Titre : Les Maudits
Auteur : Oxymore ( aussi appelée Black-sun )
Spoiler : Les quatre premiers tomes.
Disclaimer : Seule l'idée m'appartient.
Résumé : Vous ne vous êtes jamais posé des questions sur la haine qu'il existe entre Gryffondors et Serpentards. Cette fic va vous révéler l'existence d'un complot qui vous fera traverser le temps. ( attention couple originaux ! )
Genre : drama, romance , slash
Bla-bla de l'auteur : Entre cette fic et les autres, il y a eu une longue période où j'ai arrêter de lire et d'écrire des fic HP. « Maudits » marque donc mon retour, retour provoqué par Dod. Merci à elle.
Remerciements : merci à Lady Shinigami pour m'aider à comprendre , merci à toutes les personnes qui ont déjà lues cette fic. Merci à Ambre pour sa rewiew !
Bonne lecture !
Les Maudits
Chapitre 1
Italique parole de la narratrice
Normal parole du premier perso ou PDV
Gras parole du second personnage ou PDV
Il existe une vieille légende, elle remonte à la création de Poudlard, elle raconte que dès le début, l'école était maudite. Un vieux sorcier qui prônait l'auto - éducation a fait construire un labyrinthe à l'endroit où se trouve aujourd'hui le terrain de Quidditch. Et un jour...
Je me demande si le fait de construire cette école à vraiment un sens aujourd'hui, avec tout ce qu'il arrive. Je me balade une fois de plus dans ce dédale de verdure, étrangement devoir me concentré sur la sortie me fais oublier tous mes soucis. J'entends soudain un bruit, je m'approche, c'est juste derrière le mur où je me trouve.
Un des fondateurs et enseignants de l'école s'était perdu dans celui-ci.
Je m'assois un instant contre le mur afin de réfléchir, et oui je me suis encore perdu ! Je n'ai jamais eu le sens de l'orientation c'est fou ! J'éclate d'un petit rire nerveux.
" Il y a quelqu'un ? "
Je sursaute, un homme vient de parler à travers le mur.
" Je suis là, je lui répond.
- Tu t'es perdu ?
- Oui.
- Je vais t'indiquer le chemin, ton directeur de maison va s'inquiéter s'il ne te voit pas rentrer,"
Mon directeur de maison ? Il ne m'a donc pas reconnu, je souris et décide de jouer le jeu.
Il se fit indiquer le chemin par quelqu'un qu'il croyait être un de ses élèves (sûrement un préfet comme c'est indiqué dans le livre), rentra dans ses appartements et prit l'habitude de se promener dans le labyrinthe au moins une fois par semaine, maintenant qu'il connaissait la sortie.
J'y suis encore, la journée à été dure, je me suis disputé avec un collègue, c'est ennuyeux vu que nous sommes tous deux des fondateurs de cette école. Mais il est têtu, borné, il ne veut pas écouter ce que j'ai à lui dire. Raaahh qu'est-ce qu'il peut m'énerver ! Tiens encore un bruit étrange, cette fois on dirait une pierre que l'on s'amuse à lancer contre un des murs fait de laurier.
" Qui est là ? Je demande.
- J'ai bien peur que cela soit encore moi.
- Tu t'es de nouveau perdu.
- Non. J'ai juste décrété que j'aimais bien ce labyrinthe.
- C'est vrai qu'il est paisible. "
Une conversation plaisante s'installa entre ces deux hommes d'une trentaine d'année, le premier étant un jeune homme aux cheveux châtain et aux yeux vert, le second un blond aux yeux noirs. Ils prirent ainsi l'habitude de se retrouver à travers ce mur de verdure une fois par semaine en discutant de tout et de rien, ils abordaient n'importe quels sujets : philosophie, politique, programme scolaire.... Enfin ils parlèrent de tous sauf de leurs identités. Et un jour...
Je suis à mon rendez-vous hebdomadaire avec cet enfant, sûrement un élève de dernière année ou quelqu'un de très rusé et de très intelligent. Puis soudain au beau milieu de la conversation, il me dit.
" Je crois que je suis amoureux."
Je ne peux pas expliquer le sentiment de peine que j'ai ressentit à cette phrase.
" De qui ? " demandais-je en priant pour que ma voix reste la plus calme et posée possible.
" De toi," me répondit-il.
Deux sentiments contradictoires m'envahirent, d'un côté le bonheur de savoir que j'étais aimé et de l'autre la peur de ce qu'il m'arriverait si j'étais découvert. Mais pour une fois je décida de laisser mon ambition de côté.
" Je t'aime aussi," lui dis-je.
Un mois passa, durant quatre rendez-vous ils se murmurèrent des mots doux sans jamais se rencontrer. Lors de leur quatrième rendez-vous en tant que couple, la pluie faisait rage et un éclair tomba sur le mur qui les séparait...
Je lui ai crié de faire attention et j'ai couru jusqu'à lui pour le relever, c'est alors que je remarqua sa robe, ses cheveux et tout ce qui faisait de lui...
" Serpentard... murmurais-je dépassé.
- Que... Quoi.... Gryffondor ?
- Qu'est-ce que tu fais là ? Interrogé-je refusant la vérité.
- Non, TOI, qu'est-ce que tu fais là ? cria-t-il. "
Soudain il comprit, il comprit qu'il aimait son ennemi, l'homme qu'il détestait le plus au monde, haine que je lui rendais.
La légende dit...
" JE TE DETESTE ! "
Qu'aucun couple formé au sein de ce mur maudit n'aura droit à plus d'un mois de bonheur.
" JE TE HAIS ! "
Depuis ce jour de pluie, Godric Gryffondor et Salazar Serpentard se jouèrent des tours les plus méchants les uns que les autres, s'affrontèrent verbalement, complotèrent dans le but de nuire à l'autre. Leur haine se propagea aux élèves de leurs maisons qui commencèrent à suivre l'exemple de leurs aînés. Puis vint un jour où Salazar Serpentard alla trop loin, il utilisa la magie noire pour de tuer Gryffondor. Son sort se retourna contre lui et ce fut le courageux qui l'acheva d'un coup d'épée. Depuis ce jour la haine coule dans le sang des élèves en vert et ceux en rouge.
Que jamais ils ne seront heureux.
La malédiction se propagea à toute l'école.
Que cela se produira tous les quinze ans.
Depuis ce jour la guerre entre Gryffondor et Serpentard est omniprésente.
Et que jamais cela ne s'arrêtera.
Il existe une vieille légende, elle remonte à a création de Poudlard, elle raconte que dès le début, l'école était maudite. Un vieux sorcier qui prônait l'auto - éducation a fait construire un labyrinthe à l'endroit où se trouve aujourd'hui le terrain de Quidditch. La légende dit qu'aucun couple formé au sein de ce mur maudit n'aura droit à plus d'un mois de bonheur, que jamais ils ne seront heureux. Que cela se produira tous les quinze ans et que jamais cela ne s'arrêtera même si l'on détruit le mur, même si l'on empêche les deux maisons de se côtoyer. Tous les quinze ans un couple d'élèves de sexe masculin se déchira à cause de cette malédiction.
Elle s'appelle...
La légende des amoureux maudits.
