Excusez-moi pour ce long même très long retard mais mon ordinateur était en réparation comme j'ai pu vous le dire au chapitre précédent. Enfin j'espère que vous n'êtes pas trop fâché après moi. Maintenant, place au chapitre 4 !

Je n'ai qu'une chose à dire : c'est que j'ai presque honte de ce que je vais faire subir à notre pauvre Harry dans ce chapitre !

DISCLAMER : Bon, je sais que je suis saoulante avec ça mais c'est passage oblige !

(Voie monocorde)Tous personnages et lieux déjà vus dans les cinq premiers tomes ne m'appartienne en aucun cas ! C'est la propriété personnelle de J.K Rowling !

Bon et je le redis encore pour la quatrième fois : je ne touche pas de « poignons ».

Harry Potter et le grimoire sacré

Chapitre 4 : Le cadeau de Voldemort

Dès que Harry fut rentré chez les Dursley de sa promenade au chemin de traverse, il alla voir tout de suite son oncle et sa tante pour savoir pourquoi ils ne lui avaient pas donné la lettre que ses parents lui avaient écrit après leur mort. Quand il vit l'oncle Vernon, Harry s'adressa tout de suite à lui :

« Pourquoi vous ne m'avez pas donné cette lettre que mes parents m'avaient adressés après leur mort ?!

- Tu dis des bêtises ! Ils étaient morts ! Comment auraient-ils pu t'écrire une lettre ! » Dit l'oncle Vernon légèrement paniqué.

« Avec...voyons...la poste « Ciel et Terre ! » Répliqua Harry en faisant semblant de réfléchir.

« Ha oui ! Ça ! Heu...

- Oui ?

- Et bien...heu ! Ho là là mais je te l'ai déjà dit que nous voulions en finir avec ces sornettes de sorcellerie !

- CE NE SONT PAS DES SORNETTES ! Vous n'aviez pas le droit de faire ça ! Qu'est-ce que ça vous auriez apporté de me l'a donné ? Déjà que je ne savais presque rien sur mes parents, vous auriez quand même pu me donner le peu de chose que mes parents m'avaient donné pour que je puisse mieux les connaître non ? »

L'oncle Vernon parti dans le placard qui était la chambre d'Harry il y a quelques années, en sorti un minuscule coffre cadenassé avec en bois blanc et l'ouvrit avec une clé qui se trouvait dans la poche de sa robe de chambre.

« Voilà ce que tes misérables parents t'ont laissé ! Tiens ! Maintenant, va dans ta chambre et je ne veux plus te voir en dehors jusqu'à ce que je t'en donne le signal ! C'est comprit ? »

Harry n'entendait même plus ce que disais l'oncle Vernon et contemplait la boite avec émerveillement :

« C'est comprit ? » Reprit t-il

« Oui ! »

Dès qu'Harry fut rentré dans sa chambre, il s'assit sur son lit et commença à enlever le couvercle. En effet, il y avait la lettre dont Hermione lui avait parlé. Le premier paragraphe était le même. C'était « les anges » qui parlaient pour lui expliquer qu'est-ce que comprenait cette lettre. Harry prononça les mots « Ciel et Terre » puis l'écriture de ses parents apparue instantanément :

Cher Harry

Nous sommes désolés d'être disparu aussi tôt de ta vie ton père et moi. Nous pensons très fort à toi là-haut. Tu passeras quelques années chez ton oncle et ta tante puis tu iras dans la meilleure école de sorcellerie au monde : Poudlard

Oui Harry, tu es un sorcier exactement comme ta mère et moi.

Mais ces quelques années chez les Dursley seront très dures à vivres ; elles seront sombre et nous ne te cachons pas qu'ils t'ont recueilli à contre cœur.

Nous t'avons laissé un petit présent : c'est une bague. Elle n'est pas spécialement magique mais garde là comme un talisman. Nous n'avions pas fait de testament et ceci est l'une des rares choses que ta mère et moi puissions te donner. Je suis mort avec tout comme mon père et ainsi de suite. Ce petit bijou a traversé les générations de la famille Potter !

Quand à moi, ton père, je n'ai que cette chaîne en or toute simple avec quelques morceaux de corail dessus.

Nous sommes énormément attristé pour la vie misérable que tu vas passé chez les Dursley pendant dix ans mais il n'y avait que cette solution. Ne nous en veut pas ! Ce serait pire que tout !

TES PARENTS QUI T'AIMENT, JAMES ET LILY POTTER

Dès qu'Harry eut finit sa lecture, il vit une petite bague :

Elle était montée sur de l'or et au milieu, on pouvait voir un joli clapet en argent.

Harry l'ouvrit et vit une éclatante émeraude tous comme la couleur de ses yeux.

Pour lui, rien n'était plus beau que cette merveille ! A présent, il ne s'en séparera plus jamais.

« C'est le seul présent grâce auquel je peux pensé à eux sans ma mémoire. Je ne veux absolument pas la perdre ! »

Il pointa sa baguette sur le coin du doigt où la bague était mise et dit :

« PATAFIXE ! Voila maintenant, impossible de la perdre !

Harry lisait et relisait la lettre de ses parents et celle de Sirius des semaines et des semaines passantes. Il se sentait mieux à présent que ses parents avait réussit à communiquer avec lui. Mais il continuait quelquefois à faire son cauchemar habituel si horrible.

La veille de la rentrée, il fit un rêve étrange : il se trouvait dans une pièce vaste et très sombre. Seul la lueur des torches allumées éclairait la pièce.

Il n'y avait que Harry dans cet endroit si étrange. Des portes en bois se trouvaient un peu partout dans la pièce. Harry s'avança vers l'une d'elles, l'ouvrit mais débouchait sur un mur en pierres. Ce phénomène se produisait pour toutes les portes qu'il entreprenait d'ouvrir. Au bord de la panique, il leva la tête pour essayer de trouver une issue par le plafond mais impossible. Le plafond était très haut et seul un lustre poussiéreux y était. Soudain, une voir rauque se fit entendre :

« Alors tu es venu Harry ?! J'aurai dû m'en douter. Aussi curieux que tes maudits parents. Mais la curiosité est un vilain défaut Harry et tu vas t'en rendre d'autant plus compte ce soir car à cause de ta bêtise de venir ici, tu vas le payer ! Venez mes fidèles ! »

D'un coup, une dizaine de mangemorts apparurent des portes qui étaient quelques minutes auparavant, bouchée. Il récita tous en même temps ces deux mots si cruels en pointant leur baguette sur Harry :

« AVADA KEDAVRA »

Harry s'affala sur le sol, allongé, mort.

Mais d'un coup, il fut téléporté dans une minuscule pièce, aussi sombre que la première qu'il avait visité. Il y avait une sorte d'autel avec une bougie dessus. Une silhouette mince et grande s'avança devant lui mais Harry ne pu voir qui s'était tellement la pièce était sombre et une voie douce cette fois-ci, retentit :

« Bientôt ! »

Harry se réveilla en sursaut en pleine nuit. Il était trois heures du matin.

Il osait à peine bouger dans son lit tellement son cauchemar l'avait mis dans un état de terreur.

Plongé dans ses pensées sur les faits que pouvaient entourés son rêve, il fut interrompu dans ses songes par un bruissement d'aile. C'était une chouette. Elle s'engouffra dans la chambre d'Harry par la fenêtre qu'il avait laissé ouverte en raison de la forte chaleur et se posa sur son lit.

L'oiseau donnait froid dans le dos : elle avait des yeux ronds d'un jaune éclatant avec une tache noire au milieu qui rendait son regard pénétrant. Son pelage était d'un noir corbeau inquiétant. Il portait une lettre scellée d'un saut noir avec une tête de mort dessus. Harry pensa tout de suite que cela venait de Ron et qu'il avait enfin réussit à visiter l'allée des embrumes mais il était loin d'imaginer ce qui l'attendait. Il était écrit :

« Harry Potter

Je te tuerai comme j'ai tué tes parents stupides. Tu ne paies rien pour attendre. Tu t'es trop souvent mis son mon chemin. J'espère que mon cadeau te plaira !!!

Le plus grand sorcier du monde, Lord Voldemort »

Soudain, Harry eut une horrible migraine à lui couper le souffle.

La douleur était intenable. Il se roulait par terre en se tenant la tête.

Il gémissait de douleur ce qui réveillèrent l'oncle Vernon, la tante Pétunia et le cousin Dudley. Ils étaient très surpris de voir Harry dans cet état.

Leur suprême bonté (hem, hem !) donna à Harry toute sorte de médicaments mais aucun ne marchaient. Ils étaient totalement découragés : ils ne pouvaient pas dormir à cause des cris que poussaient le pauvre Harry. Deux heures après que la douleur avait commencé c'est-à-dire vers cinq heures trente du matin, la douleur s'apaisa petit à petit et tout le monde pu retourner dans leur chambre pour aller dormir.

Mais Harry n'arrivait pas à trouver le sommeil même si son mal de tête s'était arrêté. Cette pensée n'arrêtait pas d'occuper ses pensées :

Voldemort avait déjà mit en route ses plan maléfiques avant que Harry ne soit retourner à Poudlard, l'école des sorciers.

Bientôt, qu'allait-il se passer ?

Et à qui appartenait cette voie si étrange dans son rêve ?

L'année promet d'être dur pour lui !

Fin du quatrième chapitre !