Le samedi tant attendu, Harry était encore dans le dortoir à l'heure du petit déjeuner, seul, enfin presque...
Il a réussi à entrer ?! mais... tu fais bien de ne pas rester au château durant ces vacances !
On est très peu à le quitter en septième année, dit il en faisant croire son grand intérêt pour les examens, ...mais on m'a promis un endroit calme.
Harry... , soupira Hermione, es-tu sûr qu'il n'y a pas une autre raison qui te pousses à être heureux de fuir Poudlard ?
Oui... , avoua t'il doucement en perdant son sourire, Devis... celui de paille... m'a confié qu'il restait un traître dans la tour Griffondore, avant de périr...
Peux-tu vraiment avoir confiance en lui ? c'était une création de Voldemort, il t'a peut-être dit cela pour te mettre dans la confusion, ce ne serait pas étonnant...
Je sais ! coupa t'il d'un ton las, mais une chose plaide pour lui, il n'a pas put révéler Briséis à son maître. Je n'en ai parlé que dans notre dortoir, dans lequel il n'est jamais entré. Et surtout... surtout... il semblait plus sincère que plusieurs de mes compagnons !
Harry... tu risques des années d'amitié en...
Hermione ! s'écria t'il, rassure toi, je ne tuerai ni Ron, ni quiconque d'autre que Voldemort, mais maintenant je dois y aller! Bonnes vacances et ne te fais pas autant de soucis.
Sur ce Harry rangea dans sa malle son petit miroir et descendit directement dans le grand Hall. Un autre adolescent attendait une calèche pour le conduire à la gare de Près-au-lard.
Potter ! alors tu ne restes pas pour les deux semaines de révision intensive ?!
Non Malfoy ! je quitte le collège pour Pâque comme tu le vois, ...vivant en plus !
Pas faute d'avoir essayé, souffla t'il, tu crois vraiment pouvoir te cacher du seigneur des ténèbres ?
Je l'ai rencontré plus souvent que ton père et j'ai eu moins de problème que lui...
Tais toi ! coupa t'il en perdant son calme, tu ignores de quoi tu parle.
Les Malfoy ne sont pas vraiment appréciés par le lord noir et ça je peux te le jurer...
Je t'ai dit de te taire ! coupa t'il de nouveau avant de se tourner avec un visage hypocrite vers Mrs. McGonagall tout juste arrivée, Madame ! aurons nous la compagnie de Pansy Parkinson durant ce voyage ?
Comment puis-je le savoir elle n'est pas dans ma maison ! rétorqua t'elle.
Voyons ! tous les Serpentard savent bien qu'elle passe toutes ses vacances chez les Griffondores, aux plus grandes peines de sa famille, d'ailleurs le professeur Dumbledore ne devrait pas dédaigner les lettres de celle-ci, et mon cousin et très chagriné par son absence.
Vous semblez beaucoup vous intéresser à elle ?! fit elle remarquer.
Bien sûr ! elle fera bientôt partie de ma famille ! répondit il en prenant place dans la première calèche tandis que les quelques autres étaient prises par des étudiants plus jeune.
Que voulait il dire à propos de Pansy ? demanda Harry une fois Malfoy à une bonne distance, était-ce elle qui fut abritée dans le dortoir des filles ?
Je ne peux pas vous confirmer cette information, dit elle d'un ton froid avant de baisser sa voix, néanmoins il faut que vous sachiez que pour de nombreuses familles, garder un sang pur dans leur ligné est une priorité, or les choix pour des prétendants correspondants à ce critère est des plus en plus serré. Cela n'arrange guère les jeunes femmes qui ont l'âge de se marier à trouver un aspirant qui les conviennent, les familles entrent donc vite dans le choix.
Vous voulez dire qu'il y a des mariages forcés et que Pansy...
C'est vous qui faites cette déduction, coupa t'elle, mais je n'irai pas jusqu'à le nier !
Je comprends désormais la hargne des filles à la protéger ! lança t'il en tentant de s'asseoir.
Inutile M. Potter ! votre calèche personnelle est avancé, dit elle en indiquant l'aigle qui était perché dessus.
Cette voiture le conduisit jusqu'au portail Nord, où l'attendaient Fred et George au volant de la fameuse Jaguar, sur laquelle Rouscov reprit sa forme naturelle.
Salut ! lança Georges en secouant nerveusement sa main.
Comment votre mère a t'elle accepté que vous me protégiez ? interrogea t'il en scrutant les deux frères de bonne humeur.
Ils lui ont promis d'arrêter de fumer, expliqua Rouscov.
En route Harry ! s'écria Fred.
Mais où allons-nous ?
Oh ! tu ne seras pas dépaysé ! répondit George.
Comme à ses habitudes, le véhicule démarra au quart de tour dans un « Boom », laissant défiler à toutes vitesses le paysage de la campagne et du printemps retrouvé. L'atmosphère était l'une des plus légères qu'il n'ait eu à supporter depuis bien longtemps. Il ne s'étonna même pas de voir réapparaître devant lui le mur de brique qui indiquait l'entrée de l'arrière de Traverse !
Re-bienvenu chez nous Harry ! clamèrent en duo les jumeaux.
On ne va pas te mentir en disant que personne d'autre n'est censé savoir que nous sommes là, rajouta assez vite Rouscov !
Ça veut dire que je suis privé de sortie ? demanda Harry avec une certaine appréhension.
Non ! Il suffira de prendre quelques précautions, je ne pense pas que quelqu'un tente de nous attaquer au beau milieu du chemin de traverse !
Harry retrouva ses marques dans le petit appartement des jumeaux qui semblait ne pas avoir été ranger depuis la dernière fois qu'il était venu, soit plus d'un an et demi. Mais l'endroit était plus que chaleureux, et cette atmosphère hilarante, sûrement due aux drôles de fumées qui remontaient de la boutique, les maintenaient dans une légère euphorie. Les taches étaient étonnamment bien organisées, les jumeaux donnaient tout leur temps à leur magasin de farces et attrapes, Harry épluchait ses manuels scolaires et Rouscov s'ennuyait en assurant la sécurité des lieux, ce qui le poussa à recommencer ses exercices culinaires, pour le plus grand regret de ses partenaires. Notre très cher héros consacrait la majeure partie de son temps à ses révisions mais ne pouvait pas s'empêcher de passer quelques heures à flâner dans les échoppes de la grande allée, dont celle des Weasleys, où leur petit pantin de bois avait doublé son autonomie de mots. Lors d'une de ses balades à proximité du Chaudron Baveur, une personne à l'aura antipathique lui fit signe de prendre un siège à sa table.
Miss Skeeter ! c'est toujours aussi étrange de vous rencontrer !
Cessez votre flatterie, répliqua t'elle avec son sourire carnassié, nous avons un marché à conclure !
Avez-vous déjà fait les recherches ? interrogea dans un murmure Harry.
Très intéressante cette histoire sur Briséis, une énorme arnaque pour retrouver une taupe, du joli travail.
Si c'est pour me dire ce que je sais déjà, je ferais mieux de repartir !
Doucement Harry ! reprit elle en lui empoignant le bras, j'ai bien un nom qui pourrait vous mettre sur la piste, mais... vous savez bien que le commerce de l'information est un troc comme les autres.
Très bien mais si ce nom ne m'apporte rien vous regretterez ce marché, rétorqua t'il, que diriez-vous du nom d'enfance du maître des ténèbres ?
Je dis que je ne vivrais pas assez longtemps pour recevoir le moindre prix journalistique !
Vous préférez peut-être la première prophétie qui me relit à Voldemort ?
Voilà quelques chose qui vaut le nom de Lady Nott, répondit elle gaiement.
Elle ?
Oui, elle n'a certes pas hérité du titre de lord de son défunt mari, mais bien des ces avantages, dont l'un est d'avoir accès aux comptes rendus des réunions interministérielles. A la différence des autres nobles de la communauté, les Nott ont toujours été de vigoureux partisans de Voldemort. Mais si elle est la plus retenue d'entre eux, Mélinda Nott laisse une partie non-négligeable aller dans les caisses de mangemorts reconnus.
Vous pensez que c'est elle qui a communiqué le secret de Briséis à l'autre camp ?
Si elle ne l'a pas dit, elle sait sûrement qui l'a fait ! conclut elle, parlons désormais de votre prophétie...
Harry ne s'attarda guère dans le pub, un peu trop fréquenté à son goût, et retourna juste après à ses exercices pour ses épreuves d'orales. Une bonne portion de la semaine se déroula sans qu'il mette le nez dehors, et pas seulement à cause de son travail, il ignorait encore comment se comporter s'il devait rencontrer Mrs. Nott au détour d'une ruelle.
Mais une journée vint lui faire oublier ce problème durant un moment, Rouscov devait partir une demi-journée pour une affaire aussi secrète que personnelle. Malgré sa conduite apparemment expansive, Rouscov n'avait jamais parlé vraiment de lui avant qu'il entre dans le conseil de l'ordre et pour quelle raison il s'était hissé aussi haut et vite dans l'élite de la magie. Mais sans répondre à ces questions, le mage à l'accent slave soutenait qu'il serait mieux qu'Harry et un des jumeau passe cette journée ailleurs pour éviter tout désavantage face à un hypothétique agissement des forces de l'ombre. C'est pour cette étrange raison qu'Harry se vit débarquer en compagnie de Fred, quelques rues plus loin dans un ancien hôtel particulier des années Art-Déco, dont la façade n'avait pas du être rénovée depuis sa création, mais qui abritait une poignée d'ateliers qui n'avaient rien à envier aux studios modernes. L'un d'eux appartenait à
Fleur ?! s'exclama t'il.
Heureuse de te revoir Harry, dit elle en lui faisant signe d'entrer mais gardant un regard affecté, toi aussi Fred.
C'est George...
Arrête de faire l'idiot, coupa t'elle, vous ne m'avez jamais eu avec ce tour !
Harry découvrait pour la première fois l'atelier d'une artiste peintre, les murs n'étaient plus aussi blanc qu'à leur inauguration, des taches de peinture étaient parsemés un peu partout, de grands tableaux cohabitaient avec des cadres vides et des croquis inachevés. Au cœur du salon, un espace vide n'était occupé que par un chevalet et sa toile posée dessus, sur laquelle un paysage toujours dépourvu de sol grondait déjà d'un orage.
Dis-moi petit tu t'intéresses à la peinture ? demanda une voix bien plus grave à la droite d'Harry.
C'est vous qui avez dit ça ? s'étonna t'il devant un buste en argile encore flexible.
Bien sûr que c'est moi ! qui veux-tu que ce soit ? déclara t'il avec une expression vexé, je suis tout de même Uri Blaza ! vu ton accent tu as du étudier à Poudlard toi !
Oui, j'y suis encore...
Tu dois donc connaître mes œuvres !
Pourquoi, vous êtes... vous étiez peintre ?
Demanderais-tu à Mozart s'il était musicien ?!
Oui, si je parlais à sa statut en terre glaise !
Il coupa vite court à sa discussion avec la sculpture, bien plus mégalomane que l'original selon Fleur, et se concentra de nouveau sur son hôtesse. Elle semblait se donner beaucoup de mal pour ne pas paraître accablée, par l'absence de Bill, devant Harry et Fred, qui ne savaient plus vraiment quoi dire pour tenter de la réconforter.
Et s'il est déjà...
Il ne l'est pas ! coupa Harry, ne pense pas ça Fleur !
Comment ne pourrais-je pas penser au pire ?
Un ! Bill a bien plus de valeur vivant, et de deux, s'il lui fait le moindre mal, il devra me le rendre aux centuples.
Mais..., marmonna t'elle, il n'a plus besoin de lui...
Faux ! dirent en chœur Harry et Fred.
Il n'a jamais compris ni ressenti le moindre amour, continua t'il seul, il a donc besoin de comprendre ce sentiment, ses avantages et ses points faibles. En ça un jeune marié est le candidat parfait.
Il finira par ne plus...
Pas avant qu'on ne le retrouve ! tonna Fred, rassure-toi on est sur une piste.
Fleur resta aussi perplexe qu'Harry sur cette dernière affirmation, mais retrouva, du moins en apparence, un certain sourire. C'est ainsi que cette journée passa, avec un déjeuner bien plus agréable que ceux de M. Dumas. Harry crut même peu avant de partir, avoir entendu une vieille voix familière sous un drap cachant un tableau, « mais tout ce qui est caché chez un artiste l'est pour de bonnes raisons » lui souffla Fred, il accepta également avant de sortir de laisser une de ses pensées retirée par sa baguette sur sa tempe dans une fiole qu'elle lui tendit.
Le retour sur le chemin de traverse ne posa aucun trouble, ils trouvèrent sans surprise Georges et Rouscov déjà près à dîner. Mais à la différence des autres jours, ils avaient gardé leur veste et étaient comme sur le départ.
Mangez vite, on a rendez-vous à la Tarentule dans moins d'une demi-heure !
Comment ça « on » ? s'écria Fred, on ne va pas emmener Harry dans l'allée des embrumes, pas en cette période !
Mondigus Fletcher a des information sur les Furies, répondit Rouscov en avalant une bouchée.
Et il se sent épié, et pour cause si ses révélations sont aussi importantes qu'il le dit, on pourrait...
Retrouver Bill et ma... reprit Rouscov avant de s'arrêter.
D'accord, mais ça ne justifie pas de risquer la vie d'Harry, rétorqua Fred.
Mais on ne va pas la risquer du tout, relança son frère en posant sur la table plusieurs pots de pommades aux couleurs repoussantes.
Ah ! excellente idée George ! s'exclama t'il plus joyeusement en se tournant vers Harry, cela te tente de visiter le cœur de l'allée des embrumes, sans être reconnu ?
Marcher et entrer dans un établissement sans que tout le monde me dévisage et ne soit pas naturel avec moi ? même si c'est dans le quartier le plus malfamé, je saute sur l'occasion !
Les jumeaux descendirent Harry dans leur arrière boutique, où ils le relookèrent entièrement, laissant ses T-shirts et jeans au vestiaire, pour un pantalon bien plus à sa taille et un manteau en cuir qui l'aurait fait passé pour un adepte gothique ou punk dans une autre occasion, puis vint la séance de maquillage elle-même, qui grâce à une crème à la délicate senteur de limaces, lui fit pousser une barbe respectable pour un trentenaire, aussi noir que sa chevelure. Le plus complexe fut d'abord de mettre le nombre parfait de gouttes dans ses yeux pour leur rendre momentanément une vue parfaite et changer leur couleur, puis le plus essentiel se réalisa grâce à une pâte grisâtre, qu'Harry aurait acheté en pot de vingt, car elle effaça en moins de deux secondes sa plus lourde marque d'enfance. En effet son éclair qui déchirait son front s'était estompé pour plusieurs heures selon George.
Une fois les quatre jeunes hommes prêts, ils se rendirent directement au pub le plus mal fréquenté de Londres, sans ralentir devant les individus peu recommandables qui sillonnaient l'allée des embrumes.
A son entrée dans l'établissement, Harry crut être attaqué par une horde de chaussettes sales invisibles, tellement l'odeur de soufre embaumait la pièce, comme au fond d'un vieux chaudron. La lumière par contre n'éblouissait guère les lieux, abandonnant la majeure partie des gens dans une pénombre recherchée.
Le bar en lui-même ne s'étendait pas en largeur mais était bien plus garni que tout ceux qu'avait bien pu voir Harry, il n'aurait manqué peut-être que des bierraubeures pour entrer dans la caricature du bourg perdu pour sorcier maléfique. Loin de ne servire que des boissons, un grand nombre de mage aux allures plus ou moins débauchées s'étaient croupis au fond, fumant et ingérant d'étranges potions bien loin de celles étudiées à Poudlard. L'air hébété, épuisé et extatique de ces gens détruit physiquement lui rappela l'un des reportages qu'il avait vu au 4 Privet Drive sur ces « pourris de junkies » comme disait son oncle, toujours prêt à insulter ceux qui n'avaient pas réussi ou avaient été écrasés par la vie.
George restes avec Harrr..... Harper, trouva enfin Rouscov, prenez une table pendant qu'on va chercher à boire et voir si notre ami est déjà arrivé !
Ne tardez pas trop !
Tandis que Fred et le sorcier de l'ordre s'enfonçaient dans un chemin derrière le bar, et que George choisissait des places libres, Harry croisa le regard d'une des femmes accoudées aux éclairages en forme de champignon hallucinogène, qu'il ne reconnut pas tout de suite.
Une connaissance Harper ?
Je crois bien que oui ! mais pas l'une des miennes, je l'avais vu discuter avec Percy l'an dernier, enfin... plutôt se disputer !
Percy ?! monsieur règlement fréquentant une jempster !
Jempster ?
Des sorciers dont la vie n'est plus aussi rose que dans les comptes de fées ! ils sont vraiment dépendants, accros à des breuvages qui mettraient KO un troll des cavernes, ils peuvent rester des jours dans un état de transe après un de leur essai, rien à voir avec ces toxines moldues.
On ne peut pas les aider ? demanda t'il en regardant de nouveau la jeune femme.
Je l'ignore, j'ai vu une fois l'un d'entre eux en état de manque et c'est un antagonisme surdimensionné avec leur sensation de plénitude.
Il faut qu'on aille lui parler... , chuchota t'il, un secret entoure Percy depuis un moment et elle peut peut-être nous...
On est ici pour autre chose, coupa George.
Oh ! non, nous sommes ici pour avoir des information et c'est bien ce que nous faisons ainsi, dit il en se levant pour la rejoindre.
Cette atmosphère glauque ne trahissait pas l'esprit du Pub, même si dans ce recoin, les chaises laissaient place à des tapis et des poufs rembourrés. Harry et son compagnon se vautrèrent aux côtés de la jeune femme à l'aire niais à cause d'une fumée rose qui sortait encore de ses narines.
Excusez moi mademoiselle... commença George.
Aaaaaaah se contenta t'elle de soupirait en attrapant sans tourner la tête la barbe d'Harry comme une sonnette d'alarme.
Ouille !!!!
... Connaîtriez vous un certain Percy Weasley ? reprit George.
Percy... , souffla t'elle, où est Percy ? ...où est Mélissa ?
Mélissa ?! s'étonna Harry en parvenant à libérer sa barbe.
Qui est Mélissa ? relança Georges en tentant de faire garder pied à cette femme.
Mélissa... ma... ma fille... je crois..., dit elle dans un souffle en basculant en arrière.
Quel est le rapport avec Percy ? persista George
Percy... Mélissa... où sont il ?... disait elle sans ouvrir ses yeux.
Percy serait son... ?
C'est possible si la maternité à St Mangouste à pour symbole un Pentacle Bleu, demanda Harry en examinant l'expression de George aussi idiot que les autres Jempsters.
On a une nièce ? expira t'il avant que la porte d'entrée ne regagne l'attention d'Harry.
Un homme à l'accoutrement fort élégant, aux petites lunettes de soleil et aux gants d'une blancheur laiteuse venait d'entrer en compagnie de deux sorciers aux allures sombres.
George, ne te retourne sous aucun prétexte, souffla t'il à son oreille, Pyrite vient d'entrer avec deux autres mangemorts.
Va y avoir de l'action ! rétorqua t'il en laissant la femme sans nom prendre un nouveau flacon qui fit changer ses pupilles de teint en passant par toutes les couleurs de l'arc-en-ciel.
