Disclaimer : Rien n'est à moi tout appartient à J.K Rowling

Annonce : Pour ce chapitre, je voudrais bien recevoir au moins une review svp. Parce que là, je suis entrain de me demander si je ne perds pas mon temps à composer une fic que personne lit. Alors si vous lisez je vous en prit donner moi vos appréciations. Si vous avez moins aimé le chapitre deux ou encore celui-ci et pourquoi.

Réponses :Ginny95 : Merci beaucoup, j'espère que tu aimeras ce chapitre ce chapitre comporte plus de mystère.

La chambre du deuxième étage

Maintenant une journée entière avait passé depuis la folie passagère qui avait prit Hermione et qui lui avait permit de terroriser Mrs. Black. Ses deux amis avaient eut la présence d'esprit de ne pas parler de l'incident, car Hermione elle-même ne revenait des actes qu'elle avait faits à ce pauvre tableau, et en plus pour Harry. Celui-ci au début n'avait pas trop apprécié de voir une fille le défendre. Durant ce moment de faiblesse il avait perdu toute chance d'impressionnée son amie, avec un comportement de macho… Mais qu'est-ce qu'il lui prenait, vouloir impressionné Hermione, Hermione Granger une de ses deux meilleurs amis. Rapidement il avait retiré de sa tête ses pensées pour se rendre compte que Hermione n'avait fait ça que dans son intérêt, elle ne voulait pas lui faire mal bien au contraire.

Bref, même Ron qui avait été secouée par cette prestation avait décidé de ne pas montrer son admiration pour la jeune femme. Bien qu'à quelques reprises l'on put apercevoir dans ses yeux bruns une lueur d'admiration lorsqu'il pensait au courage dont avait fait preuve Hermione personne n'avait encore osé utiliser un moyen aussi radical contre cette folle. Le temps passa depuis l'événement et franchement le trio ne savait plus quoi faire, ils étaient aller dans la chambre d'Harry sous les conseils du professeur Dumbledore, qui pensait que le Survivant avait besoin de repos, après les derniers évènements. Et bien entendu avec Hermione la discussion tourna naturellement sur un sujet des plus sérieux : les BUSEs, étant donné que la jouvencelle n'avait pas été présente lors de la discussion entre Harry et Ron.

- Alors Harry, quels ont été tes résultats ? demanda Hermione ne cachant pas son excitation à pouvoir comparer ses propres résultats.

Et pour la deuxième fois Harry énuméra ses notes soit :

Divination : Déplorable

Astronomie : Acceptable

Botanique : Effort exceptionnel

Histoire de la magie : Acceptable

Soins aux Créatures Magiques : Très bien

Potion : Optimal

Enchantement : théorie Optimal

pratique Optimal

Défense Contre les Forces du Mal : théorie Optimal

pratique Optimal

Métamorphose : théorie Effort Exceptionnel

pratique Optimal

- Oh bravo Harry, c'est bien. Avec des notes pareilles tu dois sûrement dépassé la moyenne des élèves de Poudlard. Il n'y a pas à dire tu es excellent ! surenchérit Hermione un sourire fendu jusqu'au oreilles.

- Ah arrête ton manège Mione. Tu m'as fait le même coup, tu le félicites pour ensuite le rebaissé en te vantant de tes notes, chiala Ron et en se tournant vers Harry dit, attend de voir ses notes !

- Ron je trouve très insultant que tu oses pensé que tu puisses croire que je me valoriserais en me comparant à vos résultats, bien qu'il faut l'avouer j'ai eut des notes bien au dessus des tiennes et de celle de Harry. Écoute Harry :

Arithmancie :Optimal

Astronomie : Optimal

Botanique : Optimal

Histoire de la magie : Optimal

Soins aux Créatures Magiques : Optimal

Potions : Optimal

Enchantement : théorie Optimal

pratique Optimal

Défense Contre les Forces du Mal : théorie Optimal

pratique Optimal

Métamorphose : théorie Optimal

pratique Optimal

Te rends tu comptes Harry, j'ai obtenu la perfection. Je suis l'élève la plus douée de tout Poudlard. Et sûrement de toutes les autres écoles de sorcellerie de l'Angleterre !

Harry regarda son amie avec un sourire sur les lèvres, il était évidant qu'elle allait obtenir de tels résultats avec le temps qu'elle mettait dans ses études et avec sa studiosité. Mais juste pour l'énerver un eu ils regarda Ron il lui dit :

- Tu as bien raison Ron. Elle ne peut pas passer deux secondes sans se vanter !

- C'est complètement faux ce que vous insinuez-là ! s'indigna la concernée.

- Ah d'accord. C'est pas pour te vanter, t'as compris Ron en fin de conte c'Est juste pour le plaisir de nous rabaisser ! blagua Harry.

- Ah oui, c'est crédible ça aussi ! plaisanta Ron sur le dos de Hermione.

- Arrêtez ça. C'est franchement humiliant, comme si j'allais faire ça à mes deux meilleurs amis. Quelques fois j'ai l'impression que vous ça vous amuse de me faire passer pour la méchante. Comme lorsque tu m'avais accusé moi et Pattenrond de s'être débarrassé de ce connard de rat. Ou quand on t'a confisqué ton éclair de feu. Quand j'ai corrigé ta formule de lévitation en première année ! s'exclama Hermione se calant dans son fauteuil se rappelant ces souvenirs plus que détestables.

- On ne fait que se moquer Mione, la rassura Harry, on sait que tu ne veux que notre bien !

Hermione maugréa quelques paroles inaudibles et ils continuèrent à parler jusqu'à ce que Molly Weasley viennent les interrompes pour leur faire part du repas servi, qui était entrain de refroidir. Comme des boulets de canon Harry et Ron se précipitèrent vers la salle à manger faisant une course. Et l'on put entendre de la part d'Hermione un petit :

- À les garçons !

- Je ne te le fais pas dire, Remus et Severus ne cessent pas de ce donner des compétions comme celle-là. Mais des fois c'est utile, après tout c'est un grâce à eux que le dîner (NA : N'oubliez pas que c'est en Angleterre) est servi si tôt ! lui déclara Molly.

Hermione suivit la rousse jusqu'en bas où la table était mise. Trois magnifique poulet bien préparés se trouvaient au milieu de la table accompagné de plat de crudité, de riz et d'asperges. Harry et Ron étaient déjà installés juste à côté de Tonks qui maintenant avait de beau et long cheveux blonds. Il ne restait plus que trois place toutes les trois alignées l'une à côté de l'autre encadré par Harry et Remus. Après quelques compliments au sujet de la fabuleuse cuisine de Molly Weasley de la part des adultes et des adolescents, tout le monde attaqua son assiette avec avidité sans prendre la peine d'attendre qu'Hermione et Molly soit assis. Les derniers évènements avaient sûrement ouvert l'appétit de plusieurs, puisque dis minutes plus tard l'on servait le dessert qui consistait en une gigantesque tarte au sucre accompagné de tasse de thé. Mais soudain Hermione remarqua la troisième chaise entre elle, se trouvant à côté de Harry, et Mrs. Weasley, se trouvant à côté de Remus. Elle parcourut des yeux la table entière passant de : Harry, Ron, Tonks, Maugrey, Fletcher, Dumbledore, Mcgonagall, Rogue, Remus, Mr. Weasley, Fred, George, Ginny, Charlie(Bill se trouvant en France) et en fin Mrs Weasley. Depuis le début des vacances il n'y avait qu'eux qui dînaient au 12, square Grimaud. Personne d'autre, mais en y pensant bien depuis le début des vacances une chaise était rajouté, mais personne ne s'y était assise, malgré les couverts installés. Elle fronça les sourcils et s'adressa au professeur Mcgonagall juste en face d'elle.

- Euh professeur, demanda-t-elle, pourrais-je savoir pour qui est installé ces couverts à ma droite. Car j'ai remarqué que depuis le début des vacances il y avait une place en plus, mais que personne n'y venait !

La personne à qui était adressée la question ne semblait manifestement pas quoi répondre à celle-ci et lançait des petits coups d'œil inquiet vers le directeur à sa gauche. Mais bientôt toutes les personnes rassemblées autour de la table remarquèrent l'indécision de Minerva et lui lancèrent des regards appuyer afin qu'elle réponde le plus rapidement possible à son élève. Et enfin la réponse sorti de sa bouche.

- Et bien, ce couvert et tous ceux qui ont été installés et qui sont restés vides durant votre séjour au quartier général de l'Ordre ont été mis pour Jacob, vous savez bien le jeune Médicomage qui est venu pour soigner monsieur Potter. Mais malheureusement il ne peut jamais venir dîner en notre compagnie, vous savez ce métier nécessite d'être aux aguets 24 heures/ 24 et 7 jours/ 7. Mais je vous trouve très indiscrète de poser des questions qui ne vous concernent pas le moins du monde, Mademoiselle Granger. Après tout je n'ai aucun compte à vous rendre ma chère !

Et c'est là que la discussion s'arrêta, la jeune femme ayant un peu honte d'elle-même, car alors qu'elle faisait parti des principales personnes figurants sur la liste noire de Voldemort, l'Ordre lui avait permis de rester au QG, pour ne pas mettre en danger la vie de ses parents moldus. Mais qu'en à Harry lui, il ne semblait pas le moins du monde gêné et allait poser une question, avant que le pied d'Hermione arrive sur son tibia lui prodiguant un mal de chien. Visiblement elle préférait que cette discussion prenne fin, malgré le regard noir qu'Harry lui lançait. Après le repas finit les trio d'adolescent se précipitèrent dans la chambre d'Harry où il fermèrent la porte.

- Pourquoi tu m'as frappé ? demanda Harry, visiblement hors de lui.

- Ah, mais réfléchis Harry. Tu n'as pas vu comme la discussion était tendue sur ce sujet. Il a bien fallut vingt minutes au professeur Mcgonagall avant de me répondre. Il garde quelque chose de secret ! répondit Hermione.

- Et c'est justement pourquoi il voulait poser une question, parce qu'ils nous cachent quelque chose ! dit Ron pour appuyer son meilleur ami.

- Mais tu le fais exprès ou tu es juste épais, s'emporta Hermione alors que Ron semblait vouloir répliquer. Pense-y un peu, s'ils savaient qu'on s'intéressait sur ce sujet il ferait tout pour garder la personne encore plus secret et de garder un œil sur nous !

- Tu es géniale Hermione. Tu penses toujours à tout ! s'émerveilla Ron.

- Je sais ! se vanta-t-elle.

- Et le pied, c'est que t'es modeste en plus de tout ça ! la nargua Harry.

- Bon arrêtons de nous attarder. L'on doit absolument trouver à qui était destiné la place à table !

Et pendant près de deux heures le trio s'attarda sur la question, essayant de rassemblé les minces pièces du puzzle se dressant devant eux. Mais rien à faire le mystère entourant le mystérieux personnage de la 15ème place à table. Le mystère devenait même de plus en plus brumeux, avec toutes ces hypothèses plus improbables les unes que les autres.

Dans le bureau du professeur Dumbledore, l'assemblé comprenant : Molly Weasley, Arthur Weasley, Minerva Mcgonagall, Remus Lupin, Severus Rogue et bien évidemment Albus Dumbledore, était très tendu. Pour la première fois depuis la venue des plus jeunes quelqu'un avait osé poser des questions sur l'occupant du QG. Celui pour qui un couvert chaque soir était installé, celui pour qui Severus passait des heures dans son laboratoire a fabriqué diverses potions, celui pour qui tous s'inquiétait malgré le manque d'informations qu'ils avaient sur ce personnage.

- Albus, il faut absolument faire quelque chose. Mademoiselle Granger à remarqué qu'il y avait quelque chose d'étrange. Et vous connaissez ces trois élèves, en cinq années ils ont découvert la pierre philosophale, ce qui résidait dans la Chambre des Secrets, découvert que le professeur Lupin est un loup-garou, prouvé l'innocence de Sirius, du moins à nos yeux, ils ont tous participés d'une manière ou d'une autre au tournoi, formé une ligue pour préparé les élèves à ce battre et a accéder combattre des Mangemorts ! s'écria Minerva.

- Du calme Minerva, ils n'ont encore rien découvert ! enchérit Dumbledore.

- Oui, mais ils ne nous pardonneront pas de leur caché quelque chose, encore une fois ! dit à son tour Arthur.

- Mon chéri, je te rappelle que cette affaire ne les concerne en aucun cas. Ils ont beau se croire assez grand pour faire parti de l'Ordre, ils n'en font pas partis et même si c'était le cas ils n'ont pas à tout savoir ! s'exclame Molly.

- Arthur, Minerva. Molly à tout à fait raison, je pourrais comprendre qu'Harry nous en veuille si ça le concernait, mais dans cette histoire il n'est pas concerné. Du moins du peu que nous en savons il ne l'est pas ! dit Albus.

- Et de toute façon, il n'est pas rétabli ! dit résolument Molly.

- Très bien, je vous fais confiance Albus. Cependant, vous savez que s'il s'emporte il ne voudra plus jamais nous faire confiance. Car encore une fois nous lui avons menti ! répondu Arthur.

Le temps passait et passait, aucun des trois sorciers n'avaient put trouver une raison logique, pour que le professeur Mcgonagall leur mente, sur l'absence d'une quelconque personne faisant sûrement parti de l'Ordre du Phoenix. Harry aurait tellement aimer avoir du Veritaserum et aussi pouvoir jeter un sort d'oubli sur le professeur Dumbledore, pour qu'enfin il lui révèle tous les secrets qui planaient autour de lui, et même plus. Il aurait penser que depuis l'année précédente, le directeur aurait toujours voulu lui dire les mystères qui planaient autour du Seigneur des Ténèbres, mais non il lui cachait encore des choses.

Alors que Ron s'apprêtait à encore une fois dire une théorie farfelu(comme d'habitude), l'on cogna à la porte et sans plus attendre une femme aux cheveux roux entra. Et non il ne s'agissait pas de madame Weasley, mais bien de Tonks, qui avait métamorphoser ses cheveux, pour qu'ils soient exactement identiques à ceux de la mère Weasley.

- Aller vous tous, il est temps de dormir !

- Tonks, pourquoi as-tu cette coupe de cheveux. C'est celle de ma mère ! s'étonna Ron

- Eh bien, justement. Je voudrais être un peu comme madame Weasley, savoir cuisiner parfaitement, bien faire le ménage ou encore avoir un instinct aussi maternel quelle, après tout elle a élevé sept enfant à la perfection, répondit Tonks avant de partir en disant, et je en vous laisse pas plus de cinq minutes pour vous préparer. Compris ?

- Ouais Tonks ! répondirent-ils plus ou moins ensemble.

- C'est affreux, je en veux pas une deuxième mère, en plus si elle est comme ma vraie mère, je vais être encore plus couvert !

Harry resta muet sur la dernière remarque, Ron avait une mère exemplaire et il s'en plaignait. Alors que lui n'en avait pas, et la " chose " qui ressemblait le plus à une mère pour lui était sa tante Pétunia. Et c'était loin d'être amusant de l'Avoir comme mère.

- Et bien tu vois, moi j'aimerais bien en avoir deux, et juste une ça ferait l'affaire ! dit Harry une pointe de tristesse dans la voix.

Sans autres commentaires le rouquin et la Miss-Je-Sais-Tout, sortirent de la pièce, laissant Harry ce couche, mais alors qu'ils fermèrent la porte, le sorcier put les entendre ce chamailler.

- Mais à quoi tu pensais ? entendit-on Hermione.

- Je ne sais pas ! ça c'était la voix de Ron.

- Ça ne t'es jamais arriver au par avant de penser avant de parler, questionna la jeune sorcière, parce ça c'était vraiment pas fort !

- Je suis désolé, je te l'ai dit, surenchérit Ron, je te l'accorde je n'ai pas penser avant de dire ça !

Et bientôt le survivant ne put plus entendre les voix de ses deux meilleurs amis, étant trop loin ou tout simplement ayant arrêté, quoi que ceci était moins probable. Il s'emmitoufla donc dans ses couvertures tout en essayant de ne pas penser à al disparition des personnes qu'il aurait tant voulu plus connaître. Il essaya donc vainement de s'endormir, mais en fut incapable, il y avait trop de chose de dramatique qui se produisait dans sa vie, pour pouvoir dormir profondément. En plus du fait qu'il était resté dans un état comateux pendant plusieurs heures.

Après environ quatre heures d'essais infructueux, afin de s'endormir il décida de ce lever et de lire un peu. Mais en regardant les titres des grimoires qu'il détenait il préféra encore mieux aller ce promener un peu dans le manoir des Black. Il enfila donc ses vieux souliers, ayant au par avant appartenu à son cousin Dudley et s'apprêta à sortir. Mais souvenant qu'il y avait probablement un membre de l'Ordre encore réveillé. Il se dirigea donc vers sa valise et prit la cape d'invisibilité que lui avait léguer son père.

Cette cape ne pouvait que lui rappeler de bon souvenir, évidemment des souvenirs qui se rattachait à son école Poudlard. Avec cette cape il avait visité tellement de passage secret, il avait tellement de fois braver l'interdit et découvert des choses passionnantes ou simplement senti le plaisir d'explorer un endroit que même le directeur ne connaît pas.

Sans plus attendre le jeune Griffondor ouvrit la porte de sa chambre le plus doucement possible afin de ne pas éveillé de soupçon sur sa balade nocturne et il sorti de sa chambre pour ensuite refermer la porte dans le plus grand silence. Enfin il allait pouvoir se dégourdir un peu et peut-être qu'une petite balade lui donnerait sommeil, après tout un peu d'exercice, avant de ce coucher, pouvait le fatiguer. Il s'engouffra dans plusieurs couloirs sans vois personnes admirant au passage les tableaux d'illustres sorciers ou de paysage enchanteur. Mais bien vite il se lassa des peintures et voulut se diriger vers une endroit précis, un endroit qui allait lui remémorer des beaux tout comme des mauvais souvenirs. Il voulait ce rendre vers la chambre de Sirius. Il reparti donc dans le sens inverse et au premier tournant tourna à droite, il savait aisément où se trouvait cette chambre. Et en quelques minutes il fut arriver à la chambre, mais dès qu'il toucha la poigner, il eut soudain envi de dormir. Il se retourna donc vers le couloir et marcha vers sa chambre, mais à peine cinq secondes après il se secoua les idées et retourna au près de la porte. Mais quand il essaya de l'ouvrir elle était fermé et en plus il avait atrocement mal au ventre, il se dirigea donc vers les toilettes personnelles de sa chambre, mais encore une fois ses sentiments le guidèrent vers la porte de la chambre de Sirius. Et encore une fois lorsqu'il toucha la porte un charme agit sur lui et il ressentit aussitôt une faim atroce. Jamais au cour de sa vie une aussi grande fin avait exister en lui. Harry ne pouvait même pas résister, peu importe la force qu'il y mettait, à cette nouvelle sensation et sans plus attendre il se rendit aux cuisines.

Après avoir mangé il se dirigea vers les toilettes, les autres sensations ne l'avait pas encore quitté et plus fatigué que jamais il s'écrasa dans son lit. Malgré tous les phénomènes étranges qui entourait cette maison. Mais pourquoi la chambre de Sirius, voulait-on absolument lui rappeler qu'il n'y résidait plus. Et sur ce il s'endormit.

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Le lendemain lorsqu'il se réveilla, il remarqua que le soleil était déjà haut dans le ciel, il avait appris les bases pour calculer l'heure dans ses cours d'astronomies. Alors sans plus attendre il sorti de sa malle une paire de jeans trouées et un chandail noirs délavés, tous les deux beaucoup trop ample pour l'adolescent. Méritait-il toutes ces choses, la mort de ses parents, la haine de sa famille d'adoption, la mort de Cédric ou la mort de son parrain ou encore l'acharnement d'un mage noir pour le détruire.

Il descendit lentement les marches pour se rendre jusqu'à la salle à manger, et à peine eut-il descendu les 10 premières marches qu'il entendit :

- L'on a fait la grasse matinée, je ne te reconnais plus ! cria Ron

- C'est vrai que c'est étrange, ajouta Hermione qui semblait mi-étonné mi-amusé. D'habitue tu te couches assez tard et te réveil assez tôt !

- Les enfants après ce qu'il lui est arrivé il peut bien ce reposer, déclara Mme. Weasley. Que veux-tu pour le petit déjeuner Harry ?

- Euh, des œufs s'il vous plaît madame Weasley. Oui c'est étrange, hier soir je n'arrivais pas à m'endormir alors je suis aller me promener, mais j'ai…j'ai…je ne me souviens plus après ça c'est comme si je m'étais réveillé !

- Oui Harry, sa s'appelle un rêve ! qui d'autre que Ron pouvait faire des remarques comme celle-ci.

- Peut-être bien !

La mère Weasley lui servit ses œufs qu'il hâta à manger. Il avait faim…faim, ce mots lui rappelait quelque chose, quelque chose par rapport à la veille, mais quoi il avait manger hier et s'était coucher, il ne pouvait pas avoir eut faim. Et il vu en flash une poigné, une poigné qu'il avait déjà vu quelque chose. Mais où, ça il ne le savait pas et comment non plus il ne le savait pas.

Un peu après Hermione et Ron l'accompagnèrent dans la chambre d'Hermione, Harry était quelque peu tanné d'être enfermé dans la même pièce à longueur de temps. Ça lui rappelait trop les Dursley, qui le laissaient moisir dans sa petite chambre toute la journée, il entrèrent donc dans une chambre… rose. Oui la chambre d'Hermione était complètement rose, avec une bibliothèque bien garnit dans un coin, un bureau avec des parchemins bien classés et très surprenant sur le lit cinq, six peluches étaient bien en vu. Harry regarda son amie mi-amusé mi-moqueur.

- Eh, je te permet pas de te moquer !

- Je n'ai rien dit, répliqua le survivant, mais judicieux choix des couleurs !

- Merci beaucoup ! répliqua-t-elle

- N'empêche que c'est déjà mieux que ma chambre à moi, elle n'est pas aussi gai !

- Ah si tu veux je peux demander à ma mère de faire la même chose pour ta chambre que pour celle d'Hermione ! dit Ron, et ce petit commentaire fut suivi par des éclats de rire de la part du trio magicien.

Mais si Harry pouvait laisser voir de l'amusement, ses pensés se tournaient vers bien d'autre chose que la couleur de sa chambre. Son soi-disant rêve ne cessait de le harceler, plus il y pensait plus cet événement lui semblait parfaitement réel. Il pouvait même décrire tous les détails de la porte qu'il avait vu en rêve et toutes les sensations qu'il avait ressenti et ce rêve n'avait pourtant aucun rapport avec Voldemort.

- Harry, Harry tu es avec nous ? demanda la voix de son meilleur ami.

- Oui, oui. Je me remémorais les évènements de mon soi-disant rêve !

- Passe à autre chose, ce n'était qu'un rêve et pas de la première importance !

- Je sais bien Ron, mais ça semblait si réel. J'étais dans mon lit et ensuite je me suis levé pour aller me promener, puisque je n'arrivais pas à dormir et à un moment je suis passé devant la chambre de…de…de, Harry avait beaucoup de mal à dire ce nom avec lui remontait beaucoup trop de mauvais souvenirs, mais il y parvint tout de même, Sirius et…

Harry arrêta là son histoire, Ron et Hermione s'était lancé un regard interrogatif. Comme si sur cette chambre planait un grand mystère, comme si eux aussi se posaient des questions sur l'ancienne chambre de Sirius.

- Qu'est-ce que vous me cachez, encore ? interrogea-t-il.

Ce fut Ron qui répondit la première.

- Et bien depuis que nous sommes ici, tu sais que nous avons passer toutes nos journées à faire de cet endroit un lieu plus habitable. La tâche à grandement avancé, mais elle n'est pas fini, quoi qu'il en soit au moment où nous devions nous attaquer à l'ancienne chambre de Sirius, ma mère s'est interposé et nous a interdit de nous approcher encore une fois de cette pièce. L'on aurait dit qu'ils voulaient nous en éloigner le plus possible !

- Dumbledore, Harry avait prononcé s'est mots avec une grande frustration, il m'avait promis d'arrêter de me cacher des choses, et il continu !

- Ne te fâche pas Harry, s'interposa Hermione, c'était peut-être quelque chose qui ne te concernait pas le moins du monde !

- Ben voyons, si s'Est caché ici ça a sûrement un rapport avec Voldemort et tout ce qui le concerne me concerne !

- Oui, dit à son tour à Ron, tu as tout à fait raison. Bon alors essaye de te rappeler de ce que tu as vu dans la chambre maintenant !

Harry ferma les yeux et visualisa la scène. Il voyait clairement le couloir et sa main qui se posait sur la poignée, elle n'était pas barré il en était certain, et rapidement il enleva la main de sur la poignée. Mais elle revint s'y poser et encore une fois s'enleva brutalement, et ce petit manège arriva encore à quelques reprises.

- Elle était débarré, déclara Harry, mais je ne l'ai pas ouverte !

- Quoi ! s'écrièrent s'est deux amis.

- Non, à chaque fois que je la touchais je devais aller au toilette, j'avais faim ou j'avais envi de dormir !

- Je vois ! déclara Hermione

-Tu vois quoi ! demanda Ron.

- Ce qui a empêcher Harry d'ouvrir la porte était évidemment un sort, déclara Hermione, d'une voix des plus sérieuses. Cependant, ce n'était pas un sort ordinaire, les sorts de protection pour lancer sur des portes sont nombreux. Mais ceux agissant sur l'esprit humain et les désirs sont très rares il n'en existe que cinq et il n'y en a aucun qui est une protection. Il n'y a qu'une seule solution il s'agit de magie ancienne. Les pratiquants de cette magie sont réputés pour altérer les esprits et en faire ce qu'ils en veulent !

- Tu veux dire que ce qui m'a empêcher d'ouvrir la porte était un sortilège de magie ancienne !

- Exactement ! déclara-t-elle

- Une question, Mione. Comment savais-tu ça ? demanda Ron.

- Si tu mettais le bout de ton nez quelques fois dans un livre, tu aurais peut-être put le savoir ! répondit-t-elle du taco tac.

- Hermione, c'est pas pour prendre du côté de Ron, sauf que y a pas beaucoup de personne qui lisent des livres sur la magie ancienne ! dit à son tour Harry.

- Oui et alors il faut bien des personnes de toute sorte. Et remarquez que mes connaissances sont souvent très utile !

Sans plus attendre elle alla chercher dans sa bibliothèque un livre, et pendant ce temps Harry ne put s'empêcher de l'admirer. Elle était sublime et il n'avait rien à redire à ça, de longues jambes, une poitrine pas trop généreuse mais tout de même assez, des lèvres pulpeuses et roses et de magnifique petit yeux noisettes. Il passa un bon 5 minutes à l'admirer, jusqu'à ce qu'elle se frustre, en ne trouvant rien.

- Bon, ce nE'st aps grave j'ai un plan