Chapitre 2 : une autre famille

Je suis dans un camion et je réfléchie sur ma vie. C'est rare que ça m'arrive, mais là je ressent le besoin de savoir où j'en suis.

Alors tout à commencé le 8 Septembre à l'âge de mes 3 ans. Je m'étais réveillée en sursaut cette nuit-là, j'avais entendue le bruit d'une porte qui s'ouvre. Je ne m'étais pas trompée. C'était mon père qui avait ouvert ma porte de chambre. il avait un bras lever au-dessus de sa tête avec dans la main. un poignard. C'est là que la peur, immense et cruelle, m'avait envahie. Je ne me souviens plus comment, mais j'avais réussit à m'enfuir. Je ne m'étais arrêtée de courir que lorsque j'étais arrivée à l'aéroport de Londres en Angleterre, à quelques pâtés de maison seulement de chez moi. Les employés me connaissent assez bien et tous avaient peur de mon père. Donc quand je leur ai dit qu'il voulait me tué, ils m'ont fait monté dans un avion illico pour le Canada.

J'ai échoué au Québec, dans une famille riche. Ma mère m'avait retrouvé assez rapidement. mais elle connaissait mon père et à demander à la famille si elle ne pouvait pas s'occuper de moi. Ils ont accepté et m'ont adoptée légalement. Je me suis mise à l'appeler maman parce qu'elle avait la même douceur dans le regard que ma vrai mère avait. Là bas j'avais une s?ur et un frère. La jeune fille avait le même âge que moi et étais née le 12 février il y a maintenant dix-sept ans. Son nom était Cassiopée. J'adore de ce nom. Le garçon avait six ans et se prénommait Kenichi, mais je l'appelais Alex, je ne me souviens d'ailleurs plus très bien pourquoi. Tout deux étaient des enfants adoptés, la mère étant stérile. Je suis restée avec cette famille jusqu'à la mort des deux parents. Il y a onze ans. Nous venions d'arriver au Japon. Sur tout les passagers qui sont descendu de l'avion nous étions cinquante à entré dans cet autobus, et seulement trois à en sortir en vie. Moi, mon frère et Cassiopée, deux enfants de six ans et un de neuf ans. Nous avons tous été rapatrié par avion au Canada. Là bas j'ai perdue toute trace de « ma famille » si je peux les appelé comme ça.

Après dix-huit famille d'accueil on a retrouvé la trace de ma mère biologique, malheureusement, elle venait de mourir des suite d'un cancer du c?ur. L'on m'a tout de même renvoyé en Angleterre pour vivre avec mon père. C'était il y a deux ans. Après avoir fait changer mes vêtements normaux pour des vêtement noirs, l'on m'a déposé devant le salon funéraire et ils sont parti. Lorsque je suis entrée mon père m'a demandé ce que je faisait là et je me suis mise à crier. Une dame âgée m'a demandée pourquoi et je me suis mise à dire d'une voix d'enfant en pointant mon père : « Il veut me tuer avec le grand couteau. » Je l'ai répété jusqu'à ce que l'on fasse sortir mon père. La vielle dame m'avait reconnue grâce a ma ressemblance avec ma mère. Mon père fut donc arrêté pour tentative de meurtre sur une enfant de trois ans.

Depuis je change encore de famille sans arrêt. Sauf qu'au lieu de me diriger vers des familles étrangères, je passe d'oncle en tante et ainsi de suite. Pour dire vrai, j'ai fait plus de familles d'accueils que j'ai eu d'ami. Et j'en change encore. C'est la vingt-neuvième depuis ma naissance. Ça fait beaucoup, beaucoup trop. Je suis séparée de mon frère et de Cassiopée les deux seule personnes qui compte pour moi et je ne sais pas où je vais.

J'oubliais de me présentée... Mon nom est Eldalöté. J'ai les cheveux bruns moyen très longs et les yeux pairs. Selon le patron de l'agence de mannequins, où je travaille, je suis belle, élancée, . Mais bon, quand ce gars cessera d'être un obsédé, je vous préviendrai... Dernièrement j'ai fait la première page d'un magasine de mode réputé. Inutile de dire que j'attire l'attention. Mais je n'en veux pas. Je ne veux pas de tout ces gens qui disent m'aimé, de ces gens qui pense que parce qu'ils ont une signature, ma signature, qu'il mérite de l'attention. C'est idiot.

Bon, je vous ai parlé de mon travail... Vous devez sans doute vous demander si je vais à l'école, après tout, je n'ai que seize ans... Je fini mon lycée cette année. J'ai sauté ma troisième année au primaire.

D'accord, j'ai un casier judiciaire... En fait les compagnie de programmes informatiques, comme Microsoft, Software et les autre, ont eut quelque petits problèmes... disons que leurs programmes et leur disques durs ont, comment dire, planté, pour rester polie. Les ordinateurs du Pentagone aussi d'ailleurs... c'est à cause de ce bogue que j'ai un casier judiciaire, faut tu être vaniteux ! Ben quoi ! Je bogue le système de plus de réseaux informatiques que je peux en compter mais dès que je m'attaque au Pentagone, ou plutôt au États-Unis car la maison blanche y est passée aussi, y faut qu'ils me recherchent...

Malgré le fait que je gagne plus d'argent que la plupart des familles d'accueil où je suis resté, le gouvernement, a décidé de me punir en m'obligeant à rester dans une famille d'accueil jusqu'à mes dix-huit ans. Pour moi c'est comme si l'on m'enlevait ma liberté, alors je ne vous dirai pas à quel point le système informatique du gouvernement Américain y a passé... Ils n'ont pas dût aimé... Mais cette fois-là, ils ne m'ont pas retrouvé.

Je sais que je ne suis pas comme les autres. Je peux respirer sous l'eau, je vous jure. Hey, arrêtez de chercher des ouïs, je n'en ai pas. Mes poumons font tout le travail. J'adore l'eau et plus particulièrement les vagues. J'adore le surf et encore plus le Pipe Line. Les plus grosse vague du monde. On les trouve à Hawaii. Une très belle place...

J'ai souvent changé de famille à cause de mon animal domestique qui me suit partout depuis que j'ai fêté mon huitième anniversaire. Il s'agit d'un loup albinos du nom d'Apollon. Il est encore a demi-sauvage et il fait peur à tout le monde.

Bon, je suis arrivée, la maison est assez belle. Oh, non... il y a un garçon. S'il est comme celui de mon ancienne famille, je le bâillonne et l'enferme dans une garde-robe. Tiens, il y a aussi une fille. elle doit avoir dans les dix-sept, dix-huit ans.

Homme - Alors, bienvenue. Eldalöté- Merci... Homme - Mon nom est Fudjitaka. Suis-moi, je vais te montrer ta chambres. Est-ce que tu fais des activités spéciales. Eldalöté- Je part dans le sud au mois de février du 1 au 28, pour cette année. Fudjitaka - Quel pays ? Eldalöté - Hawaii ! Fudjitaka - Pourquoi ? Eldalöté - Pour le Pipeline. J'y vais tout les ans.

Le garçon et la fille n'ont pas encore prononcé un seul mot. mais je sens qu'ils ne vont pas tardé à l'ouvrir

Garçon - Déjà arrivée et tu prévois déjà partir ? Eldalöté - Tu as fait combien de familles ? Garçon - Je n'ai jamais quitté celle-là. Eldalöté - Tu as un retard de vingt-neuf sur moi. Quand tu seras rendu là, tu me préviendra et on en reparlera. Fille - Touché... coulé... hahaha...

Je viens de faire ce que je fais toujours, attaquer avant d'être blesser. Je sais que de se cacher derrière une expression neutre n'est pas la meilleure solution, mais c'est la seule pour éviter d'avoir trop mal. Si vous auriez vécue à ma place vous le sauriez.

La discussion s'arrête là. Après que j'aie rendu l'autre débile incapable de dire un mot de plus. Il me montre ma chambre. Elle a une vue sur l'océan. Hé oui, je suis tombée sur une famille qui vit à quelques mètres seulement de la plage. Pour rajouter à ce miracle, le père a l'air d'aimer les ados... C'est un bon point, surtout si on regarde le fait qu'ils n'ont encore rien vu... C'est parce que le paquet de nerf que je compose en a dedans... Il y a aussi une fenêtre qui forme un cercle. Un sorte de balcon entouré de fenêtres avec le plancher sur-élevé, si vous voyez ce que je veux dire...

Si ce n'était pas de ce garçon de tout à l'heure, je me plairais bien ici. Mais s'il ne me laisse pas vivre comme bon me semble, il va avoir de mes nouvelles... J'ai comme l'impression qu'il ne va pas aimé.

Garçon - J'ai le sentiment qu'on est parti du mauvais pied... Eldalöté - Ton sens de l'observation est très aiguisé, bravo... Désolée, en fait non, je ne suis pas désolée, je veux que mes affaires soit sorti des boîtes avant souper alors, dehors ! Fille - Mon nom est Sakura, celui que tu sembles détester c'est Toya. Si tu veux je peux t'aider... Eldalöté - Moi c'est Eldalöté et merci Sakura, mais j'aime pas qu'on touche à mes affaires. Sakura - Le souper sera servi dans une heure et demi, tu crois être prête ?

Eldalöté - T'inquiète, je vais être ok !

Tiens, la fille a le même caractère que ma grande s?ur, je sens que je vais beaucoup l'aimé... Ne t'attache pas Eldalöté, tu sais que ça tourne toujours mal ce genre de chose !

Bon, rangeons, les meubles sont jolis, mais les couvertures, beurk ! Une chance que j'ai les miennes. J'adore cette vue sur l'océan. Je n'ai pas grand bagages... ça ne sert à rien de toute façon. À l'habitude je reste, au maximum, huit mois dans une famille, puis je déménage encore.

Après avoir sorti toutes mes choses des cartons et après les avoir balancé dans les poubelles, je regarde le résultat. Sur le rebord de la fenêtre en demi-lune, on avait posé, avant mon arrivée, plein de petits coussins bleu nuit et blancs, les couleurs que je préfèrent. J'ai mit tout les coussins du même côté et de l'autres j'ai placé mon ordinateur portable. un petit bijou de technologie bleu et blanc. La couette, celle que j'avais avec moi, du lit est blanche et des coussins aux teintes de bleues différentes ornent le lit. Sur le sol est placé un tapis de poil blanc qu'Apollon a déjà investi. Les meubles fait d'un bois de couleur pâle, tout comme le lit, sont placé ici et là dans la pièce. Sur le bureau de travail se trouve une lampe aussi de couleur bleu. J'y ai placé mon journal intime et quelques livres. Les mur ont été séparé en deux sur le sens de la longueur par un bordure de bois de la même couleur que les meubles. La partie du bas est bleu et celle du haut blanche. Sur tout les meubles ( deux bureaux pour mon linge, une table de nuit, le lit étant collé sur le mur, un bureau de travail, un coffre au pied du lit et bien sûr le lit), sauf le lit et le bureaux de travail j'ai placé de chandelles blanches. Pour finir, une seule photo ornait ma table de nuit. On aurait dit que la chambre sortait d'un magasine. Mais j'aime bien le résultat. Ils ont dût se renseigner sur mes goût pour les couleurs. enfin peut importe.

Je crois que je vais me sentir bien ici. Ce serait bien la première fois depuis que je suis séparée de ceux que j'appelle grand-frère et grande- s?ur. Je suis contente de ma nouvelle famille.