Bon, je vois la même question parcourir vos lèvres à tous. (oui, en effet, même si je ne vous vois pas) Qu'est-ce que c'est que ce délire??? L'histoire du SDA en plus débile avec les persos d'HP. vous allez comprendre, vous en faites pas. Je tiens à m'excuser auprès de vanillah1, qui a écrit une autre parodie (toutes les parodies du SDA en français de ce site sont excellentes... La mienne y fera-t-elle exception?) et qui l'a arrêtée. Mais des trucs pareils, j me suis dit que je pouvais pas les laisser comme ça. Bon, lisez, vous verrez ce que c'est... Au passage, le tout début n'est pas trop super, faut avancer pour se marrer... Et le seul mystère de cette fic pour qui a vu ou lu le SDA reste qui sera quel personnage. Déjà, on a l'évidence: Frodon Sacquet est Harry Potter, et le livre favori de Harry Potter est bien entendu Frodon Sacquet à l'École des Sorciers. Bref, bref, je vous laisse lireuh.
Disclaimer: L'histoire appartient à Tolkien et la plupart du déroulement à Peter Jackson et à toute sa bonne équipe. Tous les persos (à part l'elfe dénudée) appartiennent à JKR. Ceci n'est pas fait pour gagner du fric, donnez-moi du fric si ça vous chante mais pas à cause de cette fic.
Bon, et rating: jurons en abondance, allusion à des choses pas très catholiques
Bonne lecture! (j'espère)
"Le monde est en train de changer...Je le vois...euh... partout, suffit d'être attentive."
Il y a longtemps, en la Terre du Milieu, des anneaux furent forgés.
3 furent donnés aux elfes, êtres de beauté suprême, ect, comme peuvent en témoigner toutes celles qui ont croisé le regard de Legolas. (enfin, de son équivalent...vais pas le dire maintenant, qu'est-ce que vous vous imaginez?)
7 furent donnés aux nains, rois de la Terre et de l'alcool
Et 9, 9 anneaux furent donnés aux hommes, qui cèdent facilement à la tentation blablabla.
Et ainsi le pouvoir fut partagé.
Mais Voldemort se forgea un anneau Unique, très puissant, dans lequel il mit tout ce qui restait de feu son cÏur. Ainsi, il reigna sur La Terre du Milieu!
Alors, il y eut l'ultime alliance des hommes et des elfes, qui combattirent contre le terrible Voldemort et ses hordes de Serpentards.
Voldemort arriva et fit voler tout ce qui n'était pas "Serpentard"
Alors que tout espoir était perdu, et que le noble Armando Dippet s'effondra, Godric Gryffondor, son valereux fils prit sa célèbre épée et coupa le doigt de Voldemort qui avait l'anneau. Pour une raison mystérieuse, ce dernier se dématérialisa (Voldemort, pas l'anneau), alors qu'on est peu habitué à voir des gens se dématérialiser quand on leur coupe le doigt, ne laissant que son doigt, qui fumait autant que feu son possesseur (c'est à dire beaucoup).
Gryffondor fut émerveillé par l'anneau, ce magnifique anneau si beau, si sexy, si...(si il se le mettait sur le biiip? MAIS NAN!_)
Donc il se le suspendit à une chaîne, l'exhibant fièrement l'anneau unique pur or sur son torse. Mais bon. Les voleurs, tout ça... Vous savez, à cette époque on crevait la dalle. Et voir Godric en très bonne santé, juste gras comme il faut, ça leur a donné faim. Du coup, les voleurs l'attaquèrent, et le brave Gryffondor perdit l'anneau qui tomba dans le fleuve, et Godric partit à sa rescousse, mais une flèche lui transperça le dos.
"Merde, pour une fois qu'on avait à bouffer!_" grognèrent les voleurs en voyant Gryffondor emporté par le courant.
Il fut alors découvert par Kreattur et Dobby, deux paisibles hobbits, les oreilles fraîchies par le vent, les poils des pieds remplis de poux. Ce fut Dobby qui l'attrappa, tandis que Kreattur regardait d'un regard gourmand un beau ver de terre frétillant (miam miam! :D).
"Regarde c'que j'ai trouvé!O_O" dit Dobby en montrant le bel anneau étincellant de beauté à son frère.
"P'tain qu'il est beau! File-le moi!^^"
"Nan c'est moi qui l'ai trouvéeuh!_"
"File-le moi! L'est très beau je le veux!___"
"Naaaaan!!!_____"
Et là, il y eut bagarre. Bagarre que Kreattur gagna en étranglant Dobby. (ben ouais, que voulez-vous, il lui avait marché sur la gorge alors...) Et là il eut l'anneau et s'exila. Il le garda des millllllllliieeeeeers et des milllllllllieeeeeeeeeeeers d'agnnnnééées!!!!!! Il se pourrit au fur et à mesure. Il en oublia son nom et se mit à se nommer lui-même "Queudver! Queudver!" à force de tousser comme ça. Et vous savez ce qu'il faisait pendant ce temps??? Il tripotait son anneau, le con!
C'est pourquoi il est très compréhensible que l'anneau en eut au bout d'un moment marre d'être caressé par Queudver avec son haleine pourrie et ses passes-temps particulièrement variés. Lui, ce qu'il voulait, c'était retourner avec Voldemort! Lui il savait s'en servir! Fabuleusement bien! (hu hu)
C'est pourquoi, un jour, il fit exprès de tomber. Queudver se mit à chialer: "Perduuuuuuuuuuuuuuu! Mon préccieux est perduuuuu!" Et là, devinez qui le retrouva? James Potter, de Pré-Au-Lard. Un hobbit, lui aussi. Après un stupide jeu de devinettes avec Queudver, il récupéra l'anneau, trinquille.
L'anneau resta des tas d'année en possession de James. Et le jour où commence réellement notre histoire, ce dernier fêtait ses 111 ans.
Enfin, pendant que se faisaient les préparatifs, il écrivait son bouquin:
"Grmmmbleubleu. Les hobbits sont un peuple joyeux, ect..."DING DONG! "Harry, va ouvrir! et grmmmllllmmmllll JE CROIS QUE CE N'EST PAS UNE MAUVAISE CHOSE DE FÊTER UNE VIE SIIIMPLE! et blablablabla." DING DONG! "Harry!!!!! Va ouvrir la porteuh! HARRYYYYYYYYYYY!Grouille-toi le môme! "
Pendant ce temps, Harry était en train de fumer de l'herbe (tous les hobbits ADORENT fumer de l'herbe) à côté d'un doux chemin de Pré-au-Lard. Soudain, il entendit une voix de vieux chanter ces vers:
"Poudlard, Poudlard, Pou du Lard du Poudlard
Apprends-nous ce qu'il faut savoir,
Que l'on soit jeune ou vieux ou chauve
Ou qu'on ait les jambes en guimauve,
On veut avoir la tête bien pleine
Jusqu'à en avoir la migraine
Car pour l'instant c'est du jus d'âne
Qui mijote dans nos crânes
Oblige-nous à étudier
Répète-nous c'qu'on a oublié
Fais de ton mieux, qu'on se surpasse
Jusqu'à c'que nos cerveaux crient grâce."
Alors Harry se redressa et aperçut un vieux dans une charrette.
"Dumbledore?:D"(à la ben)
"...Ou qu'on ait les jambes en guimauve...
"DUMBLEDORE?:D"
"...Jusqu'à en avoir la migraine..."
"DUMBLEDORE?????:D"
"...Qui mijote dans nos crânes..."
"DUMBLEDOOOOOREEEEUUUUHHHH?????______"
"...Oblige-nous à étudier..."
Il fallait s'y attendre, il commençait à mal entendre. Harry poussa un gros soupir.
Dumbledore eut alors un grand sursaut et se tourna immédiatement vers Harry. (pas trop tôt!'- -)
"DUMBLEDOOOOOOOREEEUUHHH!!!!!! " s'écria Harry en se jetant dans ses bras. Il renversa le pauvre vieillard de sa calèche. Mais ils se relevèrent sans trop de mal.
"Ha ha ha! Comment vas-tu mon garçon?" demanda Dumbledore en se marrant comme un con.
"Bien! Je suis tellement que vous soyez revenu, Dumbledore! On va fêter l'anniversaire de James! Mais il se comporte bizarrement ces derniers temps..."
Dumbledore tourna la tête.
"Il arrête pas de trifouiller des cartes et tout... Il croit que j'ai rien remarqué! J'ai l'air si con que ça?"
"C'est cela, oui..." marmonna Dumbledore.
Pendant ce temps, James cherchait actimevent quelque chose (Harry?).
"OÙ EST-IL PASSÉ???"*musique excitée*"AHHHH! AHHH!!!!O_O" Il toucha un truc dans sa poche. L'anneau. Il lui fit un tendre baiser. (pauvre anneau...) Et il le serra dans sa main pendant encore 3/4 d'heure.
Dumbledore, pendant ce temps, continua à fumer son herbe.
"Vous voulez rien me dire, hein?'- -" bouda Harry.
"Aaaahhhh, que j'aime Pré-au-Lard, avec ses ruisseaux, ses prairies verdoyantes!" Dumbledore s'extasia sur la beauté de Pré-Au-Lard pendant encore un bon moment. Et Harry n'était pas le seul à être content! Des gosses crièrent: "Les feux d'artifices, Dumbledore!:D", et donc Dumbledore en envoya, sans voir qu'il venait de mutiler les pauvres gamin. Et ça fit rire Flitwick, l'ancien, ce qui ne plut pas à sa femme qui le regarda d'un air furieux.
"Bon, je m'en vais", dit au bout d'un moment Harry qui en avait ras le bol de rester avec ce vieux.
Et Dumbledore arriva enfin devant le Terrier, la demeure des Potter.
Dumbledore le Gris frappa avec sa canne. Toc toc toc.
"Il n'y a personne dans cette maison! Je suis pas là! J'ouvre ni aux amis ni à personne!"
Dumbledore pensa que l'âge avait fait perdre une bonne partie du résidu de cerveau qu'avait James.
"et que dites-vous des très vieux amis? " demanda-t-il.
James ouvrit la porte en trombe.
"Dumbledore!? "
"Non c'est Mc Go. "
"C'est vrai???? "
"Mais nan, c'est moi Dumby. James! 111 ans vieille peau! Ça alors, vous n'avez pas pris une ride, c'est dingue!!!" s'exclama Dumbledore en s'agenouillant devant le minuscule James Potter.
"Entrez, entrez!" s'exclama-t-il en courant à toute vitesse. "Vous voulez du jus de citrouille? Si vous préférez j'ai du Whisky pur feu! Le plus fort de Pré-Au-Lard, il est presque aussi vieux que moi! Hé hé!"
Pendant que James continuait son baratin, Dumbledore était en train de se cogner contre les murs. Entre deux cognages de plafond, il aperçut des cartes et puis James demanda soudain d'un ton mystérieusement moins con que juste avant:
"Vous voulez des chocogrenouilles?"
"Non, non, du jus de citrouille, ce sera tout..." dit sagement Dumbledore en cachant les belles cartes qu'il regardait derrière son dos.
"Ok." dit James que l'apparition soudaine de Dumbledore avait fait sauter au plafond.
"Harry se doute de quelque chose... Il est quand même moins con qu'il en a l'air..." expliqua Dumbledore.
"Ah, ouais..." répondit distraitement James.
"Il vous aime beaucoup..."
"JAMES!!!!!!"
"Je ne suis pas là! " chuchotta James Potter appeuré. "C'est les Dursley! Ils ne me pardonnent pas de vivre plus longtemps! Ils vont hériter de mon argenterie seulement!*"
"Je suis fatigué, Dumbledore", poursuivit-il d'un air accablé. Je vieillis, même on dirait trop pas..."
('oh, si', pensa Dumbledore. 'son cerveau régresse à une vitesse alarmante.')
"Je me sens comme une belle tartine séchée trop longtemps au soleil... Une tartine de beurre... Trop longtemps au soleil... Ah là là, quel gaspillage..."murmura James en tripotant son anneau dans sa poche que Dumbledore regarda avec insistance.
Plus tard, dans la soirée, James s'était un peu réconforté en fumant de l'herbe avec don vieil ami Dumbledore. Ils commencèrent à faire des formes avec la fumée. James Potter fit d'abord une sorte de long tuyau et Dumbledore fit le missile qui passa dedans.
"Je sens que ce soir on va s'amuser...shooooouss!" murmura vaguement James.
*Je sais pas comment j'ai pu me souvenir d'un détail si stupide de ce livre
Quand la fête commença, une musique inoubliable retentit."Pan pan patan! Patan palalala! Pan pan patan! Patan palalala!"
Et tout le peuple hobbit de la Comté dansait connement. Et particulièrement Harry qui commença à faire le mariole sur la table.
Pendant ce temps, Ron Weasley, le jardinier des Potter, regardait en coin la belle Rosmerta qui dansait à quelques mètres de là.
Bien sûr, Harry, qui avait combiné deux facteurs déconseillés pour la santé (fumé 10 pets et bu 15 bouteilles de Whisky pur Feu), ne trouva rien de mieux que de le pousser en sa direction. Par chance elle ne lui foutut pas de claque.
Pendant ce temps, James était en train de raconter aux mêmes petit s que tout à l'heure l'histoire de trolls:
"Ils étaient en train de se demander si ils allaient me faire cuire à la broche ou à la vapeur.Et alors le soleil s'est levé et pouf! Ça a fait des Chocapics!"
Dumbledore était en train de faire des feux d'artifices, ce qui amusaient d'autres petit s.
Pendant ce temps, Fred et Georges, les cousins de Harry, complotaient...
Ils entrèrent dans la tente... Mais pas n'importe quelle tente... Celle des feux d'artifice! Ils voulaient faire péter la plus grosse. Donc ils se faufilèrent discrètement.
"Prends la plus grosse!" reccommanda Georges.
Fred sortit la plus petite du lot.
"Mais non, la plus grosse! "
"Voilààà! "
"Vite! Faisons-la péter! J'allume la mèche! "
Deux secondes plus tard, ils étaient toujours sous la tente, comme des cons, à attendre que ça pète:
"Tiens-là! " dit Georges en la faisant passer à Fred.
"C'était ton idée! AAAAAHHHHH!!!!! " hurla Fred comme une fillette tandis que la fusée décollait.
Un Magyar à Pointes véritable mais d'étincelles se dressa dans le ciel. sur le moment tout le monde était content mais après quand il commença à se jeter vers eux, ils se mirent à gueuler comme des cons en se jetant par terre. Sauf James que Harry accompagnait. "Les dragons ça existe pus!" maugréa-t-il.
La fusée-dragon s'éloigna alors au loin et péta. (explosa, pardon. )
Et là, surprise du siècle, tous les crétins qui couinaient de peur y a encore 10 secondes applaudirent.
"Faisant sauter une autre!" proposa Georges avec malice dans la voix.
Mais Dumbledore avait repéré les intrus!!!
"Georges Brandebouc. Et Frederick Touque.J'aurez dû m'en doûter, crétins..."
Et nos deux farceurs favoris (c'est cela, oui... ) firent la plonge toute la soirée.
Pendant ce temps, tout le monde (et Harry plus fort que les autres) se mit à crier: "Un discours! Un discours, Mr James! "
Fred et Georges voulaient vraiment l'entendre, ce discours. Mais ils pouvaient pas voir à cause de Dumbledore qui les surveillait. Et il disait, pour les faire râler "Passionnant ce discours! ", même si il était pas encore commencé. Mais nos deux petit s farceurs préférés (hem hem ) devinèrent que c'était faux, pour une raison mystéieuse, et pour une raison encore plus mystérieuse, ils devinèrent quand le discours commença réellement et ils parvinrent à le regarder en douce:
"Mes chers Hobbits de Pré-Au-Lard! I love you tous! J'aime la moitié d'entre vous à moitié moins que vous le méritez et l'autre moitié à moitié plus que vous le mértez pas.", s'exclama James.
Tous les hobbits se regardèrent. Il apparaîssait clairement que James Potter devenait sénile.
"J"ai des choses à régler", dit-il en trafiquant son anneau derrière son dos. Harry souriait bêtement. Il était persuadé que son oncle allait sortir un paquet de Dragées Surprise de Bertie Crochue de son dos. "Et alors... Je m'en vais", pousuivit James.
Et pouf! Ça a fait des Choca...Euh, non c'est pas ça. Et pouf! Il disparut. Il avait enfilé son anneau. Harry fut à la fois déçu du fait qu'il n'allait pas avoir de bonbons supplémentaires et quand même surpris de la brusque disparition de James. (et non, il n'est pas si con qu'il en a l'air)
Pendant ce temps, James se baladait connement, tout content d'être invisible. Il se cassa la gueule sur portillon qui menait au Terrier, puis il se prit la porte. sa vue était un peu brouillée avec l'anneau. Il ouvrit la porte, et il enleva l'anneau, pour jouer avec en chantant bêtement. Il courut tout aussi bêtement à travers la maison puis Dumbledore arriva en disant:
"Je suppose que vous vous estimez particulièrement intelligent pour ce que vous avez fait."
"Ben oui! Y a pas de mal!"
"Les anneaux de pouvoirs sont très rares et aucun d'eux ne doit être utilisé à la légère", récita Dumbledore.
"Roh. Mais..."
"Vous allez le laisser à Frodon, de toute façon, non? Où vous l'avez mis?"
"Dans l'enveloppe, sur la cheminée, à côté de la poubelle."
"C'est malin ça, si il tombait dans la cheminée ou la poubelle hein? "
"Non... Yé dans ma poche... "
James regardait avec frénésie l'anneau qu'il venait de sortir de sa poche. "Après tout, pourquoi je l'emporterais pas?"
"Parce que! "
"Il est à moieuh! Je l'ai trouvé, et c'est le mien! Nananèreuh! "
"_... "
"Moooon précccccccieux... "
"Mon précccieux? Vous savez qui a prononcé ça avant vous???? "
"Mais oui, je m'en fous! Vous le voulez pour vous tout seul hein? Bel vous l'aurez pas C'EST MON ANNEAU À MWA TOUT SEUL!!!!! "
"Vous énervez pas... "
"JE M'ÉNERVE PARCE QUE VOUS ME SAOULEZ DUCON! "
Soudain, Dumbledore parut prendre plein de pouvoir, comme une voiture qui vient de faire le plein.
"JAMES POTTER!!!! JE NE SUIS PAS UN MAGICIEN DE PACOTILLE!!!! JE N'ESSAIE PAS DE VOUS VOLER!!! J'essaie de vous aider ", finit Gandalf en se dégonflant.
James se mit à chouiner. "Maieuh... Bon, d'accord, il FAUT que Harry hérite de cet anneau... "
Dumbledore était tout émotionné par tant de remords.
"Bon, il se fait tard, faut que j'me casse! J'vais à Fondcombe, il me tarde d'avoir des belles elfes pour moi tout seul! Allez! Tchô Dumbledore!", dit James en prenant son baluchon et en ouvrant la porte d'entrée.
"James... Vous avez toujours l'anneau... "
"Maieuh!! S'y vous plaîîît! "
"Non, non! Pas question! "
"Bon... "
Faut dire que James était très triste de s'en séparer. Il avait peur qu'un crocodile le croque sans lui. Et puis il était à lui! Néanmoins (tout de suite avec le néanmoins ça fait sérieux ), il le mit sur sa paume qu'il fit pivoter. L'anneau tomba avec un bruit sourd.
"C'EST LUI QUI A FAIT UN TEL BOUCAN??? IL A FAILLI CREVER LE PLANCHER! " s'exclama Dumbledore.
James sortit. Il dit deux ou trois conneries inintéressantes sur son livre, puis dit à Dumbledore:
"Au revoir."
Et il se cassa en chantant l'hymne de Poudlard. "Enfin débarrassé de ce con ", pensâmes Dumbledore et moi.
Dumbledore resta devant le feu en le regardant et à marmonner:"Mon précieux... Les énigmes dans le noir...Mon pécieux... "
C'est alors que Harry arriva. "Dumbledore? James est parti n'est-ce pas?"
Dumbledore continuait à marmonner en fumant son herbe: "Mon précieux, mon précieux... "
"Dumbledore? ", demanda Harry qui s'inquiétait pour la santé mentale du vieil homme.
"Pourquoi t'as pas pris l'anneau? "
"Quel anneau? "
"Mais y a pas 36 anneaux! "
"Ben y en a 17. J'ai fait tomber ma collection que j'ai eu dans les Chocapics... "
Ils passèrent 3/4 d'heure à trouver le bon anneau. Et là Dumbledore put esquisser son sourire et dire:
"L'anneau de Bilbon. Il vous l'a légué. En fait il vous a legué tous ses biens. Le Terrier est à vous! "
"Chouette alors! "
"Mais faites attention! Mettez-le en sûreté!!! "
"J'y veillerais! "
Et ainsi, Dumbledore se précipita à Poudlard, la Cité Blanche, pour regarder les manuscrits de Gryffondor, pour savoir si c'était bien l'Anneau Unique.
Quand il fut arrivé, le concierge lui désigna une pièce qui contenait tout le matériel nécesaire:
"Il est venu à moi, l'anneau de pouvoir... Oui bon, on a compris, pourquoiil le marque 500 fois? Les inscription dessus sont en train de s'effacer... C'est un secret que seul le feu pourra révéler! "
Alors, Dumbledore décida de revenir au Terrier.
"On est pété, on est très cons! Et une bonne bière va nous rendre encore plus pétés!"
C'étaient Fred et Georges qui étaient censés chanter.
Tout le reste des Hobbits se marraient comme des cons.
"Y a des tas de trucs dans les montagnes..." gromella Flitwick. "Des serpentards, des gobelins... Mais faut pas se mêler de tout ça... Sinon, on va devenir toqués comme ce pauvre James! Regardez Harry! Il est toqué, lui!"
"Et fier de l'être! ", s'exclama Harry en servant des bières à tout le monde. Lui-même avait dû en boire une quarantaine au cours de la soirée. "Santé l'ancien! "
Pendant ce temps, Fred et Georges s'étaient mutuellement assomés en brandissant des bières à tout vent.
"Au revoir les garçons!" dit Rosmerta en voyant partir Harry et Ron, quelque temps plus tard. "Au revoir ", bredouilla Ron.
"Hé, Ron, Rosmerta sait très bien qui est abruti et qui ne l'est pas, t'en fais pas... ", le consola Harry.
"Alors j'ai aucune chance, hein? "
Harry ne savait pas trop quoi répondre. Il ne lui dit rien jusqu'à ce qu'ils se séparent (et il dit: "au revoir, Ron..." en rejoignant le terrier)
"EST-IL CACHÉ???? EST-IL EN SÛRETÉ???" hurla Dumbledore lorsque Harry entra.
Ce dernier, avouons-le, frôla la crise cardiaque:
"Au s'cours un monstre poilu!!!! ah c'est vous Dumbledore! "
"Bon, il est caché et en sûreté, oui ou merde? "
Harry murmura un vague "oui,oui " et attrappa l'enveloppe qui contenait l'anneau, posé sur la table bien en évidence, l'anneau qui n'était donc ni caché ni en sûreté. Dumbledore le balança dans le feu.
"AAAAHHHHHHHH!!!PROFESSEUR, C'EST MOI QUE VOUS AVEZ BALANCÉ DANS LE FEU!!! " hurla Harry, en proie de terribles souffrances.
"Merde! " Dumbledore sortit Harry du feu à la hâte et balança, cette fois-ci, l'enveloppe.
"Mais ça va pas la tête! Mon bel anneau tout neuf que c'est mon tonton qui l'a trouvé! "
Dumbledore ne l'écouta pas. Il sortit l'anneau du feu avec des pincettes, puis dit à Harry:
"Prenez-le, il est pas chaud."
"Si moi j'y suis allé dans le feu et c'était très chaud d'abord. "
Sans l'écouter, Dumbledore mit l'anneau dans les mains de Harry qui les avait mis comme si il demandait le corps du Christ au curé.
"Bah ça alors, Dumbledore, vous allez pas me croire il est pas chaud! "
"Ouais ouais... Que voyez-vous d'écrit? "
"Rien... À part 'Made in Azkaban'..."
Dumbledore eut l'air un rien rassuré et continua à fumer son herbe.
"Attendez! Y a des trucs... C'est de l'elfique! "
"Mais non, crétin, c'est du langage maléfique! Ça veut dire: "Un anneau pour les gouverner tous, un anneau pour les trouver, un
anneau pour les amener tous et dans les ténèbres les lier""
"Roh, qu'c'est poétique! "
"J'avais tort ", pensa Dumbledore. "Il est vraiment aussi con qu'il en a l'air... "
Dumbledore se demanda s'il était vraiment nécessaire d'expliquer tout un tas de chose à ce garçon qui de toute évidence avait hérité du cerveau de son oncle, mais il se lança quand même:
"Cet anneau est l'anneau unique, créé par Voldemort, le Seigneur ténébreux."
"Ah parce qu'il a les cheveux noirs!"
"Bon, le seigneur des Ténèbres si tu préfères! Il l'a forgé et il lui a donné du pouvoir. Et maintenant il veut le récupérer."
"Mais il a été détruit! Voldemort a été détruit! "
"Son corps a été détruit, mais son espri persiste. Son oeil, pour être précis. son Ïil...euh, je sais pas lequel. Mais en des milliers de fois plus gros. Et maintenant il est en feu."
Harry était suspendu à ses lèvres.
"Et brrvllr... Mbvrrrllrais décrochffez-fous de mbbvvrlles lvvrèvrrres! "
Harry se décrocha des lèvres de Dumbledore, puis il continua d'écouter.
"Après, c'est Gryffondor, puis Queudver qui l'a eu."
"Et James l'a trouvé??? "
"De toute évidence. Et son maître veut le retrouver. L'anneau est attiré par lui."
"Ah, ils ont des atomes crochus!"
" ..."
Silence, puis Dumbledore eut enfin le courage de continuer:
"Ses esprits servants vont aller le chercher..."
~*Pendant ce temps*~
Des silhouettes encapuchonnées, à cheval, arrivèrent devant chez les Durley qui sortirent en entendant ce raffut.
"Pré-Au-Lard... Potter...", murmura glacialement l'esprit servant de l'anneau.
"Y a plus de Potter ici... sont tous partis..."
Le froid que répendait l'esprit servant de l'anneau (ben ouais tant qu'on les a pas présentés on peut pas leur donner leur vrai nom) s'accentua. Alors Vernon bredouilla:
"Par là. "
~*Revenons au Terrier*~
Pour une fois, Harry comprit tout.
"MAIS ALORS ILS VONT VENIR ICI!!!! faut cacher l'anneau! PRENEZ-LE! "
"NON! ", trancha Dumbledore brutalement.
"Si, je vous le donne, gratuit, avec l'enveloppe intégrée et tout! Et avec la lettre d'amour qu'une elfe a offert à James avec la photo de l'elfe toute nue en bonus!", cria Harry en le tendant à Dumbledore.
"Non Harry ne me tentez pas! Si vous me le donnez, je vais essayer de m'en servir pour sauver le monde mais je ferais que le détruire encore plus, ça serait pas malin! "
"Mais il faut pas le laisser ici! ", s'exclama Harry.
"Non. "
"Faut partiiiiiir! ", cria Harry encore plus fort.
Harry fit ses bagages en quatrième vitesse, tandis que Dumbledore reccomendait:
"Vous me retrouverez au Chaudron Baveur, au Chemin de Traverse."
"D'accord. "
"Ah, et euh... Au fait, pour la lettre et la photo de l'elfe, tu veux bien me les donner? "
"D'accord. "
Harry avait fini ses bagages et donné ses biens à Dumbledore.
"Vous savez Harry", dit Dumbledore en contemplant la photo, "On peut tout apprendre sur les hobbits en trois mois et des centaines d'années plus tard, ils peuvent encore vous étonner. Jamais j'aurais cru que James en avait séduit une comme ça, putain! "
Harry regardait Dumbledore qui faisait dix fois sa taille en souriant. soudain, on entendit un POUF! Ça a fait des... Non, POUF! tout court.
Dumbledore s'approcha précautionneusement de la fenêtre, sa canne brandie devant lui. Il chercha dans les fourrés, et sortit un hobbit qui fit un vol plané à travers la maison, déchirant au passage la photo de l'elfe. C'était Ron Weasley.
"MA PHOTO!!!!!!!! ", hurla Dumbledore.
"Pardon, monsieur Dumbledore je... "
"Qu'avez-vous entendu??? "
"Rien du tout, juste qu'il y avait un anneau et tout et le Seigneur des tén... "
Bon, en gros il avait tout entendu.
"Vous allez pas me transformer en serpillère, professeur Dumbledore, hein? Me transformez pas en quelque chose de pas net... "
"Non... "
Dumbledore lança un regard complice à Harry.
Le lendemain à l'aube, ils étaient déjà partis. Dumbledore lança à Ron:
"Dépéchez-vous Weasley! À la traîne, comme toujours! "
Au bout d'un moment, à l'entrée d'une forêt, Dumbledore foutut la paix à nos pauvres hobbits, il les laissa à l'entrée d'une forêt.
"Faites attention! Je vous laisse ici! Y a des espions partout! Des éléphants, des oiseaux, et même des milles-pattes! Vous savez, la miniaturisation! ah oui! Est-il caché, est-il en sûreté? "
"Oui... Ça fait la quinzième fois que vous me posez la question, Dumbledore! "
"Ah, et ça fait rien pour la photo, Ron! Je l'ai réparée! À plus!"
Et il s'en alla vers Durmstrang, la tour de Karkaroff le Blanc.
Durmstrang était une belle tour noire plantée au milieu de plein d'arbres et à côté de la forêt Interdite. C'était un endroit pittoresque, si on faisait abstraction du côté très moderne de la tour.
"Dumbledore le gris réapparaît", dit Karkaroff en guise d'accueil.
Pendant ce temps, Ron restait planté comme un con à côté d'un épouvantail.
"Qu'est-ce qu'il te prend, on t'a stupéfixé? ", demanda Harry.
"Si je fais un pas de plus, ça sera l'endroit où je me serait le plus éloigné de chez moi", expliqua Ron.
"Bon, allez, grouille-toi! ", s'impatienta Harry. "Ce sera un petit pas pour Ron, mais un grand pas pour la Ronamité! "
Et Ron franchit ce fameux pas.
"Tu te souviens de ce que James disait? Blablablabla."
"Ta voix s'est transformée en celle de James! "
"Woah la vache! "
Le soir même, tandis que Harry fumait de l'herbe et que Ron préparait le feu pour manger (son activité préférée ), ils entendirent des chants monter.
"Mais ils sont tarés! ", s'exclama Ron. "Imaginez qu'on dorme! "
"Ron, c'est des elfes! ", remarqua Harry.
"C'EST VRAI??????????? "
Harry montra les elfes qui marchaient, à 500 mètres de là.
"Ils quittent la Terre du Milieu..."
"Ils s'en vont vers la Terre du Côté? "
"Euh, chais pas, ils vont aux Terres Immortelles il me semble... "
"Ils nous aiment pas? "
"Hum. On va se coucher. "
Ils s'enveloppèrent dans leurs couvertures.
"J'arrive pas à dormir, Monsieur Harry! ", dit Ron dès qu'il fut couché.
"Imagine que t'es dans un lit bien douillet... Avec...euh...avec l'elfe de la photo de Dumbledore! "
"J'y arrive pas, monsieur Harry! ", dit pertinnement Ron.
"Moi non plus, ron... ", dit Harry d'un ton très doux.
Pendant ce temps, à Durmstrang...
"Ahhh, mon cher Dumbledore, marchons autour de la tour en nous tenant la main, comme des amoureux", dit Karkaroff qui avait soudain les yeux qui étincellaient.
"D'accord. C'est Harry qui a l'anneau , et qui doit le porter", expliquait Dumbledore, dépité. "Et dire que j'aurais pu le voir pendant tout ce temps..."
"Il faut que nous parlions dans ma tour
", dit Karkaroff.
Dumbledore poussa un soupir: Karkaroff avait de ces manières...
Lorsqu'ils furent dans la tour, Dumbledore fut cependant surpris: ils n'y étaient pas allés pour le motif qu'il redoutait.
"Je l'ai vu", expliqua Karkaroff. "L'Ïil.", ajouta-t-il en découvrant d'un voile rose à carreaux une belle boule noire un peu transparente avec quelques rayures oranges.
"Un palentir est un objet dangereux Karkaroff", raisonna Dumbledore. "Ça vous déchiquète la cervelle encore mieux que l'herbe, et je sais de quoi je parle. "
"Les serviteurs de l'ennemi approchent", dit Karkaroff comme si Dumbledore n'avait rien dit.
"Alors je vais sauver Harry! "
Il allait sortir par une porte (Karkaroff avait fait plein de portes dans sa tour pour faire joli), mais elle se ferma. Il essaya de sortir par une autre, mais elle se ferma sous son nez. Il essaya avec toutes les portes mais elles se fermèrent toutes.
"Allez, c'est pas drole! ", soupira Dumbledore.
"Il nous faut le rejoindre... ", dit Karkaroff.
Dumbledore regarda sa montre.
"Il nous faut rejoindre Voldemort. Ce serait plus sage, mon èmi. "
Dumbledore réalisa enfin qu'il était sérieux.
"Dites-donc, èmi, depuis quand Karkaroff est un lâche qui choisit la facilité plutôt que le bien?"
Karkaroff poussa un véritable beuglement, comme Vernon Dursley quand on prononçait "James Potter", et il envoya un coup de canne à Dumbledore qui fut expédié par terre. Contre-attaque de Dumbledore qui envoya carrément Karkaroff derrière la porte (maintenant y avait un trou en forme de lui dedans). Pour plus d'aisance, Karkaroff ouvrit la porte à la volée qui était devenue par le même coup très originale et il attira vers lui le bâton de Dumbledore.
"Mon bâton! Tu vas me le rembourser c'est celui de ma mamie! "
Karkaroff prit les deux bâtons et s'en servit pour faire décoller Dumbledore: "Wingardium Leviosa!", s'exclama-t-il en tournant et abaissant les bâtons, les heurtant et les faisant tomber du même coup. Il ramassa ses bâtons et les brandit devant lui, ça faisait moins con et c'était tout aussi efficace.
"Bon, alors t'as choisis le camp des perdants GNAAAHAHHHA!!!", dit Karkaroff. Il fit décoller Dumbledore jusqu'au plafond qui était très très haut. (et oui, cette tour n'a qu'un rez-de-chaussée! Il et vraiment con ce Karkaroff, il aurait pu faire une villa! )
"Monsieur Harry? ", disait pendant ce temps Ron, perdu dans un champ.
"Je suis là, Ron. ", dit Harry, juste devant lui.
"J'ai cru que je vous avais perdu, et dumbledore m'a dit "NE LE PERDEZ PAS, RON WEASLEY! " alors... Faut pas que j'vous perde... "
Soudain, deux types se cognèrent contre eux. C'étaient Fred et Georges, les bras surchargés.
"Ah, salut harry et Ron! Ça va? "
Soudain, on entendit une voix de vieux gueuler "Mes tomates! Mes journaux pornos! "
"ahhh, c'est le vieux Mondingus! On devrait se casser parce que c'est nous qui avons tout volé! ", s'exclama Fred.
"Mais on a rien volé du tout! ", s'écria Georges. "Juste leurs tomates, leur caviar, leurs truffes, leurs journaux pornos..."
"Ouais et leurs bijoux et leur fric et tout le reste de leur maison! sa réaction est trop injustifiée! "
Soudain, ils tombèrent dans un ravin et tout le monde se retrouva entassé.
"Ahhhhhh, ma tête est tombée dans la merde! " hurla Fred.
"Bon, pourquoi vous êtes là, vous? ", demanda Georges. "Ron a toujours dit qu'il voulait pas dépasser l'épouvantail. "
Harry leur expliqua toute l'histoire.
"Bon, là on est dans la Vieille Forêt", expliqua Georges. "Faut faire gaffe parce que les arbres y sont méchants", ajouta-t-il en désignant la pancarte "ATTENTION, ARBRES MÉCHANTS! "
Ils avancèrent en ayant très peur parce qu'en effet, les arbres avaient l'air très méchant. Quand Harry essaya de chanter "Au clair de la Luneuh", et ben les arbres avaient l'air encore plus méchants. Et puis on dirait qu'ils leur barraient le passage.
"En fait, avant, les arbres ils avaient essayé de nous attaquer alors on en a coupé, et on a fait un grand feu de joie dans une clairière pas loin! Et depuis les arbres sont encore plus méchants! Méfiez-vous! Ils ont des pouvoirs! Ils sont médiums!", expliqua Georges.
"Aucun respect pour la nature, ces types... ", maugréa Fred.
"C'est la Clairière du Feu de Joie là où ils ont brûlé les arbres, on y est bientôt."
Dans un endroit de la forêt, les arbres semblaient vouloir leur barrer le passage.
"HO MAIS JE VAIS PAS VOUS FAIRE DE MAL, CRÉTINS!!!! ", gueula Fred.
"Chais pas si c'est une bonne idée de gueuler ", remarqua Ron.
À moment donné ils atteignirent une clairière.
"Ah ben c'est la Clairière du Feu de joie! ", s'exclama Georges."Il faut pas passer par là parce que c'est les Tournesaules, le cÏur de la forêt, et c'est très dangereux", dit-il en désignant un des passages.
Ils empruntèrent un autre passage, où sur le moment les arbres semblaient gentils, mais un quart d'heure plus tard les arbres avaient l'air encore plus méchants que tout à l'heure.
"Ah, merde, c'est ici les Tournesaules ", s'excusa Georges.
"C'est malin! ", soupira Fred.
"Bon, chuis crevé, on se repose? ", proposa Ron.
"Ça serait pas très prudent ", dirent Harry et Georges.
Mais malgré cela, ils s'appuyèrent contre un arbre, ils s'affalèrent contre comme des merdes.
Harry eut soudain une idée stupide dans son demi-sommeil: si il se trempait les pieds dans le ruisseau à côté? Pourquoi l'idée est si stupide? Parce que marcher pieds nus, mouillés dans la boue, j'vous dis pas le caca! Enfin bon, il alla se trmper les pieds et plouf, il tomba à l'eau. Pendant ce temps, Ron se souvint que c'était l'heure de nourir les cheveux mais en voyant Harry la tête dans l'eau... C'était à cause de l'arbre, là! Il sortit donc Harry qui dit:
"Il a voulu me noyer! "
"Bon, maintenant faut aller chercher les deux autres cons! Mais où ils sont? Oh, un pied. "
Apparemment, c'était le pied de Georges. On les entendait crier à l'agonie, lui et Fred. C'était l'arbre qui avait renfermé ses racines sur eux.
"Je vais aller chercher du matériel! ", dit Ron. Et il revint 1/4 d'heure plus tard avec une hache.
Lorsqu'il l'abattit dessus, Georges gueula:
"MAIS SI TU CONTINUES COMME ÇA POUR SE VENGER CET ARBRE VA ME TUER!!!! "
C'est alors qu'ils entendirent une chanson stupide. Et un vieux avec un chapeau haut-de-forme qui tombait tout le temps arriva. Il était plus grand qu'eux.
"Salut, je suis Deladus Diggle! Digglelidong! Qu'est-ce que vous voulez? "
"Notre copain est bloqué dans cet arbre! "
"AH, VILAIN SAULE COGNEUR! Sors-les de là! "
Et pouf! Ça a f...euh, pardon. Et pouf! Fred et Georges sortirent comme expédiés par un coup de pied au cul!
"Je vais vous amener chez moi! ", dit Deladus Diggle. "Vous allez voir ma femme, Ginny d'Or."
Au bout d'une heure de marche, ils arrivèrent dans la maison de Deladus Diggle. Ce fut une très belle femme à la chevelure rousse qui leur ouvrit.
"Voici Ginny d'Or! ", dit Deladus.
"Mais elle a rien de doré elle est rousse! "
"Oui, bon, Ginny de Bronze... Euh nan ça craint... Ginny tout court alors! "
"Bonjour Dame Ginny tout court ", dit Fred.
"Nan! Ginny! Rien d'autre après! "
Et il s'en alla ailleurs.
"C'est qui ce type? ", demanda Harry à Ginny tout court.
"C'est le maître de la forêt... Il était là avant les elfes, avant le seigneur des ténèbres et tout..."
"Ah, ouais, putain le pouvoir qu'il a pas! Il reigne sur cette forêt, wow! "
"Oh, non, comme ça serait triste s'il commandait chaque grain d'herbe et chaque arbre... "
Les hobbits s'abstinrent de commentaires. Ils passèrent un bon séjour chez ce Deladus Diggle et surtout chez sa fameuse Ginny, mais bon, comme y avait des choses plus importantes à faire, ils finirent par prendre congé! Ils dirent au revoir à tout le monde et repartirent de la forêt. quand ils furent près de la sortie, là où les arbres étaient gentils, Fred aperçut soudain quelque chose de passionant, alors qu'ils marchaient sur le chemin.
"DES CHAMPIGNONS!!!! " Ron, Georges et lui se précipitèrent dessus, comme les abrutis qu'ils étaient.
Harry, lui, sentit les feuilles ralentir, comme quand on met le ralenti.
"ATTENTION, DÉGAGEZ DE LA ROUTE!!! "
Il y eut alors des cris d'âne écorché et des bruits de galop, et on vit les fameux esprits servants de l'anneau arriver. Nos quatres amis se dissimulèrent sous une racine.
L'un des esprits servants de l'anneau avait perdu la très belle photo d'une elfe qu'il avait trouvé par terre. Il décida de la chercher, et reniffla comme un chien. "Sniff sniff! ah, tiens, bon! Ça sent l'anneau ici!", pensa-t-il.
Les quatre hobbits étaient terrifiés, d'autant plus que c'était plein d'araignées, et par chance, les couinements de Ron, qui avait très peur des araignées étaient parfaitement similaires à des couinements de souris.
Et Harry était perturbé. Non pas perturbé comme quand on parle de météo, mais un peu... Enfin, vous voyez ce que je veux dire, quoi! Il se sentait comme un mec qui fait du yoga, à part que c'était la guerre intérieure. "Ohm, guerre intérieure. Mettons l'anneau, pour que ça cesse." Ron le tapa "Faut pas le mettre c'est mal! " À ce moment, Georges, qui avait senti le danger venir ( ), balança son sac, ce qui détourna l'attention du cavalier noir, qui, de plus, avait retrouvé sa photo.
"Mais t'es con ou quoi! ", murmura Fred à Georges tandis que tout le monde partait en courant. "Et les truffes? Et les magazines pornos??? "
"J'y ai pas pensé ", répondit Georges sur un ton d'excuse. Mais là les cavaliers les avaient repérés. Et vas-y que je couine, et que je couine encore...
Tout le monde partit en courant encore plus vite. Ils atteignirent enfin un pont avec une barque.
"Sautez dessus, Monsieur Harry ", dit Ron tandis que son maître était à 40 mètres de là.
Bon, il finit par sauter dessus à son tour, et par miracle, il ne renversa pas la barque. Les cavaliers noirs s'éloignèrent, et tandis que le cheval d'un pétait très fort, les hobbits les regardaient avec frayeur.
Lorsque nos quatre héros arrivèrent devant la porte du Chemin de Traverse, bien entendu, il pleuvait et faisait très froid, et il fallut attendre 3 heures avant que le vigile arrive.
"Faites chier, vous m'interrompez pendant que je m'épilais le... heu? ", s'énerva t-il en ouvrant la fenêtre pour les grandes gens.
Il ouvrit celles des hobbits et des nains.
"Qu'est-ce qu'il y a les p'tiots? ", demanda-t-il.
"On cherche Dumbledore, on est des hobbits, c'est très urgent et on va au Chaudron Baveur."
"Oh, c'est bon! Moi on m'a dit de pas laisser passer n'importe qui alors... "
Il les laissa quand même passer. Les rues étaient emplies de Grandes Gens, dans un coin on apercevait nettement Chris Colombus qui mangeait une carotte. Et de plus, les quatre hobbits n'étaient pas sans ignorer qu'il n'était pas rare que les hommes marchent sur les hobbits dans ces rues. On en voyait souvent qui disaient: "Merde, j'ai marché sur un hobbit, ma chaussure est déguelasse! ".
Ils finirent alors par atteindre une auberge miteuse: Le Chaudron Baveur.
Dedans c'était très pas accueillant, y avait que des Hommes qui étaient encore plus pochards que Harry, Fred et Georges, ce qui n'est pas peu dire. Donc ils avaient un peu peur. Ils durent appeler dix fois le tenancier, un chauve, avant qu'il les aperçoive:
"Ah, c'est pour quoi? Quel est votre nom?"
"Mesieur...euh, Londubat", dit Harry, pour pas être reconnu. "On cherche Dumbledore le Gris."
"Dumbledore. Dumbledore! Oh, je me souviens! Les lunettes en demi-lune, le chapeu gris et tout, c'est ça c'est ça?"
Harry lui jeta un regard plein d'espoir.
"Pas vu depuis six mois. ", acheva le tenancier.
"Qu'est-ce qu'on va faire? ", murmura Ron.
Ils restèrent ici, assis à une table. Georges arriva soudain avec une belle chope.
"C'est quoi? ", s'exclama Fred.
"Ceci, mon ami, est une bièraubeurre. ", répondit George avec un air avide (bien sûr, quand il s'agit de bière...
"Il ne sert que des bièraubeurres??? J'en veux une! ", hurla Fred.
"Mais t'en as déjà entamé 10! ", s'exclama Ron.
Mais trop tard, Fred était reparti se saouler la gueule.
"Ce type a pas arrêter de vous regarder depuis tout à l'heure ", glissa Ron à Harry en désignant un homme encapuchonné dans un coin de la pièce, en train de fumer abondamment de l'herbe.
"Ça va pas chuis pas gay moi! ", s'écria Harry. "PATRON! C'est qui cette tarlouse??? "
"C'est un des maraudeurs", murmura le barman qui se nommait Tom. "Il est dangereux. Son vrai nom je l'ignore, mais dans la région on l'appelle Patmol."
"Patmol... Pourquoi il s'est pas appelé Brigitte cette tarlouse? ", gromela Harry. Il regarda encore Patmol un moment.
Puis, il eut soudain envie de tenir son très bel anneeau. Et de le mettre. L'anneau lui murmurait: "Potter...Potier...Potter le Potier...Potter...Potter..." Soudain, il entendit Fred s'exclamer (il était manisfestement bourré: il faisait "hic!" à chaque mot et il tenait mal en équilibre):
"Potthic? Bien hic sûr que je connhic un Potter! C'est lui là! C'st mon hic cousin au second hic degré du côté de hic mêre!"
Harry s'affola. Au ralenti, il courut vers Fred en hurlant un "Noooooooooooon" pebdant trèèèèès longtemps, à cause du ralenti. et bien sûr, cet abruti, qui avait lui aussi bu pas mal de bièraubeurres, se galta. Et son anneau s'envola, ET TOUT COMME PAR HASARD lui retomba juste sur le doigt.
"Il est illusionniste! ", cria un type. Et oui, Harry avait disparu.
Là, Harry s'aperçut avec une minute de retard que tout était blanc et déformé. Il vit les formes tourner, puis aperçut un oeil qui dit:
"Je vous vois. Vous ne pouvez pas vous cacher."
"Mais on est pas à Loft Story ici! ", pensa Harry.
Il avait très peut et il retira son anneau. Tout le monde le regarda réapparaître avec un sursaut qui ressemblait à une danse de quel pays au fait? A une danse stupide, et Harry se sentit tiré. Il s'aperçut que c'était Patmol qui le tirait.
"Oh non il va me violer! ", pensa-t-il.
"Vous devriez vous montrer plus prudent, Monsieur Londubat."
Harry pensa "Et en plus il est sadique. "
"Je peux me montrer discret si je veux, mais disparaître, c'est un don rare."
Il retira son capuchon, découvrant des cheveux longs et une barbe naissante. "Au moins il ressemble pas à Dumbledore ", pensa Harry.
"Avez-vous conscience du fardeau que vous portez? Avez-vous peur?"
"Oui... ", répondit Harry qui croyait que le fardeau était son saucisson.
"Pas assez on dirait...", dit-il en sortant son épée.
Là, Harry eut très peur. Non seulement l'homme voulait le violer, mais en plus il voulait faire des trucs SM. C'est à ce moment là que Ron, Fred et Georges arrivèrent:
"FICHEZ LUI LA PAIX!!!! ", hurla Ron en brandissant une bouteille de bièraubeurre.
"Vous êtes un brave coeur, jeune homme, mais cela ne vous sauvera pas. ", répondit Patmol.
"VOUS ENTENDEZ IL VEUT NOUS VIOLER AUSSI!!!! ", beugla Ron de plus belle.
"Violer???? Qu'est-ce que vous me sortez là? Vous m'prenez pour un pervers ou quoi? "
Harry était quand même bien rassuré. Il s'était trompé!
"Je sais que vous transportez l'anneau de pouvoir, donc. ", dit Patmol.
"Ahhh, il parlait de ça! ", songea Harry.
On entendit soudain des cris d'ânes écorchés. Les Cavaliers noirs arrivaient.
Lorsqu'ils franchirent le portail, le vigile s'écria:
"ÇA SUFFIT LES P'TIOTS! AAAAHHHHH! "
Tom, le tenancier de l'auberge, les vit passer avec une grimace de douleur, comme s'il criait: "TRAGEDIIIIIIIE!!!!"
Pendant ce temps, nos CINQ!!!(et oui ils sont 5!) amis s'étaient réfu giés dans une autre chambre, et c'était difficile de dormir avec les hurlements de chat écorché. Patmol, lui, regardait par la fenêtre.
Les cavaliers noirs arrivèrent soudain dans une chambre pour hobbits, au rez-de-chaussée, avec quatre silhouettes endormies dedans. Ils faisaient trop les malins, ils tenaient leurs épées droit devant eux et les plantèrent dans les couvertures, mais ils ne trouvèrent que des plumes. Ils poussèrent un cri d'âne écorché.
"Merde, c'est que des poulets! ils nous avaient dit qu'il y avait du hobbit au menu!"
Et nos quatre hobbits avaient eu très peur en entendant les cris de chats écorchés.
"Qui sont ces crieurs?", demanda Harry.
"C'étaient les mecs qui avaient les neuf anneaux avant. Des rois, et Sauron les a séduits.", expliqua Patmol.
"Ils sont homosexuels alors? "demanda Harry.
"Mais non, ils les a enrolés dans son armée, si tu veux! ", soupira Patmol, "Et après ils sont devenus comme ça. Ce sont les Détraqueurs... "
Harry avait très peur des détraqueurs.
Pendant ce temps, Karkaroff consultait son Palentir. Dumbledore ne l'aimait pas, mais lui, il se félicitait d'en avoir fait l'acquisition. Non seulement ça faisait très classe dans la tour, mais en plus c'était un moyen de communication très pratique.
"Confectionnez-moi une armée digne d'Azkaban", ordonna Voldemort.
Voldemort avait préparé ce plan depuis quelque temps, parce qu'immédiatement, un Serpentard arriva et demanda:
"Quels sont les ordres d'Azkaban, Monseigneur? Quels sont les ordres de l'Ïil?"
"Abattez-moi tous les arbres, comme ça on aura du bon feu pour se chauffer l'hiver", répondit Karkaroff.
Le soir même, tandis que la pluie tombait comme des cordes, ils se mirent à l'oeuvre. Quand le premier arbre fut abattu, le Serpentard qui était arrivé en premier (Montague, qu'il s'appelait) poussa un glapissement de joie.
"Chouette! On va avoir du bon feu comme ça! "
Et Dumbledore était en haut de la tour, contemplant ce triste spectacle. Ces arbres regorgeaient de souvenirs, pour lui. Il se souvenait encore de l'époque où lui et Karkaroff montaient dessus quand ils étaient gosses... En plus il avait froid, et il aurait même pas droit au bon feu. Et dans ce chaos, il vit soudain voler vers lui un petit papillon. Comme c'était le seul être du coin qui n'avait pas d'envie dévastatrice, Dumbledore lui murmura trois mots et dit ensuite: "Vole, vole... "
Le lendemain matin, Harry, Ron, Fred, Georges et Patmol partirent. Les quatre hobbits ne comprenaient pas où il voulait les mener. Patmol affirmait qu'il les menait là où il y avait Dumbledore, mais Ron pensait plutôt qu'il voulait les amener dans une boîte sm:
"Vous croyez que c'est un méchant et qu'il veut nous violer tranquille? "
"Non ", répondit Harry. "Si c'était vraiment un méchant, il serait à la fois plus attirant... et plus repoussant."
Ils croyaient que Patmol, qui marchait en éclaireur, ne les entendait pas.
"Oh, il l'est déjà asez comme ça! ", protesta Ron.
"Oui, mais je préfère que lui me viole plutôt que ce soit Dumbledore, si tu vois ce que je veux dire ", raisonna Harry.
"Ohhh, je sais pas... ", dit Georges.
"Quand c'est qu'on arrive? ", demanda Fred.
"ON ARRIVE DANS TROIS JOURS, BANDES DE SALES MÔMES HYPOCRITES!!!! ", hurla Patmol.
"Qu'est-ce qui lui prend? Pourquoi il est de mauvaise humeur comme ça? ", demanda Ron.
Ils traversèrent des marés puants avec des mouches partout (Sam et Georges prétendaient que c'était à cause de Patmol mais heureusement pour ce dernier que Harry et Fred défendirent l'opinion que les mouches allaient sur tous les voyageurs), puis ils atteignirent aussi à moment donné le bas d'une montagne. Et Fred s'arrêta soudain, en criant:
"J'AI FAIM! "
"Mais on vient de prendre le petit déjeûner y a deux heures! ", dit Patmol en cheminant. "aïe, je me suis planté un rochr dans le dos! "
"Mais c'est l'heure du deuxième petit déjeûner!", s'écria Fred."Après y a le déjeûner, puis le goûter n°1, 2 et 3, puis le thé, l'apéritif, le dîner, le souper, et en ce moment comme c'est le Rhamadan on lance une campagne de soutient en mangeant aussi avant le lever du soleil... "
"Vaut mieux oublier tout ça, Fred. "
Fred reçut une pomme sur la gueule.
"GRAVITATION UNIVERSELLE!!!! ", s'écria-t-il, totalement sonné.
"Oh, mais ferme-la, on mange et on avance ", le gronda Georges en mangeant sa pomme qu'il avait reçu dans les bras. Et ils repartirent, tandis que que Fred lui expliquait la nouvelle loi scientifique qu'il venait de trouver.
Plus tard, ils atteignirent une plaine avec, au beau milieu, une grande plate-forme avec des statues dessus, qui ressemblait à une ville en ruine.
"Ce soir, on dort ici ", expliqua Patmol en la désignant.
"À part que vu comme c'est loin, d'ici qu'on l'atteigne, trois jours seront passés ", dit Harry.
"Ouais, bon, dans trois nuits on dormira ici... "
"On était censés arriver dans... ", commença Fred.
"He ben on arrive pas dans, c'est compris??? "
Le soir même, ils dormirent donc à cet endroit. Ce que Harry y aimait, c'était la vue. Ce qui le saoulait, c'était le hibou qui hululait. Mais il finit par s'endormir, vite réveillé ppar des cris d'ivrognes.
"Regardez Monsieur Harry on a préparé un barbecue avec du bon whisky pur feu! ", s'écria Ron.
"MAIS ÇA VA PAS LA AAAAAÏÏÏÏE!!!!! "
En essayant de piétiner le feu pour l'éteindre, Harry, qui était pieds nus, venait de se griller les pieds.
Et bien évidemment, les détraqueurs, qui avaient entendu ce raffut et vu la lueur du feu, se pointèrent en criant comme des ânes écorchés.
Patmol s'était réveillé.
"Prenez ces épées! ", cria-t-il en jetant ces épées.
"D'où vous les sortez? ", s'exclama Harry.
"Je sais pas. On va dire que c'est en tuant des montres que je les ai eues... "
Mais les Détraqueurs arrivaient déjà...
Les 4 hobbits étaient entourés de détraqueurs, qui comme d'habitude faisaient leurs malins en mettant leurs épées devant dans une attitude très classe. L'un d'eux tenta d'attaquer, mais comme les détraqueurs sont aveugles et que celui-ci ne maîtrisait pas bien la double-Vue (celle là même qu'utilise Neo dans Matrix. N'empêche que j'ai pas envie d'imaginer Harry en comme ça ), il frappa son partenaire.
"Aïe mais c'est pas moi que tu dois frapper! "
Pendant ce tempsn Patmol se battait avec un autre détraqueur, dans un combat genre "je suis le plus fort mais j'ai pas de chance alors je gagne pas". Et ce qui devait arriver arriva. Un des détraqueurs voulut attaquer Harry, qui, pour être sauvé, mit son anneau.
Ce qu'il vit alors lui ôta à jamais l'envie de prendre trois petit s déjeûners par jour. Il vit les Détraqueurs sans leurs capuche, et croyez moi, c'était pas beau à voir. La seule chose plus laide que ça qu'il ait jamais vue, c'était James au réveil. Le chef des Détraqueurs (le plus laid de tous, je n'aurais pas eu besoin de le préciser mais bon) commença à essayer de lui planter sa lame en plein dedans. Voyant que Harry se protégeait, il fit alors un grand saut périlleux et planta son épée au beau milieu du front de Harry qui enleva son anneau à ce moment là.
"Ahhhhh, monsieur Harry! ", s'exclama dramatiquement Ron en voyant son maître blessé sur le front.
"Patmol, viens ici! ", s'exclama Georges dans un élan de bon sens.
"Attends, j'en tue encore un ou deux! "
Patmol jeta des torches sur la gueule des derniers détraqueurs pour lesquels Harry, si il les avait vus, aurait éprouvé un élan de compassion: lui aussi avait eu très mal quand il avait été dans le feu. Les détraqueurs partirent en geignant, laissant nos héros s'occuper de choses plus importantes!
Patmol examina donc la blessure sur le front de Harry. Elle était en forme d'éclair.
"Il a été touché par une lame de détraqueur ", dit-il en attrappant l'épée qui, TOUT COMME PAR HASARD, se désintégra. "C'est une urgence! Appelez le 15! "
"Monsieur, le téléphone a pas encore été inventé. "
"Bon, on va chez les elfes alors! "
Harry avait les yeux englobulés, injectés de sang. Il arrêtait pas de pousser des gémissements stupides qui empêchez nos autres héros de dormir.
"arggghhhh"
"Mais putain, ta gueule, je rêvais de la photo de Dumbledore! ", s'exclama Ron.
En parlant de photo...
Patmol s'approcha d'un papier qui trônait par terre.
"Tiens, mais... C'est quoi qu'ils ont laissé tomber là? Ohhhhhh! "
Patmol s'était extasié en voyant la photo.
"Vé la pitchoune! ", s'exclama Patmol.
"Et toc il est pas gay et il voulait pas nous violer! ", s'exclama Fred.
"Qu'est-ce que t'en sais il est peut être bi? ", répliquèrent d'une voix Ron et Georges.
"Non, non, il a raison, arrêtez de fantasmer les gars ", dit Patmol qui avait tout entendu.
Bon, ils avancèrent jusqu'à atteindre une forêt où Harry sembla reprendre conscience.
"Regardez, Monsieur Harry! ", s'eclama Ron. "Les chocapics de Monsieur James!"
Bon, je précise au passage que si un jour vous êtes dans une situation semblable, ne faites pas ce genre de remarque à la con à l'agonisant qui est devant vous. Il en aura rien à foutre, mais alors rien.
"Merde, il devient de plus en plus malade! ", s'exclama Patmol.
"Et alors, on prend l'anneau, on le laisse ici et on se barre et puis basta! ", raisonna Georges.
"Vous n'y pensez pas! ", s'exclama Ron, frappé d'horreur.(alors qu'il faisait très beau, un coup de tonnerre retentit)
"Mais non, on peut pas, Harry Potter est le héros ALORS! ", poursuivit Patmol.
"Ah merde j'oubliais."
"Je vais chercher du sisymbre, attendez-moi ici.", dit Patmol.
Et, tout en cueillant son sisymbre, il ne quittait pas des yeux sa belle photo d'elfe...
Soudain, il sentit une lame lui toucher la gorge.
"Qu'est-ce que ceci? Un crétin qui est censé être mon petit copain qui regarde la photo quelqu'un d'autre? "
"Heu... "
C'était Fleur, l'Étoile du Soir. Patmol et Fleur allèrent voir Harry, qui, dès qu'il vit Fleur (qui était aussi belle que l'elfe de la photo), se sentit avoir une brusque érection.
"Il est dans un grave état mortel, mamour ", expliqua Patmol. "Il faut le soigner! "
"Je peux rien faire, Sirius", dit Fleur en examinant la blessure de harry avec sa loupe."Je vais l'amener à mon père... "
ils parlèrent alors dans un langage incompréhensible.
"Sois prudente... ", dit Sirius en elfique.
"Qu'est-ce qu'ils disent? ", demanda Ron qui ne savait pas lire.
"T'en fais pas, j'ai plus 3 ans... ", assura Fleur. "C'était quoi cette photo? "
"Elle était là où tu l'as vue, moi je cueillais du sisymbre, ma pupuce rose, j'y ai pas touché, je la regardais sans la voir... ", mentit Sirius en lâchant discrètement la photo qu'il avait dissimulée derrière son dos. Fred se jeta dessus pour la ramasser.
"C'est moi qui l'ai eueh! "
"Chut, vous gâchez la scène! ", s'exclama Sirius. "Bon, qu'est-ce qu'on disait ma camionette d'argent? ", continua-t-il tandis que Harry, qui était de plus en plus souffrant, s'étouffait.
"Heu, vaudrait mieux que je l'amène tout de suite nan, mon mixeur céleste? ", dit Fleur. "On reporte la scéance bécot à plus tard! Soyez prudents vous aussi! "
"Mais ils sont très dangereux les Détraqueurs! ", protesta Sirius. "Ils ont mis la télé à la consigne et ils ont... et ils ont frappé Harry! ", finit-il en soulevant le corps flasque de Harry.
"Non, je ne les crains pas ", finit Fleur en bon Français, et elle l'embarqua sur son cheval et elle démarra au quart de tour.
"Mademoiselle Fleur! ", s'écria Ron. "Vous vous êtes trompé, vous avez embarqué Monsieur Patmol au lieu de Monsieur Harry! "
"Ah, euh... C'tait pas volontaire du tout mais lors pas du tout... ", bredouilla Fleur en reposant Sirius et en embarquant Harry. "Bon, allez, on se reverra à Magnolia Crecent! C'est la ville d'elfes où je l'emmene! À plus!"
Les Détraqueurs ne tardèrent pas à poursuivre Fleur, qui galopait tellement vite que non seulement Harry vomissait partout, mais qu'en plus il ne se rendait pas compte de la chance qu'il avait. Les branches écorchèrent la pauvre Fleur de partout, mais inépuisable, elle continuait sa course infernale. Elle atteignit soudain une rivière. Elle la traversa, puis s'arrêta. Les détraqueurs, qui étaient très cons, s'arrêtèrent devant la rivière.
"Donne-nous le gosse et on te paye. "
"Si vous le voulez, venez le chercher! ", éluda Fleur.
Et c'est là que ce trouve le méga gag de la scène. Les Détraqueurs commencèrent à traverser tranquillement, mais Fleur se mit à invoquer des cheveux aquatiques, tout faits d'éc ume, qui emportèrent les Détraqueurs qui ne savaient pas nager. Quelle comique, cette Fleur!
Mais elle se rendit alors compte que Harry était mourant... Il avait vomi partout.
"Harry, non!!! Pas sur ma robe! Oh, ses yeux sont tout rouges, on dirait qu'il a trop fumé! Et il est trop froid! Meurs pas maintenant Harry!!! "
Fleur regarda autour d'elle en murmurant "il est gelé... "
Puis, pleine d'entrain, elle dit:
"Bon, Sirius m'a trahie avec sa photo... On va se réchaufer, Harry! Comme ça non seulement je serai quitte avec Sirius mais en plus tu resteras en vie! "
La suite des évènements resta malgré tout très vague pour Harry. Il se souvenait d'un visage très laid penché devant lui qui récitait des formules qui ressemblaient à des prières bouddhiques, et c'était à peu près tout.
"Oùùùùùù suiiiiiiiis-jeeeeeee? " marmonna Harry lorsqu'il se réveilla.
"Vous êtes à Magnolia Crescent, nous somme le 24 octobre, et au quatrième top il sera 15h 32. TOP TOP TOP TOP! "
"gneuuuhhhhh ", dit Harry qui se demanda quel crétin pouvait bien dire un truc pareil. "JAMES C'EST VOUS!????? "
"Euh... "
"DUUUMBLEDOOORE???? "
Et Harry, malgré l'air "tête de nÏud" qui ne le quittait plus (l'air atrocement traumathisé), fit un sourire.
"MONSIEUR HARRY!!!!!!! "
C'étaient Ron, Fred et Georges (enfin, Fred et Georges ne dirent que Harry, pas le stupide monsieur qu'il y a devant )
Ils se mirent à rire, et il s'en suivit un passage passionant:
"Hahaha! "
"Oh?HAHAHA "
Bon, comme je disais, ils se marraient comme des cons, et ils se marrèrent et se marrèrent encore pendant 1/4 d'heure (l'air de Magnolia Crescent contenait-il des substance hallucinogènes?), et ils eurent du mal à s'arrêter tellement ils étaient heureux. C'est ça un instant Nutella.
Soudain, Harry vit apparaître au pas de la porte le type qu'il avait vu dans ses rêves.
"Soyez le bienvenu, Harry Potter."
"Oui bon dégagez tous maintenant on a oublié la scène que j'ai avec Harry. ", beugla Dumbledore.
Et Dumbledore prit un air rêveur.
"Que je suis heureux de vous revoir Dumbledore! ", dit Harry.
Dumbledore continuait de prendre un air pensif.
"Dumbledore? "
~* FLASH-BACK *~
Dumbledore était seul au sommet de la tour, contemplant malgré lui la dévastation de l'endroit où il avait vécu son enfance, et donc construit son caractère, sans sa photo, sans rien!
Mais Karkaroff avait décidé de lui régler son compte. Il était donc grimpé à sa tour (et oui!!! à pied, sans ascenceur!) et avait tenté de tuer Dumbledore:
"UNE AMITIÉ AVEC KARKAROFF, ÇA NE SE REFUSE PAS COMME ÇA!!! TOUT LE MONDE N'A PAS LE PRIVILÈGE DE SE LA FAIRE OFFRIR JE TE SIGNALE!!! "
"Tu t'es fait leurrer! Qu'est-ce qu'il t'a proposé en échange de ton service, hein??? "
"De la tarte à la myrtille, j'adore la tarte à la myrtille, ça fait tellement longtemps que j'en ai pas mangé, MAIS FINISSONS-EN!!!! "
Il envoya un coup de son bâton qui fit tenir en équilibre Dumbledore, allongé. Si il lâchait sa magie, Dumbledore allait subir un sort digne des Happy Tree Friends.
"Bon, alors? "
Dumbledore ne répondit rien à part "atchoum", car un papillon venait de lui passer sous le nez. Soudain, un aigle arriva. Dumbledore sauta dessus, et comme il avait oublié son bâton, on vit son bras s'allonger pour qu'il le récupère, puis il partit à dos d'aigle, en criant:
"Jamais! "
Et il s'envola par-delà les montagnes et les plaines...
~* FIN DU FLASH-BACK *~
"Dumble... " commença Harry.
Il fut interrompu par Fred qui venait d'ouvrir la porte pour refaire la scène de retrouvailles.
"CRÉTIN DE TOUQUE, ON A PAS FINI!!!! ", gueula dumbledore.
Fred referma la porte à la hâte et Dumbledore reprit son air pensif.
"Dumbledore? Qu'est-ce qu'y a? "
"Oh, rien rien. "
Ce fut alors au tour de l'homme très laid que Harry avait vu dans son rêve d'entrer.
"Bienvenue Harry Potter. Je suis fier de moi que tu te sois remis."
"Si Alastor n'avait pas été là", soupira Dumbledore, "Toi non plus tu ne serais plus là. "
Harry comprit alors qui était cet homme: c'était Alastor, le roi, le chef, tout ce que vous voulez de Magnolia Crescent, et si il était en si mauvais état, c'était parce qu'il avait participé à la manifestation pour que Voldemort ne prenne pas le pouvoir. Plus tard, il avait aussi combattu dans la gigantesque bataille, chef des elfes, qui autrefois avait été aussi beau quue ses semblables.
Pendant ce temps, sirius et Fleur étaient heureux de s'être retrouvés.
"Que tu es beau mon paravent-en-plexiglas-renforcé-par-des-crognichous-à-souhait! "
"Je t'aime, ma pupuce-infantilement-immortalisé-par-mon-amûr! "
"Je te donne ça."
"C'est quoi ma bibiche-en-papier-calque-tatoué-d'un-cÏur? "
"C'est mon immortalité, mon cartable-de-soie-nettoyé-par-le-lave-linge-arthur-martin... "
"Cool, tu me la donnes? "
"Je choisis une vie mortelle, par amour, je serai mortelle comme toi mon téléphone couvert de roses noires... "
"Non, ne fais pas ça! Qui s'occupera de faire la vaisselle, ma jolie serpillère en promotion chez Monoprix? "
"Garde-le... "
"Par amour... Que c'est émotionnant... "
"Embrassons-nous mon porte-avion de velours... "
Et ils s'embrassèrent.
Pendant ce temps, Dumbledore était en pleine conversation avec Alastor:
"Le Magicien Blanc nous a quitté. Franchement, il n'est plus digne de faire partie du Magengamot."
"Si Karkaroff nous a quitté, c'est une catastrophe! ", s'exclama Alastor. "Un ennemi à surveiller de plus! "
"Son crime est encore plus pire que ça", ajouta Dumbledore."Karkaroff a, de plus, transformé des homme en mangemorts comme Voldemort a transformé des elfes en serpentards! "
"saperlotte! Ça nous fait des ennuis de trop!", s'écria Alastor. "Mais qui sera là pour combattre, Dumbledore? Les elfes s'en vont tous vers les régions tropicales qui sont des destinations à la mode en ce moment. Vers qui vos espoirs vont donc se tourner? Vers les nains? Pensent qu'à picoler ceux-là! "
"Non, c'est vers les Hommes que je me tournerai! ", dit Dumbledore en se tournant vers Sirius qui passait par là.
"Sexiste! ", s'écria Alastor.
"Non, vers la race des hommes, je veux dire, enfin! ", répondit Dumbledore. "M'enfin Alastor, vous savez bien que je ne suis pas comme Karkaroff, moi! "
"Les Hommes sont faibles ", dit Alastor. "Ils ne voient pas aussi bien que nous, les elfes, de loin, ce qui fait qu'ils ne surveillent pas bien le danger. Et puis souvenez-vous de cette histoire avec Gryffondor! J'étais là, Dumbledore... ", articula-t-il d'un ton tranchant comme un couteau-suisse.
Il raconta l'histoire qui suit à Dumbledore:
Alors que Voldemort venait d'êetre détruit et que son doigt fumait encore, Alastor, fraîchement mutilé à l'époque, lança à Gryffondor qui tenait son anneau entre les doigts:
"Gryffondor, venez! Et faites attention où vous mettez les pieds!"
Et Alastor amena Gryffondor vers la Montagne du Destin. Gryffondor qui resta 10 heures l'anneau tendu devant lui.
"Dépêchez-vous Gryffondor, avant qu'un ennemi nous attaque! Vous le jetez cet anneau oui ou merde??? ", s'impatienta Alastor.
Gryffondor fit un peutit air arrogant, et avec un air très conservateur:
"Nan. "
"GRYFFONDOR!!!! "
Gryffondor mit l'anneau. Alastor le vit, grâce à son oeil magique, mais il ne put le rattrapper, car il ne put s'empêcher de vérifier si un autre ennemi mortel n'était pas sur le point de l'attaquer. Et donc Gryffondor s'échappa, et la suite de l'histoire, je ne vous la raconte pas parce que je vous l'ai déjà rencontrée.
Revenons à nos moutons:
"Ls hommes sont braves ", protesta Dumbledore, "Et ils ont le sens de l'honneur, ce qui entre nous est une bien meilleure qualité que la vigilance constante. "
"N'IMPORTE QUOI! Et puis de toute façon, maintenant c'est un peuple déchu, sans roi... "
"Il y en a un qui pourrait les rassembler, en particulier les filles parce que c'est un très beau spécimen ", dit Dumbledore.
"Lui? ", soupira Alastor. "Il a renié ses origines depuis bien longtemps, alors foutez-lui la paix. "
Pendant ce temps, Sirius était accroupi dans un coin d'une pièce, en train de limer son épée. Il leva la tête.
"AÏE, ÇA VA PASDE METTRE LA CAMÉRA SI PRÈS??? ", s'écria-t-il à cause d'une erreur technique.
Beaucoup de monde était arrivé à Magnolia Crescent, car allait avoir lieu le Conseil d'Alastor, à propos de l'anneau. Et, pendant que Sirius limait sa lame, un homme aux cheveux gras visitait l'endroit, qui était dédié à Gryffondor.
"Oh, la lame qui fut brisée, anduril! Dommage que je n'aie pas pris mon appareil photo", marmonna-t-il.
Il prit l'épée cassée de Gryffondor entre ses mains, et enfonça le doigt dans la lame.
"AAAAÏÏÏÏÏÏEUUUH! Toujours aussi tranchante, à ce que j'vois! "
Il la contempla et puis il vit Sirius.
"Qu'est-ce que vous foutez là, vous? Vous êtes un homme, nan? "
"J'ai l'air si efféminé? "
"Non, je parle de votre race... "
"Ah, oui en effet. "
"Ah bien ça fait du bien de voir un Homme, y a que des elfes ici... Magnifique, cette épée..."
Puis il jeta l'épée par terre (oh le vilain! ) et il partit, sa cape faisant "swich!", en maugréant "Rien de plus qu'un héritage brisé! De la camelote! "
Sirius, qui éprouvait une vive compassion pour cette épée, se leva, la ramassa et la posa à sa place, après l'avoir nettoyée parce que les doigts de l'homme étaient très gras. Soudain, il entendit quelqu'un s'approcher. C'était Fleur.
"Vous êtes le descendant de Gryffondor... Pas Gryffondor lui-même, mon gateau-à-la-confiture-de-cÏurs-mixés-à-la-mayonnese-d'amour... Vous vous demandez si vous êtes à la hauteur, et je suis sûre que vous le serez."
"Depuis quand tu me vouvoies, ma chouquette vernie?"
Pendant ce temps (et oui, encore et toujours! ), Harry fit ses re-re-retrouvailles avec ses amis, et qu'ils reccommencèrent à se marrer, et qu'ils se tapent l'épaule à s'en étouffer, ect... Voilà, instant Kinder Surprise! Ils se baladèrent sous les arbres en souriant béatement et en racontant des conneries:
"Regarde comme c'est beau Ronn. ", dit Harry.
"Oh oui c'est beau. Oh, Georges, y a un oiseau qui t'a chié dessus. "
"C'est de la chiure d'oiseau elfique, c'est beau ", remarqua Fred.
Et là, surprise des surprises, Harry aperçut JAMES.
James, qui, d'ailleurs, avait vieilli plus vite qu'une tomate...
"James! ", s'exclama Harry, et rebelote l'instant Nutella.
"Harry mon petit... "
Harry se jeta dessus.
"Ça va pas nonn j'ai des rhumatismes moi! "
Quelques instants plus tard, James, qui était très possessif (?), avait viré Ron, Fred et Georges pour plus d'intimité avec son neveu, dit:
"C'est la suite de mon livre. "
"Super ", dit Harry. "Quand j'étais petit, j'étais pas grand. et je ne le suis toujours pas, et je rêvaiiiis de vire une de vos aventures. Mais mon aventure à moi s'est révélée très différente. Déjà, un aventage: y a pas de millions de nains comme avec twa. "
Bon, voilà, ect ect...
Quand il prit congé de son oncle, Harry retrouva Ron, qui avait déjà préparé ses baggages.
"Mais qu'est-ce que tu fous? ", demanda Harry.
"Ben nous allons partir, n'est-ce pas monsieur Harry? "
"Mais toi qui voulais voir les elfes de toute urgence, tête de nÏud! "
"Oui mais on va rentrer non? "
"Euh... Oui. Après le conseil d'Alastor. "
Conseil d'Alastor auquel seul, de nos quatres amis, Harry devait assister.
Lorsque le Conseil commença, Alastor s'écria (ça rime ):
"Mes Chers Amis!"
Certains murmurèrent "Amis??? Moi? ", mais Alastor n'en tint pas compte.
"Vous n'êtes pas sans ignorer pourquoi nous nous réunissons. L'Anneau de Pouvoir a été retrouvé et Voldemort veut le récupérer. Et cet anneau n'échappera pas longtemps à sa VIGILANCE CONSTANTE!!!!! "
Il y eut quelques sursauts.
"Apportez-LE, porteur de l'anneau. ", dit cordialement Alastor à Harry qui déposa avec légèreté l'anneau sur le socle qu'entouraient les siège.
En voyant Harry poser son anneau, il y eut un grand "OHHHHHH! ", et un nain bascula vers les fourrés et tomba de sa chaise.
"Relevez-vous, Hagrid Fils de Fridluva", dit sèchement Alastor. "Vous gâchez tout. "
Après que Hagrid fut revenu sur son siège, l'homme aux cheveux gras qui avait jeté Anduril par terre s'exclama:
"Mais prenons-le pou nous! Avec ça on peut sauver Poudlard! On en a besoin! Et gnagnagnagna!"
Dumbledore s'écria alors un truc bizarre: on entendit un "Grommmm poouuuriaahhh", comme quand l'Anneau parlait, et on avait du mal à distinguer ses paroles qui ressemblaient à "gneuhgneuhgneuhgneuhgneuh" sous ce vacarme. Tout le monde était comme ça:
"Ça veut dire: 'Un anneau pour les gouverner tous, un anneau pour les trouver, un
anneau pour les amener tous et dans les ténèbres les lier.'"
"On sait! ", s'exclama Harry qui avait déjà entendu ces paroles.
"TA GUEULE TOI! ", beugla Alastor. "Jamais le langage maléfique n'a été utilisé en ce lieu. C'est malin, ça va attirer Voldemort et ses Serpentard. "
"Et bien il était temps qu'on les prononce! ", répliqua Dumbledore.
"Cet anneau est un don", poursuivit bêtement l'homme aux cheveux gras. "Nous pouvons faire des choses extraordinaire en l'utilisant..."
"Ta gueule, Severus, de Poudlard! ", s'écria Sirius. "Cet anneau ne peut pas être utilisé comme ça. Il est le maaaaaaal! "
"Ah ouais et j'imagine que c'est un simple Maraudeur comme toi qui fait la loi??? ", lança Severus.
"Ce n'est pas un simple Maraudeur", dit un très bel elfe. "C'est Sirius, fils de Phinéas Nigellus. "
"Du calme, Drago. ", dit Sirius.
"Sirius!??? Ah oué quand même... ", dit Severus.
"J'en viens à la conclusion qu'il faudra détruire cet anneau ", conclut Alastor. "Il faut que l'un de nous l'apporte à la Montagne du Destin."
"QU'EST-CE QU'ON ATTEND POUR LE DÉTRUIRE??? ", beugla Hagrid en abattant sa hache dessus.
Sa hache se brisa en mille morceau. Beaucoup d'entre eux restèrent sur la barbe de Dumbledore qui ressembla à un Sapin de Noël.
"Zut, putain, c'est malin, déjà qu'elle était emmelée... ", mumura-t-il tandis qu'Alastor déclarait:
"L'anneau ne peut pas être détruit comme ça, Hagrid fils de Fridluva! Il faut le jeter dans les flammes de la Montagne du Destin. Et, au passage tu pourrais faire attention avec ta hache, ça me fait une cicatrice de plus maintenant. "
Là, tout le monde se mit à vouloir porter l'anneau. Tout le monde se mit à gueuler "Il est à mwa!" "Nan c'est le mien!" "Ze le veux!", ect...
Harry, lui, regardait l'anneau qui l'obsédait tout autant que la photo de l'elfe. Dumbledore se lança dans la bagarre. Harry regarda intensivement l'anneau (enfin, dans la direction de l'anneau, car Hagrid avait eu la sainte bonté de se mettre juste devant pour gueuler à Drago "Jamais d'oreilles pointues porteront cet anneau! ") et lança:
"Je vais le faire! "
Il nn'y eut pas de réaction car tout le monde continuait à gueuler, y compris un homme qui disait:
"Qui veut mon poisson! "
Et un autre répondait:
"Il est pô frais ton poisson! "
"Pô frais??? "
Et la bataille reprit de plus belle. Harry dit "Je vais le faire! " à plusieurs reprises, mais toujours pas de réaction. Il prit alors un mégaphone et hurla.
"JE VAIS LE FAIRE! JE VAIS PORTER L'ANNEAU EN AZKABAN!!! "
Cette fois-ci, tout le monde s'interrompit. Dumbledore poussa un gros soupir.
"Si par ma vie ou ma mort, je peux vous protéger, laissez-moi vous accompagner. Mon épée est votre. ", annonça Sirius.
Harry se disait "Chouette, elle est trop belle son épée ", et quelqu'un murmura "Comment veut le protéger si il meurt? " Sirius se plaça derrière Harry.
"Mon arc est aussi votre ", s'exclama Drago avec un clin d'Ïil ravageur. Il se plaça à côté de Sirius.
"Et ma hache! ", dit Hagrid en désignant sa hache (enfin, puisque la sienne était cassée, il avait emprunté celle de son grand-oncle "juste pour faire la scène"). Il se plaça à côté de Harry.
"Poudlard est avec vous, mon gaillard! ", s'écria Severus en se mettant à côté de Sirius qui n'était pas content car il ne l'aimait pas trop.
Dumbledore venait aussi, car il s'était placé à côté de Drago.
"MOI AUSSI JE VIENS!!!!!! Je le protègerai pour toujours, Professeur Dumbledore!Rien ne me séparera de lui! ", hurla Ron en sortant d'un fourré et en se plaçant à côté d'Harry.
"En effet, même quand il est invité dans un conseil secret vous venez " s'exclama Alastor, indigné qu'il ait échappé à sa vigilance constante.
"HÉ, ON VIENT AUSSI!!!!!!!! ", gueulèrent Fred et Georges en sortant de derrière deux statues et en se précipitant vers les autres.
Cette fois-ci, Alastor eut l'air choqué. "Il faudra que j'aille vérifier mon oeil magique ", pensa-t-il.
Fred et Georges se placèrent à côté de Hagrid. Fred marcha également sur le pied de Dumbledore qui lui donna un coup de canne en sifflant "Crétin de Touque! "
Alastor contempla la troupe, composée de neuf personne, et annonça:
"Neuf, vous êtes neuf, autant que les cicatrices que j'ai sur le front! Vous formerez la Communauté de l'Anneau."
"Chouette, où est-ce qu'on va maintenant? ", demanda Fred.
-FIN DE LA PREMIÈRE PARTIE-
Voilà!!! J'ai déjà commencé la partie 2 mes poteaux! J'en suis quand ils sont à la montagne enneigée (dont j'ai oublié le nom) Je ne vous promets pas que cette fic sera un jour achevée et que vous pourrez contempler les six chapitres à souhait, mais je publierai tout ce que j'ai fait.
signé Mystina
(ce signé Mystina n'était pas utile, mais c'est pas grave)
