Trunks déposa le stylo duquel il s'était servi pour signer les papiers empilés sur son bureau. Il était presque minuit mais le demi sang n'arrivait toujours pas à dormir. Il avait donc pris la déscision de finir de remplir des contrats qu'il aurait eut à terminer le lendemain matin de toute façon. La raison de son insomnie était bien simple, et vous la savez aussi bien que moi. Trunks repensa à son ami, emporté dans l'ambulance quelques heures plus tôt. Le métis était rongé par l'inquiétude. Il essayait de ne pas pleurer mais il en était incapable. Une larme roula le long de sa joue. Jamais quoi que ce soit n'était arrivé à Goten avant. De plus, même sa mère n'avait aucune idée du mal qui s'était abbatu sur son meilleur ami. Il y avait de quoi paniquer !
Il entendit tout à coup des pas dans le corridor. Une ombre apparut sur le pas de la porte. Trunks essuya ses yeux remplis d'eau pour y voir plus clair. Sa mère se tenait debout à quelques mètres de lui.
Bulma avança vers son fils qui essayait temps bien que mal de lui faire un sourire. Elle se tira une chaise et s'assit à ses côtés. La scientifique le prit dans ses bras. Trunks se laissa faire, triste et heureux que sa mère le berce comme autrefois.
- Ne t'en fait pas Trunks... Je suis à peu près certaine qu'il va s'en sortir ! chuchota Bulma à son oreille pour lui remonter le moral. Le métis ne répondit pas...
Bulma ne savait pas si ce qu'elle disait était vrai. Elle même était incertaine du sort du demi Saiyen. Cependant, comme les San s'étaient toujours remient de tout, elle savait au fond d'elle même que ce n'était pas la fin. Après tout, peut-être n'était-ce seulement qu'un petit empoisonnement alimentaire ? Ne sait-on jamais...
À quelques mètres de la porte, dans le couloir, on pouvait entendre Végéta qui jurait en marchant.
- Cette maudite enfoirée de Tiny !! Et ce crétin d'enculé de Carot ...!!! s'écria-t-il.
Le Prince ne cessait de hurler des injures depuis sont rétablissement. Il m'en voulait à mort de l'avoir frappé et de l'avoir mis chaos en moins d'une seconde. Pour ce qui était de Goku, il le maudissait de s'être occupé de lui et d'avoir été celui qui l'avait trouvé dans cette facheuse position. Comme s'il avait besoin d'un docteur ! pensa-t-il. Il avait déjà assez de lui comme rival ! Il tournait en rond devant le bureau de Trunks. Végéta m'avait désespérément cherché dans tout Capsule Corporation mais il s'était bien vite apperçu que je n'y était plus depuis l'après-midi.
- Mais où peut-elle bien être...?! Mais où peut-elle bien être ?!! marmonnait-il maintenant sans arrêt.
Soudain, il s'arrêta. Il ne tournait plus en rond, ni ne parlait. Trunks et Bulma s'échangèrent des regards perplexes. Sur le visage sombre de Végéta apparut un sourire inquiètant. Juste avant que son mari ne soit hors de son champ de vision, Bulma l'interpella.
- Végéta ! Où comptes-tu aller ? demanda-t-elle.
- Je vais faire un tour au Palais de Dieu ! Je ne resterai pas là longtemps...
Sa femme n'eut pas le temps de répondre. Végéta avait déjà emprunté l'escalier qui menait au rez-de-chaussé.
)) - - ((
J'étais assise à l'extrèmité du Palais, sur le bord, les pieds pendant dans le vide. Piccolo et Dendé étant à l'intérieur depuis un certain temps déjà, on ne s'était pas apperçu de ma présence. Je soupirai, repensant à Végéta et à ma nouvelle demeure. Puis je vis une ombre à côté de moi, nouvelle, elle aussi.C'était lui. Il y avait longtemps que je l'attendais.
- Déjà revenue ? Faut-il en croire que tu n'aimes pas le Saiyen ?... me taquina-t-il.
Il me faisait toujours sourire... Même dans des moments comme ceux-ci ! Je me levai et me tournai vers lui, le brave chevalier qui m'avait sauvé. Même si Piccolo me dépassait de plus d'une tête j'arrivais quand même à le regarder dans les yeux... Il mit sa main sur mon visage. Je rougis.
- Que fais-tu ici ? me demanda-t-il, plus sérieusement cette fois.
- Je... Je suis partie après l'avoir assommé... dis-je tout bas, incertaine de sa réaction.
Il baissa sa main de ma figure et soupira. Piccolo toisa quelques instants la jeune Saiyenne qui se tenait devant lui et haussa un sourcil. Bien sûr, il n'était pas surpris du fait que Végéta ait été mis au tapis, au contraire, mais plutôt du court laps de temps qui s'était écoulé depuis mon arrivée là-bas et mon retour après une chicane qui avait prit, selon le Namek, trop peu de temps pour éclater.
Cependant, mon mentor connaissait la nature frustrée du Saiyen ainsi que la mienne, une petite bombe à retardement. Il se ravisa à me faire la morale, sachant très bien que je n'étais plus une enfant.
- Tu as peur qu'il vienne te chercher... C'est ça ? suggéra-t-il.
J'hochai la tête. La force ne pourrait me sauver une deuxième fois. Selon la loi, ô cette loi terrestre que je maudissais, j'étais dorénavant sous sa tutelle et.
Sous la voûte des cieux, peinturée d'une substance qui ressemblait étrangement à du goudron parsemé de poudre d'or, je souhaitais de tout mon coeur rester aux côtés de mon sauveur. Hélas, je savais ma requête impossible...
- On s'est ennuyé de moi ?...
La voix malicieuse venait de derrière nous. Je me tournai et le vis, le loup... Végéta était là, accoté au tronc d'un des palmiers du palais. Je serrai les dents.
- Je vois que tu es très proche de ton élève... N'est-ce pas Piccolo ? dit-il sur un ton moqueur mais lourd de méchanceté.
Le Namek serra les poings.
- J'ai quelques petites choses à régler avec toi... Tiny ! dit le Saiyen, fronçant les sourcils.
- Tu ne la toucheras pas Végéta !! Pas tant qu'elle sera sous ma protection ! cria Piccolo.
- Mais elle va bientôt retourner sous la mienne !!! répliqua l'autre.
- Non ! Pas si je ne veux pas !
Il ne restait qu'un mètre pour séparer les deux combattants. Je m'étais interposée entre les deux hommes et les avais fait reculer de quelques pas.
- Elle aurait un meilleur entraîneur !! s'écria Végéta, les yeux rivés vers le Namek. Ça fait 3 ans que tu l'entraines, Piccolo ! Elle est bien plus forte que toi ! JE peux lui apprendre de nouvelles techniques !!
Je ne pu m'empêcher d'y mettre mon grain de sel.
- Excuse-moi, Végéta, mais je suis plus puissante que toi aussi !
Le regard du Saiyen s'assombrit. Il me fixa, les yeux plein de mépris. Végéta était certain de me battre en combat singulier, mais malgré tout, il m'en voulait de lui avoir rappelé l'incident de la salle de gravité. De mon côté, je croyais pouvoir le mettre chaos si nous avions à nous battailler.
Analysant son regard haineux, je me dis qu'il aurait peut-être été mieux de me taire. Sous l'effet de la colère, Végéta m'attaqua. Il arriva devant moi à une vitesse phénoménale. Je ne réagis pas... Je n'en avais pas eut le temps, surprise ! Je reçu un coup de poing à la figure. Petit Coeur tremblait de colère. Je m'écroulai par terre. Le Prince des Saiyens mit ses mains sur ses hanches pour démontrer sa supériorité. Il était fier. Du sang coulait de ma lèvre inférieure.
- Que disais-tu ? dit le Prince, arrogant.
Piccolo s'apprêttait à frapper Végéta.
- Non..! Pi... Piccolo ! Ne frappe pas !
La Namek m'écouta, contre son grés. Je me relevai et continuai.
- Seul un loser attaquerait comme ça, par surprise, pour être certain de ne pas manquer son coup ! dis-je, arrogante. N'est-ce pas, Végéta, que tu voulais être sure de m'atteindre ?
Le Saiyen, se sentant ridiculisé, me donna un coup de pied dans le ventre avant m'agripper par le collet pour me soulver. Je ne sentais pas vraiment de douleur même si j'avais l'air de quelqu'un qui souffrait. Le Prince m'observa un instant. Je jouais bien la comédie... mais il savait que je le faisais exprès. Mon nouvel entraîneur se sentait non seulement offusqué mais avait aussi envie de me faire la peau. Cependant, quelque chose, un sentiment protecteur pour l'adolescente qu'il tenait d'une main, l'empêchait de commettre l'irréparable. Bien qu'il se sentit faible, Végéta me lâcha.
- Maintenant, tu viens !! m'ordonna-t-il.
Il quitta le palais. Avant de le suivre, ce qui était ma seule option possible si je désirais garder un peu de sympathie de sa part, je fis un signe de la main à Piccolo qui était toujours débout près d'un palmier, inquiêt et en colère à la fois. Je rattrapai bien vite Végéta. Il posa ses yeux noirs sur moi.
- Tu vas payer pour ton insolence, marmonna le Saiyen entre ses dents.
Je me sentais lésée. Il n'avait pas s'agit d'insolence mais d'auto-défence, autant physique lors de la dispute dans la salle de gravité que lors de notre combat verbal plus tôt. Je lui fis part de cet avis. Il grogna, pas du tout d'accord.
- Tu n'as aucun respect pour tes aînés !!! s'écria-t-il.
Je répliquai que oui, j'en avais, mais pour ceux qui me respectaient aussi. Fâché que je sois si têtue, il détourna le regard et fixa l'horizon. Oh, comme il désirait me frapper et commencer à se battre ! Ce n'était pas l'envie qui lui manquait, mais plutôt ce même instinct inconnu qui le poussait à ne pas le faire. Encore. En fait, de mon côté, je ressentais la même chose, un aggacement infini. Seulement, seulement... je gardais tout pour moi: ma colère, ma tristesse, ma joie...
Je le dépassai et pris la tête. Il n'essaya pas de me rattraper, à mon grand étonnement. J'arrivai à Capsule Corporation quelques minutes avant lui. J'entrai en douceur pour ne réveiller personne. Vue l'heure qu'il était, les Brief devaient tous dormir. Un cadran sur un mur indiquait 12:10 am. Je soupirai en voyant les escaliers. J'essayai de me remémorrer les corridors que j'avais empruntés précédemment, en vain. J'allais devoir demander conseil à Végéta. Mais nous nous boudions depuis cette discution dans les airs. J'entendis la porte se refermer derrière moi. Le Saiyen s'arrêta derrière moi.
- Perdue ? Tu veux peut-être que je t'aide ? demanda-t-il sur un ton arrogant.
- S'il vous plaît...
L'idée, moi, ne me plaisait pas du tout. Il passa en tête. Je le suivis. Végéta lança un regard intérogateur derrière lui comme nous avançions. La petite Tiny se faisait-elle plus docile ? Pourtant non, et encore une fois, il devinait que je ne le faisais que par nécéssité, que le lendemain je devienderais aussi close et entêté qu'avant. Il sourit. Ça lui rappelait sa propre attitude, en plus passif. Après tout, sa nouvelle élève était une Saiyenne, une vraie, une pure... comme lui. Il me mena jusqu'à ma chambre. Je remarquai que le chemin était plutôt simple. Nous arrivâmes à destination en moins de 2 minutes.
- Voilà...
- ... Merci, marmonnais-je.
Je le regardai une dernière fois avant de refermer sur sa silhouette à peine plus grande que moi la porte de ma chambre. Sur son visage, bien qu'une partie ait été plongée dans l'ombre, je remarquai un peu de chaleur, presque humaine. Mais je ne désirais pas m'avancer sur ce terrain épineux.
Puis, lorsque je fus assise sur mon lit, il dit au travers de la porte:
- Demain, nous nous entraînerons... Et je te montrerai qui est le plus fort !
Je soupirai pour moi même. Végéta n'allait pas être facile à vivre. Comment prendrait-il sa perte ? Je souris, pensant déjà au combat qui m'attendait. Oui, j'allais le gagner !... De la même façon que lui et son égo croyaient y arriver. Il en aurait besoin, de sa fierté, pour m'accoter...
Végéta sourit. Cette petite avait beaucoup à apprendre selon lui. Il se dirigea immédiatement vers sa chambre. Sa femme était déjà endormie depuis un bon moment. La Saiyen enleva sa chemise et ses bas mais garda ses jeans. Il se glissa tranquillement sous les draps pour ne pas réveiller Bulma. Il l'embrassa sur le front avant de poser sa tête sur l'oreiller. Le Prince règla son réveil-matin à 7 heures; l'heure habituelle.
Végéta ferma les yeux. Il pensait...
- Qui est-elle vraiment..., se demanda le Saiyen. Mais surtout, d'où vient-elle ?!
Ce n'était pas tout. Le combattant n'arrivait pas à comprendre qu'est-ce qui le poussait à protéger Tiny au lieu de la détester, comme elle semblait le faire sans problème. Était-ce une illusion, un mirage, ce mépris qu'il avait vu sur son visage ? Aggacé, il en revint aux questions essentielles.
- Calme-toi Végéta ! Elle est certainement arrivée sur Terre, d'une façon ou d'une autre. Elle n'est pas née sur cette planète. Tiny doit avoir été envoyée par capsule. Mais non ! Elle n'a que 15 ans... La planète Végéta est en cendre depuis bien plus de 15 ans ! Demain... Je demanderai à Piccolo où l'a-t-il trouvée. Je... Je... "
La fatigue l'emporta sur ses pensées. Il fut emporté par Morphée dans un toubillon de questions sans réponse. Végéta s'endormit.
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Cette nuit là, Chichi eut beaucoup de mal à dormir, s'inquiètant pour son fils. Il était près de 2 heures du matin et elle ne dormait pas encore. La femme de Goku était assise à la table de sa cuisine, buvant une tasse de thé vert. Ses yeux étaient cernés et rouges, tant elle avait pleuré. Tout était calme dans la maison. Quelqu'un entra dans la coquette pièce. Chi-Chi leva la tête pour voir de qui il s'agissait et vit devant elle son mari, Sangoku.
- Tu ne viens pas te coucher, Chichi ? demanda le brave Saiyen.
- Sangoku... Tu... Tu sais bien que j'ai de la difficulté à surmonter ce moment....! répondis Chichi, boulversée.
- Mais oui... Je le sais....Pour moi aussi c'est difficile.... Goten est tout de même mon fils !
Sangoku s'approcha de sa bien-aimé et il l'entoura de ses bras musclés, chose qu'il ne faisait que très rarement. Il essuya avec tendresse les quelques larmes sur la joue de sa femme et lui fit un sourire.
- Aller ! Viens..... Retourne te coucher, ou au moins fait moi le plaisir d'être dans le lit cette nuit ! Je n'arriverai pas à dormir sinon.
La voix de Goku se faisait douce et rassurante. Chi-Chi était tellement touchée qu'elle suivit son mari. Sangoku prit bien soin de fermer la porte. Tout en gardant sa bien-aimé collée contre lui, ils allèrent se coucher dans leur lit... La fille de Guyamaïo était sur le coté. Goku passa sa main sous la robe de nuit de sa femme et commença à lui caresser le dos, doucement. Chichi sourit. Elle se tourna vers lui. Un air passioné planait sur son visage. Elle s'approcha de lui et ils s'embrasèrent langoureusement...
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Voila un passage qui pourrait en faire réagir certains. Arf, ce n'est rien de grave, il n'y a aucun vocabulaire sexuel... mais je ne fais que vous avertir ;) Je laissé l'original, comme je l'avais écrit en 2001.
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La folie les gagnèrent malgré le malheur qui venait de se produire quelques heures plus tôt. Gohan, qui dormait avec sa femme à l'étage d'au dessous, se fit réveiller par les bruits que produisaient les ressorts du lit. Videl ne dormit pas plus longtemps elle non plus. Ils pouvaient même entendre se qui se disait en haut...
- Ah....! OUI ! Goku..... Super Saiyen....! Devient Super Saiyen !!!! criait Chichi.
Gohan sentit la force de son père augmenter de niveau... Il regarda sa femme en faisant la moue. Videl se retenue pour ne pas rire ! Ils continuèrent d'écouter !
- Ah ouiiii ! Super Saiyen 2 !!! Devient Super Saiyen 2 Sangoku !!!!!!
Sa force augmenta encore ! Gohan commençait à être un peu inquiet pour sa mère.... Même lui n'avait jamais utilisé le Super Saiyen 2 au lit ayant peur de faire mal à Videl ! Ayant remarqué l'inquiètude dans les yeux de son mari, elle lui chuchota quelque chose à l'oreille.
- Ne t'en fait pas pour eux ! Ils s'amusent ! Tant qu'il ne monte pas à un niveau plus haut ça va aller !
Mais juste avant que Gohan ne pu répondre, Chichi recommença à crier:
- AHHHH ! OUI ! Goku ! Super Saiyen 3 !!!! Deviens Super Saiyen 3 !
Il jeta un regard furtif à sa bien-aimé qui haussa les épaules !
- Ils vont finir par tout défoncer ! dit Gohan.
- Et pas que le plancher !!!
Videl riait aux éclat pendant que son amoureux se faisait du mauvais sang ! Il sentit devenir la force de son père monstrueuse. Gohan eut un frisson qui lui traversa le corps en entier... Il espérait que le plancher et que sa mère tiennent le coup !
- Sangoku ! Goku ! C'est Bon ! OUIIII ! Mets tout se que tu as !!!!! TOUT !
Gohan commença à paniquer ! La force de son père pouvait se sentir à des milles à la ronde ! À se moment là, Pan entra dans la chambre.
- Allo m'man.... Salut p'pa. J'arrive pas à dormir ! Qu'est-ce qu'il font en haut grand-père et grand-mère ??? demanda Pan, alors agée de 12 ans, à moitié endormie.
- Eh bien.... euh.... il font.... l'a.....
Mais Gohan fut coupé par sa bien-aimée.
- Il font la fête ! répliqua Videl !
Les yeux de Pan commencèrent à briller ! Fête est un mot de vocabulaire très significatif pour les enfants...
- Dis, maman, j'peux aller faire le party avec eux ?!! demanda Pan toute excitée.
- NOOOON ! Euh... Je veux dire que c'est seulement un party qui se fait à deux ! essaya d'expliquer Videl.
- C'est un party spécial ! Voilà ! Alors maintenant, retourne dans ta chambre et essaye de dormir ! continua Gohan, nerveux.
Pan fit la moue avant de claquer la porte. Les deux parents étaient soulagés...! Les bruits de lit s'arrêtèrent soudain ainsi que les cris.
- Euh.... Pourquoi il ont arretés brusquement ??? demanda Videl intriguée.
- Mon père vient de s'endormir pour la nuit ! répondit Gohan.
Sa femme recommença à rire.... Quel idiot !
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- Chapitre recorrigé le 03/01/05... Pas seulement gramaticallement mais j'ai aussi ajouté des passages, changé quelques détails :) Celui-là a été écrit originalement en 2001 ou 2002 si je ne me trompe pas... ) -
