Chapitre 1 :

La douceur des nuits d'été était des plus reposantes. Harry était allongé sous l'un des arbres du parc. La solitude lui était plus agréable que les années précédentes. Mais elle pouvait aussi être insupportable à la longue. Il n'avait plus rien à faire ses leçons étaient finies. Tous ses livres de cours depuis sa première année relus. Il avait même commencé à lire l'histoire de Poudlard, qui s'avérait être un bon moyen pour dormir. Si Hermione savait ça elle lui remontrait les bretelles. Harry imaginait déjà Hermione, folle de rage face à son comportement de gamin envers sa "Bible" .

Harry avait de plus en plus de mal à faire des nuits de plus de 7 heures. Les cauchemars étaient de plus en plus présents, il pensait finir par devenir fou. Il voyait à chaque fois qu'il fermait les yeux des personnes innocentes et faibles se tordre de douleur. Et toutes ses visions se faisaient par le biais des yeux du seigneur noir. Ce qu'il le dégoûtait le plus, c'était le sentiment de bien être du seigneur à chaque nouvelle personne torturée. A chaque lever de soleil, Harry était prit de nausée et gardait dans sa bouche un goût âpre voire amer.

Il regarda sa montre. Il était près de 21 heures et il devait être dans 5 minutes à un cours privé. Depuis le début de ses vacances, Harry avait décidé pour passer le temps de se mettre à L'escrime. C'était un moyen de se défouler très agréable et très physique. Il se dirigea donc vers le 7 Pringuel place une rue adjacente à Privet Drive. Il arriva devant une salle de sport sur plusieurs étages et qui prenait tout le coin de la rue. Il y avait au premier étage une salle de musculation, au deuxième une salle de gym, au troisième la salle d'arme où il prenait ses cours et au 4ème une salle de danse. Harry entra à l'intérieur du bâtiment les murs étaient blancs. Tout était nickel dans les moindres recoins. Il salua quelques personnes à l'entrée et monta au 3ème étage. Son prof Will était déjà en tenue et l'attendait. Harry s'excusa pour ce retard et alla dans le vestiaire ouvrir son casier et se mettre en tenue. Il enfila rapidement ses protections et attrapa son épée. Il attrapa son masque et retourna près de son prof.

- J'espère que tu n'as rien oublié depuis hier Harry, fit celui-ci en se mettant en garde.

Harry enfila son casque et prit une position à la fois ferme et souple pour pouvoir bouger plus facilement. Il avait dans son poignet droit la légère épée et se mit lui aussi en garde. C'est fou comme la position d'engarde ressemblait à celle des duels qu'il avait dû effectuer dans le passé. Ce ne fut pas Harry qui attaqua mais son professeur. Harry para les coups avec des gestes vifs et précis. Cela faisait maintenant trois semaines qu'il s'entraînait tous les jours et on pouvait voir qu'il commençait à savoir ce qu'il faisait. Il agissait avec une souplesse impressionnante et c'est en quelques minutes, il arriva à prendre le dessus sur Will qui finit à terre la lame de Harry sous la gorge. Ils enchaînèrent plusieurs joutes. Harry commença à fatiguer au bout d'une heure et ils décidèrent d'arrêter.

Will enleva son masque et Harry pu voir les cheveux courts d'habitude en piques de son professeur plaqués sur sa tête. Ainsi que gouttes de sueur coulait sur son visage. Harry était à peu près dans le même état que lui. Son esprit était bizarrement libre de tous les ennuis qu'il avait eut l'année précédente.

- Tu es sûr que tu n'avais jamais fait de d'escrime avant cette année ? demanda Will.

Sûr j'ai fait des duels mais ce n'était pas d'escrime fit Harry.

- Comme tous les jeunes de ces quartiers tu t'amuses à faire des duels de poings. Tu vois il y a d'autres moyens pour faire passer sa frustration, fit Will sur un ton très pédagogique.

Harry ne pu démentir car il se voyait mal lui dire qu'il avait fait des duels de magie. Bien que le fait qu'il le compare à son cousin ne lui plaisait pas trop. Ils s'assirent tous les deux pour reprendre leurs forces.

- Dis moi Harry, qu'as-tu fait pour devenir un étudiant de St Brutus ?

Harry ne s'attendait pas du tout à cette question. Personne n'osait l'approcher, il n'avait donc jamais réfléchi à cette question. C'est là que le souvenir douloureux de son parrain remonta à la surface.

- J'ai participé à un concours et ai vu des choses que personne n'aurait pu croire : la tricherie d'un des participant, le plus convoité. Ce membre a été trahi et tué. Les flics m'ont retrouvé avec le type dans les bras et la trahison d'un de mes amis a fait que j'ai été jugé coupable de non-assistance à personne en danger.

Harry s'était surpris lui même par se mensonge qui tenait debout mais qui lui avait coûté. Il s'était en plus de son parrain, souvenu de Cédric Diggory. Mais sa réponse avait du suffire à Will qui ne lui en posa pas d'autres et Harry en fut très content.

- Il est sûr que tu t'es amélioré depuis le début. Tu ferais un bon combattant à l'épée. Un maître d'arme avec quelques années encore de pratique.

- Tu sais Will, je le fais juste pour passer le temps. Privet Drive n'est pas l'endroit le plus heureux où passer ses vacances.

- Tu ne pars pas ?

- Pour l'instant non. Peut être vers la fin des vacances.

- Je risque de mettre du temps à retrouver un adversaire à ta taille.

Harry ne pu empêcher un sourire goguenard d'apparaître sur sa figure. C'est sûr que d'avoir un meurtrier comme adversaire ou un futur mort ne risquait pas de lui arriver souvent. Harry se maudit d'avoir repensé à cette fichue prophétie. Harry se leva et alla prendre une douche avant de partir manger dans un petit bistrot qu'il fréquentait depuis le début des vacances. Il fallait bien faire passer le temps ... Harry salua, John le barman, un type qui aurait pu jouer pour une pub de Freedent, le sourire blanc qu'il affichait tout le temps exaspérait Harry. John était un ardent fan d'histoire fantastiques et Harry s'amusait à raconter ses premières aventures en changeant des mots, en omettant de dire quelques renseignements qui auraient pu faire trop croire au jeune homme que son monde existait.

- Tiens mon futur écrivain ! Comme d'habitude je suppose !

Harry lui fit un large sourire et s'approcha du bar pour s'asseoir à une chaise. Il n'y avait pas beaucoup de monde ce soir là ! C'était un jour de semaine et les personnes travaillaient le lendemain. Harry prit une limonade au citron, il avait décidé de s'amuser en choisissant sa commande et quand il tombait sur la limonade au citron cela lui rappelait son directeur d'école. Et il s'était habitué à boire des limonades pendant ces temps chauds.

- Dis moi Harry, Le Pastaupoivre tu ne voudrais pas m'inventer la recette que je la fasse pour mes clients.

Harry eut un sourire sur les lèvres comment parler de la bierraubeurre à un moldus ? Harry s'amusait à inventer tous ces nouveaux noms.

- Non, John si je te le donne le ministère va venir me chercher car un crodus (moldus) s'amuse avec des choses magiques.

Ils éclatèrent tous les deux de rire en même temps mais pas forcément pour la même chose. Harry imaginait Corneluis Fudge arriver à Privet Drive et arrêter un fabriquant de Pastaupoivre. (n'I-M-P-O-R-T-E Q-U-O-I lol ). Harry prit un repas copieux et s'amusait à écouter les dernières rumeurs. Son cousin ayant été arrêté pour maltraitance, il se trouvait maintenant enfermé au 4 Privet Drive en permanence était une des plus courantes en ce moment. Harry ne resta pas longtemps dans le bar contrairement aux fois précédentes et se dirigea de nouveau vers le parc pour un dernier tour avant de partir se coucher.

Il arriva près des balançoires qui avaient été remplacées depuis l'année précédente et Dudley avait été privé de sortie trop tôt et n'avait donc pas pu les redémolir. Harry attrapa la dernière lettre de ses amis qu'il avait reçu le matin même. Il avait dû la relire une bonne centaine de fois dans la journée. Ils étaient tous au quartier général et semblaient s'amuser. Dumbledore ne voulait pas le laisser sortir de Privet Drive et bizarrement Harry ne protesta même pas. A croire que l'on mûrit forcément un jour ou l'autre. Mais Harry devait bien avouer que la destruction du mobilier du bureau de son directeur l'année précédente avait dû un peu aider. Ce qu'il n'avait pas apprécié était la faiblesse que le directeur lui avait montrée. Il le savait vieux mais il le croyait fort. En fait Dumbledore n'était pas si différent de lui après tout; c'était une personne qui avait accompli de grandes choses étant jeune.

Il avait vaincu lui aussi un des mages noirs les plus grands; Harry n'avait jamais entendu parler de la famille de son mentor. Il ne savait même pas comment avait été sa jeunesse. Tout ce qu'il savait c'était qu'il était un mage blanc très puissant qui avait vaincu le seigneur noir Grindewald. La seule chose que Harry lui avait dit était "Non vous ne savez pas ce que je ressens". Et ça il le regrettais un peu après mûre réflexion. Dumbledore était comme lui "Une image d'espoir" et tout ce que Harry faisait c'était des caprices de gamin. Il n'aura pas pu faire une crise d'adolescence normale car comme sa jeunesse on lui avait volé. Harry devait grandir Harry devait apprendre à se battre. Maintenant il savait pourquoi Dumbledore agissait comme il faisait depuis son entrée à Poudlard, cette sur protection envers Harry. Il se revoyait lui ! Ce qu'il avait du ressentir à l'époque où on lui annonça qu'il devrait détruire Grindewald.

Harry leva la tête vers les étoiles. Qu'est-ce qu'il aurait aimé savoir les décrypter comme le faisaient les centaures. Il pourrait pu éviter des milliers de morts et aurait eu un sommeil moins agité. Il était enfermé ici à attendre et cela l'énervait. Il avait pris le « syndrome du héros » comme le disait Hermione.

- Et ce syndrome a causé la perte de ton parrain !

- Mais si j'avais fait ces exercices monsieur Weasley serait mort

-Tu marques un point mais si tu les avais fait Sirius serait vivant ! Si maintenant tu ne sais plus faire la part entre tes rêves et la réalité tu pourrais d'ores et déjà réserver une place pour St Mangouste ! Qu'en penses tu !

Harry se mit une claque mentale. Fichue petite voix ! Depuis le début des vacances une sorte de conscience interne s'était emparée de lui. Harry décida de rebrousser chemin par chez lui. Il commençait à être tard et si il ne rentrait pas avant minuit, son oncle et sa tante ne le laisseraient pas rentrer dans la maison sans être impuni. Quoique ça pourrait peut être l'occuper de désherber le jardin ou faire le ménage. Toutes ces corvées dont il se plaignait l'année précédente. Mais l'ennui était devenu plus fort que lui et il serait près à recommencer. Son oncle et sa tante hésitaient à le punir par peur de Maugrey. Harry eut un léger sourire sur le chemin du retour ! Le fait de repenser à la tête que tireraient les voisins si il voyait une femme aux cheveux rose, un homme avec des vêtements en lambeaux et un autre avec un oeil de verre qui tourne dans tous les sens débarquer à Privet Drive.

Mais plus il s'approchait de sa maison plus ses sens s'étaient mis en alerte et son esprit s'était concentré sur une sensation qu'il n'avait jamais ressenti auparavant. Harry vérifia si sa baguette magique était bien en place dans la poche interne de son blouson avant de rentrer dans la maison. Tout était calme peut être même un peu de trop ! Harry entendit que la télé du salon était allumée et que son oncle et sa tante étaient tous deux assis devant.

Harry ne se sentait pas pour autant rassuré. Il ne savait pas exactement pourquoi. Sa cicatrice ne lui faisait pas mal. Ce qui voulait dire que Voldemort se tenait tranquille. Il grimpa à l'étage et rejoignit sa petite chambre. Il eut du mal à pousser sa porte car de l'autre côté se trouvait une tonne de livres qui jonchaient le sol. Il devrait peut-être un peu nettoyer. La cage d'Hedwige devait être la seule partie propre et rangée. Son lit n'était pas fait et dessus se trouvaient des parchemins chiffonnés ou empilés ! Sous le bureau une tonne de livre empilés et le reste des livres parchemins, encriers, vêtement se trouvaient au sol et des jouets cassés se trouvaient un peu partout dans toute la chambre. On aurait pu croire que l'endroit avait été mis sens dessus dessous si on n'était pas prévenu que c'est comme ça Habituellement. La chambre de Harry était le dépotoir à Jouets de Dudlynoucher et étant donné que Harry était assez bordélique comme toute personne de son âge la chambre était un champ de bataille à elle toute seule.

Harry entra dans la chambre et posa son blouson sur la chaise de son bureau avant de sa mettre à ramasser un peu ses affaires, mais il gardait tout le temps l'oreille tendue. Il était prêt au moindre bruit suspect à sauter sur sa baguette et à tirer sur tout ce qui bouge. Une petite voix dans la tête lui souffla

« Vigilance constante ! »

La chambre était presque remise vivable 10 minutes après que Harry soit rentré ! Jugeant que c'était correct Harry se laissa tomber sur le lit les bras derrière la tête. Mais c'est alors que le sentiment de malaise se fit de plus en plus présent ! Harry attrapa sa baguette dans la poche de son manteau. C'était peut être des détraqueurs, maintenant ils savaient où il habitait. Mais tout d'un coup une douleurs fulgurante à sa cicatrice lui fit mettre genoux à terre ! Elle se mettait à brûler comme jamais. Harry avait l'impression qu'on lui fendait la tête en deux. Il ne pu retenir un cri de douleur et il tomba au sol.

Les mangemorts étaient tout autour de Harry. Un rire froid sortit de sa bouche il ne pouvait plus contrôler aucun mouvement. Il savait qu'il se trouvait dans le corps de Tom comme dans presque tous les cauchemars qu'il avait fait depuis le début des vacances. Il détestait toutes ses visions, il y avait toujours un moldu ou une personne faible qui se tordait de douleur devant lui. Mais là rien. Personne. Juste les mangemorts qui se trouvaient autour de lui et cette atroce douleur au front.

- Mangemort j'ai une bonne nouvelle à vous annoncer ! Ce soir je deviendrais le sorcier le plus puissant du monde. Je vais tuer Potter !

La douleur à la cicatrice s'intensifia et doubla presque. Harry sentait tous ses muscles se tendre. Ce ne pouvait pas être possible. Il ne pouvait pas passer la barrière. C'était encore une technique pour le conduire hors de chez lui comme pour Sirius. Mais il ne se ferait pas prendre au même jeu deux fois de suite. Il combattait mentalement pour se réveiller mais une force invisible semblait le retenir.

- Ce vieux fou de Dumbledore me sous-estime comme toujours mais là je vais lui mettre le coup de grâce en tuant son petit protégé.

Harry ne comprenait plus rien ! Puis Voldemort se tourna vers des personnes qui se trouvaient sans cagoule à ses côtés. Harry pu reconnaître parmi eux Lucius Malefoy et d'autres Mangemort qui étaient en ce moment à Azkaban. Mais comment cela pouvait être possible ! Puis il ressentit que ses lèvres bougeaient à nouveau !

- Après avoir assailli Azkaban ! Nous allons attaquer Privet Drive

Puis tout redevient noir

Harry se réveilla en sursaut et tout en sueur, il fut surprit de voir le visage de Remus lupin qui se tenait devant lui inquiet.

- Azkaban ... vider... Mangemort... Privet Drive ... Voldemort ... Arrive fit Harry tous en essayant de reprendre ses esprits.

Il vit Lupin passer par toutes les couleurs possibles. Harry sentait sa cicatrice brûler puis il fit un signe avec sa baguette et toutes les affaires de Harry furent rangées dans la malle qui se trouvait devant le lit.

- C'est peut être encore un coup monté Remus fit Harry qui essayait de reprendre toujours contenance. Ils ne peuvent pas passer la barrière qui se trouve sur Privet Drive ! Dumbledore a dit que c'était impossible continua t-il

- L'erreur est humaine Harry fit Remus pendant qu'il réduisait la malle et la mettait dans sa poche.

A peine le professeur venait-il de finir de prononcer sa phrase que la porte d'entrée de Privet Drive explosa.....


Voilà j'ai décider de commençais cette fic sadiquement et je coupe donc maintenant Non ne me tuer pas !!

Je met la suite au pire demain car ce n'est pas ma faute si je dois arrêter là c'est la faute de Smith (oui il a bon dos mon smitty)

Il a décidé de me priver de mon ordinateur car d'après lui je dois dormir et surtout faire mais leçon de mon cour privé mais ne vous inquiétait pas je vais partir en mission des lundi je vais l'appelait « braquage du placard à balais »

On n'a que cela a faire dans St Mangouste

Je tiens a remercier ma beta qui fait un excllent travail! Vous ne me croyez pas ?? ça ce voit que ce n'est pas vous ! L'orthographe ne m'aime pas !

Bisous a tt

laisser moi une petit rev pour me dire que vous êtes passer au moins svp