Bonjour! Apres le torride 6e chapitre, voilà le 7e, un peu plus terre à terre... on aurait des remords? ;)
Merci beaucoup encore pour toutes vos reviews...
Dark-Mione : Hehe... ouais c'était assez intense ;)
Stephanie : Oui tu as raison, assez chaud mais ça se refroidit assez vite!
Van : merci beaucoup, voilà la suite.
Kika : Contente de savoir que tu es satisfaite :P merci
Shiny-misS : Merci beaucoup... le romantisme c'est une passion qu'on connaît les filles!
Milico : merci de m'avoir pardonné tu es gentil :P Voilà la suite, tard encore.
Mika : merci beaucoup
Kira : Voici la réaction d'Hermione ici même!
Bartiméus : Ouais c'était à part tu as raison mais parfois ca prend ca dans une fic lollll
Fanny Radcliffe : Merci! Voila la suite, je crois que je n'ai pas besoin de dire que tu es perspicace ;)
CHAPITRE 7
Hermione était déjà habillée et avait empaqueté toutes ses affaires avant que Harry se réveille le matin suivant.
Bien enfoncée dans une chaise, elle regarda ses doigts qui serraient fort dans le vide, se rappelant que quelques heures auparavant elles étaient sur ses seins. Il cherchait son étreinte et remua les couvertures avant de réaliser qu'elle n'était plus dans ses bras dans le lit.
En clignant des yeux et s'assoyant, il évalua l'expression bizarre de son visage en face de lui et examina les bagages à ses pieds. Connaissant déjà la réponse, il demanda, « Qu'est-ce que tu fais? »
« Je pars. »
« Oui. Ce soir. »
« Faux. Au prochain portoloin qui se dirige à Londres. »
« Maintenant Mione... »
« Tu ne peux pas me faire changer d'idée, alors essaie même pas. » Elle quitta la chaise et lui tourna le dos parce qu'il paraissait tellement sexy avec les couvertures jusqu'à ses hanches, tout échevelé, pas rasé, les yeux pétillants dans un nid d'amour où règne l'odeur fraîche de l'acte de l'amour.
« Les portoloins ne sont pas valables pour les départs anticipés. »
« En me levant ce matin, » lui dit-elle, « j'ai appelé le département des voyages et accepté de payer la différence que cela impliquait pour changer l'heure de départ. »
« Ton heure de départ? »
« C'est ça. Tu n'es pas obligé de faire la même chose tu sais. Reste et passe une belle journée à apprécier ton voyage. »
« Pas vraiment. » En redressant les couvertures il se dirigea vers elle. Il lui prit le bras et la fit tourner de l'autre côté, l'obligeant à faire face à sa nudité. « Nous sommes partenaires dans ce crime. Si tu pars plus tôt, je vais partir plus tôt. »
Elle enleva son bras de son emprise. « D'accord. Fais ce que tu veux. »
Il ferma la porte bruyamment avant de s'enfermer dans les toilettes. Hermione avait entendu que leur déjeuner allait être livré sur la terrasse. La pensée de la nourriture ne l'enchantait guère, mais elle but quand même une tasse de thé en silence sur la terrasse pendant qu'il se douchait, s'habillait et faisait ses bagages.
Elle entendait vaguement qu'il était au téléphone avec le ministère pour faire des arrangements avec son propre portoloin. Quand les larmes commencèrent à emplir ses yeux, elle mit la faute sur le soleil et les coups de soleil qu'elle avait du attraper à cause de la réflexion de ce dernier sur le sable de la plage.
« Tu es prête? » il se tenait debout dans l'embrasure de la porte de la terrasse. « Nous devons partir tout de suite sinon nous allons manquer l'accès. »
En résistant à l'envie de regarder une dernière fois à l'horizon le paysage ou encore jeter un dernier coup d'œil à la suite, elle marcha rapidement vers la sortie et entra dans la Jeep. Harry régla tous les détails monétaires et ensuite se dirigea vers la Jeep. Hermione le laissa faire, et décida qu'elle allait lui payer sa moitié du voyage plus tard, dans un autre moment dans le futur quand elle pourra regarder dans ses yeux sans pleurer et sans crainte, chose qu'elle n'était pas capable de faire dans le moment.
Le trajet du taxi jusqu'au portoloin était plus long, plus bruyant et encore plus bondé que la première fois. Ils payèrent les taxes des souvenirs et attendirent dans une allée avec d'autres voyageurs fatigués, bronzés qui, une fois leur vacances terminés, semblaient tannés de parler avec des gens d'un langage étranger. Il y eu un très long moment qui sembla durer une éternité avant que le portoloin s'ouvre.
Harry mit son coude sur l'accotoir entre les deux et tenta de s'approcher plus près d'elle. « Mione, vas-tu me parler encore dis-moi? »
« C'est sur. Ne sois pas stupide, » répliqua-t-elle, se levant à l'annonce de l'ouverture de leur portoloin. Il la suivit et apparurent à ce moment dans l'allée de retour des portoloins à Londres.
« Vas-tu me regarder une fois encore ou c'est perdu à jamais? »
C'est ce qu'elle fit, résistant à l'envie de regarder par terre encore une fois. « Je peux te regarder mais je ne pourrai probablement pas me faire face dans un miroir. »
« Pourquoi? Parce que tu as couché avec moi? »
« Shhh! Pourquoi tu n'empruntes pas le micro de l'annonceur et que tu ne le dis pas à tout le monde? » Elle regarda aux alentours mal à l'aise, mais elle se rendit compte que personne n'avait entendu. Elle soupira, « Je ne veux pas parler de ce qui s'est passé hier. »
« Moi je veux. »
« Alors tu parleras à toi même car je ne t'écouterai pas. » Elle tourna la tête de l'autre côté.
Plusieurs minutes s'écoulèrent. Elle pensait, avait espéré qu'il n'en parlerait pas et qu'il respecterait son choix. À ce moment à voix basse il lui parla dans l'oreille. « Tu voulais que ça arrive autant que moi, Mione. » Il fit un autre bruit et elle le regarda une autre fois. « Tu en veux à qui la? » dit-il. « A toi car tu as apprécié ou à moi qui t'as fait apprécier? »
« Je n'ai pas aimé ça! »
Ceci le mit en colère. « Je te crois tellement que tu as pas aimé ça, » il parlait très près de son visage. « Tu n'étais pas en train de simuler tout ça, et je ne faisais pas non plus. Mens toi si tu veux, si ça te fais sentir mieux, mais ce ne sera que ça, un mensonge. Tu as presque réussi à me faire mourir deux fois cette nuit, alors ne prétends pas maintenant que tu ne passais pas du bon temps. »
Ses joues rosirent instantanément. « Ce que je voulais dire c'est que je n'ai pas apprécié après. »
« Oh je vois, » dit-il sur un ton très sarcastique. « Tu n'as pas apprécié d'être couchée collé contre moi toute la nuit, tes fesses sur mon abdomen et mes mains sur tes seins. »
Elle se raidit comme une barre et tourna au rouge, en mettant ses mains froides sur ses joues pour se refroidir. Sa mémoire était claire et nette, combien de fois elle s'était réveillée au cours de la nuit, ses mains sur ses mamelons. À chacune des fois elle s'était encore plus collée sur lui et souriait avant de retomber dans le sommeil. Il était vraiment un idiot de lui rappeler comment elle réagissait à ses caresses.
« À la lumière du jour, » dit-elle strictement, « j'ai réalisé que j'ai agis vraiment en stupide. Je ne te mets pas tout le blâme sur dos, même si tu as une très grande longueur d'avance sur moi dans... »
« Le plaisir de la chair? »
Le mot plaisir ne pouvait même pas décrire pourquoi elle avait agit si fortement à ses actes, comment elle réagissait de sa chair. En voyant que ce qu'elle disait n'avait pas d'allure, elle continuait quand même. « Nous sommes devenus les victimes des circonstances, du climat et de l'ambiance romantique de l'endroit. C'est tout. » Elle fit un geste de la main avant d'ajouter : « Je veux juste oublier ça. »
« Super! »
« Oui! »
« Nous allons oublier! »
« Ok... c'est ce que je viens de dire. » Elle ouvrit le magasine américain qu'elle venait d'acheter quand ils étaient dans la zone du portoloin la bas. Comme elle le voulait, Harry restait la tête appuyée sur le siège à l'arrière et ferma les yeux. Plusieurs minutes passèrent avant qu'elle prétende pouvoir graver les mots qu'elle lisait dans sa tête et lui prétendait dormir. Finalement il tourna la tête en sa direction. « Mione? »
« Hmmm? »
« Je ne pense pas que je pourrai un jour oublier. »
Misérablement, elle se frappa le front avec le revers de la main. Il lui toucha le genou en signe de consolation.
« C'était juste tellement bon! »
« Pour vrai? »
Avant même de réaliser ce qu'elle allait dire ou faire, cette question lui résonnait dans la tête et elle l'a demandé. Si elle était honnête avec elle même, elle admettrait que la plupart de sa colère vient directement de son insécurité. Harry avait couché avec des dizaines de femmes, plus jeunes, plus sexy et beaucoup plus belles qu'elle. Elle était hantée par le fait d'être comparée.
« Au diable oui c'était bon. C'était fantastique. » Ensuite il réalisa l'impact de ce qu'il venait de dire. « Je le pensais du moins. Et toi? Tu as apprécié? »
Incapable de le regarder, elle ferma les yeux et mima un oui de la tête. Si elle n'était pas si bornée dans son insécurité, elle aurait juré que le ton d'Harry était sur la défensive, comme un enfant voulant un oui. « Évidemment, Ron est le seul homme avec qui tu peux me comparer. »
En prenant une grande inspiration, elle tourna la tête en signe de résiliation et dit : « Ne mentionnes pas Ron. »
« Je sais comment tu te sens Mione, » dit-il sur un ton plus grave. « Tu ne penses pas que je ne me considères pas comme le pire meilleur ami d'avoir couché avec la femme de son meilleur ami? »
« Veuve! »
« Exact! » dit-il en pointant le doigt. « Sa veuve. Sa veuve de presque trois ans. Dans tout ce temps, pendant tout ce temps que tu étais mariée avec lui, pendant toutes ces années à Poudlard, tu peux être sure que je n'avais aucune envie de ce genre. Je te le jure. »
« Je sais ça. »
« Alors pourquoi je me sens tellement coupable de ce qui s'est passé? » demanda-t-il sur un ton de panique. « Je ne pensais pas à Ron quand j'étais assis en face de toi à la table, voyant ton expression changer à la lueur de la chandelle, et souhaitant que je puisses sentir tes cheveux sur ma peau, et voulant embrasser cette bouche pendant que tu dévorais un merveilleux dessert. »
« Ne dis pas ça Harry. »
Peut importe la misère qu'elle avait à garder son calme, c'est à voix basse et près de son oreille qu'il continua : « Mione, quand ta bouche s'est ouverte sur la mienne, quand j'ai touché à tes seins, je te jure que tu étais la seule dans mes pensées. Il n'y avait ni Ron, ni personne d'autre. Tu étais tellement chaude et si belle et si... »
« Arrête ça s'il te plait! »
« Je n'aurais pas pu m'arrêter à ce moment là de pénétrer en toi si Ron avait entré dans la chambre. »
Elle couvrit ses oreilles avec ses mains. Il les enleva de là.
« Nous avons peut-être besoin de penser à autre chose en ce moment mais nous n'avons pas à nous sentir coupable. »
« Nous n'avons pas? » demanda-t-elle, insultée. « Harry tout cela me fait peur que j'ai répondu avec autant d'abandon. Je n'ai jamais connu ça dans ma vie jusqu'à maintenant. »
« Je sais. »
« J'étais tellement hors de... »
C'est comme ci ça l'avait frappé de plein fouet, à cent milles à l'heure. C'est à ce moment que sa voix se brisa sous l'émotion de ce qu'elle venait d'entendre. Pour plusieurs minutes, elle n'osa même pas respirer mais ne pouvait s'empêcher de le regarder. « Qu'est-ce que tu as dit? »
« Quand? »
« Il y a quelques secondes. Tu as dit que tu savais quand je t'ai dit que je n'avais rien connu comme ça. »
« Ah, ça! » Il commença à tapoter le siège arrière et parlait sur un ton très inconfortable. « Je voulais juste dire... tu sais, que tu ne couches pas à gauche et à droite. »
Elle continua à le fixer avec un dégoût grandissant. « Par hasard est-ce que Ron ne t'a pas parlé de notre vie personnelle? »
« Non. Hey, veux-tu quelque chose à boire? Je vais courir et aller en cher... »
Hermione lui attrapa le bras et le lui serra. « Est-ce que Ron ne t'as jamais parlé de notre vie personnelle? » répéta-t-elle, insistante.
« Nous sommes des meilleurs amis Mione, » dit-il en regardant le sol. « tu sais comment les gars sont ensembles. Ils se rencontrent, boivent quelques bierrabeurres et le sujet tourne autour des femmes, et évidemment on commence à dire des choses qu'on ne voulait pas dire. »
Des larmes étaient dans ses yeux, de fureur et non de pitié furent leur sources. « Est-ce que Ron était déçu de moi au lit? Est-ce qu'il t'as dit ça? »
« Non. »
« Harry! »
Il se mordilla la lèvre inférieure. « Ok, peut-être c'est ce qu'il a laissé sous entendre. Quel mari, un jour au l'autre, ne souhaiterait pas que sa femme soit un peu plus créative au lit? »
Elle avala plusieurs fois pour tenter de ravaler sa nausée qui commençait. Son torse se baissa si rapidement qu'on dirait qu'elle se l'était cassé. « Ron était désappointé de notre vie sexuelle? »
Harry laissa échapper quelques mots inaudibles. « Est-ce que j' ai dit ça moi? Non. Tout ce que j'ai dit est que Ron, et je crois que c'était peu après la naissance de Brandon, avait remarqué que votre vis sexuelle n'était pas aussi excitante, que tu n'étais plus aussi chaude que... »
« Il a dit que j'étais froide? »
« Pas froide, » dit-il, irrité. « Ne mets pas ces mots là dans ma bouche Mione. Ron ne faisait que chialer parce que les choses entre vous étaient devenus plus stables, plus linéaires. La routine fut le mot qu'il employa je pense. »
« Je lui ai dit qu'il était aussi à blâmer, » continua-t-il. « Tu vois, après que leur femme ont accouché, certains maris commencent à les voir comme des symboles matériels au lieu de créatures sexuelles. J'ai dit à Ron de te prendre pour sa maîtresse et que tu commencerais à agir en maîtresse. »
Hermione tremblait de peur et de rage. « Tu connais toutes les réponses quand les femmes sont concernées n'est-ce pas Harry? »
« Qu'est-ce que c'est supposé signifier? »
« Tu voulais voir par toi même si j'étais une créature sexuelle. Tu m'as emmené dans le lit alors tu pouvais voir par toi même si ma performance était si platonique. »
Ses phrases de tout à l'heure étaient très gentilles comparé à celles qu'il marmonnait de sa bouche entrouverte, et il faisait claquer ses doigts en serrant les poings et ses yeux la fixait furieusement.
« Tu sais que c'est de la merde ça Mione. Tu me connais voyons! »
« Excuse moi. Je dois utiliser la toilette. » Elle dit cela très fort et courra presque en direction des toilettes. Une fois à l'intérieur elle fut malade. Elle resta enfermée très longtemps, même après s'être vidée l'estomac et avoir essuyé quelque fois ses yeux rougis.
Pendant qu'elle se nettoyait le visage dans le lavabo, elle souhaitait pouvoir être en face de Ron cinq minutes pour pouvoir lui dire toute la colère qu'elle a présentement. Comment avait-il pu partager sa vie avec Harry sur ces sujets? Surtout Harry, parmi tous les autres. L'homme des femmes... Celui qui se tient dans les clubs.
Quels genres de conseils Ron voulait-il obtenir d'un homme célibataire sur les relations mariales? Elle était pourtant satisfaite, pensait l'être, de sa vie sexuelle avec Ron et se sentait aussi trahie que si il l'avait trompé avec une autre.
Mais les conseils demandés de Ron n'étaient rien comparé à ce que Harry avait fait. Il avait exploité les informations que son ami lui avait donné. Elle n'avait jamais connu un homme, aucun autre homme qui était descendu aussi bas dans son estime. La seule chose qu'elle ne pouvait pas résoudre était pourquoi cela lui avait pris tant de temps pour satisfaire sa curiosité.
Elle passa à côté de nombreux touristes, quelques uns avec des animaux et d'autres avec des milliers de chapeaux. Elle fut la première à passer aux douanes vu qu'elle n'avait qu'un seul sac qui n'était pas trop gros. Malheureusement pour elle, Harry aussi. Il était dans la ligne juste derrière elle.
« Tu es arrivée à la mauvaise conclusion Hermione. Ron ne m'en a parlé qu'une seule fois, je te le jure. Vous veniez sûrement d'avoir une petite dispute sur un rien. Rien de frustrant ou de méchant. Je n'y pensais même plus jusqu'à ce que tu me rappelles cette conversation. »
« J'en suis tellement sure, » dit-elle en parlant par dessus son épaule, toujours en lui tournant le dos.
« C'est la vérité. Je suis sur que je n'y pensais pas du tout la nuit dernière. »
Elle se tourna vivement pour lui faire face. « Tu m'as charmé rendu à Acapulco. »
« Je ne t'ai pas forcé à faire quoi que ce soit. »
« Parce que j'étais une des quelques femmes qui manquaient à ton tableau de chasse n'est-ce pas? »
« Faux. »
« Tu as tiré avantage à ma condition critique et m'as invité parce que tu voulais voir par toi même si la veuve de Ron était aussi froide et sans création qu'il le disait. »
En se fâchant tout à coup, il dit, « De ce que j'ai vu, je peux dire qu'il n'avait absolument rien à se plaindre. Pas si tu faisais tout ce que tu as fait avec moi et prendre les commandes comme cela en plus. »
Elle respirait nerveusement mais maintenant pensait dans un contexte plus érotique. Sa voix tremblait lorsqu'elle lui dit, « S'il est arrivé que tu veules obtenir une réponse chaleureuse de moi... »
« Chaleureuse! C'est une chaude et très ardente réponse, mais beaucoup plus chaude que tiède et chaleureuse! »
« Si tu as une réponse de ma part, vas-y, vantes toi auprès de tes amis que ta meilleure amie baise très bien et que la compétition va maintenant être très féroce! »
« Au prochain, » cria le douanier de l'autre côté. Hermione traversa de l'autre côté du comptoir. »
« Mione, attend. » Harry traversa la ligne jaune sur le sol. Il fut intercepté par un agent de douane qui le força à reculer derrière.
« Qu'elle était la raison de votre visite au Mexique madame Weasley? » demanda l'agent derrière le comptoir en feuilletant son passeport.
« Des vacances. »
« Rien à déclarer? »
« Mione! » criait Harry.
"Deux bracelets en argent et un ensemble pour enfants pour les toréadors. »
L'agent des douanes lui étampa son passeport. « Merci, » dit-elle en se dépêchant de franchir les portes derrière le comptoir.
Harry se dépêcha de prendre sa place au comptoir. « J'ai été au Mexique pour des vacances et je n'ai rien acheté. »
Le douanier étudia son passeport. « Laissez moi regarder dans vos bagages s'il vous plaît. »
« Mais... » Harry regardait partout. Les portes de sorties étaient en train de s'ouvrir, laissant passer Hermione dans l'horizon matinal devant.
« Ouvrez vos valises Mr. Potter! »
Choqué contre la fin de sa fin de semaine, il ouvrit son sac à conte coeur.
-s-s-s-s-s-s-s-s-s-s-
Hermione paya le taxi qui était rendu devant sa porte de maison. Le journal du dimanche était encore sur le balcon devant la porte, ce qui n'était pas habituel car Janet le lit toujours en prenant son thé du matin.
Curieuse, Hermione le ramassa et suivit le long de la maison pour se rendre jusqu'à l'arrière. La porte de la cuisine était barrée, mais Hermione pouvait voir sa mère debout devant le poêle en train de faire frire du bacon. Elle tapa légèrement la vitre. Janet jeta un regard par dessus son épaule et quand elle vit Hermione, son visage afficha un regard de surprise. Elle prit soin d'enlever la poêle qui était encore sur le rond allumé, l'éteignit et se dépêcha de rejoindre la porte.
« Hermione veux tu bien me dire... »
« C'est une longue histoire maman. » Elle souleva son bras et, fatiguée, elle fit tout tomber d'une des chaises de la cuisine.
« Je croyais que tu arriverais plus tard en soirée. »
« C'est ce que nous devions faire. Nous avons décidé de revenir plus tôt. »
« Où est Harry? Comment es tu revenu à la maison? Pourquoi avez vous décidé de terminer votre voyage si tôt. »
Hermione commençait déjà à avoir un mal de tête. Les questions lui retombaient dessus comme des balles rebondissantes. En massant légèrement ses tempes, elle demanda, « Comment ça tu manges ton déjeuner dans la cuisine? »
Elle remarqua lorsqu'elle jeta un coup d'œil à la table qu'il y avait un centre de table avec beaucoup de fleurs, des petites napkins de couleur et de jolies gerbes sur les panneaux de chaise. Une arôme délicieuse s'élevait de la cuisine mais la pensée de nourriture lui donna le mal de cœur à nouveau.
« Hermione es-tu malade? Pourquoi être revenue si tôt? »
« C'était une décision prise sur le tard... »
« Est-ce que tout était bien là bas? »
« Actuellement, le sort a dépassé mes expectations. »
« Coups de soleil? »
« J'ai utilisé de la crème solaire. »
« Tu as attrapé la malaria? »
« Non. »
« Alors je ne comprend pas. »
« Nous étions juste fatigués, c'est tout, » dit-elle abruptement.
« Pourquoi? »
« Où est Brandon? »
« Où est Harry? »
La façon dont s'en allait leur chicane de mots donnaient de gros maux de tête à Hermione. « Nous nous sommes séparés rendu à l'entrée du portoloin de Londres. J'ai pris un taxi. » Elle s'avança et poussa la porte pour entrer vraiment dans la maison. « Je vais aller prendre une douche et ensuite me recoucher. Nous devions nous lever très très tôt pour ne pas être en retard au départ. Je t'expliquerai plus tard. »
Elle n'avait fait que quelques pas dans la maison quand soudainement apparut un homme en face d'Hermione, lui bloquant la voie, un sourire éclatant sur son visage, en robe de chambre. Pendant qu'ils s'étudiaient lentement, il était difficile de voir qui était le plus étonné par cette rencontre.
« Hermione, » dit Janet en plaisantant. « Je crois que tu connais notre voisin, monsieur Everett. »
