The end (enfin normalement) Tout compte fait, ce serait the end (première partie)
Dans la forêt interdite, on pouvait entendre …
« I'm too sexy for my loooove
Too sexy for my love
Love's going to… SBAM!!!!
Le prince Sirius-Philippe, qui poussait allègrement la chansonnette venait de se prendre une nouvelle branche basse. Comme quoi les bonnes vieilles habitudes…
« I'M GOING TO KILL IT !!!! hurla-t-il tandis que Biquette tentait de l'amadouer en lui faisant des yeux Candy…esque ! IL prit la Carte des Maraudeurs discrètement « empruntée » à son père et réfléchit :
« Bien, nous sommes au Chène noueux… Tu prends le premier orme à droite, tu continues sur 200 toises, et tu prends finalement de troisième bosquet à gauche, et on y sera !
Et la fidèle Biquette suivit avec ardeur les ordres de son maître. Au bout de dix minutes, une douzaine de chutes, au moins quarante branches mangées (par le prince évidemment ,mais quel est le BiiiiiiiiiiiP !!! qui les avait foutues aussi basses ces biiiiip de branches !!) et un bon millier d'imprécations plus colorées les unes que les autres, le prince arriva au premier bosquet. Le problème, et notre cher Philippe le remarqua aussitôt, c'est que il y avait différentes sortes de bosquets : les fourrés, les épineux, les pourvus de fleurs bleues avec des épines rouges, ceux avec des fruits plus que douteux…Encore une fois la carte n'était pas assez précise ! Et tandis que le prince était en train de chauffer sa mignonne petite tête à faire toutes sortes d'équations dignes de Math Sup (maternelle supérieur) :
«-Attendez voir, ce serait pas plutôt un touffu un épineux et un fleuri, ou on échange le fleuri contre celui avec les fruits ? C'est peut-être tout simplement deux touffus et un fleuri ou encore… »
Biquette essayait par tous les moyens de lui faire comprendre que la maisonnette était juste en face de lui, et que si son adorable maître voulait bien relever les yeux, il ne serait pas en retard (pour la première fois de sa vie) à son rendez-vous. A la fin, voyant que Sirius-Philippe ne daignerait même pas ouvrir ses royales oreilles pour l'écouter, elle le fit tomber, le prit délicatement par le fond de son pantalon après avoir rabattu sa cape rouge sur lui.
« Biquette, lâche moi tout de suite et viens te battre à la loyal si t'es une jument !!! Biquette LACHE-MOI J'AI DIT !!!! Euh… finalement tu me lâcheras seulement après la grosse mare de boue et je te promets que je lèverai ta punition, et dès que nous serons rentrés, tu auras trois carottes et une botte de foin pour toi toute seule ! »
Mais au lieu de le lâcher, Biquette, dans un gracieux mouvement de tête, balança le prince sur la selle. Celui-ci se trouva donc parfaitement mis sur son cheval avec les cheveux en brosse (c'est la nouvelle mode à ce qu'il paraît), l'air un peu hagard (c'est surtout dû au fait qu'il avait passé tout le voyage à penser à sa dulcinée), un bouquet de roses ramassées pendant que son cheval le promenait de façon peu cavalière à la main (il faut toujours arriver à un rendez-vous galant avec un cadeau…), et à l'heure, devant la maison de sa dulcinée !!
-Merci Biquette, souffla-t-il à son cheval, je te revaudrai ça ! Tu auras droit à une montagne de carottes dans une écurie pour toi toute seule !
Il descendit de son cheval, s'assura que sa tenue était parfaite, et, après une nanoseconde d'hésitation, frappa à la porte.
Comme personne ne répondait, il frappa de nouveau. N'ayant toujours aucune réponse, il ouvrit délicatement la porte, et après s'être assourdi à cause de l'horrible grincement (dû au fait que c'était Pâquerette-Trelawney qui était censée huiler les gonds et qu'elle n'avait jamais voulu le faire, ayant prédit à ladite porte qu'elle serait détruite dans d'atroces conditions) Sirius-Philippe chercha du regard sa douce aimée, mais ne la trouva point. Il chercha alors sous la table et derrière le lampadaire, mais ne la trouva point. Il regarda ensuite sous le tapis et dans le four, mais n'y trouva que la poussière et la vaisselle sale abandonnée en ces deux endroits par les trois bonnes Fées.
Se disant qu'après tout, il n'aimait pas sa dulcinée pour ses talents de fée du logis, il referma résolument le four, se promettant qu'on ne l'y reprendrait plus jamais à fouiller dans les affaires d'autrui. Faut préciser aussi que dans les assiettes sales gisaient les restes du gâteau fabriqué par Pâquerette-Trelawney.
Tout à coup, le doute le submergea : était-il dans la bonne maison ou s'était-il une fois de plus royalement planté ? Mais comme il n'avait vu ni sept petits lits, ni un grand, un moyen et un petit bol, qu'il n'avait pas du tirer sur une certaine Bobinette pour qu'une autre certaine Chevillette cherre, que la maison n'était pas en sucre et en pain d'épice, et que l'on savait pertinemment que seuls les sept nains de Blanche-Neige, les trois ours de Boucle-d'or, la grand-mère du petit Chaperon Rouge et la sorcière de Hansel et Gretel étaient assez fous pour vivre dans une forêt qui n'était de toute façon pas celle-ci (Qui serait suffisamment stupide pour aller vivre au beau milieu des centaures, des Acromantulas, et j'en passe, et des meilleures ??? Bien sûr, on aurait pu répondre tous en cœur un grand : « MERLIN !!! », mais tout le monde sait bien qu'il est porté disparu depuis son sournois enlèvement par la Fée Viviane qui le garde prisonnier dans les sept cercles d'air prévus spécialement à son intention , et puis de toute façon, les débris de gâteau aurait pu dater de son dernier passage s'ils avaient été réduits à l'état de tas de poussière, mais vu l'odeur, ce n'était pas le cas.).
Soudain, un énorme bourdonnement agressa les tendres et juvéniles oreilles du prince, lui faisant croire qu'un avion supersonique – voire le vaisseau spatial de Thor répondant au doux nom de O'Neill – tentait d'atterrir sur le toit de la pauvre maisonnette, ou encore dans le nid de la harpie qui bouchait la cheminée.
« Serait-ce la légère respiration de ma douce et (pas si) tendre (que ça) bûcheronne ? » se demanda-t-il le cœur battant. Il se précipita dans les escaliers et se jeta sur la première porte venue. Alors que celle-ci s'ouvrait, un hurlement résonna, apparemment pré-enregistré :
« Les Gryffondors ont toujours tooooooort !!! Hors d'ici Potter !!! »
Il se rejeta en vitesse en arrière, glissant au passage sur un pot de gomina vide. La porte se referma avec fracas, faisant exploser toutes les vitres de la maisonnette.
Avec plus de prudence, il ouvrit timidement la deuxième porte, et tomba nez à truffe avec un énorme lion qui rugissait :
« Les Gryffondors sont les plus fooooooorts !!! Dégage Malfoy !!!! »
Le prince, après avoir repris ses esprits, sortit de la chambre, et jeta un regard de chien battu à McGonagall qui l'observait depuis les coulisses. Voyant celle-ci froncer les sourcils et lever sa baguette d'un air plus que menaçant, il prit son courage à deux mains, dicta son testament à l'écureuil du coin et entra dans la troisième chambre.
A ce moment résonna la Marche Funèbre de Chopin au clairon selon l'interprétation d'une certaine Sibylle Sourdoreille, ce qui, il faut l'avouer, ne ressemblait pas tellement à l'original, mais plutôt à un chat qui se serait coincé dans le susnommé clairon.
Le prince dévala les marches, en proie à une terreur sans nom et affligé d'une toux affreuse - il avait découvert où étaient planqués les parfums aromatiques de la cuisinière ! -, tandis que Mc Gonagall haussait un sourcil suspicieux vers une Trelawney extatique dans les coulisses.
Le Prince Sirius-Philippe voulut quitter cette maison de timbrés, qui n'était définitivement pas celle de sa dulcinée, et promettait d'en toucher quelques mots à son stupide canasson qui une fois de plus l'avait induit en erreur (Ouh quelle mauvaise foi), mais apercevant la quatrième porte, il se dit que se serait lâche et digne d'un Serpentard (ou encore de Peter , mais lui c'est un cas à part) et très peu gryffindoresque de ne pas visiter toutes les pièces de l'étage :de toute façon, tant qu'il y était autant toutes les visiter.
Il voulut ouvrir la dernière porte, mais quelqu'un le fit à sa place. Il se retrouva face à on ne sait trop quoi : l'abominable homme des neige ? Big Foot ? Voldy en personne ? Trelawney mimant Pamela Anderson dans Alerte à Malibu ? Nul ne le sut à cette instant précis. Toujours est-il qu'il poussa un hurlement d'effroi…avant de s'effondrer, mort de rire sur le plancher, n'arrivant même plus à se tenir à la poignée de la porte, aux pieds d'un Lucius qui, l'air complètement endormi, les yeux plissés à cause de la lumière, la splendide chevelure passablement décoiffée, portait un pyjama en satin noir avec des chaudrons en ébullition se promenant un peu partout dessus.
[dans les coulisses « Hey mais c'est le pyjama que le professeur Rogue lui a offert pour son dernier anniversaire !! » s'exclama Draco]
-Gnéh c'est pour ? demanda Lucius-Maléfique en étouffant un bâillement.
Tout à coup il se souvint : Il était censé attendre le damoiseau de la princesse, mais sachant que Sirius arrivait toujours trois plombes en retard, il s'était décidé à piquer le lit de ladite princesse, pour dormir, s'imaginant, Merlin seul sait pourquoi, que Sirius-Philippe se serait précipité près du lit de sa princesse(pour l'étrangler)).
Soudain, apercevant enfin le prince à ses pieds et se souvenant qu'il y avait le public, il enleva son haut de pyjama (découvrant par la même occasion un torse qu'on ne précisera pas qu'il était musclé, imberbe etc) et hurla :
« Pouvoir de la marque des ténèbres TRANSFORME-MOI »
Et le public put voir le serpent de la marque s'agrandir et s'entourer autour de Lucius dont le corps avait déjà été enveloppé par une aura sombre. Il se retrouva la seconde suivante dans ses vêtements habituels, les deux mains sur la canne, le menton légèrement relevé et en fond, dans un vert émeraude (et non pétard à souhait, il faut tout de même rester digne), on apercevait la marque des ténèbres.
« Oui, vous avez oubliez de m'inviter à la naissance de la princesse, vous l'avez cachée pour que je ne puisse pas assouvir ma vengeance, et j'apprends après avoir lu le journal intime de la princesse qu'elle s'était dégoté de superbes casseroles en inox ET un mec , alors que moi j'ai été obligé de planquer tout mes chaudrons et que je suis toujours vieille fiiiiiille… ET j'ai été décoiffée en ouvrant les trois autres portes, ET pour trouver une brosse dans cette maison c'est pas la joie, ET j'ai compris que la moitié de l'argent de poche de mon propre et unique fils passe dans les pots de gomina, ET quand j'ai eu le malheur de regarder dans le four parce-que j'avais eu un petit creux, et ben…j'ai plus eu faim. »
Là Lucius pris une énorme inspiration et conclut avec une gestuelle mémorable, et encore incomprise à ce jour :
« Au nom de Voldy je vais te séquestrer !!! »
Un silence magistrale de cinq minutes s'écoula…
(nda : nous prions nos chers lecteurs de s'arrêter ce même laps de temps avant de reprendre la lecture)
…avant que le prince ne bégaye :
- céquéquoi ? séquoia. ?
-Mais non, triple Gryffondor, séquestrer S.E accent aigu .Q.U.E.S.T.R.E.R. !!!
-Ce qui signifie ?
-Euh…
Sortant d'on ne sait où, Hermione arriva, son dictionnaire à la main, et déclara :
-Dans la situation présente, séquestrer voudrait dire : « tenir enfermé arbitrairement et illégalement. »
Et elle repartit aussitôt.
-Et tu compte m'enfermer où ? demanda innocemment Sirius à son futur séquestrateur (^^)
-Dans mon manoir évidemment.
-T'as une piscine intérieure ?
-Oui.
-Une salle de bain munie d'un jacuzzi ?
-Oui.
-Une cuisine bien fournie ?
-Oui.
-Du « Douce-nuit » pour toi ?
-Non.
-Alors c'est sans moi !
-Oula ! tu commences à m'échauffer les oreilles.
-Ah c'est pour ça qu'elle sont toute rouges !! Tu sais que ça fait un contraste détonnant avec ton visage vert de rage ?
-Bon aux grands z'héros…
-Héros commence par un « H » tata Fifique donc il n'y a pas de liaison !
-… les grands remèdes ! Et ne m'appelle plus Tata Fifique !!!
[Dans les coulisses il fallut ranimer McGonagall et Harry (mais pas pour les mêmes raisons…)]
-Bon, parlons peu, mais parlons bien ! Je me laisserai pas enlever par une vieille sorcière frustrée et toute décatie ! J'ai une bûcheronne à épouser moi. Alors bats-toi à la loyale si t'es une Fifique !
-Tout de suite mon cher prince ! Ce sera un combat viril !! Mano a mano !!! Mâle contre mâle, entre toi, moi et mes GAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARDEEEEEEEEEUHS !!
A ce cri, Avery, Nott, Crabe, Goyle, Macnair and Co, jaillirent du public, empoignèrent le prince Sirius et l'emmenèrent vers la sortie.
-Mais non abrutis !! pas par là ! je vous avait dit à travers la marque noire ! Vous êtes Huflepuff ou c'est de naissance ! s'exclama Lucius-Maléfique.
-De naissance ! répondit aimablement Sirius-Phillippe avant de disparaître dans la marque noire, entraîné par les quatre bipèdes protohumains dégénérés.
Lucius-Malefique, en digne protagoniste-plus-méchant-que-moi-tu-meurs de la pièce, fit son rire de psychopathe (ou sociopathe c'est selon), et partit à son tour par la marque noire qui disparut quasiment, ne laissant qu'une signature : « LM ».
……………………………………………..Noir…………………………………………………
Quand la lumière revint, on pouvait entendre l'ouverture de la chasse au clairon.
La porte de la maisonnette s'ouvrit avec fracas, laissant apparaître une Pâquerette-Trelawney échevelée, avec son clairon à la main, entonnant pour la on-ne-sait-combientième-fois le thème de Guillaume Tell au clairon, faisant fuir au passage tous les écureuils grignotant leurs noisettes dans un rayon de un kilomètre.
Derrière elle arriva Flora-Draco et Pimprenelle-Potter, les deux se bouchant les oreilles.
-Pâquerette, arrête-moi ça immédiatement ! hurlait Pimprenelle-Potter pour couvrir le bruit du clairon.
Flora-Draco quand à elle, s'était glissée doucement derrière sa consœur, et, profitant que celle-ci reprenait son souffle pour entonner la cinquième symphonie de Beethoven, elle lui prit l'instrument des mains et le balança par la fenêtre, assommant au passage le pauvre petit écureuil resté à la traîne. Quand le calme fut enfin revenu, les trois fées cherchèrent le prince dans toute la maison (Flora-Draco eut d'ailleurs le malheur regarder dans le four…).
Ne voyant personne au rez-de-chaussée, elles visitèrent les chambres, chacune ayant soin évidemment de regarder dans sa propre chambre .
Mais comme elles ne trouvaient toujours personne, deux solutions s'imposèrent :
a)le petit galopin attendait sa dulcinée dans sa chambre.
b) il s'agissait du prince Philippe, il ne devait sûrement pas être arrivé !
Ne voyant personne dans la chambre de Crépuscule, elle optèrent pour la solution b et se décidèrent à attendre le prince de pied ferme.
Et donc pendant dix minutes, nos trois bonnes fées s'occupèrent comme elle le purent, c'est à dire que Pâquerette-Trelawney s'était décidée (sans se faire prier) à tirer le Tarot pour ses deux consœurs, et comme il fallait s'y attendre, les deux autres fées se trouvèrent avec 3 cartes du pendu chacune dans leur tirage.
Après s'être lassée de ce petit jeu (très amusant, il faut l'admettre, pour elle, mais légèrement rasoir pour les autres), la fée Pâquerette alla dans le tiroir chercher une botte de carotte en soupirant que ça servait à rien de nourrir ce cheval puisque de toute façon il mourrait un jour…
-Quel cheval, Pâquerette ? demanda ,acide, Flora-Draco, qui se promettait que la prochaine fois qu'elle tomberait dessus, elle jetterait les kilos de tisane et autres herbes douteuses de Pâquerette.
-Bah celui qui n'arrête pas de crier : « Et mes carottes Philippe ! Arrête donc cinq minutes avec ta bûcheronne et vient me les donner ! J'ai faim moi !!! »
-Un cheval qui parle ? Et pourquoi pas Maléfique en kilt jouant de la cornemuse dans notre cottage pendant que tu y es ?
- Mais non Pimprenelle : Maléfique n'est pas là ! je tiens à te signaler que nous avons fouillé toute la maison et qu'il n'y avait personne. Maintenant tu m'excuseras, mais j'ai un cheval à nourrir !
Elle ouvrit la porte de la maisonnée, et, sous le regard éberlué des deux autres fées, Biquette sauta quasiment sur Pâquerette pour pouvoir manger les carottes.
-Mais c'est Biquette !!! s'exclama Pimprenelle-Potter reconnaissant la jument qu'elle avait offerte, il y a quelques années de ça au roi Stéphane, pour se faire pardonner d'avoir enlevé leur si charmante gosse.
-Comment se fait-il que nous ne l'ayons pas entendue ? demanda Flora-Draco fronçant les sourcils.
-Le clairon… suggéra avec raison Pimprenelle-Potter.
-Mais où est ton maître ?
-Dans la maison, vous ne l'avez pas croisé ? répondit l'équidé en machouillant allègrement une carotte.
-Non.
-Le saligaud !!! Il est passé par la porte de derrière avec sa bûcheronne pour ne pas me donner mes carottes ! renâcla la pauvre Biquette.
-Sa bûcheronne ? fit Flora-Draco, intéressée.
-Bah oui il y a eu un grand bruit dans la maison et j'ai entendu les mots viril, mâle et naissance, ce qui voulait dire qu'ils étaient passés à l'acte ! répondit philosophiquement l'animal.
-QUOIIIIIIIII !!!!!!!
-Mais c'est pas possibleuh ! protesta vigoureusement Flora-Draco.
-Flora ! Une corde ou une mare viiiiiiiiiiite. Le prince a…a… commença Pimprenelle-Potter sans pour autant se résoudre à continuer sa phrase.
-Mais tu sais Pimprenelle, tous les contes de fées se terminent fatalement par un mariage et la sempiternelle phrase : « Et il vécurent heureux, et eurent beaucoup de petits sorciers… » fit remarquer la (le ?) blondinet(te).
-Je saaaaaaaaaaiiiiiiiiiiiiiis mais on est pas à la fin de la pièce !!
-Surtout fit innocemment remarquer Flora-Draco que la princesse dort au fin fond de son cachot…
-Mais, mais, mais…
Et Pimprenelle s'évanouit.
-Mwahahahahaha elle tient vraiment pas les coups dur cette pauvre Pimprenelle !!
-Mais Flora….
-Qwaaaaaaaaa ! aboya l'intéressé.
-Si c'était pas avec la princesse, c'était avec qui ?
-D'après ce que j'ai entendu, répondit Biquette, ce serait une certaine Fifique…
-Fifique… comme elfique ??
-Ou encore Maléfique…hein Flora ?
-Pâquerette retiens-moi je sens que je vais me trouver maaaaaaaaaaaaaaaaaaaal !
-Je vous avez prédit que nous allions mourir dans d'atroces souffrances…en apprenant d'atroces vérités !!! triompha la pseudo-devineresse.
-La question est…que faisait Maléfique chez nous, et pourquoi a-t-elle donné rendez-vous au prince chez nous ? demanda Pimprenelle qui venait de difficilement se remettre de ce qu'elle venait d'apprendre et qui cherchait dans les placards une bouteille de FireWhiskey.
-Ah c'était pas la maison de la bûcheronne ?
-Bûcheronne ??? décris-là nous !
-Et bien elle est grande, l'air comment dire…elle avait des cheveux noirs corbeau et…
-C'est Crépuscule !!!
-Tu ressasses des évidences là, ma chère Pimprenelle, remarqua Flora-Draco
-Mais si c'était avec Crépuscule qu'il avait rendez-vous, que faisait-il avec Maléfique ? s'entêta Pimprenelle.
-Ma chère Pâquerette aurais-tu l'obligeance d'avoir au moins une fois dans ta vie une vision explicative en temps et en heure ? Ca aiderait !!! s'exclama Flora-Draco qui commençait à en avoir assez de cet imbroglio.
-Impossible : elle a irrémédiablement fumé trop d'herbes pour avoir une vision saine de la situation…
-Moi, je me moque de ce qui s'est passé ici et avec qui, s'exclama Pâquerette-Trelawney, mais quoiqu'il en soit, ils ont utilisé notre maison pour faire des choses pas très nettes, et ils nous ont laissé leur cheval affamé, tout ça sans payer !!! Venez très chères, nous allons nous faire rembourser, pour tout le dérangement qu'ils ont causé !
-La question est : comment allons nous faire ? fit Flora-Draco.
-En allant chez Maléfique bien sûr ! s'écria Pâquerette-Trelawney en regardant sa consœur comme si elle avait affaire à une attardée mentale.
-Et tu sais où elle habite ?
-Evidemment, elle nous a laissé sa carte de visite ?
-…
-Et tu l'as trouvée où ?
-Dans la chambre de la princesse bien sûr !!!
-Et ça ne t'es pas venu à l'esprit de nous en parler ?
-Eh bien, disons que ça n'est pas venu dans la conversation.
-Mais on parle de ça depuis tout à l'heure !
-C'est pas vrai ! Personne ne m'a demandé si j'avais la carte de visite de Maléfique.
[Dans les coulisses, un Sirius blasé jeta un coups d'œil interrogateur à un Lucius imperturbable qui lui répondit par un haussement de sourcils très significatif :
« Fallait bien leur laisser un indice de cette taille, sinon ils auraient jamais tilté… Déjà que là c'était limite… »
Puis il reporta un regard distrait vers une McGonagall qui gribouillait férocement sur un parchemin long de déjà quelques kilomètres, marmonnant :
« Et pour le coups de la carte de visite, nous arrivons à un total de 4 856e entorse au script originalement prévu… » pendant que Lupin se roulait par terre, sous le regard compréhensif de Dumbledore qui, lui, avait réussi à canaliser son hilarité en s'enfilant une demi-douzaine de Chocogrenouilles dans la bouche en même temps.]
-Pâquerette-passe-moi-cette-carte !!!!!!!!!!
-La voilà, Flora, pas la peine de t'énerver.
Flora-Draco lut la carte et s'exclama :
-Pimprenelle ! Bonne nouvelle !!Maléfique ne s'est pas tapé le prince !! Elle l'a juste enlevé !!!
-Ah je préfère ça !!!!
-Elle ajoute aussi que nous ne le reverrons jamais plus !
-Ah mais non ! Là ça va plus !! Il est le seul à pouvoir nous sauvez des ronflements de la princesse. Il faut aller le sauver !!!
-On est parti ! Pâquerette lâche-moi tout de suite ce clairon !!!
-Maieuh !
-Biquette !! appela Pimprenelle-Potter, la baguette à la main.
-Quoi ?
-Reducto !
-Et c'est pas juste ça ! beugla Biquette du haut de son demi centimètre.
-Bon je prends Biquette, déclara Pimprenelle, il serait peut-être temps d'avoir une petite discussion avec elle.
-Bah pourquoi ?
-Oh juste pour éclaircir le fait qu'on vient de perdre deux bonnes heures, à stresser sur une éventuelle Maléfique junior sur le trône à cause de ses élucubrations !
-gloups.
Pendant ce temps au château :
ROOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON PIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISSSSSCCCCCCCCH !
La princesse était restée, égale à elle-même, c'est à dire stoïque quand à la pseudo-infidélité de l'amour de sa vie !!
A suivre…….
Réponse aux reviews
Nahamy : Hello ! Bon, c'est pas encore la scène du baiser, mais, promis, on y travaille, c'est en bonne voie d'accomplissement ! Niark ! Oui, tu peux plaindre les persos !
Pandy : Oops pour le retard ! Tu nous en veux pas, hein, tu nous en veux pas ? Sinon, pour les 25 façons de tuer Snape, en fait on pensait à Umbridge… C'est fout ce que l'inspiration nous vient dans ce cas-là !!! Alors, finalement, Lucius y est passé…
Ayako : si ça te rassure je réfléchis pour Remus (il va y passé aussi, et si c'est pas dans cette fic, ce sera dans une autre !! mah pourquoi c'est toujours Sevy qui s'en prend plein la g…. ??)
Tes réactions ? Tes injures (pas trop quand même hein ? on ne les accepte que si elles sont justifiées)
Au fait devine qui c'est qui a trouvé le surnom de Lucius (et encore ça a failli être Fiquounette, mais ma chère coautrice a dit que j'abusais)
Aranel morticia black : merci!!! C'est le seul et unique mot qu'il fallait retenir de cette fic! Tu comprends qu'il nous ait fait plaisir !
Amarad : Tu vas rire : Alastor n'était pas vraiment prévu dans notre script… (après tout, qu'est-ce qui était prévu, sachant qu'on pensait faire un chap unique comme pour 1 jour mon prince. !!!)
Mapa : et un chapitre de plus pour cette fic, un !! On espère que ça plaît toujours autant !
Et un grand MERCI à Miss-Tania, Laïka la Louve, Cacile, Pissenlit, Mina-Moon, Luna Unicorn, Linoa-Skywalker et Chii-chan pour leurs reviews.
Ayako und Mephie
PS : ce chapitre là a été franchement douloureux pour nous ! Nos pauvres abdos… Vous n'imaginerez jamais tout ce qu'on a pu éviter aux persos… Mais finalement on a calmé nos ardeurs et voilà le résultat. Qui a dit : « elles sont bonnes pour l'asile ! » dans la salle ???
