Titre : Les Maudits
Auteur : Oxymore ( aussi appelée Black-sun )
Spoiler : Les quatre premiers tomes.
Disclaimer : Seule l'idée m'appartient.
Résumé : Vous ne vous êtes jamais posé des questions sur la haine qu'il existe entre Gryffondors et Serpentards. Cette fic va vous révéler l'existence d'un complot qui vous fera traverser le temps. ( attention couple originaux ! )
Genre : drama, romance slash.
Bla-bla de l'auteur : Ce chapitre contient un lemon, peut être pas le lemon le plus explicite que l'on puisse trouver sur ce site ni le mieux écrit car c'est mon premier mais cela reste toujours un lemon. ne dites pas que je ne vous avez pas prévenu.
Remerciements : merci à Lady Shinigami pour m'aider à comprendre , merci à toutes les personnes qui ont déjà lues cette fic. Un très gros merci à Ambre ! ! !
Bonne lecture !
Les Maudits
Chapitre 3
Italique parole de la naratrice
normal parole du premier perso ou PDV
gras parole du second perso ou PDV
Il existe une vieille légende, elle remonte à a création de Poudlard, elle raconte que dès le début, l'école était maudite. Un vieux sorcier qui prônait l'auto - éducation a fait construire un labyrinthe à l'endroit où se trouve aujourd'hui le terrain de Quidditch. La légende dit qu'aucun couple formé au sein de ce mur maudit n'aura droit à plus d'un mois de bonheur, que jamais ils ne seront heureux. Que cela se produira tous les quinze ans et que jamais cela ne s'arrêtera même si l'on détruit le mur, même si l'on empêche les deux maisons de se côtoyer. Tous les quinze ans un couple d'élèves de sexe masculin se déchira à cause de cette malédiction. Elle s'appelle la légende des amoureux maudits. De nombreux anonymes périrent ainsi. Se battant en duel pour s'apercevoir qu'ils venaient de tuer l'être qu'ils aimaient, s'entre - déchirant, pleurant l'un contre l'autre. Jamais un seul couple formé entre un Gryffondor et un Serpentard ne tint plus d'un mois. Il y eu beaucoup d'anonymes mais beaucoup de personnes célèbres aussi. Des personnes qui ne demandaient juste qu'un peu de félicité.
Parfois, cela ne dura même pas un mois.
Un jour il y a vingt ans.
Je suis assis sur le sol froid d'un cachot, j'aime être là, je ne vois rien cela me permet de mieux réfléchir. J'ai les jambes remontées contre ma poitrine entourées par mes bras, ma tête repose sur mes genoux.
Soudain un bruit, quelqu'un entre. Je bouge pour lui indiquer ma présence.
" Qui est là ?
- Moi, je réponds calmement.
- Désolé. Je vais partir."
Je souris, j'ai réussis à le dérouter avec une simple phrase, il m'amuse.
" Tu peux rester je crains que les autres cachots soient infesté de bestioles.
- Merci. "
Je l'entends s'avancer et s'assoire contre le mur lui aussi. Il étant ses jambes et...
" C'était mon pied, lui fis-je remarquer.
- Désolé.
- Cesse donc de t'excuser, lui ordonnais-je en le tirant par les jambes pour qu'il se rapproche de moi. Dis-moi donc pourquoi tu traînes dans les cachots tard le soir.
- Et toi ? me demande-t-il sur la défensive.
- Moi j'y viens pour réfléchir tous les soirs depuis ma rentrée à Poudlard.
- Moi... Je... Je ne pouvais plus supporter l'ambiance d'en haut. "
Je sais très bien ce qu'il voulait dire, tout le monde doit être en pleur après une énième attaque de Celui Dont On Ne Doit Pas Prononcer Le Nom.
" Ils sont tous à pleurer les uns contre les autres, même ceux qui n'ont perdu personne.
- Tous des hypocrites, je tranche, t'as perdu qui ?
- Mes deux parents.
- Mes condoléances.
- Pas la peine de te forcer pour rien.
- Sache mon cher ami que je ne me force jamais," lui dis-je en m'approchant de lui.
Alors que le règne du Lord Ténébreux faisait rage...
Je n'y reviens pas, cela ne fait même pas dix minutes que je suis là qu'il m'embrasse ! Je soupire, pourquoi faut-il toujours que je tombe sur des obsédés ?
" Tu n'as pas aimé ? me demande-t-il. "
Je rougis malgré moi et ne répond rien, que voulez-vous que je dise ?
" C'est comme tu veux," me dit-il en se détachant de moi.
Je ressens un tel vide, un tel froid que je ne peux m'empêcher de le retenir par la cape.
" Reste, s'il te plait. "
Il rit.
" Il faut savoir ce que tu veux ! "
Je suis gêné.
" C'est que... euh...
- Je vois, m'interrompt-il avec un peu d'amusement dans la voix. Tu me laisses diriger.
- D'accord. "
Deux âmes perdues....
Il s'approche de moi et me serre contre lui, ses bras passent autour de mon cou et détachent ma cape, il s'éloigne un peu et je sens qu'il la pose à terre avec délicatesse.
" Qu'est ce que tu fais ? lui demandais-je perdu.
- Je nous prépare un petit lit d'amour. "
Cherchent un peu de réconfort.
Je l'entends poser sa cape par-dessus la mienne et il se rapproche doucement de moi. Il me prend la main et m'entraîne sur les capes où il me fait asseoir, je me penche pour enlever mes chaussures mais je m'arrête quand je sens deux mains s'y attaquer.
" Chut... Laisse-moi faire," me dit-il.
Il enlève mes chaussures, puis je l'entends se déshabiller, je peux deviner qu'il ne porte maintenant que son slip, caleçon ou autre. Puis soudain j'ai froid, il m'a enlevé ma robe ! Ses mains parcourent ma peau, me font d'exquises caresses, il me couche délicatement sur notre "petit nid d'amour" et commence à embrasser chaque parcelle de mon corps. Mon front, mes paupières, mon nez, mes joues, mes lèvres, mon cou où il s'attarde particulièrement, me faisant gémir. Puis mes pectoraux, il joue un peu avec mes mamelons, puis descend le long de mon ventre, s'attarde avec l'élastique de mon slip. Puis soudain s'arrête.
" Quel âge as-tu ? Interroge-t-il.
- Seize ans, pourquoi ?
- Ttt ttt, porter encore des slips à ton âge, me taquine-t-il. "
Puis il retourne à ses occupations.
Est-ce si mal ?
Je fais en sorte de lui laisser un souvenir inoubliable de cette nuit, qu'il oublie un peu son chagrin, qu'il profite un maximum de ce bonheur éphémère. Demain tout recommencera, je reprendrai mon masque. Enfin... J'espère que je n'aurais pas à le remettre. Tout dépendra de lui.
Je lui enlève son slip, je souris, il est vraiment trop chou.
" ... encore des slips à ton âge. "
Je lui embrasse son sexe dur, je suis content qu'il prenne du plaisir, je remonte jusqu'à ses lèvres et lui murmure à l'oreille :
" On peut tout arrêter, c'est toi qui décide, un simple stop et tout est fini.
- Mais toi...
Ne t'occupe pas de moi. "
Je mouille mes mains avec ma salive, me penche vers lui et lui écarte délicatement les cuisses. Comme il ne donne aucune réponse, je le lâche.
" Ne pars pas !
- Je ne pars pas, lui dis-je. "
Il soupire.
" S'il te plaît continue.
- J'aime mieux ça..." je lui susurre.
Je retourne donc à ses cuisses, les lui écarte.
" Désolé, cela va te faire mal. "
Je rentre un doigt en lui.
Est-ce tant répréhensible ?
J'halète sous le coup de la douleur, il m'embrasse sur le ventre et attend.
" Vas-y..." je lui murmure.
Il commence alors à faire bouger son doigt en moi, je soupire, c'est si bon...
" Tu en veux plus ? me demande-t-il.
- Continue s'il te plaît. "
Un second doigt rejoint le premier.
Le fait que certains se morfondent alors que d'autres essaient d'oublier.
Après un troisième doigt, c'est à moi de rentrer en lui. Je reste immobile un instant le temps de s'habituer avant de commencer à bouger, il soupire de plaisir et moi aussi. Je n'aurais jamais cru que donner puisse être aussi plaisant.
Le fait que se soit deux hommes ?
Je me couche à côté de lui et le prend dans mes bras, nous subissons encore l'orgasme que nous venons d'avoir quasi simultanément. Il se serre contre moi et murmure :
" Je t'aime. "
Et il m'embrasse.
" Moi aussi," je lui dis.
Le sexe compte-t-il tellement dans un tel acte d'amour ?
Le cachot est toujours aussi sombre quand nous nous réveillons pourtant je suis sûr qu'il doit être vers cinq heures. Je bouge doucement afin de me dégager de lui mais il se réveille quand même.
" Bonjour, lui dis-je.
- Salut. "
Il se relève et cherche à tâtons ses vêtements dans le noir.
" Il faudrait se dépêcher histoire que l'on ne parle pas trop de notre absence, il déclare.
- Tu regrettes ? Je lui demande, c'est vrai qu'il n'a rien reçu.
- Non c'est juste que j'ai un contrôle ce matin, on se retrouve ici ce soir ?
- Ok. "
Je me relève et je le sens qui me jette quelque chose à la figure.
" Qu'est ce que c'est ?
- Ta cape, je ne sais pas toi mais je ne me vois pas trop porter l'uniforme de Poufsouffle pour rentrer à mon dortoir.
- Je ne suis pas à Poufsouffle, je lui apprends en remettant mon slip.
- Un Serdaigle alors, pour ce que ça change comme couleur...
- A Serdaigle non plus... je lui dis en plaisantant. "
Je sens soudain que l'atmosphère de la pièce où nous nous tenons a brusquement changé.
" Qu'est ce qui se passe ? Je lui demande.
- Je suis à Serpentard. "
Comme ça, d'une voix froide, neutre.
Un instant de bonheur, de sécurité et de confort.
Mon monde s'écroule, ce n'est pas possible, il va me dire que ces parents étaient des mangemorts et qu'il est à Serpentard ou je ne réponds plus de moi.
" Merde," dit-il d'une voix pleine de sanglots.
C'est un cauchemar. Un Gryffondor et un Serpentard, un couple impossible, banni, qui est renié par tous les élèves et les professeurs de l'école.
Qui ne peut durer qu'une seule nuit.
" Nous ne nous reverrons plus, je lui dis de ma voix la plus froide possible, celle de mon professeur de potions, mon idole. J'espère que cela t'a plu, j'ai passé une excellente nuit. "
J'enfile mes chaussures et me dirige vers la sortie.
" JE TE HAIS ! " me hurle-t-il.
J'espère qu'il ne soufrera pas trop, qu'il survivra, quand il repensera à cette nuit - si un jour son esprit se permet une telle divagation - il comprendra que ce que j'ai fais était la seule chose possible.
" Moi aussi," je lui réponds.
Et je sors.
Tant de douleur, tant de souffrance, tant de haine, tant de pleurs.
Godric Gryffondor, Salazar Serpentard, Rubéus Hagrid, Tom Jedusor, Sirius Black, Severus Rogue et des milliers d'inconnus.
Combien de temps cela va-t-il encore durer ?
Combien d'âmes seront encore détruites à cause de cette malédiction ?
Il existe une vieille légende, elle remonte à a création de Poudlard, elle raconte que dès le début, l'école était maudite. Un vieux sorcier qui prônait l'auto - éducation a fait construire un labyrinthe à l'endroit où se trouve aujourd'hui le terrain de Quidditch. La légende dit qu'aucun couple formé au sein de ce mur maudit n'aura droit à plus d'un mois de bonheur, que jamais ils ne seront heureux. Que cela se produira tous les quinze ans et que jamais cela ne s'arrêtera même si l'on détruit le mur, même si l'on empêche les deux maisons de se côtoyer. Tous les quinze ans un couple d'élèves de sexe masculin se déchira à cause de cette malédiction. Elle s'appelle la légende des amoureux maudits. De nombreux anonymes périrent ainsi. Se battant en duel pour s'apercevoir qu'ils venaient de tuer l'être qu'ils aimaient, s'entre-déchirant, pleurant l'un contre l'autre. Jamais un seul couple formé entre un Gryffondor et un Serpentard ne tint plus d'un mois. Il y eu beaucoup d'anonymes mais beaucoup de personnes célèbres aussi. Des personnes qui ne demandaient juste qu'un peu de félicité. Parfois cela dura moins d'un mois. Tant de douleur, tant de souffrance, tant de haine, tant de pleurs. Godric Gryffondor, Salazar Serpentard, Rubéus Hagrid, Tom Jedusor, Sirius Black, Severus Rogue et des milliers d'inconnus. Combien de temps cela va-t-il encore durer ? Combien d'âmes seront encore détruites à cause de cette malédiction ?
Combien de temps encore avant que quelqu'un ne s'en rende compte ?
