Chapitre 5 : envois spéciale de l'Angleterre
La semaine avait passée comme cela... Moi en train d'envoyer paître les deux idiots de Li, a réconforter Sakura ou a éviter les conflits... Disons juste que la fin de semaine était la bienvenue. C'est fatiguant et en plus Mélodie demeure introuvable.
Le dimanche matin vers midi, bon d'accord... c'est plus proche de l'après- midi, mais bon... mon téléphone cellulaire sonna. Cela me prit environ une dizaine de minutes à le trouver... Le matin, je suis à un rythme ralenti, sauf quand je suis en retard, alors il faut pas trop rêver de me voir lever avant au moins onze heures... ^^ '... faut dire que le fais que j'ai vécus plus de la moitié de ma vie au Québec, au Canada, n'aide pas. Quoi qu'il en soit je réussi finalement à mettre la main sur cette chose qui émet un bruit si strident.
Eldalöté -Oui, quoi ? Eriol -Pas de bonne humeur ma charmante cousine en de si bon matin. Eldalöté -Tu m'as réveillé pour me dire ça ? Eriol -Non... c'est que Beauté pose de gros problème en Angleterre et qu'elle est en chemin pour le Japon. Elle sera ici dans une heure. Eldalöté -Tu peux pas t'en occuper... Eriol -Non, il faut que tu signe les papiers et que tu t'assures qu'elle n'est rien. Eldalöté -Tu viens me chercher je suppose. Eriol -Je suis là dans une demi-heure, bye.
Je n'ai pas le temps de répliquer qu'il me raccroche au nez. Non mais je ne vois pas le fun d'envoyer un cheval faire un voyage de centaines de kilomètre pour arriver le dimanche de bonne heure. Bon... s'habiller... Quoi mettre ?
Je fouillais dans mes tiroirs, Je sorti un chandail bleu marine avec écrit à la hauteur de la poitrine « I'm no more an angel ! » (pour ceux qui ne parle pas anglais ça veut dire : « je ne suis plus un ange » et des jeans baggies bleu. Je cherchai quelque minute pour trouver de bas. C'est normal vu que j'était arrivé seulement sept jours plutôt et le fait que j'étais levée depuis seulement dix minutes me surpris doublement. Quoi qu'il en soit, je tressai mes cheveux et me préparer mentalement à affronter cette nouvelle journée
Je descendis les escaliers d'un pas lent. C'est seulement rendu à la cuisine que mon estomac se mit à crié famine bruyamment.
Eldalöté -Mais oui mon coco... je vais te nourrir.
Toya a l'envie de répliquer clairement écrit dans les yeux. Mais la peur du placard est encore trop présente dans son esprit. Qui ne serait pas de son avis. Sakura émit un faible ricanement à la vue de son frère. Elle n'a pas dût voir ça tout les jours. L'amusement est loin d'être invisible dans les yeux du père. C'est fou comme il est facile de lire en eux comme dans un livre. Pour moi c'est comme s'ils sont fait de verre. En fin, façon de parler. Même s'ils veulent se cacher, il sont transparent à un œil averti. Moi je me suis entraînée. Alors je le vois très bien.
Qu'est-ce que je peux bien mangé ? Des biscuits ? Ouais ça serait bien. J'ouvre le garde-mangé. Chose que je fais assez rarement. En moyenne je dîne et je soupe et c'est tout. J'ai rarement faim, j'ai un très bon estomac. Je prends une poignée de biscuits et sort de la maison en entendant un klaxon m'appeler... je hais cette façon de demander à une fille de sortir de la maison...
Non mais... j'ai beau avoir un caractère de chien, c'est pas une raison pour me raccrocher la ligne au nez où pour me klaxonner. J'oublie de prévenir la famille., pas pour longtemps... je retourne à la maison et leur cri que j'ai un problème à régler avec le clan et je rentre dans la limousine.
Nous arrivons à l'aéroport une demi heure plus tard. J'avais déconseillé à Ériol de parler dans la limousine, et ce, par un simple regard.
À l'aéroport je vois que l'avion à atterrit et qu'il essaient vainement de retenir Beauté. C'est une jument que j'ai prise sauvage il y a environ trois ans alors que j'étais en visite au Canada. Dans les prairies pour être précise, où, je ne sais pas trop, dans une petite ferme perdue.
---- flash back ----
Nous sommes dans une petite ferme du Manitoba, un petit coin perdu où je connais personne, un enfer sur terre. Je regarde par la fenêtre, le Québec ma manque. Mais je m'en sors, je m'en suis toujours sortie. C'est là que je vois une jument sauvage. Elle me fascine complètement.
Femme -Elle est belle hein ? me dit la femme. Eldalöté -Oui, elle est magnifique. Je suis surprise qu'elle soit encore sauvage. Femme -Bien des gens on voulu la dresser... Mais elle a été battue jusqu'à l'âge de un an et depuis un peu moins d'un an elle est en liberté. Elle s'est sauvée. De toute façon, juste une personne pourra peut-être un jour l'approcher. Eldalöté -Qui ça, et pourquoi une seule ? Femme -Parce que les Appaloosa, ceux de sa race, ont été élever pour leur force et leur rapidité. Mais aussi et surtout pour leur intelligence. Nous avons découvert qu'ils n'ont qu'un véritable maître, un seul qu'ils vont vraiment aimé. Mais cette jument est vraiment difficile et personne ne peut l'approcher sans se faire blesser. Bon je vais te laisser.
Bah... qu'est-ce qu'il lui prend de me dire ça comme si elle s'adressait à un bébé ? Je m'emmerde ici... pas le droit de faire si, pas le droit de faire ça... Je vais me promener... oui, c'est ça, je vais dehors.
Je marche lentement. Je hais me dépêcher, c'est malsain. Du moins, pour moi. Je ne me dépêche que lorsque j'en ai envie, ce qui déplaît énormément au conseil. J'ai l'impression de me faire suivre, je vais me retourner lentement, comme pour ne montrer aucun signe d'agressivité, si cette personne me saute dessus, je la massacre, ça va me faire passer le temps... C'est ça.
Je me retourne doucement, sans faire aucun mouvement brusque. C'est là que je me rencontre que ce qui me suis n'est pas un homme, ni un loup, ni un coyote, mais la jument sauvage. Elle me suis au pas, comme un chien suis son maître. Je pense que le soleil de midi me joue des tours. Mais si je réussi à la toucher, je saurai si c'est un rêve ou non. Je m'approche tranquillement, et lui montre l'intérieur de ma main grande ouverte. Elle met son nez dedans, ce qui me chatouille un peu et qui me fait rire. Alors la jument se rapproche encore un peu et met sa tête sur mon épaule, elle est magnifique.
Je lui demande si je peux monter sur son dos. Elle fait signe que oui et se couche, comme pour me permettre plus facilement de monter. Je l'adore déjà. Un coup sur son dos, elle se lève tranquillement, comme pour me laisser m'habituer au mouvement. Je prends sa crinière à deux main et donne des becs dans le vide. Ce qui a pour effet immédiat de la faire avancer. Je la ramène au ranch où nous sommes logés.
---- fin du flash back ----
La figure qu'a fait la propriétaire du ranch quand elle m'a vu sauté de son dos et la caresser. Comme si elle n'avait jamais été sauvage. Mais elle ne laissait que moi l'approcher. Maintenant, elle est moins pire, mais il n'y a que moi qui peut la monter ou la déplacer sans danger. Les autres doivent lui injecter des calmants. Et maintenant j'allais pouvoir la remonter après un an...
La semaine avait passée comme cela... Moi en train d'envoyer paître les deux idiots de Li, a réconforter Sakura ou a éviter les conflits... Disons juste que la fin de semaine était la bienvenue. C'est fatiguant et en plus Mélodie demeure introuvable.
Le dimanche matin vers midi, bon d'accord... c'est plus proche de l'après- midi, mais bon... mon téléphone cellulaire sonna. Cela me prit environ une dizaine de minutes à le trouver... Le matin, je suis à un rythme ralenti, sauf quand je suis en retard, alors il faut pas trop rêver de me voir lever avant au moins onze heures... ^^ '... faut dire que le fais que j'ai vécus plus de la moitié de ma vie au Québec, au Canada, n'aide pas. Quoi qu'il en soit je réussi finalement à mettre la main sur cette chose qui émet un bruit si strident.
Eldalöté -Oui, quoi ? Eriol -Pas de bonne humeur ma charmante cousine en de si bon matin. Eldalöté -Tu m'as réveillé pour me dire ça ? Eriol -Non... c'est que Beauté pose de gros problème en Angleterre et qu'elle est en chemin pour le Japon. Elle sera ici dans une heure. Eldalöté -Tu peux pas t'en occuper... Eriol -Non, il faut que tu signe les papiers et que tu t'assures qu'elle n'est rien. Eldalöté -Tu viens me chercher je suppose. Eriol -Je suis là dans une demi-heure, bye.
Je n'ai pas le temps de répliquer qu'il me raccroche au nez. Non mais je ne vois pas le fun d'envoyer un cheval faire un voyage de centaines de kilomètre pour arriver le dimanche de bonne heure. Bon... s'habiller... Quoi mettre ?
Je fouillais dans mes tiroirs, Je sorti un chandail bleu marine avec écrit à la hauteur de la poitrine « I'm no more an angel ! » (pour ceux qui ne parle pas anglais ça veut dire : « je ne suis plus un ange » et des jeans baggies bleu. Je cherchai quelque minute pour trouver de bas. C'est normal vu que j'était arrivé seulement sept jours plutôt et le fait que j'étais levée depuis seulement dix minutes me surpris doublement. Quoi qu'il en soit, je tressai mes cheveux et me préparer mentalement à affronter cette nouvelle journée
Je descendis les escaliers d'un pas lent. C'est seulement rendu à la cuisine que mon estomac se mit à crié famine bruyamment.
Eldalöté -Mais oui mon coco... je vais te nourrir.
Toya a l'envie de répliquer clairement écrit dans les yeux. Mais la peur du placard est encore trop présente dans son esprit. Qui ne serait pas de son avis. Sakura émit un faible ricanement à la vue de son frère. Elle n'a pas dût voir ça tout les jours. L'amusement est loin d'être invisible dans les yeux du père. C'est fou comme il est facile de lire en eux comme dans un livre. Pour moi c'est comme s'ils sont fait de verre. En fin, façon de parler. Même s'ils veulent se cacher, il sont transparent à un œil averti. Moi je me suis entraînée. Alors je le vois très bien.
Qu'est-ce que je peux bien mangé ? Des biscuits ? Ouais ça serait bien. J'ouvre le garde-mangé. Chose que je fais assez rarement. En moyenne je dîne et je soupe et c'est tout. J'ai rarement faim, j'ai un très bon estomac. Je prends une poignée de biscuits et sort de la maison en entendant un klaxon m'appeler... je hais cette façon de demander à une fille de sortir de la maison...
Non mais... j'ai beau avoir un caractère de chien, c'est pas une raison pour me raccrocher la ligne au nez où pour me klaxonner. J'oublie de prévenir la famille., pas pour longtemps... je retourne à la maison et leur cri que j'ai un problème à régler avec le clan et je rentre dans la limousine.
Nous arrivons à l'aéroport une demi heure plus tard. J'avais déconseillé à Ériol de parler dans la limousine, et ce, par un simple regard.
À l'aéroport je vois que l'avion à atterrit et qu'il essaient vainement de retenir Beauté. C'est une jument que j'ai prise sauvage il y a environ trois ans alors que j'étais en visite au Canada. Dans les prairies pour être précise, où, je ne sais pas trop, dans une petite ferme perdue.
---- flash back ----
Nous sommes dans une petite ferme du Manitoba, un petit coin perdu où je connais personne, un enfer sur terre. Je regarde par la fenêtre, le Québec ma manque. Mais je m'en sors, je m'en suis toujours sortie. C'est là que je vois une jument sauvage. Elle me fascine complètement.
Femme -Elle est belle hein ? me dit la femme. Eldalöté -Oui, elle est magnifique. Je suis surprise qu'elle soit encore sauvage. Femme -Bien des gens on voulu la dresser... Mais elle a été battue jusqu'à l'âge de un an et depuis un peu moins d'un an elle est en liberté. Elle s'est sauvée. De toute façon, juste une personne pourra peut-être un jour l'approcher. Eldalöté -Qui ça, et pourquoi une seule ? Femme -Parce que les Appaloosa, ceux de sa race, ont été élever pour leur force et leur rapidité. Mais aussi et surtout pour leur intelligence. Nous avons découvert qu'ils n'ont qu'un véritable maître, un seul qu'ils vont vraiment aimé. Mais cette jument est vraiment difficile et personne ne peut l'approcher sans se faire blesser. Bon je vais te laisser.
Bah... qu'est-ce qu'il lui prend de me dire ça comme si elle s'adressait à un bébé ? Je m'emmerde ici... pas le droit de faire si, pas le droit de faire ça... Je vais me promener... oui, c'est ça, je vais dehors.
Je marche lentement. Je hais me dépêcher, c'est malsain. Du moins, pour moi. Je ne me dépêche que lorsque j'en ai envie, ce qui déplaît énormément au conseil. J'ai l'impression de me faire suivre, je vais me retourner lentement, comme pour ne montrer aucun signe d'agressivité, si cette personne me saute dessus, je la massacre, ça va me faire passer le temps... C'est ça.
Je me retourne doucement, sans faire aucun mouvement brusque. C'est là que je me rencontre que ce qui me suis n'est pas un homme, ni un loup, ni un coyote, mais la jument sauvage. Elle me suis au pas, comme un chien suis son maître. Je pense que le soleil de midi me joue des tours. Mais si je réussi à la toucher, je saurai si c'est un rêve ou non. Je m'approche tranquillement, et lui montre l'intérieur de ma main grande ouverte. Elle met son nez dedans, ce qui me chatouille un peu et qui me fait rire. Alors la jument se rapproche encore un peu et met sa tête sur mon épaule, elle est magnifique.
Je lui demande si je peux monter sur son dos. Elle fait signe que oui et se couche, comme pour me permettre plus facilement de monter. Je l'adore déjà. Un coup sur son dos, elle se lève tranquillement, comme pour me laisser m'habituer au mouvement. Je prends sa crinière à deux main et donne des becs dans le vide. Ce qui a pour effet immédiat de la faire avancer. Je la ramène au ranch où nous sommes logés.
---- fin du flash back ----
La figure qu'a fait la propriétaire du ranch quand elle m'a vu sauté de son dos et la caresser. Comme si elle n'avait jamais été sauvage. Mais elle ne laissait que moi l'approcher. Maintenant, elle est moins pire, mais il n'y a que moi qui peut la monter ou la déplacer sans danger. Les autres doivent lui injecter des calmants. Et maintenant j'allais pouvoir la remonter après un an...
