Disclaimer : Toujours pas à moi. Cest pas faute d'espérer pourtant. :p
Notes de l'auteur : Ben voilà, le chapitre suivant… malgré tout !
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Chapitre 3 : BriefingQuatre se dirigea vers le salon, accompagné du Duo. Malgré le fou rire, une petite ride venait lui barrer le front. Il était soucieux.
Heero est beaucoup trop ouvert depuis quelques jours. Je sais qu'il tient à nous, qu'il s'est habitué à notre présence, mais…
Une fois tout les G-boys réunis au salon, Heero se lança dans la description de la mission. Son regard glacial se posa d'abord sur ses compagnons, puis il reporta son attention sur son fidèle portable. Après quelques secondes de silence, il se lança dans une longue explication :
- Alors le principe est simple, voire classique. Il s'agit d'une mission d'infiltration(1). Oz a volé certains documents aux Mads. Une histoire de taupe paraît-il, bien que je n'en aie pas encore eu confirmation. Ces documents sont cryptés et protégés par les meilleures barrières informatiques possibles. Selon les calculs de J, il faudra au moins deux mois à Oz pour les décoder, même en mettant leurs meilleures machines dessus. Les Mads tiennent à ce qu'on effectue la mission tous ensemble, mais il est évident qu'arriver à cinq en même temps ne sera pas des plus discret. Il faudra donc se montrer prudent et se faire oublier le plus possible. Nous sommes fin septembre, ça tombe plutôt bien. Nous nous ferons passer pour des étudiants appartenant à un programme d'échange qui viennent passer quelque mois à l'université et…
- What ? L'université ! Mais Heero, on a à peine 17 ans ! On a pas l'âge pour être à l'université.
- Urusei ! Laisse-moi finir, tu râleras après ! Tant pis pour notre âge, l'important est qu'on ne se fasse pas remarquer. Autrement dit, on ne sèche pas trop souvent les cours, on tente de suivre et de rendre les devoirs demandés s'il y en a, compris ? Articula-t-il.
- Hai.
- Bon, le but de la mission n'est pas de tout faire sauter en partant. Oz et l'université ne sont pas réellement liés. D'après les informations qu'on a pu recueillir d'un agent infiltré, Oz pirate et détourne le réseau informatique de l'université, mais nous n'en savons pas plus.
- Pourquoi ? Oups ! Je vais encore me faire envoyer balader. Duo no baka.
Heero était tellement pris dans son exposé qu'il répondit automatiquement à la question du natté, sans relever l'interruption de celui-ci.
- Il est bien connu que les universités ont des réseaux très larges et étendus, les seuls réseaux pas trop surveillés en ces temps de guerre. Rien ne dit que les universités collaborent volontairement avec OZ en les laissant détourner les réseaux, bien qu'il me semble peu probable que les informaticiens chargés de la maintenance n'aient rien remarqué. Toutes ces informations seront à vérifier sur place. Le but final de la mission est de découvrir la faille dans le piratage de Oz, d'y introduire un virus que j'aurai préparé et de récupérer les documents cryptés avant qu'Oz ne puisse les déchiffrer. C'est une mission de longue haleine, alors on ferait mieux de se préparer à rester dans cette université pas mal de temps, comme des adolescents normaux, et de s'habituer au système scolaire, rajouta-t-il en lançant un regard en coin à Duo.
Trowa demanda à son tour quelques renseignements supplémentaires. Comme il s'adressait à son frère d'arme, qui une fois en mode soldat parfait raisonnait exactement comme lui, le français ne gaspilla pas sa salive en mots inutiles :
- Où ? Quand ? Qui ?
Heero lui répondit du tac au tac :
- Terre, USA, Los Angeles, dans deux jours. Pas besoin de modifier notre identité, je m'occupe des détails afin que personne d'important ne puisse avoir accès à nos données. Ca évitera les complications si on ne doit pas s'appeler par des noms différents, surtout si nous sommes tous les cinq.
- pffff ! râla Wufei, je vais pas survivre ! Une école remplie d'étudiants, quel cauchemar ! Marmonna-t-il en partant.
Wufei était avant tout un solitaire et bien qu'il ait tissé de profonds liens d'amitié avec ses frères d'armes, il ne tenait pas spécialement à se mêler à autant de monde. Malgré cela, le chinois avait beaucoup changé au contact de ses amis. Il s'autorisait même parfois à faire quelques blagues et à se laisser aller en présence de ceux qu'il considérait comme de véritables frères de sang. Peu après son dix-septième anniversaire, il avait même abandonné son éternelle tunique blanche et par là-même, achevé sa période de deuil. Il avait compris les erreurs qu'il avait commises avec sa femme et regrettait de ne pas lui avoir dit combien il l'aimait avant de la perdre. Cependant, face à la plupart des gens, il préférait afficher son masque de dragon fier et inaccessible.
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Quelque part. QG des Mads.
G explosa de colère :
- Mais c'est pas vrai ! Comment as-tu pu faire une chose pareille sans prendre compte de notre avis ? On n'était pas sûr des résultats ! Le projet était au stade expérimental. Comment crois-tu qu'ils vont pouvoir tout gérer en même temps ? Ce sont des adolescents bordel ! Déjà qu'ils se battent sans relâche pour l'avenir des colonies… Ils n'ont pas à supporter ça ! Il y aura forcément des effets secondaires. Merde ! C'était une expérience !
- Comme tu dis, cher collègue, et tout scientifique qui se respecte se doit de tester ses expériences, n'est-ce pas ?
- Tu as pratiquement transformé ton soldat en machine, c'est déjà dégueulasse, mais rien ne t'autorisait à faire subir ça aux autres pilotes. Ils ne sont pas sous ta responsabilité !
- Je n'avais pas vraiment le choix, ils font tous partie de l'expérience et chacun réagira de manière différente. Il fallait le faire, ils n'en ressortiront que plus forts ! Tu me fais rire avec tes beaux discours ! Tu ne vaux pas mieux ! Tu étais d'accord pour tenter le coup, non ? Alors quoi ? Tu retournes ta veste ? C'est bien toi et les autres mentors qui m'avez aidé à ce que je sache.
- Oui, mais pas comme ça, pas sans leur demander leur avis. Et sûrement pas les deux projets en même temps ! Ils ne sont pas infaillibles Bon Dieu ! Il faut les prévenir.
- Sûrement pas ! Le mal est fait maintenant. S'ils sont au courant, le résultat sera faussé. Il faut juste qu'ils récupèrent les documents, sinon Oz exploitera nos recherches pour son propre compte. Et si les dirigeants savent que l'expérience a déjà commencé, ils feront tout ce qui est en leur pouvoir pour capturer les pilotes et se servir d'eux comme cobayes !
- ça tu l'as déjà fait ! Quand je pense que si il n'y avait pas eu de taupe, si nos travaux n'avaient pas été volés, je n'aurais rien su, rien découvert ! Mais quand ? Quand as-tu pu agir ?
- La dernière visite médicale…
- je vois. Il ne reste maintenant plus qu'à attendre et observer si j'ai bien compris ! Quand est-ce que ça va commencer ?
- ça va bientôt faire trois mois, ça ne devrait plus tarder maintenant.
- Si tu crois qu'il ne s'apercevront de rien, tu te trompes !Duo m'a déjà parlé de quelque chose. Il m'a expliqué que Heero parlait beaucoup ces temps-ci, surtout à Quatre. Il y a un rapport n'est-ce pas ?
- Hum. Ce n'est qu'une petite réaction aux injections. Cela a un effet légèrement désinhibant. Mon pilote redeviendra le soldat parfait dès demain selon mes calculs.
- Pourquoi seulement lui ? Les autres ne semblent pas avoir changé de comportement.
- J'ai déjà fait pas mal de modifications sur 01, lorsqu'il était plus jeune. Le corps de Heero ne réagit pas de la même façon que les autres, puisqu'il a déjà été modifié. Il faut juste un petit temps d'adaptation.
- Je vois. Quand serons-nous en mesure de quantifier les effets positifs de ta petite « intervention » ?
- Très bientôt, mais ils sont impossibles à prévoir. Tout dépendra de la manière dont leurs corps accepteront les changements. Idem pour les effets secondaires.
- Quelle inconscience ! Il n'y a plus grand chose à faire de toutes façons. Et en ce qui concerne la taupe ?
- Repérée ! Tu devrais envoyer un ordre de mission à 02, ça devrait être dans ses cordes.
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Une fois le briefing terminé, chaque pilote retourna à ses occupations.
Wufei était parti méditer dans sa chambre. Trowa, assis dans un des canapés du salon, tentait de reprendre la lecture d'un livre passionnant tout en faisant abstraction des cris que poussait Duo, scotché à sa console de jeux.
- Yataaaaaaaaa ! Vas-y Kilik, tue-là….grrr… Je l'aime pas cette Taki, c'est grave !(3)
Quatre, quant à lui, tentait tant bien que mal de tempérer son meilleur ami.
- Duo, pourquoi tu ne vas pas jouer dans la chambre ? J'y ai fais installer une télé la semaine dernière.
- Bah… Heero m'a viré. Il veut se concentrer tranquille sur la mission.
- Ah. Je vois.
- De toutes façons, j'ai trop joué ; ça m'ennuie à la fin. Je vais faire un tour. A tout à l'heure !
- D'accord, ne prends pas froid, il pleut dehors.
- Vi maman quat'chou.
Quatre ne vit pas les yeux embués de Duo lorsque celui-ci quitta le salon, mais il ressentit néanmoins le profond sentiment de tristesse et de rejet qui émanait de son meilleur ami, de même que le besoin de solitude. C'est d'ailleurs cette dernière raison qui l'empêcha de suivre Duo au dehors.
Duo sortit rapidement de la maison et scruta les alentours. Ils étaient en pleine campagne. Une petit chemin de pierre démarrait sur le pas de la porte pour aller se perdre quelques mètres plus loin, à l'orée d'un bois. Duo suivit le chemin du regard avant de s'y engager. Devant lui, juste à l'entrée du bois, se dressait un immense saule, dont les branches semblaient crouler sous leur propre poids, mais qui pourtant s'étendaient gracieusement vers le ciel. Le jeune homme se sentait irrémédiablement attiré vers cet arbre. Il sentait émaner de lui une force tranquille, quelque chose de rassurant. Il voulut grimper mais le tronc large, rendu glissant par la pluie, n'offrait aucune prise.
Duo leva alors tristement les yeux vers les hautes branches. Il aurait voulu s'installer entre celles-ci, se sentir enveloppé, protégé.
Ses pensées se tournèrent vers Heero. Heero qu'il ne comprenait vraiment plus. Depuis quelques jours, il parlait beaucoup aux autres pilotes. Cela lui semblait étrange de la part d'iceberg-man, comme il s'amusait à le surnommer. Mais alors pourquoi ? Pourquoi avait-il été si virulent dans la chambre ?
Il me prend pour un imbécile! Le baka qui ne sait jamais se taire ou rester tranquille. Il a pourtant vu Shinigami à l'œuvre ! Il sait que je suis efficace en mission, alors pourquoi ?
Peu après le briefing, Duo avait voulu remonter dans la chambre pour voir ce que fabriquait Heero, mais à peine était-il entré que le soldat parfait, posté devant son portable, l'avait durement rembarré:
- Duo, sors d'ici !
- Euh Heero? Hello ! C'est aussi ma chambre je te signale. Je veux juste…
- …Me faire perdre mon temps ? J'essaye de planifier la mission comme tu peux le voir. Je ne passe pas ma vie à ne rien faire !
- Hee-chan ?
Heero faisait face au bureau, dos à la porte. Il n'avait même pas pris la peine de se retourner pour s'adresser au natté :
- Heero ! c'est Heero mon nom ! Sors!
Duo n'avait pas répondu pas et était redescendu au salon, tentant de chasser cette boule qui se formait au creux de son estomac.
Heero, quant à lui, avait continué de fixer sans le voir l'écran de son ordinateur.
Je sens bien que quelque chose ne va pas. Qu'est-ce qui m'arrive ces derniers jours ? Qu'est-ce qui m'appris de parler si ouvertement à Quatre ? Je dis tout haut ce que je pense, sans même prendre le temps d'y réfléchir. Heureusement que je fais particulièrement attention avec Duo. Je ne veux pas être dans la même pièce que lui tant que ça ne sera pas passé. K'so !Pourquoi ais-je déversé sur lui toute mon agressivité ? C'est de sa faute ! C'est de sa faute si je ressens autant de choses, si je parle trop…Baka ! Le plus important : les missions, c'est ça le plus important. Il faut que je pense avant tout aux missions. Je ne peux pas m'empêcher de ressentir, mais je dois pouvoir continuer à le cacher…comme avant.
Le corps du soldat s'était tendu imperceptiblement avant de se décontracter. Heero l'ignorait, mais cela voulait dire que son organisme avait finalement accepté le nouveau produit qui coulait dans son sang.
Maintenant qu'il n'était plus désinhibé, cela allait être facile de recommencer à cacher ses émotions.
Perdu dans ses pensées, Duo ne sentit pas la pluie s'intensifier et n'entendit pas le grondement sourd annonciateur de l'orage qui se profilait au loin. La seule chose qu'il Duo pouvait percevoir, c'était le nœud au fond de sa gorge et le vide dans ses poumons. Retenant sa respiration, ils se répétait inlassablement, telle une litanie :
Boys don't cry, boys don't cry!
Il détestait pleurer, mais ce qu'il détestait par dessus tout, c'était ce sentiment de vulnérabilité et d'impuissance qui accompagnait généralement ses larmes. Il voulait être plus fort, moins sensible, comme lorsqu'il tuait. Il voulait être shinigami, le Dieu de la mort, celui qui ne pleure pas.
Sa tristesse se mua peu à peu en une colère sourde et irrationnelle. Il se mit à hurler :
- Boys don't cry ! Baka! Tu as raison, c'est exactement ce que je suis. Shinigami no baka, Duo no baka! Mais pas tout à fait, et je te le prouverai, Heero.
A cet instant, tout s'enchaîna très rapidement. Un éclair déchira le ciel ; l'orage était là, juste au dessus. Submergé par sa colère, Duo tomba accroupi face à l'arbre, tous ses muscles étaient tendus à l'extrême. Sans réfléchir, il se ramassa sur lui même et effectua une forte poussée sur ses jambes.
Il n'eut pas le temps de comprendre ce qui arrivait qu'il était déjà dans les airs, à trois mètres du sol. La seule pensée qui lui traversa l'esprit à ce moment-là était qu'il voulait à tout prix se réfugier dans le grand saule. Son instinct le poussa alors à tendre les bras vers l'avant, cherchant ainsi à agripper le tronc de l'arbre.
Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il découvrit que ses ongles, bien plus longs et durs qu'à la normale, étaient profondément plantés dans l'écorce humide.
Comprenant qu'il ne risquait pas de tomber, Duo continua son ascension en se servant de ses ongles, étonnement proéminents.
Une fois la branche de son choix atteinte, le natté se cala confortablement sur celle-ci, reposant son dos contre le large tronc du saule.
Il fixa alors ses mains, ses doigts, ses ongles… Tout à fait normaux.
Ben ça ! J'ai des hallucinations ou quoi ? Mes ongles, ils ressemblaient à des…griffes ? J'ai rêvé ? Non, sinon comment j'aurais fait pour arriver jusqu'ici ? Faut vraiment que ça m'arrive à moi ce genre de trucs ; c'est pas possible ! Qu'est-ce qu'ils vont encore dire les autres ? Bah…si je ne dis rien…Oui c'est ça, mieux vaut se taire et attendre. Maiseeuuuuh, comment je redescends moi ?
Pendant ce temps, à la planque, l'ordinateur de Heero retentit pour la deuxième fois de la journée.
Après avoir rapidement parcouru les notes qui s'affichaient sur son écran, Heero descendit les escaliers menant au salon.
- Mission. Ce soir !
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TBC
(1) Effectivement, c'est un grand classique que pas mal de fanficeuses utilisent, mais que voulez-vous. On ne se refait pas.
(2) C'est un nom inventé… toute ressemblance avec un produit réel est fortuite :p
(3) Référence à Soul Calibur 2 pour ceux qui connaissent
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Réponse aux reviews :
Julie Zeman :
Alors pour la petite précision, ceci est une review qu'on m'a envoyé par mail. Je la met ici :
«Salut ShinOyasumi. Si je t'écris c au sujet de ton histoire. Comme tu a dis que tu attendais aussi des critiques je vais être clair: j'ai trouvé ton histoire très mauvaise. Je lis des fanfictions depuis minimum 5ans et je n'ai jamais lu quelque chose d'aussi nul. Autant je suis un grand fan de Gundam Wing autant la tu es en train de me dégouter de ce que tu fais avec ma série préférée. Je me demande vraiment si tu a des encouragements pour continuer et si oui si ils viennent d'autres personnes que tes amis car quelqu'un de normalement constitué te dirais d'arrêter avant que tu ne continue a nous martiriser cette pauvre série. J'ai même fais lire ton histoire par mon père qui es éditeur et il dis pareils que moi. Franchement je ne comprend pas pq tu t'entète a continuer sur cette voie là. Tu devrais soit arrêter, soit recommencer quand tu aura évolué. »
réponse : Tout d'abord, je te remercie pour ton honnêteté. Cependant, ce n'était pas nécessaire de pousser jusqu'à faire lire mon histoire par ton père (éditeur hum hum ), ce n'est qu'une petite fic sans prétention, et ma première qui plus est ! Pour répondre à ta question, les rares reviews que j'ai reçu jusqu'à présent ne viennent pas d'amis à moi, mais de personnes que je ne connais pas.
Je ne prétend pas être une super pro de GW, ni écrivain. Ensuite, me dire que ma fic est complètement nulle et d'arrêter ne va absolument pas m'aider à m'améliorer ! Quand je parlais de critiques, je parlais de critiques CONSTRUCTIVES et si tu pouvais me dire plus précisément ce qui te dérange, ça serait mieux. Voilà, malgré la grosse claque que tu m'as mise, j'ai décidé de continuer pour les rares personnes qui me lisent, que je remercie au passage.
J'espère malgré tout que ton avis changera si tu lis la suite. Je vais persévérer et, si tu me donnes des conseils plus constructifs, je me ferai un plaisir de les suivre. Ja ne.
Ariane-Maxwell-Shinigami : Merci beaucoup pour ta review. Dieu sait que j'ai besoin de remarques positives en ce moment !!! :p Je suis contente que tu aies aimé le début de ma fic. Merci aussi de m'avoir prévenu pour les reviews anonymes, je n'y avais pas fait attention.
Fuu-san : Je suis super contente que tu suives ma fic ; ça me fait vraiment plaisir et figures-toi que c'est en grande partie grâce à toi que j'ai décidé de continuer. Arigato !
Kyralya : Marchi pour ta review par mail! Je suis contente que tu suives ma fic, mais je peux pas te prévenir des updates parce que, comme je te l'ai dit, je peux plus envoyer de mails (pour l'instant). Tu trouvais Hee-chan trop bavard ? Tu vas comprendre pourquoi dans ce chapitre. Ja ne.