"bruit de vent dans le désert"

"Un tumbleweed traverse le champs sec"

"La tension est palpable alors qu'un petit llama fait une entrée dramatique, sur un fond de soleil couchant"

Pour une fois, la note d'auteure est à la fin du chapitre X)

Je me suis dit que vous aviez assez attendu comme ça, c'était pas la peine d'en rajouter avec une note d'auteure interminable (les remerciements sont à la fin aussi).

J'espère que ce chapitre vous plaira :)

WARNING: rien, hormis l'OC de Lily ne m'appartient. Tout le mérite revient à Stephanie Meyer :)

ENORME WARNING: il y a eu un petit (ENORME) problème de format. Normalement cela devrait être réglé, mais si cela se reproduit envoyez moi un llamessage d'urgence ^^

Enjoy ;)

La journée s'annonçait en apparence morne et sans intérêt.

Dehors, la pluie balayait tout espoir de promenade, ou de lecture ensoleillée. Étrangement, cela m'affectait plus que de raison. La faute aux dernières semaines nulles. Ou alors, peut-être que mon subconscient jugeais qu'il fallait un minimum de grommellement météorologique dans cette maison. Bella étant en congé maladie, et Charlie trop sensé et trop habitué pour ce travail, cette pénible tâche me revenait.

Il était d'ailleurs allé pêcher, comme tous les dimanches, me laissant toute seule à la maison.

"Dis comme cela, ça peut sembler fourbe, cupide et cruel, et, si je n'étais pas quelqu'un de raisonnable, j'aurais pu partir en chanson tragique, façon princesse Disney. J'avais même commencé à réfléchir à des paroles (disgraaaaaace infâme, souffrance de mon âme! Ignominie!) avant de revenir à la raison.

Après tout, si j'étais une princesse, il me faudrait un animal de compagnie improbable, façon souris ou caméléon et, bon... les rongeurs et les reptiles cela n'a jamais été mon fort.

Cela aurait de surcroît (non, je n'ai absolument pas tenté d'enrichir mon vocabulaire pendant que je cherchais des paroles) était injuste.

Charlie avait exprimé une vive réticence, à me laisser seule, et j'avais appris au petit déjeuner qu'il avait purement et simplement annulé son escapade. Mais il semblait tellement dépité que cela m'avait fait de la peine, et j'avais réussi à le convaincre d'y aller.

Après tout, je n'avais pas eu d'accident, je ne risquais rien, non?

Il avait fini par se laisser convaincre, et à prendre les voiles aux environs de une heure -il avait même cuisiné!.

Pour être franche, j'étais un peu soulagée.

La soirée de la veille m'avait pour ainsi dire retourné le cerveau, et j'avais eu toutes les misères du monde à faire croire à Charlie que c'était de la simple fatigue.

Le mal de tête du virgin-cocktail, pas si virgin du tout, n'avait pas aidé à la tâche.

J'espérais qu'une après-midi de contemplation me remettrait les idées en place, mais pour l'instant, c'était un échec.

Le nombre de questions balayant mon esprit à la seconde est tellement phénoménal que je m'attends presque à voir un message de crash système apparaître sous mes yeux, du genre 'erreur 404, stopped answering', ou peut-être voir le gestionnaire des tâches partir en grève. Un truc dans ce gout là.

Entre le déménagement, Bella, et maintenant ça, mon ange gardien est clairement en grève.

Ou alors c'est une diva qui ne vit que pour le drama et qui est en train de rigoler de moi avec ses potes anges gardiens, autour d'un cocktail

Ce qui serait clairement injuste. Si quelqu'un doit gagner quelque chose à raconter ma vie, c'est moi. J'exige des royalties, ou, à minima, un verre de margarita.

Je veux dire, Lauren quoi. De toutes les personnes au monde, Lauren m'a embrassée. Lauren.

On parle de Lauren.

Je n'arrive pas à savoir si cela me plaît ou non, et c'est ça le truc. Je n'arrive pas à savoir si cela ne m'a pas plu. Mais si cela m'avait plu, cela aurait été une certitude, non? Le fait que je ne sache pas répondre, est-ce que cela ne serait pas une réponse en soit.

C'était d'autant plus perturbant que, entre autres, Lauren avait un copain.

La mélasse de pensée est arrêtée net par la sonnerie du téléphone.

C'est peut-être Connor. Cela serait surprenant, la soirée ne s'est pas exactement bien terminée. J'ai feint le mal à la tête, il a prétendu que cela ne le dérangeait pas de me raccompagner. J'ai eu beau insister pour qu'il ne le fasse pas, il l'a fait, prétendant une histoire d'ours ou un truc du style. Si un ours se promène dans les rues de Forks, j'accepte de manger mon pompom de pompom girl. Cela rendrait Lauren furieuse.

L'accélération de mon rythme cardiaque me rend toute tremblante.

C'est peut-être elle d'ailleurs.

Mon estomac se tord presque immédiatement à cette pensée, sans que je n'arrive à identifier la raison avec certitude. Je dois cligner des yeux un bon nombre de fois -au point que mes paupières vont finir par se prendre pour des papillons- avant de me ressaisir et de prendre le téléphone.

Numéro inconnu.

Sinon je ne décroche pas, et j'attends que la personne laisse un message.

Ma lâcheté m'exaspère assez pour me donner le courage

"Résidence Swann?" Je m'entends dire, la voix fausse. Même moi ça me hérisse.

J'attends pendant ce qui me semble être une éternité, mais qui doit être probablement une bonne seconde. Peu importe. Dans ma tête, je suis en train de devenir grand-mère, à attendre que l'autre personne se dévoile, je vois les étoiles dans le ciel s'éteindre une à une face aux ravages du temps, je vois les trous noirs engloutir le peu de manière restante, avant qu'ils s'évaporent à leur tour, laissant un espace temps inerte et froid, toujours plus en expansion, jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien d'autre que le vide et-

"Lily, est-ce que ça va?" La voix de Jacob me ramène à l'instant présent.

"Jacob!" Je suis tellement contente qu'il me téléphone que je pourrais faire une danse de la joie, mais comme je suis quelqu'un d'adulte et de responsable, je ne le fais pas.

Enfin, pas pendant les 3 premières secondes, après je me rappelle que j'ai 4 ans dans ma tête donc faire une danse de la victoire est absolument à l'ordre du jour.

Devinez qui vient de se ramasser en beauté?

"Oulà! Tu viens de tomber ou quoi?" Il s'inquiète davantage.

"Absolument pas." Je dis avec l'assurance d'une personne qui vient de se cogner le petit orteil contre son lit et qui aurait aimé hurler dans son oreiller, mais qui doit conserver sa dignité.

Je veux dire, après notre précédente conversation, je m'attendais vraiment à ce que Jacob me croit folle et se mette à m'ignorer. J'ai quand même eu une mini crise de nerfs en face de lui, et je suis particulièrement consciente que ce que j'avançais n'avait aucun sens.

J'ai quand même accusé Edward Cullen d'avoir tenté d'assassiner ma soeur.

Rien qu'à y penser à voix haute, j'entends l'asile psychiatrique arriver à grand pas.

Cependant.

Si j'avais raison?

Et si, ce n'était pas de la folie, mais du génie? Si c'était mes talents de reporter d'investigation qui s'illustraient? Après tout, c'est moi qui avait résolu le mystère des parts de pizza dans mon ancien lycée.

Je sais que dit comme ça, cela peut paraitre ridicule comme comparaison, -et ça l'Est peut-être un peu- mais cette histoire était très sérieuse. Ce serait trop long à expliquer mais avec la team de l'ancien journal, on s'est retrouvé au coeur d'un scandale de friture, de détournement d'aile, et de corruption au ketchup (et encore une fois, je sais que dit comme cela cela peut paraitre risible, mais attendez de vous faire courser par des accros à la sauce tomate avant de juger).

"C'est ça, c'est ça. Le bruit c'était simplement le poids de la vérité qui venait de s'abattre sur tes épaules." Il ricane, et je dois faire appel à tout mon self control pour ne pas suivre. Je refuse de lui donner cette satisfaction (avec un peu de chance, mon honneur n'est pas encore à mettre à la poubelle).

"Rien que ça. Et de quelle vérité on parle?" Je dis, et je ne sais pas pourquoi, mais cela me fait penser à Lauren, immédiatement.

"Ce n'est pas bon signe, je crois.

"Je dirais bien mon charme naturel et indéniable, mais je n'ai pas envie de passer pour quelqu'un d'immodeste." Il dit, et cette fois je rigole franchement.

"La capacité de Jacob à rendre le sourire au gens est effrayante. Je crois que dans une autre vie, il a été un golden retriever.

"Enfin, bref, je t'appelais pour savoir comment tu allais." Il dit, mais sa voix a légèrement changé. Son ton me donne l'impression de quelque chose de coupant, transparent, comme un morceau de verre sur la plage.

"Ça va, ça va, Bella ressort demain, de l'hôpital. Il était temps franchement. Elle se met à grommeler." J'essaie de garder la conversation légère. Il m'a appelé, malgré ma petite crise de folie -légitime ou non- je ne vais pas commencer à-

"Oulà, Bella grommeler? Tu as appelé les journaux?"

"Je comptais plutôt appeler l'armée." Pour que Bella se plaigne, il faut vraiment y aller. Je ne dis pas qu'elle ne se plaint jamais, ce serait un mensonge. Mais dans 99% des cas, elle se plaint à moi, pas à des étrangers.

"Écoute Lily, je ne t'appelle pas pour savoir si tu vas, enfin, si, je t'appelle pour. Ce que je veux dire, bien sur que je veux savoir comment tu vas, mais..." Il perd ses mots et je me hérisse. Qu'est-ce qu'il va me sortir, que je suis cinglée, que je dois consulter-

La tension de l'autre côté de la ligne est palpable.

"Oui?" Je demande, le ton aussi neutre que possible. S'il me dit que je suis folle, je lui dirai que c'était rien, que je ne le pensais pas, que c'était les nerfs-

"Je voulais t'appeler, pour parler, de ce que tu m'as dit, sur Cullen." Il dit à une telle vitesse que je dois prendre une seconde pour comprendre ce qu'il vient de dire. Le message d'erreur est imminent. Dans ma tête, les petits messagers se mettent à courir dans tous les sens, paniquant sous la montagne de réponses possibles et d'attitudes que je souhaiterais adapter. J'imagine un responsable de la qualité, en train de lire frénétiquement tous les mémos, avant de tout jeter en l'air et de s'exclamer 'De toute façon toutes ces options sont nulles!'.

Ouais, je devrais peut-être consulter finalement.

"Oh, écoute Jacob, justement, à ce sujet, je voulais te dire que-"

"Je pense que tu as raison."

Je reste interdite pendant une éternité, à ne pas en croire mes oreilles.

"Allo? Tu es encore là?" Jacob me ramène à la vie encore une fois, et je me rends compte que je tremble comme une feuille.

"Oui, je- la vache Jacob."

"... Je pensais que tu étais, tu ne, enfin, tu ne le penses plus?"

"Si, bien sûr, mais, je, enfin, je ne m'attendais pas à ce que tu me crois aussi vite." Je dis précipitamment"Pour être franche, je pensais que, tu allais me prendre pour une folle."

"Alors, Lily, tu as tout mon respect. Je ne te prends pas pour une folle, je sais avec toute la certitude du monde que tu es cinglée." Il rit doucement, mais même lui à du mal à retrouver un ton calme"Ce n'est pas, je ne te crois pas sur parole si tu veux savoir. Je... mets ça en parallèle avec... d'autres observations, on va dire."

Mon cœur joue au tambour dans ma cage thoracique, au point que le battement remonte jusqu'à mes tempes. Je sens les veines de ma main palpiter contre le téléphone. A tout moment, je deviens batteuse professionnelle.

"Est-ce que tu te paies ma tête?" Je m'entends demander froidement.

"Absolument pas!" Jacob s'insurge, visiblement révolté et blessé que j'ose sous-entendre une chose pareille. Je ne peux m'empêcher de pousser une soupire de soulagement. La confiance que j'ai en lui peut paraître précipitée, mais je le connais bien. Il ment encore plus mal que Charlie, et cela en dit long (on parle de quelqu'un qui, quand je lui ai demandé son avis sur ma coupe de cheveu, m'a répondu après une demi minute de silence que c'était 'intéressant' (de manière rétrospective, il avait raison, je n'ai jamais vraiment pardonné à Renée de m'avoir laissé me faire des mèches vertes)).

"OhMondieu." Je m'exclame, avec une telle force que j'ai probablement ruiné un voir les deux tympans de mon interlocuteur.

"Je t'en prie, appelle moi Jacob, c'est plus amical."

"Quand tu dis,"d'autres observations", tu sais que tu vas devoir développer, n'est-ce pas?" Ma voix tremble. Ce n'est pas que de la peur, ou de l'excitation. Il y a aussi un certain soulagement de ne pas être folle. Ou tout du moins, de ne pas être seule à l'être.

"Outre le fait que les Cullen's sont vraiment bizarre... je veux dire, ils sont bizarres, non?"

Je réfléchis cinq secondes, tiraillée entre la culpabilité et l'honnêteté.

"Je suis d'accord." Je finis par dire, et je me sens comme un monstre. Alice n'a été rien d'autre que gentille avec moi, et c'est comme ça que je la remercie, en crachant dans son dos.

Mais... Le problème, c'est que c'est vrai. Les Cullen sont différents. C'est difficilement descriptible, mais c'est... un sentiment. Jusqu'à présent, ce n'était pas une mauvaise chose, il faut de tout pour faire un monde, sinon on s'ennuierait à mourir. Le problème, c'est que j'ai quand même trouvé Bella en train de mourir sur son oreiller. A partir de ce moment-là, le bizarre devient suspect.

"Et il y a aussi l'absence d'Edward en début d'année, pendant une semaine, sans grande explication." Je souffle.

Juste après avoir traitée ma soeur comme de la merde au passage. Je me hérisse.

"Et maintenant, Carlisles qui prend subitement un temps personnel, chose qu'il n'a jamais fait, et je dis bien jamais, en 3 ans." Il dit et j'acquiesce avec vigueur.

Le timing est quand même très bizarre, il faut le reconnaître.

"Mais... il n'y a pas que ça." Il dit calmement, et si j'avais une ceinture de sécurité, je serais en train de la boucler à double tour parce que je sens que le choc de ce qui va suivre va me faire tomber sur le cul.

"Oui?"

"Lily, tu n'es pas là depuis longtemps mais... il se produit des choses assez étranges depuis quelque temps, à Forks." Il murmure, et je me penche presque instinctivement. Ce qui prouve au passage que j'ai un instinct de survie pourri parce que 1. Cela ne change rien, et 2. Je manque encore de me ramasser sur le sol, la tête la première.

Je peux presque entendre le gloussement de mon ange gardien et de ses potes, à cette fameuse pool party ou ils décortiquent ma vie.

"Quand tu dis, étrange-"

"Tu as entendu parler des attaques d'ours?"

"Oui, mais, c'est normal, non?" Je fronce un peu les sourcils. Cela me semble tiré par les cheveux de blâmer les Cullen's pour ça, quand même. Je veux bien faire des liens farfelus, mais là...

On est quand même perdu au milieu de nul part. Il faut s'attendre à croiser des ours aussi amicaux que tante Ysma.

"Oui... mais... Ne me fait pas dire ce que je n'ai pas dit, on est assez éloigné des villes pour qu'il y ait des attaques d'ours, mais..."

"Mais quoi!" Je fulmine. A ce stade, cela ne va plus suffire de lui tirer les vers du nez, il va falloir faire une opération nasale.

"Il faut que tu me promettes de ne pas le dire à ton père?"

"Pourquoi?"

"... Parce que, il n'est pas au courant."

"Oui, si personne ne lui dit, je me doute qu'il ne va pas être au courant."

"Ce n'est pas que personne ne lui dit, c'est... C'est vraiment bizarre à la Réserve, depuis quelque temps, tu sais? Je ne veux pas d'ennuis. Il faut que tu me promettes, de ne rien faire de irréfléchie ok?"

"Je te promets de te tenir au courant de tout."

"... très bien. L'autre jour, il y a encore eu une attaque, à la frontière de la Réserve. C'est quelqu'un d'ici qui les a trouvés." Il a du mal à respirer"Je ne suis pas sensé le savoir, j'ai surpris une conversation avec mon père, comme il est un des chefs, les gens viennent le voir pour ce genre de choses-"

"Jacob, tu veux une péridurale?"

"Est-ce que tu es assise?"

"Ouaip." Je grince des dents. Peut-être que ce n'est pas moi qui aura une carrière dans le cinéma, ce sera probablement Jacob. Il a clairement le talent pour faire des annonces dramatiques.

"Il y avait des blessures faites par des animaux, mais c'était post-mortem. Quand mon père a demandé alors, quelle était la cause du décès, il a dit que-"

Un bruit fracassant de verre retentit dans toute la maison, tout mon être, et je bondis tel un kangourou dans le désert australien. Cela a dû s'entendre de l'autre côté de la ligne, car j'entends Jacob visiblement se rétamer de son côté.

"Lily, ça va?" Il souffle. Je m'apprête à acquiescer, lui dire que ce n'est rien. C'est probablement Jacob qui me fait une mauvaise blague en fait. Pour me montrer à quel point c'est ridicule.

Je m'apprête à lui vomir un flot d'insultes ou à rigoler de ma bêtise, quand j'entends un petit grincement, assez caractéristique.

"Jacob." Je souffle aussi bas qu'il soit humainement possible "Il y a quelqu'un est dans la cage d'escalier."

...

A la base, ce chapitre ne devait pas être un chapitre, mais une simple note pour annoncer que cette histoire, je ne la terminerai pas. Que je ne terminerais aucune de mes histoires.

Cependant, avant de le faire, j'ai relu toutes vos reviews, tellement gentilles et bienveillantes et... je ne sais pas ce qui s'est passé mais, cela m'a redonné le goût d'écrire. Alors j'ai repris mes notes de scénarios, j'ai soufflé sur la poussière, et je me suis attablée à cette tâche. Le résultat, c'est ce chapitre. J'espère qu'il vous a plu :)

Je tiens alors, encore plus que d'habitude, à te remercier, toi, oh lecteur/rice, qui lit mes bêtises, qui peut-être fav, follow. Je remercie plus particulièrement les reviewers, parce que, très franchement, c'est grâce à vous que ce chapitre est là.

J'en profite d'ailleurs pour remercier les reviewers de la dernière fois

-Salut kimy25! Je suis ravie que le précédent chapitre t'ai plu! J'espère que ce chapitre sera à ton gout (j'ai hate que tu lises la suite mouahahahahah!)

-Yo AnyaKristen (mdr c'est toi qui parle de retard (un vent de 1 an de hiatus me balaie le visage)) trop contente que ça te plaise (et OUI! Lauren est une TSUNDERE et autre (aaaaah trop hate de que tu vois ce que j'ai en réserve pour ce perso ehehehe)). Surtout, si tu as des remarques/conseils, n'hésite pas! J'espère que tu auras apprécié le chapitre d'aujourd'hui :)

-katharinalami69 ta review m'a fait tellement plaisir, je suis trop heureuse à chaque fois que je lis une de tes review! J'espère que la suite sera à la hauteur :)

-Bonjour Apozmis! Et bienvenu/e! Tu me ferais presque rougir em("s'incline bien bas")!/em Je t'envoie des macarons virtuels (à la vanille, c'est le cadeau de bienvenue de cette fic!)

J'en profite pour vous faire une promesse. Vous avez pris le temps de lire cette fiction, de la follow, de la fav, de la review, et je vous ne laisserai pas sur votre faim. Cette fin, je la finirai :)