pète encore plus un câble à cause du site pourri

"Cessez-donc de râler comme un gosse de trois ans, Hagrid fils de Fridluva!", beugla Dumbledore. "On a du lembas sur la planche, comme je ne cesse de le répéter! "

"Le nouveau Dumbledore est plus bougon que l'ancien...", grogna Hagrid. "L'autre ne m'envoyait pas des vents comme ça. D'abord."

Mais Hagrid était, pour le moment, du moins, le seul à avoir cette opinion.

Plus loin dans la forêt, Sylvebinns, avec Fred et Georges sur ses épaules, n'arrêtait pas de baratiner. Et Fred était heureux, parce que malgré ses retrouvailles avec Dumbledore, ce dernier ne l'avait même pas traîté de "Crétin de Touque".

"Ah, je vais vous raconter un autre poème ", disait Sylvebinns. "Alors... Sniff? Sniff? Vous trouvez pas que ça pue? "

"Très poétique votre poème, en effet.", dit Georges qui n'avait rien suivi.

"Euh, ouais mais là je demandais si ça puait pas un peu?", soupira Sylvebinns.

"Sniff. C'est vrai!!!", s'exclama Fred.

"C'est pas moi! ", dit Georges.

"Sniff. Ahh, je sais ", fit Sylvebinns.

Il leva le pied et...

"Ah, je le savais! ", soupira-t-il. "J'ai marché sur un Serpentard l'autre jour et maintenant il a pourri. Putain, c'est déguelasse! Faut faire attention."

Et il se racla le pied contre un tronc d'arbre allongé, celui que Hagrid avait tué en l'occurence.

Quand il eut fini, Sylvebinns dit:

"Euh, bon, je disais. Alors, je pense que ces vers vont vous plaire, c'est moi qui les ai composés! Alors... HUMM BROULOUBROUM HOUM HUM! Bon. Euh. Verte est la terre et marron sont les feuilles... euh, non c'est pas ça. Marron est la terre et vertes sont les feuilles...Euh... Jaune est le ciel, HEU NON, jaune est le sol... oh, tiens, ils se sont endormis! Ben ça tombe bien on est arrivés."

Et Sylvebinns REjeta nos amis à terre avec autant de ménagement que blablabla, mais Fred et Georges n'eurent pas le temps de hurler de douleur car ce nouveau choc les avait fait s'évanouir.

Et pendant ce temps, nos quatre autres amis venaient de sortir de la forêt.

"Pas trop tôt ", soupira Hagrid.

"Non, car un magicien n'arrive jamais en avance. Pas plus qu'il n'arrive en retard d'ailleurs. Il arrive toujours à l'heure... "commença à sermonner Dumbledore.

"Oui bon. ", s'impatienta Sirius.

Dumbledore sortit un sifflet à Ultra-sons et se mit à souffler comme un malade. Et ce pendant un quart d'heure.

"Oui bon. ", s'impatienta Drago.

"Je crois que je ferais mieux d'utiliser la vieille tactique ", soupira Dumbledore. Il se mit à siffler comme un malade pendant un quart d'heure.

"Oui bon. ", s'impatienta Hagrid.

Dumbledore se mit soudain à comprendre que tout cela était trop répétitif pour les lecteurs et il sortit de l'herbe de sa poche.

Nos amis virent alors un cheval blanc galoper vers eux de manière grotesque, la langue pendante. Le cheval s'arrêta pour manger une plante à terre - du canabis - et Dumbledore le retint.

"Voici Fumseck", dit-il. "C'est le roi des ch...AT...CHOUM!"

"Des shootés ", acheva Sirius.

"Non, des chevaux, mais ça pourrait tout aussi bienn être le roi des shootés ", assura Dumbledore.

Il monta sur son cheval, et nos amis aussi, et tous démarrèrent au quart de tour.

(à l'heure actuelle c'est Dumbledore qui gagne, mais c'est serré... Il va se faire rattrapper par Drago qui va se faire rattrapper par Sirius)

Le soir même, nos quatre amis firent une pause café, histoire de récupérer, et ils logèrent dans la prairie, dans une tente. Dumbledore ne dormait pas. Il regardait l'horizon, au sommet d'une colline, les cheveux volant à la brise légère.

Sirius ne dormait pas non plus. Il décida de faire une blague à son vieil ami (c'est le cas de le dire ) : il se planqua discrètement derrière lui, et alors que Dumbledore s'épanoussait en se grattant un membre situé entre les jambes, il lui saisit brusquement la taille en hurlant "BOOOUUUUUUUUUUHHHHH!!!! ", ce qui fit dégringoler le vieillard en bas de la colline. Il remonta vers Sirius en se massant le derrière.

"Évite ce genre de blagues, s'il te plaît, j'ai de l'aérophagie... ", souffla le Magicien Blanc.

"Le rapport? "

"Hum, ben voilà quoi. J'ai un truc à te dire. "

"Ouais?"

"L'Ïil nous observe. Voldemort, du haut de la Tour d'Azkaban, et Karkaroff, du haut de la tour de Durmstrang (il savent faire que des tours les méchants ou quoi? ) sont nos ennemis, et ils veulent tout envahir, le monde des Hommes, Beauxbâtons et Poudlard. "

"Et en quoi ça me concerne? "

"Oui, bon. Mais tout de même, nous avons un avantage. "

"Le quel? "

"Voldemort croit que nous avons l'anneau... Et il se demande..."

Total changement de décor à ce moment là. Dumbledore disparut, laissant Sirius livré à lui-même, et des tas de Serpentard arrivèrent, pointant sauvagement leur doigt vers le Maraudeur musclé tout en chantant à tue-tête:

"Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'Anneau?

Qui a volé a volé a volé l'anneau de Voldemort? "

Et tandis que les Serpentard répétaient leur chanson idiote, Sirius s'exclama: "Non c'est pas moi... "

Il y avait une espèce de sauvagerie dans le regard des Serpentard.

"Qui a volé a volé a volé l'Anneau de Voldemort? ", chantèrent-il méchamment en s'avançant vers Sirius.

"Non c'est pas moi je surfais dans la montagneuh! "

Et rebelote. Sirius continuait de dire "Non c'est pas moi ", mais il finit par perdre patience (les choeur Serpentardiens sont toujours là ), et entre deux "c'est pas moi " il s'exclama: "Faut que j'vous le dise en elfique ou quoi? "

"Qui a volé a volé... "

Et là, c'en fut trop pour notre héros. (notez la rime ) Il taillada les quelques 10 serpentards qui faisaient les cons, QUI LAISSÈRENT À TERRE DES BOYAUX ROUGES ET OR!

Dumbledore réapparut.

"Tu fais chier! c'était une blague de mes copains Griffs (griffs tout court. C'est à dire Istari ) pour rigoler, les pauvres! mais bon c'est pas grave! Bon, bref, Harry est seul pour aller jeter l'anneau en Azkaban! "

"Ben non y a Ron avec lui! "

"Ah bon Ron est avec luiiiiiiihhhh???? "

"Ben où vous vouliez qu'il soit? "

"Bah, en train de se faire violer par Sylvebinns! "

Et les deux amis ricanèrent ensemble, jusqu'à la fin de la nuit.

Pendant ce temps, dans le château de Beauxbâtons, Hermione était accroupie devant le vieux pruneau moisi qui lui servait d'oncle.

"Mon oncle... Votre fils... Il est mort... "

"Grrrrrrm... "

"IL EST MORT! "

"????? Mes gouttes... Où sont mes gouttes.....?"

"OHÉ BORDEL DE MERDE TON FILS DE MES DEUX IL EST MORT!!!! ET TOI T'EN A RIEN À BATTRE!!!!!", s'écria Hermione d'un ton furieux tout en empoignant, cette fois-ci, le gros Robert.

C'est dans cette merveilleuse ambiance de...bref, que notre ami Percy Langue de Serpent arriva.

"Oooooh... Veutre frèèère è dû murir durènt lè nuiiit! Kèl deummage!", dit-il d'une voix toute chièèènte tout en s'efforçant d'avoir l'air peiné.

Il s'approcha d'Hermione qui essaya de l'ignorer royalement (mais ce fut chose impossible à cause de l'odeur) et lui murmura des gentilles choses:

"Si bèèèèèèèlle.Keumme un mètin de priiintèmps, lè fleurs en muains, lès feurmes en pluuus! Qu'avèèèèè-vous dû diiiirè aux tènèbres quand vus étièèèz triste???" s'enquit le mutant (désolée, y a pas d'autre mot ) tout en caressant la belle Hermione.

"Vos paroles sont du poison! ", grogna-t-elle en sortant. "Et votre odeur aussi..."

Hermione prit l'air, au sommet de la terrasse, enfin je sais pas comment on l'appelle quand il s'agit d'un château. Elle soupira, joua sa L'Oréal à cause du vent et se détendit un peu en tuant quelques Télétubbies.

Nos 3 braves cavaliers cavalèrent (Drago était premier, et donc Hagrid second puisqu'il était accroché sur son dos (et qu'il en profitait (tu parles qu'il est plus pédé (oups, je crois que je suis lourde avec mes parenthèses! ' )))) jusqu'au château de Beauxbâtons et le village sinistre qui l'entourait. En arrivant devant la porte du village en question, Dumbledore lança à la cantonnade:

"Faites attention, nous ne sommes pas les bienvenus ici! "

"Et pourquoi donc, mon ami? ", demanda Drago tout en essayant de se dégager de l'étreinte de Hagrid, qui en profitait tellement que c'en était carrément indécent!

"Parce que c'est comme ça. "

Ils pénétrèrent dans le village de Beauxbâtons, où de nombreuses personnes faisaient l'amour.

"Hé ben, c'est plus gay dans un cimetierre ", s'exclama Hagrid, oubliant d'un coup Drago qui s'en trouva fort soulagé. Il était sur le cul. (normal, puisqu'il était à cheval ) En effet, même si ce n'était pas la constatation que nos amis avaient fait en première, tous ces gens-là étaient hommes-femmes... (pas un slash dans ce village, désolée Griffy )

Peut être était-ce pour former une armée dans 20 ans...

Hermione était toujours comme une conne sur sa terrasse, regardant l'horizon, comme dans une pub Elsève, L'owéal, pasque VOUS le valez bien! Un drapeau s'envola... Il était autrefois orné d'un cheval, mais il avait fort changé: au-dessus était peinte une groooosse croix gamée pleine d'huile (la marque d'un neuneu que vous connaissez ) et Hermione avait peint encore au-dessus "SOS" avec la croix de la pharmacie. (je ne sais pas pourquoi, d'ailleurs ) Ce fameux drapeau aterrit donc juste sur Hagrid, qui s'ébroua comme un fantôme jusqu'à ce que Drago lui retire ce bout de tissu.

Sirius regarda le ciel, et aperçut alors la vierge de Beauxbâtons... Il admira sa culotte, que le vent avait révélé (mais aussi son visage d'ange, cette fic tourne vraiment dans le porno va falloir y remédier! ) l'espace d'une seconde, regarda un peu où il allait parce que c'est toujours utile, à moins de tenir à se prendre un mur, puis re-regarda, et... Hermione avait disparu...

Dumbledore, pendant ce temps, regardait le village, où les gens, bien que faisant des machins se passant en dessous de la taille, avaient l'air faméliques...

"Décidément, les temps comme les Ïufs sont durs ", soupira-t-il.

Ils arrivèrent devant le château, où des soldats commencèrent à promener leurs mains sur nos héros.

"Non mais c'est quoi ces manières???? ", s'exclama Sirius.

"Mais ce sont de très bonnes manières! ", protesta Hagrid qui semblait y prendre plaisir. (c'étaient des soldats... )

"On nous a ordonné de vous enlever vos armes. "

"Fallait le dire plus tôt! " s'exclamèrent en choeur, comme dans les livres cucul, Sirius et Drago tout en donnant respectivement leur épée et leur arc.

"Trouvez-la vous-même! ", dit Hagrid en riant, mais un soldat la lui prit à ce moment là. (parce qu'il n'avait fait ça que par pure conscience professionnelle. )

Tant qu'à Dumbledore, on l'avait fouillé aussi, bien qu'il tint son bâton à la main. Un type le montra du doigt.

"Vous n'allez QUAND MÊME pas priver un vieillard de son bâton, hmm? ", demanda-t-il.

Et pour les beaux yeux de Dumbledore, les soldats acceptèrent cette requête. Dumbledore entra dans le palais en galopant tel Alice au Pays des Merveilles, sautillant, ses amis morts de honte derrière.

En voyant entrer un vieillard, un beau gosse, un brave chevalier et un nain de jardin, Percy, qui caressait langoureusement les mains du roi, se redressa. Drôle de troupe. Mais ce n'est pas cela qui l'intéressait.

Une précision s'impose: comme il faisait froid, Dumbledore avait remis son manteau de Magicien Gris. Mais cela pouvait prêter à confusion: comme vous l'avez probablement deviné, Percy était totalement incapable de différencier les cheveux sales des cheveux propres. Il se leva.

"Hé ben, c'est plus autant accueillant qu'avant ici! Franchement, j'préférais le temps où on distribuait à chaque visiteur un collier de fleurs et une bouteille de champagne! " s'exclama Dumbledore en s'approchant.

Aussi fatigué soit Arthur, il parvint à s'exclamer d'une voix de tuyau percé:

"Qu'est-ce que vous venez foutre dans ma demeure, magicien de mes deux qui pooorte malheurrr???"

Percy se mit à ricaner bêtement et il glissa au roi:

"Queeessetieun très pèretinintè, sè mèèjeeeesté! ", même si personnellement, je n'arrive pas à voir ce qu'il y a de si pertinent là-dedans.

Il s'approcha de Dumbledore, se mettant nez à nez avec lui,en disant de sa voix gnehgneh:

"Dumbeldeure! Meuvèse nuvèle, keumme je l'apèle, perrsque..."

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase car le vieillard lui foutut une beigne qui l'envoya valser (au sens figuré ) à des mètres.

"Bon, sa majesté le Roi Arthur, je viens pour ôter le sort de Karkaroff."

Le roi arthur se mit alors à se marrer comme il ne s'était pas marré depuis son dernier festin très arrosé - comme le voulait la coutume Beauxbâtonnaise -, qui avait eu lieu il y avait déjà un certain temps.

"Gnah ha ha ha ha! Tu crois qu'avec ta lessive omo plate (et oui, Arthur parlait québecois à ses heures ), tu vas arriver à quelque chose???? "

Dumbledore ôta alors sa cape grise, dévoilant sa nouvelle robe lavée au Chat Tablettes, soyeuse, qui sentait bon, BLANCHE. Et sa barbe, lavée au shampooing, et non plus au beurre de cacahuète, mais ça notre ami Arthur aurait pu le remarquer avant.

Ami Arhur qui fut ébloui par tant de propreté.

Percy, qui, heureusement pour lui d'ailleurs, n'était pas aussi myope qu'il avait les cheveux sales, et qui avait repris conscience depuis le temps, aperçut le BÂTON de Dumbledore, qu'il tenait dans sa main droite avec panache.

"Son BÈÈÈTON! Je vus avè dit de preeennndre son BÈÈÈÈTON!!!" glapit Percy.

"Merde, je croyais qu'il le remarquerait pas! " grogna un soldat.

"Oh, c'est bon, hein! " minimisa un autre, et le soldat se prit un poing de Drago dans la gueule.

En effet, Sirius, Drago et Hagrid combattaient à mais nues la garde personelle de arthur, et ils étaient tellement beaux, forts, intelligents, charmants (euh... sauf Hagrid ) qu'ils les poutraient littéralement. C'est vrai qu'ils avaient en bonus l'effet de surprise, mais bon quand même ils étaient 3 contre 30, quoi...

"Bon, alors, au boulot!" s'exclama Dumbledore. Il commença à darder son bâton en direction du roi Arthur.

À terre, Percy tilta.

"Si tu fais l'con, tu meurs", avertit Hagrid, un vilain rictus à la bouche. Il s'assit dessus. Percy faisait office de siège trèsconfortable, quoiqu'un peu gras! Un pet du nain fit dégager la graisse qui se trouvait dessous et qui s'accumula autour de son fessier. Parfait.

"Arrêtez de faire les cons, j'arrive pas à me concentrer!" s'exclama Dumbledore à l'attention de Sirius et de Drago qui foutaient des mites à la garde personnelle du roi.

"Bah oui mais comment on fait pour que tu te fasses pas agresser alors? " demanda Sirius en entrechoquant deux soldats.

"Ben faites moins de bruit! " s'exclama Dumbledore, et Sirius et Drago, que matait ardemment Hagrid, se firent plus discrets, et évitèrent de défoncer les armures pour neutraliser leurs adversaires, frappant directement sur la peau nue. "Bon. Où en étais-je? "

"Le Rohan est à mouaaaahhh ", siffla Arthur, pour l'enchaînement des évènements.

Dumbledore libéra de l'énergie de son bâton.

"ARGH! "

"Qu'est-ce qu'y se passe ici? " demanda Hermione, qui venait d'arriver, d'un ton blasé. "Qu'est-ce que vous foutez, là? "

Dumbledore envoya une autre bouffée de pouvoir.

"Si je pars, Arthur meurt ", ricana Arthur qui était possédé par Karkaroff.

"??? " fit Hermione.

"Tu crois quand même pas que je suis revenu de cette putain d'ombre et de cette putain de flamme pour qu'un putain de roi crève au lieu d'être dépossédé???? " beugla Dumbledore en dardant son bâton de plus belle. Il scintillait.

"Vas-y tu touches pas à mon tonton!!! " gueula Hermione.

Sirius, qui avait fini de massacrer la garde personnelle du roi Arthur et qui venait de s'approcher pour assister au spectacle tout en se frottant les mains, accompagné de Drago, la prit par les épaules.

"Laissez-le ", lui murmura-il.

Et comme c'était un bel homme et qu'elle ne voulait pas le contrarier (il avait la force nécessaire pour lui tordre le cou), elle obéit.

"Tu ne peux rien contre moi! " ricana Arthur.

"COMMENT çA JE PEUX RIEN CONTRE TOI???? ON VA VOIR CE QU'ON VA VOIR! Je vais aspirer Saroumane comme on aspire le venin d'une plaie! "

Dumbledore sortit une seringue, la planta dans Arthur et absorba un liquide verdâtre. Arthur fut terrassé.

Tant qu'à Karkaroff, qui utilisait son stupide palentir, il reçut le même coup, mais comme il avait pas de trône derrière pour le freiner il traversa toute la pièce comme si un troll l'avait frappé et il se prit le mur, qui engendra la chute d'un bibelot sur une étagère sur sa tête.

Humiliation. Il avait une bosse affreuse... Heureusement qu'il était seul...

"Tonton! " s'exclama Hermione, s'arrachant de l'étreinte de Sirius, dans le château de Beauxbâton, et étreignant à la place le Roi Arthur. "Bouhouhou vous l'avez tué et moi aussi je vais vous tuer " s'exclama-t-elle, sans voir que son oncle, au lieu d'être crevé, rajeunissait à vue d'Ïil. Comme lifting, on fait pas mieux. Ces images auraient été idéales pour une marque de produit à rajeunissement, pensa Drago. Sa peau frippée, blanche et pleine de tâches de vieillesse redevint bronzée, à peu près normale et peu ridée pour un vieux de 60 ans, ses yeux reprirent de la vivacité, ses cheveux et sa barbe se repeignère, raccourcirent et reprirent leur éclat roux d'antan, bref, le Roi Arthur était de retour!

Et Hermione continuait à le serrer à l'en étrangler.

"Koff... Keuairf! Ma nièce, lâche-moi je te prie..." toussota-t-il.

" Ah ben ça alors!" s'exclama Hermione. "Comment j'ai fait??? ça doit être un don... si j'avais su plus tôt "

"Voilà le roi Arthur tel que je le connais! " s'exclama Dumbledore.

"Ah ça va mieux! Franchement, ça fait longtemps que j'ai pas pété la forme comme ça! " s'exclama le Roi, tout fier.

"Vos doigts se souviendraient mieux de leurs forces s'ils empoignaient votre épée ", assura Dumbledore.

"Ouais c'est pas tout ça mais moi j'ai la dalle " répliqua Arthur.

"Qu'on ahhor-he hon choholah chaud au roi!! " hurla un garde encore vivant, toujours sonné par le coup que Sirius lui avait mis dans les dents.

"Pendant ce temps, reprenez donc votre épée ", avisa Dumbledore.

"Si vous y tenez... " grommela le roi Arthur.

Dumbledore lui tendit le fourreau, et Arthur attrappa sa grosse épée.

"C'est cool, j'vais pouvoir me fighter à nouveau! " dit-il.

Il aperçut alors les yeux effrayés de Percy, toujours sous Hagrid, qui le fixaient.

Il fut sans pitié: il le balança à travers les escaliers pour sortir du château, en public.

"ET ALORS????? " hurla-t-il.

Dans les rues, la rumeur montait...

"Regardez, c'est le roi Arthur, il est de retour! "

"Celui de la radio?... "

"Mais non... "

"Meehhh meun Sèèègneuuureuh, jeuuèèè n'èèè jeeehmeh fait que vus sèèèreviiiir!"

"ME SERVIR???? Non mais tu te fous de moi là???? Dis que dans ma jeunesse j'étais streap-teaseur tant que t'y es!!!! Ta science médicale de mes deux, ben elle est pas au point si c'était pour me soigner si tu veux mon avis! "

Percy était toujours à terre. Arthur allait le transpercer de son épée quand Sirius intervint.

"Non. Assez de sang a coulé comme ça. "

"Bon, on le tue au poison alors? "

"Non. Assez de mort par sa faute. Si on le tue on s'abaisse à son niveau. Laissons-le en vie. ", dit-il avec un sérieux et une intelligence rares dans cette fic.

"Si ça peut te faire plaisir "

Percy en profita pour filer. Les gens, ces cons, au lieu de le bloquer, s'écartèrent de son chemin. Il prit un mégaphone pour que tout le monde l'entende bien et hurla: "Sehlut à tua, Ruaa Èrthuuure! Nus nus rètruverons! "

Et il prit un cheval qui traînait par là et se cassa en faisant un bras d'honneur au passage.

"Et où il est mon fiston? " demanda alors Arthur. Il l'avait complètement oublié, celui-là.

Arthur fut très atristé de la mort de son fils. Il organisa un enterrement. Tout Beauxbâtons y assista. On apporta le cercueil vers une tombe, et les gars qui le portaient allaient très lentement. Tout le monde s'ennuyait à mourir. Ce fut pire quand Hermione, qui avait une coiffure toute moche, se mit à chanter.

"Beeellum! Oukinaché! Porratum! Késsaloorrrto!", chanta-t-elle.

"Pitié... " disaient les gens.

"En plus ça veut rien dire ce qu'elle chante! "

Bref, c'était insoutenable. Drago partit même avant la fin. Mais le chant d'Hermione s'arreta avec la fin de la cérémonie, heureusement pour les oreilles de nos protagonistes et pour celles des villageois!

Lorsque le tombeau se referma, tout le monde partit en courant (!) à part le Roi Arthur et Dumbledore. Le Roi regardait une fleur blanche, assis à terre.

"Pourquoi tu regardes cette fleur comme ça? "

"Ben en fait elle pousse sur toutes les tombes de mes ancêtres et maintenant mon fils il en a dessus aussi! En plus c'est des fleurs, c'est pas viril! "

"Ça pousse QUE sur les tombes de tes ancêtres??? ", s'exclama Dumbledore, stupéfait d'un tel prodige.

"Ouais "

"Mais c'est cool! Comme ça quand y a un usurpateur tu le sais tout de suite! "

"Oui mais ça sert à rien puisqu'on le sait quand il est mort... " Il se mit à couler des larmes sur ses joues. "Aucun père ne devrait avoir à voir son fils crever! Et le pire c'est que je le savais même pas qu'il était mort! "

Dumbledore lui donna une tape sur l'épaule.

"Allons! Allons Justement, soyez heureux! Vous êtes vivant et pas votre fils! C'est une chance rare, d'autant plus que vous êtes débarrassé de ce morveux! "

"Ouais... "

"C'était une force de la nature. J'te jure. "

"Toi t'alternes tutoiement et vouvoiement. "

"Il rejoindra le panthéon de vos ancêtres ", continua Dumbledore, confirmant la remarque.

On vit alors un cheval avec deux morveux dessus arriver. L'un des morveux tomba dans les pommes.

Plus tard, les enfants mangeaient, abrités dans le château.

"Ils ont été surpris par des gros barbares puants et ils ont pas pu se défendre ", expliqua Hermione.

Hagrid rota: il venait de boire une bière.

"Comment tu sais ça toi? " demanda Arthur tandis qu'Hagrid rôtait..

"Ben je leur ai demandé comment ils étaient arrivés. "

"Quand? "

"Avant de manger. "

Hagrid se mit à roter.

"Je savais pas. "

"Bon, alors là on a intérêt à attaquer Durmstrang", raisonna Sirius.

"Hé ho c'est moi le boss! " s'exclama Arthur. "Et d'abord je vais pas risquer une guerre ouverte. "

"De toute façon t'as Karkaroff il l'a déjà déclarée la guerre! ", enragea Sirius alors qu'Hagrid finissait une bière, ce qui le fit roter.

"Ah bon? À qui? Au cheveux secs et cassants, c'est ça? " Hagrid rôta encore.

"De toute façon la guerre elle est déjà déclarée, sinon y aurait pas des mongoliens qui s'amuseraient à brûler des villages en gueulant "Karkaroff Akhbar!"! "

"Aux dernières nouvelles, c'était moi le boss! Et pourquoi je ferais la guerre d'abord? "

Ça devenait violent. Hermione envoya les enfants aller se coucher. Arthur et Sirius ne s'en rendirent pas compte, mais Hagrid leur dit bonne nuit en rôtant, ainsi que drago et Dumbledore, sauf qu'eux ne rôtaient pas.

"Ben parce que sinon on va se faire poutrer et que t'auras plus de royaume ", dit simplement Sirius.

Il y eut un silence qui fut coupé par un rot sonore de Hagrid.

"Ben on s'en fout j'ai une méga armée pleine de soldats hyper balèzes ", soupira le Roi Arthur.

"Mais non, ils se sont fait virer. "

"Ah c'est malin ça!!!! " enragea Arthur. Il prononça un juron qui fut masqué par un rot de Hagrid. "C'est qui le con qui a viré les Beauxbâtohims????? "

"C'est vous... " répondit Dumbledore.

"Ah. "

On entendit un rot raisonner dans toute la pièce, brisant le silence.

"Quelle sera donc votre décision? " demanda Sirius.

Un brave soldat de la garde Royale qui n'était pas trop amoché vint le lendemain annoncer la décision du Roi à la ville.

"Allez! On se casse d'ici! En route pour le gouffre de Godric's Hollow! Prenez le minimum nécessaire! "

Les gens commençaient à s'affoller.

"Mais qu'est-ce qu'il est con ce type! " enragea Dumbledore. "Le Gouffre de Godric's Hollow, on file droit au massacre là! "

"Vous n'auriez pas vu mon sèche cheveux? " lui demanda une citadine.

"NAON! Je me casse et je vais chercher Bill et ses Beauxbâtohims! Je serais de retour à l'aube du 3ème jour "

"Comment vous savez ça? "

"Euuuuh... chais pas, c'est une estimation... "

Et Dumbledore s'en alla sur le dos de Fumseck, qui écrasa quelques badauds au passage.

Pendant ce temps, Hermione faisait ses préparatifs, résolue à se BATTRE. Elle brandit son épée et commença à s'entraîner en la faisant tournoyer partout dans la salle, décapitant les mecs qui faisaient les préparatifs involontairement. Sa lame en heurta soudain une autre. C'était celle de Sirius. Elle fut impressionnée par cette apparition si soudaine qui l'avait interrompue dans son élan. "Il est beau " pensa-t-elle.

Sirius fit un mouvement qui permit aux lames de retrouver leur position normale, si vous voyez ce que je veux dire.

"Vous êtes adroite avec une lame ", ironisa-t-il.

Hermione rougit de plus belle. Elle croyait vraiment au compliment. Embarrassée, elle alla ranger son épée dans son fourreau tout en expliquant, pour montrer que c'était une femme forte et non une chochotte, et aussi un peu pour fanfaronner, ainsi que pour meubler:

"Dans le coin, les meufs elles ont appris à se battre, pour ne pas se faire tuer. "

"Ah ouais? Et toi t'as peur de quoi? "

Question délicate. Hermione improvisa, n'osant pas avouer qu'elle avait peur de passer pour une idiote, ce qu'elle faisait souvent malgré elle.

"Euh ben... "(son regard tomba sur la cage du hamster de Arthur) "D'une cage... Ouais, d'une cage où on m'enfermerait... vachement longtemps... jusqu'à ce que je devienne trop résignée pour m'en sortir... "

"Comme vous êtes la damoiselle protectrice de Beauxbâtons, ben ce genre de truc n'arrivera pas ", la rassura Sirius. Cette jeune fille était ma foi intéressante! S'il n'avait pas eu Fleur...