Disclaimer : Sont pas à moi, mais ça n'empêche pas d'écrire sur eux, ne ! (les pauvres :p)
Notes de l'auteur : J'espère que ça vous plaira !
Les réponses aux reviews se trouvent en fin de chapitre ! Fighto! :p :
Chapitre 23 : Sous l'eau
Heero et Duo échangèrent un dernier baiser sur le pas de la porte, encore avides du goût de l'autre. Ils se séparèrent à contrecœur afin d'insérer la clef dans la serrure, le plus silencieusement possible. Il était près d'une heure du matin, et les autres devaient probablement dormir depuis longtemps. Ce fut donc le plus discrètement possible que Duo ouvrit la porte, malgré le grincement plaintif des vielles charnières mal huilées.
- On aurait dû utiliser du lubrifiant, murmura Duo.
Il regretta ses paroles, avisant l'expression mi-gênée, mi-soucieuse du Japonais. Ce dernier baissa les yeux, ne sachant quoi répondre.
- Pour la porte, Hee-chan ! Précisa le natté.
Heero releva un regard soulagé avant de s'avancer vers Duo pour lui ravir à nouveau ses lèvre douces et tendres, dont il avait de plus en plus de mal à se passer. Ils interrompirent leur baiser afin d'entrer dans l'appartement plongé dans la pénombre. Ils déposèrent doucement leurs affaires sur le sol, mais ils furent surpris par une lumière aveuglante, que leur équipier venait d'allumer.
Quatre se tenait, debout au milieu du salon, les scrutant d'un regard semblable à celui d'une mère venant de surprendre ses enfants faire le mur. Duo déglutit avant de se retourner vers son soldat, sentant que le jeune arabe n'allait pas tarder à leur faire la leçon.
Trowa était assis sur son lit. Le visage reposant dans sa paume, il esquissait un sourire amusé. Il semblait beaucoup moins mécontent que le jeune empathe. Quant à Wufei, il n'était visible nulle part. Quatre s'avança d'un pas rageur vers ses amis, affichant une expression exaspérée.
- Duo ! Heero ! Vous vous rendez compte qu'on s'inquiétait ? Vous auriez pu prévenir que vous aviez l'intention de… d'être aussi longs !
- Mais c'était pas prévu Quat-chan, argua Duo, ne pouvant empêcher un petit sourire niais de fleurir sur son visage.
Heero, quant à lui, restait silencieux, arborant un mystérieux sourire en coin. Duo continua :
- Et puis d'habitude tu utilises ton empathie pour savoir si on va bien, ça aurait dû te rassurer, non ?
A ces mots, le petit blond vira au cramoisi, tandis que Trowa émit un léger ricanement, regardant ailleurs pour éviter de croiser le regard interrogateur du soldat.
- Je…, commença le jeune empathe, justement, j'ai utilisé mon empathie ; je suis même entré en contact direct avec l'esprit de Heero, sans doute parce qu'il utilisait son pouvoir au même moment!
- Et ben alors ? (1) T'as pas réussi ? T'aurais dû savoir qu'on allait bien, répondit Duo.
Le rire de Trowa redoubla, tandis que Heero sentait à son tour le rouge lui monter aux joues, priant pour que Duo se rende compte de l'énormité qu'il venait de dire. Quatre, quant à lui, explosa, exaspéré par le manque de compréhension de l'américain :
- Ah oui ! C'est clair que vous alliez bien ! Entre : « Mmmmm… Duo, continue… Kami-sama » et « Mmmmm…Heero, refais-ça…Oh my God», IL ETAIT INDUBITABLE QUE VOUS ALLIEZ PLUS QUE BIEN!
Duo écarquilla les yeux avant de bredouiller quelques mots d'excuses inintelligibles. Ne sachant quelle attitude adopter, Heero lança un regard presque suppliant au mercenaire. Ce dernier éleva l voix :
- Tenshi, c'est pas dramatique. Ils pouvaient pas prévoir.
Le jeune arabe se tourna alors vers son amant. Croisant son regard il soupira :
- Mais si ! Tu te rends compte qu'on a été obligé de mettre Wufei à la porte !
Alors que Duo se passa une main sur le front, hésitant entre éclater de rire et renouveler ses excuses, ce fut au tour du soldat de louper l'allusion :
- Hn. Mais je vois pas trop le rapport avec Wufei, déclara-t-il, stoïque.
- Vos…heu… Vos émotions lui ont fait pas mal d'effet, argua le mercenaire, un sourire en coin.
- Ah, répondit le soldat, avisant le petit blond qui baissait la tête, extrêmement gêné.
C'en fut trop pour Duo qui se laissa aller à rire aux éclats, bientôt rejoint par ses trois équipiers. Il fut convenu que la prochaine fois, Quatre attendrait un cas de force majeure avant d'encore sonder l'esprit du japonais quand il était en compagnie de Duo. Ils ressortirent aussitôt afin d'aller chercher Wufei, qui traînait dans un bar, non loin de là. Ce dernier s'abstint de tous commentaires, si ce n'est l'exigence d'obtenir une planque avec plusieurs chambre dès la fin de leur mission.
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Ces deux-jours avaient filé comme l'éclair, entre la recherche d'une nouvelle planque et le voyage, ils n'avaient pas vu le temps passer, jusqu'à en prendre conscience, juste là, sur ce petit bateau qui les entraînaient vers leur dernière mission pour les Mads. Les Gundamns n'étaient pas nécessaires ; ils avaient voulu faire d'eux des surhommes, des pilotes surentraînés : Ils allaient être surpris.
Tandis que Trowa était à la barre, Heero repassa une dernière fois en revue l'ensemble des opérations avec ses équipiers, les yeux rivés sur un plan détaillé :
- Duo, tu as bien le disque ?
- Oui, dans ma combinaison, répondit le natté.
- Bien. Trowa, arrête le bateau et vient nous rejoindre, ordonna le soldat, professionnel.
Le jeune mercenaire s'exécuta et pris place aux côtés de son amant sur l'une des banquettes humides et inconfortables. Le soldat ancra son regard dans celui du français, voulant s'assurer une dernière fois de sa détermination :
- Trowa, t'es sûr que tu veux toujours le faire ?
- Hm. Répondit le français, son regard empli de cette lueur victorieuse en disant plus long que ses mots.
- Bien. Quels sont tes derniers temps ?
- Je tiens deux minutes trente si je dois nager. Ca peut grimper jusqu'à trois minutes si je reste immobile.
- Tu sais que tu devras nager, au moins jusque là. Quatre ? Quels sont ses temps en ce qui concerne les codes ? Reprit le soldat.
Le petit blond attrapa le carnet rangé dans son sac et le parcourut du regard :
- Si c'est un boîtier simple, modèle standard, code à quatre chiffres, ça varie entre 15 et 25 secondes, si c'est un code à six chiffres, on grimpe jusqu'à 35-40 secondes.
- C'est bien certain qu'il n'y a pas plus de chiffre ? Demanda Wufei, resté silencieux jusque là.
- Pas pour ce genre de système, répondit Duo. D'après les recherches qu'on a faites avec Heero, les distributeurs n'ont pas encore mis de boîtiers plus évolués sur le marché, mais on n'est jamais sûr à cent pour cent.
Le petit blond pâlit à vue d'œil, tandis que le mercenaire passait une main apaisante le long de son dos. Quatre lança un regard suppliant à son amant.
- Tenshi, tu sais bien qu'on peut pas faire autrement. On a retourné la situation dans tous les sens. Le seul moyen de désactiver les compteurs de secours est de d'atteindre le boîtier situé sous le bateau, déclara Trowa d'un ton calme.
Quatre ne répondit pas, la gorge serrée. Il connaissait les conditions. Chacun d'eux le savaient : ils étaient des soldats avant tout, pas question de jouer au petit ami inquiet, en aucun cas. Bien qu'ils ne laisseraient jamais l'un des leurs en difficultés, ils devaient être capable de prendre des risques.
- Putain de merde, râla Duo, ces vieux cons ont pas trouvé mieux qu'un navire comme centre de recherche !
En effet, après avoir effectué bon nombre d' investigations, les pilotes avaient découvert le lieu d'où émettaient leurs mentors : un navire hautement protégé, en plein milieu de l'océan pacifique. C'était également là qu'était livré, plusieurs fois par an, du matériel de haute technologie, utile à leur protection ainsi qu'aux recherches qu'ils semblaient mener. Le laboratoire dans lequel les Mads recevaient habituellement les pilotes s'était avéré être un leurre, ou tout au plus un labo de passage.
Plusieurs systèmes de sécurité évolués avaient été mis en place, comprenant alarmes et radars. Ils ne comportaient aucune faille, si ce n'est le besoin constant d'électricité, apportée par un convertisseur placé en salle des machines, d'après leur plan. Duo était chargé de faire griller le convertisseur de base, mais une unité de secours avait été mise en place, impossible à localiser. Le seul moyen de la désactiver était d'entrer le code exact dans un petit boîtier situé sous le navire. Trowa était le seul capable de nager assez vite et assez longtemps sous l'eau afin de s'occuper du boîtier. C'était à lui que revenait cette part de la mission. Il n'y avait pas d'autre choix possible.
Le natté se plaça à côté de Quatre, tandis que Trowa se levait, mettant en place sa combinaison. Il ne portait pas de bouteille d'oxygène, le métal étant trop facilement repérable par les radars installés sur le navire des Mads. Le jeune japonais lui donna les dernières indications :
- Là on est à un kilomètre du navire. A environ 150 mètres, soit environ 8 minutes après que tu sois entré dans l'eau, commence à nager sous la surface, au cas où il y aurait des gardes faisant le guet. Tu te rappelles bien où se trouve le boîtier ?
- Hm. Sous la coque, près de la salle des machines, à l'avant. (2)
- Bien. Fais bien attention à passer sous le bateau par l'avant ; l'hélice arrière te laminerait. Nager à cet endroit sera beaucoup plus compliqué en raison du courant, ne l'oublie pas et ne gaspille pas tes forces.
- Hm. 11 minutes après mon départ, Duo grille le convertisseur, c'est bien ça ?
- Hn. Les sécurités seront mortes, ainsi que le radar, répondit le soldat.
- Vous pourrez donc vous approcher sans vous faire repérer si vous arrivez par derrière. J'attends que l'hélice s'arrête et je rejoins l'arrière du bateau, où je pourrai remonter à la surface.
- Oui, mais tu seras complètement mort après ces efforts, intervint le natté. Au cas où tu sens que t'as plus de force, il y a une échelle à cet endroit ; elle va jusque dans l'eau. Tu peux t'y attacher à avec ça.
Il tendit au mercenaire un harnais en plastique solide, tandis que Wufei passait une corde autour de sa taille.
- Harnais en plastique indétectable made-in-Wu man, plaisanta le natté, essayant de détendre l'atmosphère plus que pesante.
- Merci Wufei, murmura le mercenaire.
Le jeune chinois lui fit un signe de tête et plaça sa main sur son épaule.
- Pas de quoi. On te fait confiance Trowa. T'as intérêt à assurer pour la mission, répondit le jeune asiatique, finalement bien plus inquiet pour son ami que pour leur mission.
Duo fit de son mieux pour arborer ce sourire encourageant lorsqu'il fit signe à Trowa que tout irait bien. Ils avaient tout prévu dans les moindres détails, inutile de s'inquiéter. Heero lui répéta pour la énième fois la distance à parcourir, le temps qu'il ne devait pas dépasser, et tous les petits détails qu'il devait garder en tête, avant de le laisser enlacer son petit blond.
Quatre ne pouvait pas s'empêcher d'être inquiet pour la suite des évènements, comme toujours lorsque l'un de ses équipiers partait effectuer une mission dangereuse. Mais là, c'était Trowa. Il sentait son cœur s'affoler dans sa poitrine alors que le grand brun passait doucement ses bras puissants autour de lui, l'emprisonnant dans un cocon rassurant, signe qu'il n'aillait pas tarder à partir.
Occultant les autres pilotes, qui détournèrent le regard dans un souci de pudeur, Quatre releva le visage et déposa ses lèvres sur celles de son amant, murmurant doucement contre celles-ci :
- Fais attention, hein. Reste calme, et puis… oublie pas que… je suis là, acheva-t-il en baissant la tête.
Le jeune mercenaire lui releva doucement le menton du bout des doigts, plongeant son regard dans deux aigues-marines soucieuses. Il esquissa un léger sourire avant de serrer fort son ange contre lui, murmurant au creux de son oreille.
- Pense déjà au thé que tu vas préparer quand on rentrera, sourit-il, je t'aime, tenshi.
Quatre sourit brièvement, et puis son cœur se serra. Il n'eut pas le temps de répondre ni de sentir ce vide tout autour de lui, que le mercenaire était déjà dans l'eau. Il leur fit un signe de la main avant de commencer à s'éloigner.
Duo passa son bras autour des épaules de Quatre, lui murmurant des paroles rassurantes, tandis que Heero suivait la progression de Trowa, les yeux rivés sur le chronomètre. Il était secondé par Wufei, muni de jumelles.
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Huit interminables minutes s'égrenèrent doucement, avec l'extrême lenteur du temps qui passe quand on le regarde attentivement s'écouler. Quatre était à présent debout aux côtés de Heero, suivant les mouvements du mercenaire à l'aide de jumelles. Dieu que Trowa avait l'air seul, nageant au milieu de cette étendue insondable. Il avait été plus lent qu'à l'habitude durant les premiers mètres, mais son rythme s'était rapidement accéléré afin de rattraper son retard. Il n'allait pas tarder à plonger sous la surface, d'après sa position.
- Comment va-t-il ? Demanda le soldat.
Depuis leur entraînement, Quatre était perpétuellement connecté à Trowa afin de pouvoir se raccrocher à lui en cas de crise d'empathie. Le mercenaire était devenu son ancre, son attache, l'endroit où il se sentait en paix ; il était donc aisé pour le petit blond de sonder son esprit.
- Il va bien pour l'instant. Il semble confiant. Mais il y a un genre d'appréhension. Je pense que c'est peut-être dû au fait qu'il va entamer la partie sous l'eau.
- Hn. Il se débrouillera bien, murmura Heero.
Le jeune mercenaire évoluait avec aisance dans l'eau, malgré la fatigue qui le gagnait peu à peu. Nager à toutes vitesses dans une piscine était une chose, faire face aux vagues et aux courrants en pleine mer, c'était tout à fait différent, bien plus épuisant. Il parvenait néanmoins à garder une vitesse constante, l'esprit fixé sur son objectif, dérivant parfois vers cet adorable petit blond qui l'attendait avec inquiétude. Trowa redoubla d'efforts. Il allait devoir plonger et passer sous le navire par l'avant, le tout en retenant sa respiration pendant plus de deux minutes. Inspirant une dernière grande goulée d'air, il plongea la tête sous l'eau tout en ajustant son masque. Il glissa rapidement vers l'avant du bateau et eut tôt fait de rejoindre l'endroit où se trouvait le boîtier. Il se tint à une poignée située juste au-dessus de lui afin d'économiser ses forces. Ce faisant, il examina le nombre de chiffres à introduire.
MERDEEcarquillant les yeux, il laissa une grosse bulle d'oxygène s'échapper d'entre ses lèvres. Sentant qu'il n'allait pas tenir éternellement, Trowa s'agita, perdu sous cet énorme navire, seul au milieu de toute cette eau.
- TROWA !
Soudain, un bruit mat se fit entendre alors qu'une paire de jumelles s'écrasait sur le sol. Tous dirigèrent leur regard vers le petit blond, qui maintenait sa main fortement serré contre sa poitrine. Duo et Wufei regardèrent la scène, pétrifiés, tandis que le jeune empathe laissait à présent quelques larmes se frayer un chemin le long de ses joues. Ses mouvements étaient désordonnés, saccadés, alors qu'il articulait d'une voix étranglée :
- Il panique, il panique bordel ! Qu'est-ce qui se passe ? Trowa !
La panique de son amant se mêlant à sa propre angoisse, le petit blond perdait totalement ses moyens. Heero fut le seul à garder son sang froid. Il fallait aller vite, très vite. Attrapant le jeune empathe par les épaules, il le secoua légèrement :
- Quatre ! Reprend-toi ! Tu vas pas l'aider comme ça ! Qu'est-ce qui se passe ?
- J'EN SAIS RIEN, hurla le petit blond, complètement désemparé, JE SUIS EMPATHE, MERDE ! JE SUIS PAS TELEPATHE !
Lâchant Quatre, Heero se concentra au maximum, tentant d'ordonner à Trowa de lui ouvrir son esprit, sans succès. Une idée le traversa soudain. Se retournant à nouveau vers Quatre, il murmura d'une voix douce mais autoritaire :
- Quatre, écoute. Je peux pas l'atteindre. C'est avec toi qu'il est connecté. Calme toi et ouvre ton esprit au maximum. Même si c'est douloureux, laisse-toi envahir par ses émotions.
Le petit blond s'exécuta, sentant aussitôt un flot de sensations le parcourir, la peur, la panique, la solitude, mais aussi cet amour qui ne le quittait jamais. Quatre lutta à nouveau pour empêcher ses larmes de couler alors qu'il ressentait l'étendue des sentiments de son amant. Doucement, Heero vint poser sa main sur l'épaule du jeune empathe dans un geste rassurant.
- Maintenant, laisse-moi lire en toi, reprit le jeune soldat.
Heero puisa alors ce qu'il y avait de plus rassurant en Quatre, son amour pour le mercenaire, cette infinie tendresse, les mots qu'il aurait voulu prononcer. Ils ordonna ce fourmillement de pensées avant de rassembler sa concentration, tournant entièrement son pouvoir vers Trowa.
Tout se passait si vite, et pourtant chaque seconde semblait durer une éternité. Le jeune mercenaire se mit à trembler, submergé par la panique. Ses mouvements n'étaient pas coordonnées alors qu'il tentait de maintenir le boîtier dans sa main. Il n'arrivait pas à fixer son attention sur les chiffres, son esprit refusant de tenter les différentes associations possibles. Il y avait sept chiffres à entrer, soit un de plus que le maximum prévu au départ. Trowa savait parfaitement que le nombre de combinaisons possibles s'en retrouvaient considérablement augmenté. Il devait se calmer et commencer à noter mentalement les observations qui lui permettraient de trouver le code, mais n'y parvenait pas. Il laissa s'échapper à nouveau un peu d'oxygène, sentant ses poumons brûler douloureusement alors qu'il luttait pour oublier le besoin de respirer.
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TBC (pas taper, la suite arrive bientôt !)
(1) Mdrrr, ta tronche nee-chan ! (sorry private joke)
(2) Je pense que techniquement, de nos jours, la salle des machines se trouve à l'arrière d'un navire. Mais bon, ceci est une fic… et il fallait que cette maudite salle soit à l'avant, alors gomen pour cette petite imprécision.
Réponses aux review :
Miss Faust : Yatta! soulagée . Je suis vraiment contente que ça te plaise, cette scène m'angoissait pas mal ! Lool, nope, pas de déesse de l'inspi, juste l'envie de finir cette fic histoire de pouvoir disparaître de la circulation pendant quelques temps pour mes exams . Micii pour ta gentille review. Ja ne Kawa !
Kaorulabelle: Micii!
Gayana: J'ai déjà répondu à tes questions plus précises, ne. Une façon d'écrire à moi ? blush . Waouw ! Ca c'est un beau compliment ! C'est génial que mon lemon (le 2ème yatta ,lol) t'ait plu. J'ai essayé qu'il ne soit pas trop similaire au précédent… casse-tête. lol ! Arigato !
Elenea Raberba Winner : PTDRRRRRR. Alors là ch'uis éclatée! Lool… Ravie que ce chapitre t'ait plu et ait fait « monter la température » loool.
Shinigamie Yuy : Meci beaucoup ! Je me dépêche pour la suite, comme toujours :p
Mimi yuy : Micii Mimiiii ! Tu sais bien à quel point tes reviews me font plaisir ! Et bravo pour la fin de « Tatouage » !
Shirna : Arigato ! Merci pour ta review adorable !
Jeri Kali : Lool, j'ai réussi à te faire « baver ». Ca me fait plaisir que tu aimes mes descriptions ! Ja ne
Larodeuse : Micii. Vi t'as raison, un peu de douceur, ça fait du bien !
Mithy-Jedi (lool) : Encore merci à toi! Continue aussi à nous faire de merveilleux lemons remplis de sentiments et de hum… sensations. lol ! Ja !
Ruines : Lol, naan, je n'ai pas écrit ce chapitre uniquement pour le lemon. Il contient tout de même la fin des explications de Quatre et la mise en place d'un « nouvelle mission », même si c'était pas encore tout à fait expliqué. Je suis contente que ma fic te plaise toujours et que tu aies aimé ce passage. Arigato !
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