Comte Snape

Auteur : Une certaine Mélantha

Genre : Scénario de jeu vidéo ou mauvais film américain

Avertissement : Si vous estimez ne pas avoir la maturité suffisante pour lire une histoire où un vampire mâle papouille des êtres humains mâles (ça change d'une tueuse femelle pour ceux qui connaissent et ils sont nombreux), je vous conseille d'appuyer sur la petite flèche verte au sommet et à gauche de votre écran.

Résumé : Univers Alternatif : Des meurtres inexpliqués dans la campagne irlandaise, des traces de morsures, d'étranges lueurs dans un château abandonné depuis des siècles, voilà un mystère pour Potter et Cie l'agence de tueur de vampires (slash SS/HP). L'histoire se passe aux alentours de 1870

Chapitre 1 : Morsure et eau bénite

Luna tira sur le bras de l'inspecteur Londubat et l'entraîna vers la porte de l'auberge. Ils avaient à peine 100 mètres à parcourir mais c'était tout de même trop. Ron et Sirius, plus entraînés, filaient rapidement vers cette échappatoire.

Le jeune policier se dégagea de l'emprise de notre sorcière et se retourna pour observer le comte. Cet abrutit prenait Snape pour un tueur en série. Il dégaina un petit calibre de son holster et visa la tête du vampire.

Ron, de son côté, s'était retourné et avait sorti un fusil à balles en argent, calibre 20 ; bref de quoi faire un beau cratère à la place du cœur du monstre tandis que Luna se préparait à faire apparaître du feu dans ses mains jointes.

Comme un con, je n'avais que deux petits poignards, au moins, ils étaient en argent mais ça revenait à attaquer Moby dick avec des cure-dents.

Une idée me rassurait, plus ou moins : Si il avait voulu nous tuer ce serait déjà fait. Cependant, quand un solitaire vous laisse vivant c'est, en général, parce qu'il a des plans pour vous et que la mort est un sort mille fois plus enviable.

Nous regards se croisèrent à nouveau. Heureusement que j'avais l'amulette de Luna pour me protéger ; sans cela il serait actuellement en train de se brosser les dents avec mon scalpe. Je le voyais fulminer de ne pouvoir brouiller mon esprit. Évidemment, je sentais son pouvoir tout autour de moi et d'une certaine manière je percevais ce désir que ses yeux avaient esquissé quelques secondes auparavant. Ces prunelles que j'avais observées si souvent dans mes cauchemars depuis la mort de mes parents, me scrutaient inexorablement.

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- Lily ! Où as-tu mis mes pieux ?

- Alors tu vas aller le tuer demain ? demanda ma mère. Comme toujours, sa voix était voilée par l'inquiétude.

Je me réfugiais derrières ses jupes et me penchais parfois sur le côté pour observer craintivement mon père en m'accrochant fermement au satin des vêtements de « maman Potter ».

Mon papa c'était le plus grand et le plus fort ; il faisait la même taille que l'armoire ! ! !

Dans la vie, il faisait tueur de méchant comme dans les livres.

Je m'approchai de mon géant de père et je dis :

- Tu me lis une histoire ? Hein ?

Ma mère me pris dans ses bras. Elle avait toujours les mains froides et elle sentait le rôti de bœuf et le chèvrefeuille. Les fausses maman, elles elles sentent pas comme ça ! Elles sentent la naphtaline ou les bains thermaux mais ce n'est pas des vrais. Ça veut dire qu'elles n'aiment pas leurs enfants. Je le sais moi que ma maman, elle m'adore.

- Ton papa doit aller se reposer ce soir ! Dit-elle presque sévèrement.

- Pourquoi ?

- Parce que si non il ne pourra pas réparer les bêtises de tonton Lucius demain.

- Pourquoi ?

- Harry va te coucher si non je te mange...

- Je peux peut être m'en charger, dit une voix cassante provenant de derrière mon père.

Là, rien . . . Du rouge comme le sang, mon seul souvenir et bien plus tard. . . Un lit d'hôpital dans la banlieue de Prague . . . Avec l'âge, la certitude qu'il y a une raison à ma survie qu'il ne m'a pas oublié mais qu'il m'a épargné.

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Il sourit dévoilant ses canines. Ainsi, pendant quelques secondes, sa véritable nature s'est imposée à nous. Du coin de l'œil, je vis l'inspecteur Londubat laisser tomber son arme.

- Jeronimo, je me retournais ! Dans n'importe quelle situation, l'onomatopée de Sirius m'aurait parue comique. Là, ça semblait juste affligeant mais c'était sans compter sur ses talents de « bombeur fou ». Il était revenu en arrière avec un des ses célèbres « cocktail Schwarz » qu'il s'apprêtait à lancer sur le vampire.

Ron tirait déjà sur le bras de l'inspecteur Londubat. Luna, pour sa part reculait prudemment, un pas après l'autre sans quitter le vampire des yeux.

Snape écarquillait les yeux frénétiquement, sans oser bouger pour ne pas provoquer Sirius mais celui-ci projeta tout de même l'explosif sur le vampire qui fut sonné sur le coup.

Je détalais alors comme un lapin en direction de l'auberge. Je vis à peine les autres rentrer dans la bâtisse tellement j'étais concentré sur ma course. Je n'avais plus que dix mètres à parcourir . . . sept . . . cinq . . . quatre . . . Soudain, je fus stoppé dans ma progression par un bras qui se noua autour de mon cou. Severus bloqua mon bras dans mon dos, avant de m'expulser quelques mètres plus loin. J'atterrissais durement au sol et je me retournais péniblement sur le dos. Mon esprit était encore brumeux et je voyais des étoiles danser devant mes yeux comme sur les dessins humoristiques du « London Weekday ».

La pluie et le vent fouettaient violemment la peau nue de mon visage et je sentais l'eau ruisseler le long de mon cou pour atterrir dans mon col. Je tentai de répartir mon poids sur mes bras pour me relever. Cependant, le comte fut plus rapide il me plaqua au sol d'une seule main, sans le moindre effort.

Il plongea ses yeux dans les miens. Je me sentis perdre pied comme si plus rien n'avait de sens, j'entendais la voix douce de ma mère murmurer à mon oreille : « Dors, petit ange ! ». J'étais bercé doucement par un courant agréable. Autour de moi, la lande, à perte de vue, semblait m'appeler et m'offrir son calme, son immuabilité. Je faisais étrangement parti de l'air, du sol et l'eau qui coulait autour de moi.

Un autre timbre se superposa à celui de ma mère, une intonation un peu différente, parfois perdue mais si compréhensive qui me disait de ne pas me laisser abuser, qu'il fallait être fort. L'amulette sur ma peau se mit à chauffer, au point de brûler ma chair. Luna, ma petite protégée voulait me dire quelque chose.

Je repris totalement conscience mais le vampire était en train de se repaître à mon cou. Nos jambes étaient emmêlées et ses bras maintenaient fermement ma tête dans son axe. Ma croix en argent gisait sur le sol à moins d'un mètre. Ignorant la peur ou la douleur, je bougeai un peu et réussi à la saisir. Severus leva un regard embrumé vers moi. Ce barbare ne voyait rien venir. Je levai brusquement la croix et l'appliquait sur son visage, en travers, contre le nez ; elle se mit à crépiter et son éclat s'intensifia comme si elle devenait un des rayons du soleil. Je la lâchai et me jetai par la porte d'entrée ou Ron était en train de recharger son fusil pendant que les autres épiaient anxieusement Snape par la fenêtre. Ils avaient tous suivi le protocole, si un de nous se fait prendre : ne pas agir à la hâte, trouver un plan, charger les fusil et attaquer.

Sirius referma instantanément la porte. Il observa les morsures sur mon cou. Le vampire avait bu mon sang ! Si on ne désinfectait pas la plaie, il pourrait m'appeler à lui, me forcer à lui obéir en toutes circonstances.

Nous nous trouvions dans la cuisine de l'auberge, le sol était recouvert d'un dallage noir et blanc, taché par la boue qu'avaient transportée nos chaussures. Une grande table de travail trônait au milieu de la pièce. Luna s'y était appuyé, elle avait l'air épuisée. Assis contre une paroi, l'inspecteur Neville se balançait d'avant en arrière. Le pauvre était visiblement en état de choc. Je pris conscience que c'était aussi mon cas. Je ne sentais absolument plus aucune douleur alors que j'avais un trou béant à la place du cou. Je touchais mon front ; il était humide et glacé. Toutes mes émotions me semblaient prisonnières quelque part au fond de mon estomac. Je déglutis dans l'espoir d'y avoir de nouveau accès mais c'était peine perdue. Ma main couverte de sang retomba mollement le long de mes flancs.

Je reportai mon attention sur un jeune homme blond que je ne connaissais pas. Ce dernier s'agitait en tout sens, battant des bras et sautillant nerveusement.

- Il faut désinfecter ça à l'eau bénite, articula Ron en détachant chaque syllabe comme pour parler à un individu débile.

Une partie de mon cerveau me rappela que nos bagages étaient dehors avec le vampire. Ma première envie fut d'aller les chercher mais je me souvins, soudain, que le comte m'aurait certainement tué.

- L'eau bénite est dehors, dis-je en riant bêtement.

- Monsieur Crivey, avez-vous de l'eau bénite, demanda Sirius en se tournant vers le petit homme blond et légèrement hyperactif.

- Voui, je vous trouve ça de suite, dit il en gambadant joyeusement vers la porte qui se dressait à gauche du fourneau.

- Allons au salon, ordonna Sirius en saisissant Londuba par l'épaule pour le mettre debout.

Ma petite sorcière blonde posa ses mains sur mes épaules et me guida à travers un corridor sombre. Les autres nous suivaient. Nous étions en sécurité dans la taverne car un vampire ne pouvait y pénétrer sans y avoir préalablement été invité. Cependant, nos membres étaient tendus comme si nos corps se préparaient à une attaque éventuelle.

Luna s'assit dans un large fauteuil en velours milleraies pendant que l'inspecteur Londuba s'allongeait sur un sofa assorti ; il tira automatiquement une couverture sur lui et cala sa tête dans les coussins. J'aurais aimé en faire, d'ailleurs ce qui m'attendait : c'était une forme de torture volontaire. J'y avais eu recours trois fois dans ma vie, si bien que je suis désormais incapable de croire les femmes qui disent que l'accouchement est la chose la plus insupportable au monde.

- Lou, tu peux m'envoyer un coussin, demandai-je ?

Elle en extirpa un dans son dos et me le lança. Je me posais à même le sol et glissai le coussin sous ma nuque. L'aubergiste ne tarda pas à nous rejoindre. Il donna l'eau bénite à Sirius.

- Tu es prêt ? Me demanda-il par politesse.

- A ton avis ? Ronchonnai-je. Une lueur amusée pétilla dans son regard. Ce type était un sadique refoulé, je vous jure.

Monsieur Crivey proposa aux trois autres de les conduire à une chambre. Ils acceptèrent bien volontiers trop content de ne pas avoir a assister à cette scène.

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Nous avions dû nous déplacer dans les toilettes après la première bouteille. En règle général, une seule suffisait. Là, nous en avions déjà vidé trois et je n'avais vomi qu'un seule fois. Pas mal ! ! ! Nos vêtements trempés nous collaient à la peau.

A chaque aspersion, je sursautais, gémissais, hurlais, traitais Sirius de « Sale chien ». Il n'avais pas l'air de m'en vouloir et même si c'était le cas, l'eau qu'il me versait dessus me semblait plus efficace comme torture qu'un coup de genou dans les burnes.

- On devrait arrêter là ! En général, le traitement dure plusieurs jours.

Impossible de déterminer s'il détestait ça ou s'il prenait son pied.

- Non, on continue... Je ne veux pas qu'il ait du pouvoir sur moi si je me retrouve face à lui.

- Si tu veux une session marathon, tant pis pour toi.

- Continue avant que je ne me décourage.

- Tu ne perdras jamais ton courage Harry. Ta vie peut être mais pas ton courage. Dit-il . . .

- Merci, c'est rassurant ce que tu dis.

Je tournai à contre cœur la tête sur le côté et il entama la quatrième bouteille, versant généreusement le liquide qui me brûlait comme du métal en fusion. Mon sang frappait dans mes tempes avec une telle violence que je crus qu'elles allaient exploser. Je me forçai à ne pas respirer trop vite. Sans ça, j'allais me mettre à hyper ventiler et tomber dans les pommes. Enfin, l'inconscience n'était pas forcément une mauvaise chose.

Mon cœur s'emballait tout seul dans ma poitrine. Il battait si fort que ça en était assourdissant.

Sirius glissa un bras sou ma nuque et envoya un autre rasade de liquide sur ma peau. Je hurlai sans retenu et serrai les poings pour ne pas me lever et m'enfuir.

Pour ce qu'il me faisait subir, Severus allait mourir dans d'atroces souffrances. Je le jure sur ma propre tête.

Après une bonne heure de souffrance incessante, l'eau cessa de me faire mal et ma peau se mit à cicatriser lentement. J'étais à genou, le visage appuyé au carrelage froid cherchant à m'approprier sa fraîcheur.

- C'est bon, tu es purifié, expliqua Sirius.

Il me hissa dans ses bras d'un geste fluide comme si j'étais une vulgaire poupée de chiffon et me conduisit jusqu'à notre chambre. Mon visage était baigné de larmes d'épuisement.

Schwarz parcouru la distance qui nous séparait de notre lit. Je n'eu pas la force d'admirer la décoration.

- Repose toi ! Ordonna-il en me déposant sur le lit. Il m'ôta une partie de mes habits et me couvrit d'un drap et d'une couverture en laine épaisse tandis que mon esprit suivait déjà Morphée vers le pays des songes.

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Notes : Dans une review, on m'a fait remarquer une ressemblance avec le film « Van Helsing ». C'est effectivement une de mes sources d'inspiration. C'est pour ça que dans genre : j'ai mis « mauvais film américain » mais je pensais aussi au film « la Ligue de gentlemen extraordinaires ». J'ai aussi des muses de qualité : Ce chapitre est influencé par « Anita Blake » de Laurell Hamilton et d'un point de vue général, j'aime les histoires de vampires : Dracula de Stocker (je pompe beaucoup), les films de la Hammer, les œuvres magistrales de Anne Rice. Comme je l'ai dit, je pique aussi des idées dans les jeux vidéo. Luna ne vous rappelle-elle pas une certain Lulu de ff10 ?

On m'a aussi demandé si j'avais l'intention de faire intervenir d'autres personnages tirés de l'œuvre de JKR. La réponse est oui. Il me reste un rôle de Nécromancien ou de Nécromancienne à distribuer qui a de l'importance dans l'histoire. J'aimerais savoir si vous souhaitez voir un personnage particulier à ce poste.

Si non, il y a aussi la figuration, comme dans ce chapitre Crivey en aubergiste hyperactif. Donc si vous voulez voir Hermione en putain pour Ron ou Draco en postier, Dumbledore en indic et j'en passe. Je laisse ce soin à votre imagination. J'essayerait de vous contentez. Il faut que vos idées soient réalistes donc pas d'extraterrestres, ni de spationautes et aussi qu'elles n'influencent pas énormément l'histoire. Draco ne peut pas être l'homme qui va ravir le cœur de Harry à Sev par exemple.

A part, ça j'ai pris un POV de Harry pour le prologue et ce chapitre mais je change au prochain. Ce sera Sirius.

Reviews :

Westerly : Wawoo, quelle review ! Surtout venant de toi. Ta fic « Repas Incestueux » m'a donnée envie d'écrire à mon tour. Merci beaucoup et je suis heureuse de t'avoir réconcilié avec les auteurs francophones.

Sin666 : Merci, heureuse que ça te plaise

Pyrix : Je vais mettre régulièrement des flash backs qui devront t'aider à t'habituer aux différences entre ses personnages et ceux de JKR. Pour la fic, je vais updater le plus souvent possible, pour l'instant j'en ai quatre en cours et comme les vacances sont bientôt terminée je risque d'être moins rapide que pour ce chapitre. Ça dépendra de mes très chers professeurs mais dans tous les cas, je ne laisserai jamais tomber mes lecteurs.

Sybel 26 : Tu m'as demandé des éclaircissements pour cette phrase. "Ma mère inerte au pied d'une chaise et sur la table mon miroir sous un démon" J'avais effectivement oubliée une virgule mais le sens, lui, était volontairement ambigu. Le miroir peut être James qui était en train de pénétrer le vampire pendant que celui-ci boit son sang mais le subconscient étant ce qu'il est il peut aussi s'agir d'une vision prophétique d'Harry et Severus. Il peut aussi s'agir d'un souvenir qu'Harry a refoulé dans son cortex.

Chaos : Voilà, j'espère que cette suite était bien.

EDEA : Et voilà la suite.

Diane 23 : Pour les fautes d'orthographes, j'en avais fait pleins mais je les ai juste vue avant de publier alors j'ai sauvé les meubles... Ça me touche que tu aies mis cette fic dans tes préférées. Merci beaucoup.

Polgara86 : Et voilà, j'ai fait court pour mettre la suite mais je risque d'être moins rapide pour le prochain.

Nat : Merci pour tout ! Je brûlerais de l'encens pour appeler les muses à moi.

Pandor : Merci ! La suite est updatée.

Devil A.Slytherin : J'avoue, c'est un plan machiavélique qui vise à déshydrater tout les fans de vampires.

Zick : Et oui, Sev est légèrement moins gentil que dans « Big easy ». o Pour Hermione, il n'appartient qu'aux lecteurs de lui trouver un rôle dans ma fic.

Vif d'or : Comment faire pour amener autre chose que l'haine entre Harry et Severus ? Tu me crois si je te dis que je n'en ai encore aucune idée ? o

Lyko Signiferi : Ça faisait un moment que je voulais faire une fic avec Sev en vampire mais en aucun cas, je ne voulais que cela se passe dans le cadre de Poudlard. Je n'ai pas d'opinion particulière sur la théorie qui veut que ce soit un vampire et je me rends compte que les fans n'allait pas adorer le voir comme ça mais j'ai pris le risque. J'ai parler de la ressemblance avec Van Hellsing plus haut, dans le paragraphe « notes ». Pour Hermione, pour l'instant, je n'ai rien de spécial pour elle mais si vous la voulez dans un rôle particulier n'hésitez pas à m'envoyez une review. Comme tu peux le voir dans ce chapitre, je voulais explorer le passé des personnages par l'intermédiaire de flash backs. Il y en aura d'autres. Je maîtrise mieux cette technique qu'un historique linéaire.

Anonymous : Merci, je suis contente que tu apprécies l'ambiance de cet fic. J'ai changé Black en Schwarz pour une raison assez simple, dans ma fic, Sirius est allemand. Pour les personnages, voire le § « notes ».

Lola Reeds : Ça m'amuserait qu'il en soit réellement un, de vampire. Je trouve l'aura qu'on les solitaires dans la littérature si fascinante que je voulais absolument faire une fic là-dessus. Dommage, que jusqu'à maintenant il n'y ait eu que des Hermione/Snape sur ce sujet.

Clodylia : Voilà, la suite ! ! !

Onarluca : Pour le happy end, je ne suis pas sûre de pouvoir te faire plaisir mais la fin te surprendra à coup sûr.

Isilme.elfe : Merci ! Effectivement Harry, Ron et Sirius n'ont pas de pouvoirs magiques.

Apocalypse-Nox : Moman ? Ouf, moi qui espérait ne jamais entendre ça. Lol

Ange de un cysme : Merci, ça me fait plaisir

Miniluce : Harry un vampire ? J'ai le droit à une réponse à la JKR ? Moi, aussi j'ai une question. Miniluce, c'est comme mini-me dans Austin Powers mais pour Lucius ?

Myncat : Et dans le rôle principal Bella Lugosi.