Disclaimer : les persos ne sont pas à moi, mais à JKR, le scénario n'est pas à moi, c'est à walt disney, l'idée de mélanger les deux n'est pas uniquement à moi mais appartient à griffy (qui produit « harry et la bete »), ciliane, angelina et ginypompom aussi.

NDA : ceci est un mix. C'est-à-dire qu'on a mixé les persos de Hp avec ceux d'une autre histoire, en l'occurrence un truc de mioches, soit blanche neige et les septs nains. N éansmoins vous pourrez constater que la ressemblance s'arrete la –evilgrin-

Blanche-Neige, les 6 nains et le demi-géant.

Il était une fois, dans un beau château nommé Poudlard, une reine du nom de Bellatrix, qui était d'une extrême beauté. Elle tournait en rond dans son château en répetant

"Je veux être la plus belle, je veux être la plus belle à la place de la plus belle, je veux être la plus belle à la place de la plus belle, je veux être la plus belle à la place de la plus belle, je veux être calife à la place du calife... euh non c'est pas ça..."

Tout en marchant, elle atteignit ses cachots, dans lesquels était caché son miroir magique à pied, le miroir du Pariséd.

"Mirroaaaar, mon beau mirrooaaar, dis moi qui est la plus beeeeelle en ce royauuuume!"

Le miroir bailla, son pied s'anima et vint se déboucher l'oreille qui apparut sur son montant de bois.

"Hein, quoi?" demanda le miroir à moitié sourdingue. "Où est la poubelle? Ben qu'est ce que j'en sais moi, ça change de place tous les jours, demandez aux elfes de maison... moi, vous savez..."

"Mais non, tripke andouille," rugit la reine, "Je veux savoir qui est la plus belle en ce royauummeeeuh!!!"

"J'ai que ça à faire moi peut-être"

Alors la reine cruelle sortit de sa poche une bague en diamant et commença à rayer le miroir avec. Ca fit un IIIiiiIIIIIiiii insupportable.

"Pitié, pitié votre majesté, ne me rayez pas!!"

"Alors t'arrêtes tes conneries!!"

"Oui maîtresse."

La reine afficha un sourire satisfait et tendit l'oreillle, enfin plutôt ouvrit grand les yeux. L'image du miroir devint floue et quelques instants après, il affichait le visage d'une belle jeune fille à la place de celui de Bellatrix.

"Hermione Granger!" hurla la reine. "Je la tuerai!! Grrrrrmmmbll"

Elle fit appeler son chasseur et bourreau attitré (avec qui elle partageait de folles nuits d'amour pleines de SM mais ça c'est une autre histoire...), du nom de Walden MacNair, et lui demanda de tuer pour elle la belle et de lui ramener sa tête, pour qu'elle puisse la clouer au mur sur une plaque avec son nom et admirer sa lente décomposition.

MacNair fit le fayot genre celui qui obéit et se mit en route (quelle phrase de merde, même l'auteur se demande ce qu'elle fout ici!!).

Son chemin ne fut pas long : il avait juste deux étages à monter avant d'être à la tour des Gryffondor.

"Salut Hermione tu viens faire un tour avec moi à la forêt interdite? :D"

Incapable de résister au charme fou de MacNair, à ses bottes en cuir de dragon, à sa ceinture cloutée, son fouet, sa hache, sa cagoule et son haleine de poireau à l'ail, elle lui prit le bras et roucoula, pensant qu'elle allait enfin connaître les plaisirs de la chair dans un endroit d'ordinaire dangereux, mais rendu excitant par la présence réconfortante du musclé et vigoureux bourreau... bref, se faire dépuceler par l'homme de ses rêves -evilgrin-

Une heure après, McNair ramenait la tête d'Hermione dans un sac plastique intermarché (sa hache était encore toute ensanglantée. avec un regard vicieux, il fit courir sa langue le long de sa lame en léchant le sang frais, sa belle Bellatrix se joignant à lui, leurs langues courrant l'une contre l'autre dans un.... oops je m'égare encore on dirait.) Bref, ainsi fini Hermione. Toute contente, Bellatrix redescendit voir son miroir, le reveilla directement avec son diamant et lui demanda qui était la plus belle. Quelle ne fut pas sa déception quand celui-ci lui montra le reflet de Luna Lovegood...

"MacNaiiiiiir!!" hurla la reine. "Je veux sa tête!!" Ainsi fut dit, ainsi fut fait. Cela se répéta interminablement. McNair tua tour à tour Narcissa Malefoy, Dolores Ombrage (oui en fait la beauté de la reine était assez contestable, en fait... (t'as dit deux fois en fait (non mais de quoi je me mêle?))), Cho Chang (celle-là, tu peux t'amuser à la torturer avant de l'achever, précisa Bellatrix à l'intention de son bourreau), Lavende Brown, Parvati Patil..

Jusqu'au jour où, contente de tous ces meurtres et de sa nouvelles collection de têtes pourries à son mur, elle se pointa devant le miroir de Pariséd qui lui montra l'image de sa belle-fille abhorrée : Nymphadora Tonks! Celle-ci avait une occupation spéciale au château : récurer les chiottes. (Et aussi traîner en plein milieu des marches menant aux cachots des serpentards, dans l'espoir que le beau maître des potions, Séverus Rogue, la remarque et l'engueule, en lui collant un coup de pied au cul. Et oui. Des le premier regard, la passion entre ses deux être était née et elle s'exprimait dès qu'ils se voyaient!) Mais elle était vant tout métamorphomage. Elle pouvait se transformer à sa guise. Elle se faisait ordinairement moche pour ces travaux indignes, c'est pourquoi elle avait jusqu'ici échapé à la furie vengeresse de sa marâtre, mais la c'était le week-end et elle sortait en boîte s'eclater, et donc elle s'était faite toute belle...

"Waaaaldeeeeen!!!" glapit Bellatrix. L'exécuteur royal savait ce qu'il avait à faire en voyant l'image dand le miroir. Il se mit donc en chemin pour trouver Tonks qui se préparait dans sa luxueuse chambre de bonne (2 m², sans fenêtres, couverte de crasse et mal rangée de surcroît). Mais cette fois-ci, son coeur était lourd : il était épris de la belle Nymphadora et n'osait se résoudre à l'assassiner :(

Quelle dilemne pour lui! qu'allait-il donc faire? décevoir sa reine et encourir ses foudres endoloriques, ou tuer son amour? quel dilemne cornélien (pour ceux qui ont lu le Cid, pour les autres : ils perdent rien -sweatdrop-) : l'amour ou le devoir... Il tira alors à pile ou face : pile, l'amour, face : son devoir. Et la, ça tomba sur face evilgrin et il alla tuer Tonks, se disant que c'était pas de sa faute, c'était le destin, même que c'est sa mornille chérie qui avait décidé. :o et voila comment finit l'histoire tragique de blanche neige, les 6 nains et le demi-géant. -evilgrin-

Le lecteur : mmmmaiiiiis ca va pas du tout cette histoire à la con!!! tu rêves la tu vas pas nous faire bouffer ca non? on sait même pas qui est blanche neige dans ce mix de merde, ni pourquoi, et on n'a même pas vu les 7 tarlouzes la... alors tu bouges ton cul et tu nous fait une suite mieux que ca! et que ca saute!! -grrrrrr-

L'auteur : bon ca va hein :o ok ok je m'y remets!!!

Il tira alors à pile ou face : pile, l'amour, face : son devoir. Et la, ça tomba sur face :(

Mais Walden ne pouvait se résoudre à une telle extrémité. Il pesta, reprit sa mornille et la relança evilgrin Elle retomba sur face. Il la tira et la relança jusqu'à ce qu'elle tombe sur pile (evilgrin (n'osez pas me dire que vous n'avez jamais fait ça vous, hein, ho, me prenez pas pour une conne evilgrin)), en tout elle tournoya en l'air et retomba sur le dos de la main de Walden 46 fois (décidément, sweatdrop, se dit il) avant de faire enfin un pile.

"Merveilleux! :D" clama le bourreau. "Le destin a décidé que ma belle vivrait!" Il décida donc de tromper sa reine et de tuer la premiere conne venue, il prétendrait que la vraie forme de Tonks était en fait celle de la fille qu'il tuerait, vue qu'elle était métamorphomage et que personne n'avait jamais vu son vrai visage. Fastoche evilgrin. ce fut donc ce qu'il fit. Il assassina donc le premier laideron venu, qui en l'occurance fut Pansy Parkinson. Il ramena la tête ) la reine, qui triompha de joie. Si bien qu'elle oublia d'aller regarder son miroir à la con -sweatdrop-.

Mais Tonks n'était encore au courant de rien, et elle ne pouvait pourtant pas rester au chateau, sa vie étant en danger, si Bellatrix la retrouvait à ses activités lavatoires habituelles (ben elle aurait continué normalement, elle se doutait de rien, la Tonks!) elle découvrirait la trahison et tuerait sans vergogne le serviteur et la laveuse de chiottes...

Il intercepta donc la métamorphomage à la boite de nuit où elle s'était rendue, à Pré-au-Lard, appelée "le serpent venimeusement défonc". C'était en fait un endroit miteux et mal famé. il l'attira dans les chiottes, elle commenca machinallement à les récurer, mais il mit sa main sur sa bouche (enfin sa main, celle de McNair, sa bouche, celle de Tonks) assez inutilement car elle n'avait pas envie de se débattre, de parler, ni de s'enfuir. elle se mit même à sucer ses doigts.

"Mais quelle conne," pensa McNair. "Conne mais assez sexy et bandante evilgrin " poursuivit-il dans ses pensées. "Vu qu'elle suce mes doigts alors que je lui met devant la bouche, elle ferait peut-être la même chose si je mettais une autre partie de mon anatomie devant.... -evilgrin-"

Il essaya aussitôt, et la ruse marcha. apparamment la belle avait l'habitude -evilgrin- C'est vrai qu'elle était belle.. enfin bandante quoi... Aujourd'hui sa peau était blanche comme la neige... Bon d'accord ses cheveux étaient rose flash comme d'habitude mais ca n'enlevait rien à sa beauté... Une fois soulagé, McNair se senti l'âme poète, parla à Tonks de sa beauté, lui donnant des petits noms... elle fut très heureuse de s'entendre appeler Blanche-Neige :D

Malheureusement pour les deux amants, un videur passa par la et le jicla dehors... ils se retrouvèrent donc à la lisière de la forêt interdite... et MacNair expliqua le dilemne à sa belle, qui comprit (non sans qu'il lui eut expliqué 30 fois sweatdrop) Elle accepta d'entrer dans la forêt interdite, à la recherche d'un coin tranquille ou se planquer.

"Magne toi le cul, quand même," lui cria McNair de loin. "Si l'autre folle te trouve, on est bons pour l'avada toi et moi!"

Mais Tonks ne se pressa pas pour autant. elle s'emmerveilla devant les yeux blancs et globuleux des sombraux, fit un bisou à chaque descendant d'Aragog (oui, elle erra donc 70 ans dans la forêt) qui l'accueillirent comment une princesse (en fait ils faisaient semblant d'être gentil pour l'amadouer, mais en fait ils l'accueillèrent comme un gars affamé depuis 8 jours accueillerait un poulet à la broche tombé du ciel). Mais manque de bol pour eux, la princesse Tonks était d'une incroyable maladresse et les écrasa tous, un par un, dix par dix, d'autant que quand elle vit la première araignée aplatie elle se mit à trépigner et à sauter en tous sens. bref à la fin il restait un tas puant et vert de venin et de toiles toutes agglomérées. Tonks fit l'innocente et se barra sans demander son reste.

Elle tomba alors sur un arbre très spécial. Il la regardait avec un air méchant. Dès qu'elle s'approcha de lui, l'arbre la jeta au sol et se mit à la cogner de toutes les forces de ses petites branches musclées. Après un cri de surprise, Tonks se remit de sa peur et resta quelques instants sous le saule cogneur à se faire latter, bref elle en redemandait la cochonne -evilgrin-. Puis elle se dit qu'il fallait qu'elle bouge, et qu'elle avait faim. Elle promit néansmoins au saule cogneur de revenir lui rendre visite un de ces quatres. Puis en marchant, elle se mit à chanter. Tous les animaux de la forêt fuirent alors de peur, même certains arbres se déracinèrent et se taillèrent en courant en disant "Je retourne chez mes amis entre le Rohan et le Gondor, ras le cul des conasses qui se prennent pour Britney Spears". Enfin leur fuite dura quand même quelque siècles, rien que pour atteindre la lisière de la forêt interdite. Pour vous dire le carnage de la voix de Tonks, même Graup eut peur et se tira en courant, laissant un passage assez large pour y implanter une bifurcation d'autoroute avec péage et aire de repos (pour que Griffy puisse aller faire pipi).

Puis un des Ents (car c'en étaient!) en eut plein les racines et mit une chataîgne à Tonks qui s'écroula sur le sol. Il fut aclamé par ses comparses, qui dans leur lancée, continuèrent tout de même à fuir (ils réflechissent encore plus lentement qe ce qu'ils ne parlent ou bougent).

A son réveil, elle se leva et partit dans une direction au hasard. Elle tomba assez rapidement sur une petite cabanette difforme. Elle entra sans frapper, en baillant, se prit le plafond de la porte car il était bas, et s'affala à nouveau sur le sol, les jambes dépassant par la porte. Les vibrations produites par sa chute sur le sol firent tomber plusieurs cadres des murs qui se plaignirent en sifflant, plusieurs pots tombèrent en répendant le contenu sur le sol jusqu'ici nickel et en le couvrant d'éclats, et avec le bruit de ses ronflements, les murs se fissurèrent. De plus, la porte était grande ouverte et toute la poussière, les feuilles et la terre dehors rentrèrent, car il y avait du vent, et vinrent se loger jusque dans les chambres. les fenêtres battirent et les carreaux se cassèrent.

oOoOoOoOo

voila ce n'est qu'un début.. j'espere que ca n'a pas été trop rapide, trop lourd, trop choquant, et que vous vous êtes marrés

vous vous sentiriez pas de me faire une tite review histoire que je vois ce que vous en pensez? :D