)) - - ( C a p s u l e . C o r p o r a t i o n ) - Chapitre Premier -
Le soleil était si chaud qu'on aurait dit une forêt tropicale et non le palais de Dieu. Je mis ma main sur ma tête pour pouvoir sentir la chaleur. Bouillant ! Je regardai encore une fois aux alentours... Je me retournai et je vit Dendé qui approchait. Je lui souris.
- Je suppose que tu aurais encore envie de rester ? dit-il tout bas.
- Bien sûr que oui ! lui répondis-je
Il me serra dans ses bras... Ah...! Cela fait tellement de bien que de savoir qu'une personne vous aime. J'allais m'ennuyer de lui presque autant que de Piccolo. Il était justement en train de parler avec Végéta qui devait m'attendre... Même si je n'avais que 15 ans, il allait commencer à me mener comme une bête de cirque. Comme Piccolo me l'avait expliqué, il n'y a que le combat dans la tête des Saiyens purs. C'est lorsque l'on me l'avait mentionné, quelques temps auparavant, que j'avais compris que j'étais anormale... Végéta détourna son regard vers moi, arrogant. Je fronçai les sourcils à mon tour, colérique et frustrée à l'idée de l'avoir comme mentor. Dendé me lâcha et je pu prendre mon sac à dos avec les quelques effets personnels qu'il contenait. Je marchai jusqu'à Piccolo. J'allais quitter l'homme qui m'avait sauvé.
- Tu en prendras soin j'espère ? demanda Piccolo, les yeux rivés vers le Prince.
- Calme-toi, j'ai des enfants chez moi... Je la traiterai avec le même respect, si elle ne décide pas de me montrer ses mauvais côtés, répondit Végéta, froid.
Piccolo fronça les sourcils.
Je le détestais ! Cet hypocrite de Saiyen... Si seulement j'avais eut la force... Non, le courage de lui tenir tête... Mais il avait raison. J'avais largement dépassé le niveau de Piccolo et il m'était dorénavant presque inutile de continuer mon entraînement à ses côtés si je désirais réellement progresser. Je pris la main du Namek et la serrai. J'avais envie de pleurer mais je n'en fis rien et ravalai mes larmes. Piccolo, lui, se restreint à me faire un sourire. Végéta essaya de me prendre par le bras mais je me dégageai.
- Je viendrai lorsque je serai prête ! ripostai-je, sèchement.
Il me fit un sourire provocateur. Je fulminais. Piccolo leva de nouveau les yeux vers le Saiyen et douta pour la millième fois de l'idée qu'il avait eut, celle de m'envoyer à Capsule Corporation. Il déposa sa main sur mon épaule, histoire de me calmer. Je baissai le regard et sentant le contact intime. Je me retournai vers le Namek et le pris dans mes bras. Et bien qu'il fut incertain de ce qu'il faisait réellement, Piccolo passa les siens autour de moi et me serra contre lui dans une étreinte pleine de compassion. Sans que je ne le sache, il était terriblement inquiêt à mon sujet. Comment aurais-je pu le savoir, alors que mon meilleur ami agissait comme s'il eut été dépourvu de panique et de désespoir ?
- Alors tu viens Tiny ? Je n'ai pas toute la journée...! dit le Saiyen impatienté.
Si seulement... J'hochai la tête. Il sauta en bas du palais et prit son envole. Je le suivie en faisant un signe d'aurevoir à Dendé et Piccolo. Je rattrapai rapidement Végéta.
- Que tu es lente...! me dit-il, toujours arrogant.
Végéta me regarda quelques instants, créature Saiyenne qui refoulait sa colère à la manière de Gohan contre Cell, et se dit qu'il jouait peut-être un peu trop avec le feu. Le Prince sourit. Jamais il n'avait eut autre élève que ses enfants... Il repensa à Trunks, jeune et un peu fénéant. Puis lui vint à l'esprit Bra. Il soupira, mais je ne l'entendis pas. J'étais trop concentrée à contenir toute cette aggressivité. Jamais je n'y arriverais à long terme ! J'allais craquer. Je le dépassai un peu, pour lui prouver que j'étais capable de faire concurrence avec lui. Mais contrairement à se que je voulais, il prenait tout ça en riant. Cela me rendait folle... Dire que j'allais être prise avec cet imbécile durant un bon bout de temps ! Végéta, bien qu'il aurait dû, ne sentait pas de haine pour moi. La chose l'étonna lui-même, car il se trouvait en compagnie d'une élève qui n'allait pas être de tout repos. Non, je ne serais pas paresseuse, ni faible. Cependant, il sentait en moi quelque similarité avec lui, ne fusse l'orgueil, la fierté ou un peu de tristesse que nous essayions de cacher malgré tout... Étrangement, Végéta s'attendrissait, compatissant à une survivante de son peuple...
Nous arrivâmes aux alentours de sa demeure quelques minutes plus tard. Étant toujours en tête, j'aterris avant lui et arrivai jusqu'à la porte de Capsule Corporation. Je lançai un regard derrière moi et le vis se poser. J'entrai.
Le spectacle qui s'offrait à moi était époustoufflant ! Tout était si grand ! J'étais émerveillée ! Je me sentis poussée vers la droite. Végéta passa à côté de moi, m'accrochant au passage. Il leva les mains dans les airs et dit...
- Voici mon domaine !
Je ruminai longtemps ce que j'allais lui répondre et optai pour quelque chose de...
- Est-ce que j'ai une chambre...?
Doux... quel sacrifice et gaspillage s'était, surtout à côtés de toutes ces belles paroles provocatrices que j'aurais pu lui rétorquer !
Le Saiyen descendit les bras et haussa un sourcil.
- Où penses-tu que tu vas dormir ? Sur le plancher ??!
Il rit de moi, un peu méchamment.
Végéta se moquait en fait de ma timidité... de ma trop grand politesse... de ma naïveté apparente, car il savait que je ne l'étais pas. En fait, le Saiyen ridiculisaient toutes ses choses qu'il n'avait pas, et qu'il doutait que je possédais véritablement.
Offensée, je lui répondis sur un ton sec:
- J'ai besoin de penser à la situation dans laquelle je m'embarque, si je vais réussir à ne pas mépriser mon nouveau mentor...
Je m'étonnai d'avoir dit une telle chose aussi ouvertement. Le Prince me fusilla du regard, lui-même étonné de sa remarque. Des mots lui brûlaient les lèvres, des mots blessants, ceux qu'il ne s'étaient jamais gêné d'utliser autrefois. Mais il n'arrivait pas à parler, peut-être pour la première fois dans sa vie. Végéta, l'héritier du peuple Saiyen, était incapable de répliquer quoi que ce soit de méchant à une adolescente Saiyenne de 15 ans un peu trop forte pour son age, Tiny.
Il ragea d'un coup. Je reculai d'un pas, comme il contenait cette fureur. Je bedouillai des excuses, surprise et un peu apeurée.
- Ta chambre se trouve au deuxième étage... Tourne à ta gauche et avance jusqu'au troisième couloir et ensuite ce sera la septième porte à ta droite, dans la partie bleue.
Il avait parlé si vite et j'étais si confuse que j'avais à peine compris le deuxième étage...
- Débrouille toi ! Moi je pars m'entraîner... Si tu as besoin de moi, je serai dans la salle de gravité... Si je ne suis pas là, tu n'y entres pas ! ordonna-t-il.
Il avait perdu son air fier. Il me concidéra encore un moment, puis il partit. J'avalai ma salive nerveusement... Euh... C'étais je crois... Quatrième couloir ?? J'apperçu un escalier que j'empruntai. J'arrivai devant au moins six corridors différents. Je montai encore...
Je mis près d'une demi heure à trouver la chambre en question. Histoire de me remonter le moral, j'imaginai Végéta, pendu au bout d'une corde, plein de couteaux plantés un peu partout sur sa carcasse et mangé par des corbeaux. Voila une scène qui me faisait drolement penser à la Ballade des pendus... Cependant, je n'eus pas l'effet désiré et commençai à me sentir coupable. Je me brassai la tête. Quelle mouche m'avait piquée ? Me sentir coupable pour mépriser un homme qui allait sans doute me faire vivre l'enfer ?
J'entendis des pas derrière moi. Je me retournai et pu voir une jeune adolescente d'environ quinze ans. Elle me souriait bêtement.
- C'est toi Tiny ? me demanda-t-elle.
Je la dévisageai, l'observant de la tête aux pieds. Mais la jeune fille gardait toujours son air heureux. Finalement, je balbutiai une réponse...
- Bien... Biensûr que c'est moi...
J'essayai de prendre un ton plus amical... J'étais très agressive depuis mon départ.
- Suis-moi... Tu as l'air perdue ! Je vais te mener jusqu'à ta chambre... me dit-elle d'un ton chaleureux.
Je ne répondis pas, de peur de dire des méchancetés. Non seulement, après trente minutes ne recherches, je n'avais pas trouvé le bonne chambre, mais je me sentais traitée comme une pauvre idiote. Je la suivis. Elle arriva devant une pièce où elle entra. J'y pénétrai aussi.
- Voilà ! Comment tu la trouves ?
Je mis du temps à répondre, observant la magnifique chambre. Celle-ci était de taille moyenne et bien décorée. On avait accroché un grand miroir au fond de la pièce et il y avait une belle et grande comode ainsi qu'un garde-robe qui s'étendait sur tout le mur en face de moi. Finalement, perpendiculairement à moi, un joli lit était posté, accueillant.
- Elle...Elle est très belle !... À qui ai-je l'honneur ? demandais-je en posant mon regard sur la jeune fille juste devant moi.
- Je suis Bra, la fille de Végéta. Je dois te laisser. Je suis désolée !
Je n'eus pas le temps de poser un mot qu'elle était déjà partie. J'étais rassurée que les enfants de Végéta ne soient pas comme lui ! Quel enfer ça aurait été... Je posai mon sac dans la chambre. Je m'assis sur le lit et jetai un coup d'oeil à mon reflet dans le grand miroir orné et bois de chêne. Un visage pâle et oval se présentait à moi. Il était décoré de yeux bleus, d'un nez droit ainsi que d'une bouche aux lèvres rosées et plutôt minces. Je tournai légèrement la tête et observai un instant mes cheveux courts en piques en arrière et plus longs en avant, tombant en pointes, encadrant mon visage d'une manière ascimétrique. Je baissai les yeux et vis un corps fort et bien fait, pas trop musclé, contrairement aux Saiyens mâles, mais en forme et puissant. Je détournai le regard de mon image et, encore un peu déboussolée, posai ma tête sur l'oreiller. Un plafond uniformément beige s'offrait à moi. Je clignai des yeux et soupirai, puis, ennuyée, sortie de la chambre...
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Quelques minutes passèrent. Puis, quelqu'un cogna à la porte de Capsule Corporation. Bra alla répondre. Sangoku se dressait devant celle-ci, arborait un de ces sourires naïfs mais chaleureux, thypique.
- Bonjour ! s'écria Bra enthousiasmée.
- Salut, répondit le brave Saiyen. J'ai entendu dire que ton père s'occupait d'une Saiyenne depuis peu. Et je... me demandais si je pouvais la rencontrer !
Bra resta surprise.
- Les nouvelles vont vites ! répondit-elle en riant.
En effet. Il n'y avait que trois quarts d'heure que j'étais là...
- Allons viens !
La métis fit signe à Sangoku d'entrer.
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Je fronçai les sourcils. Un être puissant venait d'entrer dans le batîment. Piccolo m'avait appris à détecter les forces. Sangoku souhaitait que je capte sa présence. Nous ne nous connaissions pas... pas encore. Et je me demandai de qui pouvait-il bien s'agir...J'haussai le épaules et continuai mes explorations. Je m'étais de nouveau égarée parmi tous ces longs corridors. Capsule Corporation comportait une multitude de chambres. Je ne les comptais plus... surtout après avoir dépassé le chiffre magique de 100. Au bout d'une demi-heure, le même temps qu'il m'avait pris pour rencontrer Bra et qu'elle me montre ma chambre, je commençai à être un peu fatiguée de marcher. Mais, même si j'avais voulus retourner à ma chambre, je n'y serais pas arrivée, et je ne le savais que trop bien.
Après quelques minutes qui me parurent presque aussi longue qu'une heure entière, je me cognai le nez à une porte celée qui menait à une pièce intrigante. Celle-ci était tout en métal. Il fallait un code pour l'ouvrir, composé de numéros. Juste au dessus du clavier se trouvait un petit écran digital.
- Favorite Position. Can you guess it ? -
Tels étaient les mots affichés en rouge sur un petit fond noir.. Je ris un instant, des pensées plutôt stupides trottant dans le fond de mon esprit. Je levai la main vers l'écran et ésitai quelques secondes. Il s'agissait sans doute de la salle qu'on m'avait interdit, la salle de gravité. Je baissai le bras.
Mais vous savez tous aussi bien que moi que dans n'importe quelle histoire, livre ou film qui se réspecte, le personnage principal fait toujours ce qu'il ne doit pas faire, n'est-ce pas ?...
Je pitonnai sur le clavier aux touches grises le nombre magique, celui de 69. Certaine que cela ne fonctionnerait pas, je décidai de continuer mon chemin. À quelques mètres seulement de la lourde porte, j'entendis clairement un déclique. Perplexe, je me tournai vers celle-ci et, à ma grande surprise, elle était ouverte. Je dois vous avouer avoir ris quelques instants. Impossible...!, me dis-je. La situation était cocasse, en effet.
Je m'avançai vers l'entrée de la salle. Je n'en revenais toujours pas... J'entrai et regardai tout autour.
Il s'agissait d'une grande pièce en forme de dome, une demi-sphère. Les murs étaient blancs, ainsi que le plancher. J'avançai jusqu'au millieu de la pièce. Je me tournai vers le fond de celle-ci. Puis, soudainement, je sentis non seulement un aura derrière moi mais quelqu'un m'empogner un membre... Ma queue ! Je restai figée... Non seulement par la surprise mais aussi par la peur... Qui étais-ce ? Que me voulait-il ? J'avallai ma salive nerveusement.
- Alors... On entre dans ma salle de gravité sans me le demander ? intérogea une voix pleine d'arrogance.
Je sentis la rage monter en moi mais je su la contenir. J'en tremblais presque ! Je dû serrer les points. J'étais plus que certaine que cet imbécile de Végéta souriait à cet instant ! J'aurais dû me méfier...
- Alors ? On a perdu sa langue ? me redemanda-t-il d'un ton provocateur.
- Lache-moi ! lui ordonne ai-je.
- Réponds ! cria-t-il.
Je ne rétorquai rien, ce qui le mit en colère. Je voulu me retourner mais il vit mon mouvement et il commença à serrer ma queue. Je sentis un pincement aigu partant de mon membre et allant jusqu'à ma colone. Et avant que je ne puisse réagir ou dire quoi que ce soir, je m'éffondrai par terre, incapable de bouger. Je tremblais de partout et ma respiration se faisait de plus en plus difficile... Des goutes de sueur recouvraient mon corps en entier. Pendant que j'étais paralysée, Végéta ricanait derrière moi... Sûrement fier de lui.
- Alors ?! On est mal prise maintenant ! dit-il, fier.
Végéta haussa un sourcil. Il resta lui-même surpris qu'un tour de passe-passe aussi facile puisse marcher sur une Saiyenne possédant autant de potentiel. Il repensa à Raditz qui lui non plus n'avait jamais appris à rendre sa queue insensible...
J'étais furieuse, clouée au sol. Puis le Saiyen s'impatienta de n'avoir aucune réponse de ma part. Il commença à hausser le ton, puis à crier.
- TU VAS M'ÉCOUTER OUI OU NON ?! JE VAIS TE L'ARRACHER TA QUEUE !....
Je sentis d'un seul coup mes énergies revenir... Sans doutes car ma colère dû éclater ou car j'étais à bout de nerfs de l'entendre. D'une raison ou d'une autre, je ne le suportais plus ! Je me sentais tellement vulnérable... et cela me rendait malade ! Au moment où il s'apprettait à me l'arracher, je me tournai face à lui et je lui infligeai un coup de pied entre ses deux jambes. Je pu entendre un petit cri aigu sortir du fond de sa gorge. Puis, il s'écroula à genoux, maudissant mon insolence, mais surtout son insouciance. Je me relevai et, pendant qu'il était toujours plié en deux, je le frappai derrière la nuque.... Il s'écroula part terre immédiatement, comateux.
Je poussai un soupir. Je me sentais un peu coupable de se que je venais de faire... Je quittai quand même la pièce en y laissant Végéta gisant sur le sol, toujours brûlante de colère.
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Seulement quelques instants plus tard, alors que le soleil venait tout juste de se coucher, cèdant sa place à l'astre lunaire, Goten et Marron étaient tout deux dans un restaurant chic. La fille de Krilin était vêtue d'une jolie robe rouge sans manche qui lui arrivait à mis-jambes. Le fils de Goku, lui, portait une belle chemise sous un veston et un pantalon noir, séduisant. Un serveur vint leur porter leur assiettes.
- Dis-moi Goten... Pourquoi m'as-tu amené dans un restaurant aussi beau et dispendieux ? intérogea Marron, coquine.
Goten sourit, timide et tremblant de partout. Il répondit du mieux qu'il le pu.
- Eh bien... C'est que c'est spécial aujourd'hui ! lui répondit-il, gêné.
- Spécial ? Mais qu'est-ce qu'il y a de spécial ?
Marron sentait son coeur battre à toute vitesse dans sa poitrine. Le fils de Goku, son petit ami depuis deux ans déjà, ne l'avait pas invitée là pour rien. De plus, sa conduite un peu gauche dévoilait une part de son jeu. L'humaine mordit sa lèvre inférieure droite, impatiente.
Sangoten aurait voulu attendre la fin du repas mais il était top nerveux et exité. Il sortit un objet de sa poche. C'était un petit coffret. Les yeux de Marron s'agrandirent.
- Euh... Marron... Veux-tu... m'épouser ? réussit-il à dire en ouvrant la précieuse boîte.
À l'intérieur se trouvait une bague en or massif qui qui brillait de milles éclats. Sa bien-aimée ne savait que répondre, figée sous l'effet de la surprise.
- Je... Je... Oui ! cria-t-elle.
Un sourire s'afficha sur leurs deux visages. Marron jubilait... jamais elle n'avait vécu un si beau moment !
- Je suis tellement content que.... que....
Goten bredouillait et commençait à avoir la tête qui tournait mais essayait tout de même d'ignorer son malaise, en vain.
- Je suis tellement content que... que je me sens mal... !
Et il s'écroula sur le sol. Marron cria, horrifiée.
- AAAAHHHHHHHH ! Goten ! GOTEN ! NOOONNN ! "
Elle couru vers son futur mari, nouvellement éffondré par terre. La pauvre pleurait à chaudes larmes. Elle avait beau le brasser et crier, il ne bougeait pas.
Quelques minutes plus tard, une ambulance arrivait, ainsi que les parents de Marron et Goten. La fille de Krilin s'était réfugiée dans les bras de son père qui faisait de son mieux pour la consoler. Chi-Chi pleurait aussi dans les bras de son mari qui était revenu aussitôt qu'il avait appris la terrible nouvelle. Il n'avait seulement pas eut le temps de rencontrer la Saiyenne ! Gohan avait eut l'idée d'aller chercher des senzus mais Maître Karine n'en aurait pas avant au moins une semaine ou peut-être même plus, à la déception de tous. Son frère ne respirait qu'à peine et était d'une blancheure cadavérique.
L'ambulance quitta le restaurant, y laissant, piteux, la famille et les amis de Sangoten.
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- - Voila. Chapitre recorrigé. La date ? Oufff... 30/12/04. J'aurai 16 ans le 4 janvier. J'ai écris ce chapitre originalement à l'âge de 12 ans ;) Voici pourquoi j'ai revu le chapitre. Et les autres aussi le seront, très bientôt. ) - -
