas aussi aimable que d'habitude ?

- Et bien, c'est à cause de tu sais qui !

- Ha bon ?

- Oui ! Depuis que le ministère a confirmé qu'il était revenu, la plupart des sorciers restent chez eux, enfermés par peur de le voir surgir avec ses mangemorts. A cause de cela, plus personne ne se promène et les affaires tournent mal, très mal ! Le seul endroit où il y a du monde à cette période est le chemin de traverse avec la rentrée scolaire. Mais les bars, et les magasins qui n'ont aucuns rapports à l'école sont vides. Hé voilà Harry tu es arrivé ! Ça te fera onze mornilles. Désolé de ne pas t'avoir proposé de suppléments mais nous n'avons plus rien ! Au revoir Harry !

Harry sortit du bus et se trouvait devant le mur de briques qui séparent le « chaudron baveur » du chemin de traverse. Il décida d'aller d'abord acheté voir ses amis comme ça, ils pourra acheté ses affaires avec eux.

Il tapa sur les cinq briques pour ouvrir le mur. Comme prédit, les pierres se mirent de chaque côté pour laisser passer Harry.

Quand il rentra dans le pub, il n'y avait presque personne. Juste deux femmes qui devaient avoir toutes les deux la quarantaine, enjouée dans une discussion qui avait l'air très intéressante en voyant leur visage.

Harry alla s'asseoir au comptoir et demanda une bièreaubeurre.

En la buvant, il demanda au serveur s'il avait vu deux adolescents en lui décrivant la description physique de ses deux amis.

« Oui je l'ai ai vu. Il y en a même un qui m'a emmené toute sa famille. Vous voulez que j'aille les chercher ?

- Oui je voudrais bien si cela ne vous dérange pas bien sur.

Quelques minutes après, il vit avec joie ses deux amis descendre.

Ils n'avaient pas beaucoup changé depuis la dernière fois qu'il les avait vu. Ron avait juste les cheveux encore plus roux et Hermione avaient beaucoup grandi. Sinon, c'était les mêmes. Dès qu'Hermione vit Harry, elle poussa un grand cri de joie et Ron lança un grand « HA » qui montrait qu'il était content de le voir !

« Hé Hermione ! Moins fort !

- Oui désolé ! Je suis tellement contente de te voir Harry !

- Moi aussi ! Vous m'avez vraiment manqué tous les deux ! Entre le stress des résultats de mes BUSE, mes nuits blanches et le décès de...de...enfin de vous savez qui, je peux vous dire que j'avais vraiment hâte que l'on se retrouve ! »

Un malaise s'installa dans la pièce devenue tout à coup silencieuse.

« Moi, il faut que je te dise des choses à te faire dresser tes cheveux sur la tête ! » Dit Ron en essayant d'imiter assez piteusement le ton de l'enthousiasme.

« Oui pour ça, ça va vraiment agréablement t'étonner ! » Confirma Hermione

« Comme par exemple ?

- Comme par exemple que mon père est devenu ministre de la magie !

- QUOI ?! Mais c'est GENIAL ! ça se fait ?

Je veux dire qu'il n'y avait pas eu de nouvelles élections prévues pendant les vacances scolaires !

- Oui je sais mais quand les gents ont vu comment il avait réagit face à ton témoignage et à celui de Dumbledore, à propos du retour de tu sais qui, et qu'ils ont su par des témoignages de gents qui travaillent à «La gazette du sorcier» que Fudge étais sans arrêt derrière les propos sur quoi, ils disaient que tu étaient fou, et bien ils ont préféré élire quelqu'un d'autre. De plus, la population magique c'est enfin rendu compte qu'il n'était pas fait pour être ministre de la magie. Certes, quand il n'y avait pas de graves problèmes, il était un bon ministre mais quand il y a de très mauvaises périodes comme celles qui vient de commencer, ce n'est pas la même histoire. Donc, à l'unanimité du conseil, ils ont voté pour le renvoie de Fudge !

-J'aurai adoré voir sa tête lorsqu'il l'a su ! S'exclama Harry

Mais, comment ça se fait que ce soit ton père ?

- Et bien, il faut dire qu'au ministère, c'était l'un des seuls je crois à travailler sur une cause contre tu sais qui. Dumbledore a dit devant tout le monde, le jour des élections, que mon père avait été le seul a travaillé sur une lutte contre celui dont on ne doit pas prononcer le nom et...

- Mais Ron, quand vas-tu te décider à enfin dire son nom ! J'y suis arrivée moi !

- Arrête de m'interrompre Hermy !

- Et toi, arrête de m'appelle comme ça !

- Bon alors je reprends mon récit ! » Dit Ron en portant un regard menaçant à Hermione. Donc après, ils ont jugé bon de le nommer lui vu que c'était le seul travaillant au ministère qui a su réagir correctement devant le retour de tu sais qui !

- Voldemort Ron ! Vol-de-mort !

- Mais, reprit Harry, Dumbledore n'a quand même pas dit tout dit sur l'ordre du phénix j'espère ?

- Non il a dit le moins de choses possibles. Pour te dire : il n'a même pas préciser le nom. Pendant tout le discours, il l'a appelé, « la lutte anti-tu sais qui» mais certaines personnes ont eu du mal à attendre la fin de son discours vu qu'il a appelé V V bon tu sais qui par son vrai prénom c'est-à-dire le nom que personne n'arrive à dire. Une femme de quarante ans a même fait une crise d'épilepsie !

Ron éclata de rire en évoquant ce souvenir.

- Ce n'est pas drôle du tout Ron ! » S'indigna t-elle. « La pauvre femme ! Elle tremblait de tout son corps ! Tu devrais avoir honte d'en rire !

- Arrête d'être rabat-joie Hermione ! Avoue que toi aussi tu trouvais la situation amusante surtout lorsqu'elle tremblotait tellement que l'on aurait pu faire danser des claquettes à Rogue !

- Tu es désespérant !

- Je sais je sais puisque ma mère me le dis tous les jours ! Ha oui Harry ! Dumbledore a aussi dit à quoi servait l'ordre du phénix et que si certaines personnes voulaient se joindre à eux, elles étaient les bienvenues. C'est tout !

- Mais pourquoi tu ne me l'as pas dit dans tes lettres ?

- Je voulais absolument voir ta tête quand j'allais te l'annoncer. Préserver un effet de surprise, voilà mon but !

- Et bien c'est réussi ! » Certifia Harry. « Mais comment a réagit Percy ?

- Et bien, dès qu'il a été prévenu que mon père était désormais le ministre de la magie, il a tout de suite démissionné.

- Tu plaisantes ?

- Non pas du tout mais je pense que c'est tout simplement par fierté.

Jamais tu entendras Percy dire qu'il avait tort et si il enterre la hache de guerre avec nous, il sera obligé de l'admettre.

- C'est dommage !

- Il n'y avait pas grand monde à la maison pendant les vacances ! Entre Percy qui refuse toujours de revenir habiter chez nous, Fred et Georges qui dorme maintenant dans un petit studio intégré dans leur magasin et Ginny qui est allée en colonie de vacance, l'ambiance ne faisait pas vraiment notre quotidien !

- Comment ? Fred et Georges ne viennent plus chez toi ?

- Non car ils disent que si ils reviennent, ma mère ne va pas arrêter de les assommer de reproches d'avoir quitter Poudlard avant d'avoir pu passer les ASPIC !

- Oui mais bon appart ça, qu'est-ce que tu nous raconte toi Harry ? Depuis que tu nous a vu, on a parlé de moi, d'Hermione mais pas de toi ! »

Harry imita soudain un air solennel et dit :

« JE SUIS CAPITAINE DE QUIDDITCH !!!!!

- Waou c'est génial ! Quand l'as-tu su ? » Demanda Ron en pleine admiration.

« Il y a un petit peu moins d'un moi !

- Je suis très contente pour toi !

- Oui en plus, ça ne peut te faire que du bien !

- Mais j'ai quelque chose d'autre à vous raconter de bien plus étrange cependant je préfère vous en parler sur le chemin de traverse vu que je dois acheter mes fournitures.

Tout le long du trajet, Harry pu constater que des centaines d'affiches avaient été placardées sur les murs recommandant de faire attention sauf ce n'était pas signé Cornélius Fudge mais Arthur Weasley. D'ailleurs, Ron en était très fier. Il y avait beaucoup moins de monde que les années précédentes autant dans les magasins que dans les petites ruelles.

Harry alla avec ses deux amis à la banque Gringott retirer un peu d'argent pour pouvoir s'acheter ce dont il avait besoin et en quelques heures, toutes les « fournitures » scolaire furent obtenu. Harry leur raconta sur le chemin du retour pour revenir au pub, l'histoire de la lettre de Sirius.

Ron fut complètement ébahit mais Hermione, quand à elle, était beaucoup moins émerveillé que lui. Elle leur dit ce qu'elle savait à ce sujet :

« J'ai lu quelque chose là-dessus. C'est très rare ce que tu viens de recevoir Harry ! Il était marqué que les personnes recevant de telles lettres étaient celles qui étaient amené à vivre des périodes sombres dans les mois ou même dans les années qui allaient suivre et étaient envoyées par des proches décédés récemment. Ce que je ne comprends pas, c'est que tu n'en as pas reçu de tes parents or, que tu sois très jeune ou très vieux, c'est obligé que tu en reçois une et tous le monde est d'accord je pense quand je dis que lorsque tu étais bébé, ou même plus vieux, tes années n'ont pas été roses du tout.

- Alors comment expliques-tu cela ?

- Harry...tu...Tu es sûr que ton oncle et ta tante ne te cache pas quelque chose ?

- Que veux-tu dire par là ? » Demanda Harry qui sentait une légère colère montée en lui.

« Et bien, je veux dire qu'ils ne t'ont peut-être jamais donné cette lettre.

- Remarque ils en seraient bien capables. Ils m'avaient bien caché que j'étais un sorcier.

- Et tu vas mieux depuis la mort de Sirius ? Est-ce que tu t'en es remis ? Demanda maladroitement Ron.

- Et bien depuis que j'ai reçu cette lettre, je vais beaucoup mieux mais il est vrai qu'avant cela, j'étais complètement perdu !

- C'est normal mais il ne faut pas que tu restes seul surtout à cette période sombre de ta vie. Maintenant que l'on s'est retrouvé. Ce serait bien non si tu louais une chambre au « Chaudron baveur » ? En plus, tu as assez d'argent.

- Oui je crois que je vais faire ça. Les Dursley ne vont pas s'inquiéter du tout je pense. Ce sera noël avant l'heure pour eux et pour moi ! »

Mais soudain, une lettre rouge feu arriva dans les pattes d'un hibou grand duc. C'était une beuglante destinée à Harry.

« Il faut bien une première fois à tous Harry ! » Fit remarquer philosophiquement Ron.

Harry, légèrement tremblant ouvrit l'enveloppe. D'un coup, une voie semblable à celle qui s'était adresse l'année dernière à la tante Pétunia, s'éleva avec beaucoup d'intensité :

Harry Potter

Reviens chez ton oncle et ta tante et restes y jusqu'à la rentrée. Ne loue pas de chambre et reviens à Poudlard à la date prévue.

Harry avait tout de suite reconnue la voie de Dumbledore.

« Bon et bien je crois que je vais retourner à mon grand désespoir à Privet drive.

- Je ne comprends pas pourquoi il ne veut pas que tu t'en ailles de chez ses gents ignobles !

- Oui c'est vrai que c'est bizarre !

- Oui ! Je me demande moi aussi ! Mentit Harry Et au fait, qu'est-ce que c'est ce livre dont tu voulait tant me parler Hermione?

Hermione lui tendit un gros pavé avec en couverture, une photo de Poudlard illuminé le soir.

- Ha oui ! Et bah, voici le livre de « L'histoire de Poudlard édition 2004 ». J'en ai acheté trois exemplaires. Un pour toi, un pour Ron et aussi un pour moi. Ils n'étaient pas très chers. C'était cinq gallions l'un. C'est l'occasion rêvé pour que vous arrêtiez de dire des bêtises plus grosses que vous sur Poudlard.

- Merci Hermione ! » Répliquèrent en chœur Ron et Harry.

« Bon je dois partir ! A bientôt ! »

Quand Harry sortit du pub, il regarda par l'une des fenêtres pour voir une dernière fois le visage de ses amis. Il lui avait semblé voir Ron regarder le livre que lui avait acheté Hermione avec tendresse et le serrer contre son coeur.

¤ Fin du troisième chapitre ! ¤