Que dire d'autre appart « Pauvre Harry ! »

DISCLAMER : Bon je vous comprends un peu que c'est vraiment répétitif mais que voulez-vous ! D'ailleurs, je pense que la majorité d'entre vous ne prenne même pas de lire cette rubrique et je les comprends un peu quand même !

Bon, tous les éléments présent dans ce chapitre (ha ça change un peu) dont il a déjà été question dans les cinq premiers tomes d'Harry Potter appartiennent à la célèbre J.K Rowling.

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Harry Potter et le grimoire sacré

Chapitre 10 : pêtage de plomb

Hermione pleurai, pleurait et pleurait encore. Tellement, que l'on pouvait voir très facilement qu'elle souffrait autant physiquement que moralement.

Il aurait régné un calme absolue dans la pièce si la jeune fille ne sanglotait pas. Harry et Ron n'osaient pas faire le moindre geste ni le moindre bruit qui aurait pu aggravé le moral de leur amie, madame Pomfresh était partit dans la pièce d'à côté pour trouver un remède contre ce symptôme si bizarre et Dumbledore était devant son lit, en joignant les mains et regardant tranquillement Hermione. Ils eurent de la chance car les malades avaient été placés dans une autre pièce car les gémissements habituels d'Hermione faisaient agrandir leur curiosité assidue et ne restèrent donc pas tranquille ce qui agaçait énormément l'infirmière.

Comme Harry et Ron n'en pouvaient plus de la voir dans cet état, ils s'avancèrent vers elle pour essayer de la calmer mais avant qu'il ne puissent lui parler, Dumbledore les interrompirent :

« Non il ne faut pas la bousculer. Il faut qu'elle ressorte toute l'émotion du choc qu'elle vient de vivre pour qu'elle puisse nous raconter la chose horrible qui la provoquer dans cet état !

- Mais Monsieur ! » Protesta Harry « Regardez dans quel état elle est ! Il faut l'aider ! On ne peut pas rester là à ne rien faire et la regarder pleurer.

- Harry, je sais bien que c'est dur tout aussi bien pour Ron que pour toi de rester impuissant face à cela mais il faut qu'elle libère toute la pression du choc !

Ron s'était assis sur l'une des chaises à côté du lit d'Hermione, la tête dans ses mains. Il ne supportait pas de voir la souffrance qui occupait l'esprit d'Hermione.

Une demie heure après, elle était complètement calmée mais elle manquait tant de force à présent qu'elle n'arrivait même plus à se redresser.

« Hermione, dis-nous quelque chose ! » Dit Ron qui semblait nettement soulagé de voir son état s'améliorer.

« Est-ce que c'est en rapport avec le sortilège où tu m'as servi involontairement de bouclier ? » Demanda calmement Harry.

« De bouclier ?! De bouclier ?! » S'emporta Dumbledore.

« Attendez ce n'est pas ce que vous croyez Monsieur ! » S'empressa Ron dès qu'il vit la réaction du directeur. On va tout vous expliquez !

- Je l'espère bien ! » S'exclama Dumbledore.

Harry et Ron lui dirent tous ce qu'il s'était passé dans la salle sur demande, lors du duel avec Malefoy.

« Et bien Messieurs, vous me décevez beaucoup ! Harry, je suis sûre que tes parents n'auraient pas aimés du tout cela. Quand à vous monsieur Weslay, vous avez de la chance de ne pas avoir fait partit du duel sinon, une petite lettre à vos parents aurait été nécessaire.

- Regardez Monsieur, elle s'est endormie ! » Dit Harry qui venait de tourner la tête vers le lit de Hermione.

« Je vous prie de partir de cette infirmerie s'il vous plait ! » Ordonna prudemment madame Pomfresh d'un ton sans réplique. « Il faut que cette enfant se repose. Vu son état, son choc émotionnel est très important.

« Mais il n'y aura pas de trace de cela madame Pomfresh ? » Demanda Harry.

- Ho non je ne pense pas. Mon diagnostic à moi serait que à mon avis, cette jeune fille à subit un gros choc psychologique. J'ai déjà vu quelques cas comme cela. Des personnes voyagent dans les pensées des gents comme bon leur semble pour pouvoir après jouer un rôle dans leur esprit. Mais il ne faut pas la brusquer. Je pense que demain, elle sera remise sur pied mais je préfère la garder pendant encore quatre, cing jours !

Mais puis-je savoir qui a fait cela ?

- Je m'occuperai de cela personnellement Pompon si cela ne vous dérange pas ! » Interrompra Dumbledore. « Partons maintenant. »

Avant de partir, Ron chuchota doucement et discrètement à l'oreille de Hermione :

« Je te vengerais ! Sois-en sûre ! »

Dès qu'ils eurent tous les trois refermés la porte derrière eux, Dumbledore commença à prendre la parole :

« Quand vous reverrez Miss Granger, ne lui parlez surtout pas de ce qu'il s'est passé. Comprit ?

- Oui Monsieur ! » Répondirent en chœur Ron et Harry.

« Mais vous allez quand même punir Drago Malefoy Monsieur ? » Demanda Harry sur le bord de la colère rien qu'en pensant à cette personne aussi horrible et sans cœur. Tout comme son père d'ailleurs.

« Bien sur ! Mais je vous ordonne de ne pas aller lui régler son compte à ma place ! C'est moi et moi seul qui suis responsable de le faire. Est-ce bien comprit ? »

Harry et Ron, complètement découragés finirent par accepter.

« Harry tu ne peux rien faire. C'est finit pour lui.

- NON ! »

- Je n'arrive pas à le croire ! » Rouspeta Ron. Tu as vu comme Dumbledore à l'air de se moquer de l'état dans lequel est Hermione ?! C'est inadmissible! J'ai raison Harry?! Harry?! Harry?!

- Ho heu...oui désole! »

Le jeune garcon était encore entrain de penser à la mort de son parrain, Sirius. Ils étaient sur le chemin de la salle commune. Cela faisait déjà dis bonne minutes qu'ils avaient parlé à Dumbledore et jusqu'à maintenant, chacun avait été plongé dans ses propres pensées.

« Tu repenses encore à Sirius ?

- Je m'excuse Ron mais depuis sa mort, je n'arrête pas de penser à lui ! C'est très dur en ce moment ! J'essaye de comprendre ce qu'il se passe.

- Et bien moi ce que je viens de comprends, c'est que tu n'es qu'un égoïste.

- Pardon ? » S'interloqua Harry pris au dépourvu par cette réaction aussi soudaine qu'imprévisible.

« Oui tu as bien entendu. Notre meilleure amie est dans un état psychologique alarmant et est plongée dans le plus grand affolement et la plus grande tristesse que jamais je n'aurais imaginé et toi, tu ne penses qu'à ton parrain et à ta petite vie ! »

S'en était de trop pour Harry. Il venait de décider à l'instant que la personne qui allait faire face à lui et à ce sentiment de hargne profonde qu'il éprouvait intérieurement depuis des mois sera son meilleur ami, Ron.

« ALORS ECOUTE ! TU COMMENCES SERIEUSEMENT À ME TAPER SUR LES NERFS !

SI TU ME TROUVES EGOISTE, SACHE QUE PERSONNE NE T'OBLIGE À RESTER AVEC MOI ! TU N'IMAGINES PAS UN MOMENT COMME C'EST DUR POUR MOI EN CE MOMENT ! TOUS MES PROCHES SONT ATTAQUES UN PAR UN ET POUR FINIR, LE SEUL QUI PUISSE ME COMPRENDRE DU MOINS JE LE PENSAIS, ME TRAITE D'EGOISTE ET EST SUR LE POINT DE ME LAISSER TOMBER ! ET TU SAIS CE QUE JE VAIS FAIRE MAINTENANT ?!

PARTIR ! PARTIR TRES LOINS, LA OU PERSONNE NE ME CONNAITRA !

FINIT VOLDEMORTS ET SES ABOMINABLES MANGEMORTS, FINIT LES FOUS FURIEUX EN CAVALLE DU GENRE BELLATRIX LESTRANGES, FINIT TOUT CA ! FINIT...LA MAGIE ! »

Après avoir dit cela, il s'était rendu compte de trois choses :

Un, qu'il pensait vraiment ce qu'il venait de dire et que ce n'était pas seulement sur le coup de la colère.

Deux, qu'il avait crié tellement fort dans le couloir que tout le monde était réunit autour de lui.

Trois, que toutes ces personnes rassemblées tout autour de lui le regardait comme si c'était un attardé mental qu'elles avaient devant les yeux.

« Ha oui et j'allais oublier le mieux ! » Rajouta t-il. « Toute mon école me croit fou !

Tu vois Ron ! Tout ça, là, ce que je viens de dire devant tout Poudlard, c'était pour te montrer que tu n'as rien mais alors absolument rien compris. Alors voilà, mes dernières paroles seront celle-ci :

LA MAGIE, TERMINEE ! Sur ces mots là, je vous quitte pour aller faire mes bagages pour me rendre à la gare et revenir chez ma si généreuse famille moldus ! »

D'une démarche assurée, il fendit la foule plantant Ron, encore choqué de ce qu'il venait d'apprendre. Il lui fallut encore quelques minutes pour bien assimilé ce qu'il venait d'être dit :

Son meilleur ami Harry, le célèbre Harry Potter allait fuir le monde de la magie pour retourner vivre chez les moldus.

¤ Fin du dixième chapitre ! ¤