Bonjour! J'ai été plus rapide cette fois ci, voilà le 12e chapitre de cette fiction, au menu, tout le monde l'attend, la fameuse soirée… A vous de découvrir le reste ;)
Merci a vous tous qui reviewez :)
Athenais : Merci! Les liaisons dangereuses, avec 2 seules personnes heureusement assez aveugles en plus!
Le Saut de l'Ange : Voilà la suite encore… merci beaucoup et de la drôle de romance cette fois ci.
Bartiméus : C'est correct je te pardonne merci ;)
Joomy : Ca peut t'arriver n'importe quand…
Fanny Radcliffe : Ils l'ont remis en marche sinon l'urgence aurait été énorme non? Imagine toi la dedans avec un gars et des ambulanciers et pompiers arrivent… oups! Et fais attention a ton doigt.
Stephanie : desolee d'etre aussi longue! Voilà la suite.
MissEmmyWatson : Merci beaucoup c'est flatteur.
Sajuuk : Que de questions! Les réponses suivront j'espere, et tu as raison, c'est moins action que je ne le pensais… merci!
Angel of Shadow : Des réponses à ta question ici dans ce chapitre hehehe
Juby : Désolée de la pauvre longueur du texte, mais c'est ça qui est ça :) merci
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Chapitre 12
« Salut. »
« Salut. »
« Tu es fantastiques… wow! »
« Merci beaucoup. »
Harry étendit la main et enlaça ses doigts dans les siens pour la faire passer la porte d'entrée. Il la laissa passer devant lui et la regarda un peu mieux. « Tu es magnifique. »
Elle baissa modestement les yeux, en se disant que les efforts qu'elle avait fait l'aidait beaucoup. Au salon de beauté elle avait fait faire ses ongles. Elle s'était même fait faire une pédicure et elle avait pris soin de se faire épiler les jambes.
Se sentant quelque peu coupable envers lui, elle avait emmené Brandon manger de la pizza dans son restaurant favori ou il pouvait voir le chef faire voler la pizza par la grande vitre. Ensuite elle l' avait laissé à la maison de son ami.
Son bain moussant avait été long et reposant. Elle avait prit des précautions pour son maquillage. Sa nouvelle robe avait été à nouveau une folle dépense, mais elle justifia que le gros prix qu'elle avait mis compensait pour toutes les fois ou elle n'avait rien acheté pour l'aider. Le joli matériel noir lui allait à merveille. Le collet en V lui était provoquant mais juste assez pour garder un peu de respect et de douceur.
« Tu es presque trop parfaite pour toucher, » dit-il, « presque. »
Il s'avança pour lui donner un baiser. Hermione anticipa et se mit la tête sur un côté. Malheureusement il se tourna du même côté qu'elle et au lieu du baiser ils se cognèrent le nez. Ils se tournèrent en même temps et à nouveau ils se cognèrent le nez.
« Vas à ta droite et j'irai à ma droite ok?, » dit-il en riant doucement.
« Ok. »
Le baiser était tendre et romantique.
« Tu es prête pour une bonne marguarita? » dit-il en recollant ses lèvres sur les siennes.
« Des souvenirs d'Acapulco? »
« Je fais du mieux que tu peux pour que tu sois à l'aise. »
Il l'emmena dans le salon, il la fit s'asseoir sur le sofa et il disparu dans la cuisine. Il avait fait du mieux qu'il pouvait pour tenter de la séduire. Du Mozart jouait à profusion dans la pièce. Les lampes disposées de cette manière contribuaient à former un éclairage sensuel et romantique. La table à dîner était recouverte d'une belle nappe jaune et bleue et le centre de table était magnifique, des oiseaux et des bougies.
« Merde! »
« Harry? »
« Ça ne sera pas long. »
Curieuse du délai et de l'exaspération qu'il avait eu, elle quitta le sofa et le rejoignit dans la cuisine, ou il était en train de maudire un gadget électronique. Ça avait l'air d'un instrument de torture fabriqué par un dentiste plus ou moins dérangé, ou peut être encore à un vibrateur personnel pour une drôle de personne.
« Qu'est-ce que c'est que ça? » dit-elle en regardant étrangement l'objet.
« Je l'ai acheté l'autre jour. C'est un mélangeur manuel mais je suis incapable de le faire marcher. » Il fit encore une fois quelques essais mais tout cela ne servit à rien.
« As-tu lu les instructions? »
« Non. Ça ne doit pas être si difficile que ça. »
« Ou sont-elles? »
« Je les ai laissés dans la boîte. »
Elle se mordit la langue au lieu de dire combien c'était imbécile d'avoir fait ça et s'empêcha de sortir sa baguette pour faire des boissons elle même. Il fit exactement comme la plupart des hommes aurait réagit, il se sentit tellement frustré qu'il commença à frapper dessus.
« Je ne crois pas que ça va aider Harry. Pourquoi ne pas utiliser un simple mélangeur régulier? »
« Je l'ai emmené au bureau quand j'ai rapporté celui ci à la maison. »
« J'aime mes marguaritas comme ça de toute façon, » dit-elle rapidement.
« Pour vrai? »
« Oui. Sans farces. »
Finalement ils utilisèrent des cuillères pour boire, enfin manger, leur marguaritas dans leurs verres. Harry mit finalement son popcycle pour adulte de côté et se versa un verre de scotch et d'eau en continuant de maudire son mélangeur.
« Ça n'a pas d'importance Harry. »
« Je voulais seulement que tout soit parfait. »
À cet instant ils ne savaient pas que l'épisode des marguaritas représenterait leur point fort de la soirée.
Harry tentait désespérément de couper son steak mais sans grande réussite. « J'ai vraiment payé cher pour ces steaks. Pas que la dépense me dérange. Je pensais seulement qu'ils allaient être mangeables. »
« Es-tu sur que tout ce qu'il t'as dit de faire était de les faire réchauffer? »
Il lui avait dit précédemment qu'il les avait achetés dans un des restaurants les plus classe de la ville. Hermione avala la bouchée qu'elle mastiquait depuis déjà tellement longtemps que ses joues étaient épuisées. La viande était encore comme un vieux soulier et cela n'avait pas beaucoup de goût.
« J'ai eu les instructions du chef directement. Il m'a promit qu'ils allaient être les meilleurs. » Il embrassa le bout de ses doigts, imitant le chef français qui lui a non seulement vendu les steaks mais le reste du repas.
« Je n'avais pas vraiment faim de toute façon, » dit-elle en mentant.
Elle s'était cédulée des rendez-vous pendant son lunch alors elle aurait la conscience tranquille en partant tôt pour aller à son rendez-vous chez la coiffeuse. Elle n'avait pas voulu d'aucun morceau de la pizza de Brandon et elle n'avait certainement pas eu le temps de s'arrêter pour manger un petit quelque chose.
Si Harry n'avait pas eu l'air si exaspéré à cause des boissons et ensuite de la viande, elle aurait suggéré qu'ils se fassent des sandwiches avec ce qu'il y avait dans le frigo. Cela semblait plus prudent de l'accompagner et de pas manger vu l'état dans lequel il se trouvait.
« Je suis désolé pour les steaks, » dit-il en reposant sa serviette de table.
« C'est correct. Buvons donc notre vin. Oh non! »
En tenant bien la bouteille, elle s'était accroché dans le bas de chaise et la chaise sembla tomber. Ses bras balancèrent par en arrière et elle accrocha une statue orientale qui tomba à la renverse. Elle perdit l'équilibre et elle tomba elle aussi, avec les deux verres de vin qu'elle tenait. Heureusement les verres ne cassèrent pas. Cependant le rouge du vin allait être préservé dans la jolie moquette par terre.
Hermione se dépêcha d'aller voir plus près. « Oh Harry non! Je ne peux pas croire que j'ai fait ça. Donne moi une serviette et vite. »
Elle tentait à présent de frotter mais sans succès. « Qu'est-ce qui est bon avec le vin? »
« Du fromage, » dit-il en regardant le plafond.
« Je voulais dire pour le faire partir. De la liqueur? Du vinaigre? De l'eau froide? Peut-être que si j'utilisais un sort de nettoyage je… »
« Oublie ça Mione. » Il se pencha pour ramasser sa main et la remettre sur pieds. « Je suis sûr que quelqu'un peut m'arranger ça. Un bon nettoyeur. Probablement, enfin j'espère. »
« Harry je voudrais tellement mourir, » dit-elle en tentant de s'accrocher à son regard. Il avait laissé tomber une femme parce qu'elle jetait ses papiers dans la cuve de toilette. Elle venait de lui faire perdre une moquette. « Je me souviens de quand tu as acheté cette moquette. Tu en étais tellement fier. »
« Hmmm. Je l'étais encore. Suis, » dit-il corrigeant, « je suis. »
« Ohh. » Elle se faisait aller les mains, impuissante.
Il la prit dans ses bras et lui donna des baisers dans le cou, s'en approchant d'avantage. « Oublie cette satané moquette Mione. Ce n'est pas aussi important que le fait que tu es là et qu'on va encore faire l'amour. »
Elle se sépara de lui quelque instants et le regarda droit dans les yeux, les mains jouant dans ses mèches de cheveux. « Promis? »
Il l'embrassa plus passionnément. « Promis. »
En joignant leur mains à nouveau, ils se dirigèrent vers la chambre.
Hermione approcha avec nervosité. Elle l'avait souvent niaisé car cette chambre paraissait si sexy. Un tapis en peau de zèbre était sur le plancher. La douillette du lit était noire, l'éclairage était totalement romantique et l'atmosphère aussi. Il avait déjà retiré la douillette pour révéler ce qui semblait être des kilomètres de satin pâle.
Son cœur commençait à hennir comme un cheval fou. Elle savait que cette chambre avait donné lieu à plusieurs ébats amoureux auparavant. Elle voulait être différente de toute les autres. Elle voulait que cette nuit reste dans sa mémoire pour toujours.
Comme ce qui arrive beaucoup de ces temps ci, elle reçut plus de ce à quoi elle s'attendait.
Il la tourna pour lui faire face. Après lui avoir donné beaucoup de léger baisers sur les lèvres, il joua avec elles avec sa bouche, et ensuite il s'amusait à entrer et sortir sa langue de sa bouche jusqu'à ce qu'elle lui agrippe les épaules et qu'elle le serre encore plus fort contre elle.
« Je voudrais tant te déshabiller Mione. » Dit-il tendrement alors qu'il avait la bouche dans ses cheveux puis recula pour voir sa réaction.
Elle s'humecta légèrement les lèvres, lui sourit nerveusement et fit un léger oui de la tête. Il se mit à genoux devant elle et lui enleva ses souliers, un geste qui dura une éternité selon Hermione mais qui était très romantique et il lui frotta les pieds lentement.
En se levant, il l'entoura de ses bras, cherchant la fermeture éclair de la robe. Il tentait de l'ouvrir mais en vain. Il avait vraiment les mains pleins de pouces. « Je pourrais peut-être t'aider, » dit-elle en lui enlevant les mains.
Ou au moins elle tenta juste de les enlever de là. Le bracelet de sa montre se prit dans le tissu de la robe. « Attend un peu je suis pris, » dit-il quand il sentit de la douleur. « Retournes toi. »
Elle fit passer son bras par dessus elle et pivota. Il réussit enfin à libérer le bracelet de la montre et défit la fermeture éclair. Avec la grippe qu'il avait, la robe glissa de son corps et se retrouva par terre, mais l'atmosphère s'en trouvait changée et le niveau de sensualité était maintenant dilué.
« Je ne crois pas que cela a fait beaucoup de dommages, » dit-il en se débarrassant du bout de la robe qui était un peu déchirée.
Hermione s'enleva du tas que cela faisait par terre et regardait presque avec regret la longue et chère robe qu'elle venait de s'acheter. « Non, pas tant que ça. »
« Je suis désolé. »
« Ça n'a pas d'importance. »
Il se débarrassa de son chandail bleu marin et le lança sur une chaise. Hermione, tentant de retrouver l'atmosphère romantique, l'aida à faire passer le col roulé blanc qu'il portait en dessous. À demi nu, il lui fit face, prit ses mains et les embrassa, et ensuite les fit retomber sur son cœur.
« Tu es tellement belle Mione. »
« Toi aussi. »
« Je te veux. »
« Je te veux moi aussi. Tant que ça fait mal. »
Il aimait ça. Il faisait de drôles de bruits. « Tu as mal? Où? Là? » Il mit une de ses mains sur un de ses seins, qui était encore dans sa brassière en satin noire. « Là? » Il mit son pouce sur son mamelon qui répondit instantanément. « Là? » Son autre main se dirigea tranquillement plus bas, dans son slip, en pressant d'abord son ventre puis descendit jusqu'à son plexus solaire. « Là? »
Son doigt fit des mouvements qui la laissa pas indifférente, elle tentait de reprendre son souffle. « Ça me rend malade. »
Il la prit dans ses bras et il l'emmena dans le lit. Après l'avoir déposé sur le tas de couverture, il la laissa quelques instants, juste assez pour se déshabiller. Il était tellement beau, tellement bien fait, bien bronzé. Nu et son membre bien élevé, il s'approcha d'elle presque en rampant. Ils se rencontrèrent pour échanger un baiser tellement passionné que la température monta.
En se mettant à genoux, Harry mit sa main sur la ceinture du slip et réussit à lui enlever. Ses longues jambes, rasées, et sa région interdite bien fraîche aussi le laissèrent bouche bée.
Avec un murmure de désir et de l'excitation dans sa voix, il se pencha et la prit dans ses bras. « Touche moi Mione. »
Elle faisait tout doucement, et en un air de défi, elle mit sa main sur sa poitrine, testant ainsi la douceur et la subtilité de cette poitrine bien musclée. Il se cambra de plaisir quand il la vit approcher de ses mamelons et ensuite jouer doucement avec eux.
« Touche moi. Plus bas encore. »
Sa main, qui avait l'air tellement fragile comparé à son lourd torse, allait doucement de ses muscles pectoraux au nombril, ensuite en descendant elle mit sa main sur son poil juste au dessus de son membre. Timidement elle monta légèrement sur son membre avant de le prendre enfin dans sa main.
Harry se sentit au paradis et gémit.
Hermione cria de peur.
Le téléphone sonna.
Harry se figea, la figure complètement pâle.
« Oh merde. » cria-t-elle en lui offrant sa main pour se relever. « Qu'est-ce que j'ai fait? Harry? Harry! Qu'est-ce qu'il y a? »
« Ma… ma jambe. » Il se laissa tomber sur les oreillers, roulant sur le côté pour être plus confortable, et se mit une des oreillers dans la figure en criant dedans.
« Ta jambe? »
« Mon aine. Merde. Une grosse crampe. Ahhh ça fait tellement mal. »
En tentant de souffrir à sa place sans résultats, elle grimaça et se mordit la lèvre inférieure. Le téléphone en était à sa quatrième sortie. Mal d'avoir entendue qu'elle avait causé autant de douleur à Harry, elle se dépêcha d'aller prendre le téléphone. « Bonjour, bienvenu à la résidence de Mr. Potter. »
« Est-ce que c'est Ms. Weasley. »
Elle n'avait certainement pas pensé recevoir un téléphone pour elle. « Oui? »
« Ici le service des téléphones pour le travail. Vous nous avez laissé ce numéro en cas d'urgence. »
« C'est ça. Quel est le problème? »
« Ça va un peu mieux maintenant, » dit Harry entre ses dents alors qu'il tentait d'étirer le muscle.
« La police a appelé et… »
« La police! » cria Hermione. « Est-ce que c'est Brandon? » Est-ce que quelque chose lui est arrivé? Ou ma mère? »
« Je ne crois pas. L'aurore O'Malley n'a rien dit en ce qui concerne votre famille. »
« Aurore O'Malley? »
« Oui. Il nous a laissé un numéro et nous a demandé de vous appeler et de vous le donner le plus vite possible. »
Hermione sortit du lit et ouvrit et chercha un crayon et un papier pour pouvoir noter le numéro. « Ok vous pouvez y aller. » Elle écrit le numéro qu'elle reçut sur une page d'un petit carnet noir avec le nom de Jessica Adams dessus.
« Merci beaucoup. » Elle raccrocha et aussitôt commença à composer le numéro.
« Qui est-ce que c'était? Qu'est-ce qui est arrivé? » Harry était toujours en train de se masser l'aine mais la regardait avec inquiétude.
« Mon service. Un aurore essaie de m'appeler.
« Un aurore? Où est il? »
« Je ne sais pas. Allo? » Son interlocuteur avait répondu au premier coup de sonnerie. « Est-ce que c'est l'aurore O'Malley? Ici Hermione Weasley. »
« Ms. Weasley, » cria-t-il au milieu de la querelle qui semblait avoir lieu autour. « Merci de retourner mon appel. Je suis à la maison des MacDougals. »
« Où ça? Qui? »
« La maison des MacDougals. Ici pas trop loin à Notting Hill. Peu importe, leur fille Jenny s'est enfermée dans sa chambre et refuse d'en sortir. »
Hermione mit ses doigts dans ses cheveux. Elle était tellement contente que dans un sens cela ne concernait ni Brandon ni Janet mais elle s'en voulait de ne pas avoir reconnu immédiatement qui était les MacDougals et qui était leur fille Jenny.
« Est-ce que Jenny va bien? »
« De ce que nous savons oui mais elle a l'air perturbée. J'ai trouvé votre carte dans ses affaires et j'ai cru que peut-être vous pourriez nous aider. »
« Vous dites qu'elle s'est enfermée dans sa chambre? »
« C'est ça. Ses parents tentent de la faire sortir, ou au moins qu'un des deux puisse aller lui parler, mais elle refuse d'enlever le sort qu'elle a jeté pour s'enfermer. » Il baissa sa voix. « J'ai peur qu'elle fasse quelque chose d'exagéré. Vous comprenez? »
L'anxiété prit une place de plus en plus grande dans son estomac. « Oui je comprends. Quelle est l'adresse et où je pourrais transplaner le plus près possible? »
Après avoir noté l'adresse par dessus celle justement de Jessica Adams, elle raccrocha et se mit à la recherche de sa robe dans la chambre. Harry, ayant senti l'urgence de la situation, avait déjà mis ses pantalons et ses souliers, étant en train de mettre son chandail.
« Une des filles qui a rendez vous avec moi est dans le trouble, » lui dit-elle. « Je dois aller la voir. »
« Je vais y aller avec toi. »
Ses mains très occupées tombèrent de chaque côté alors qu'elle le regarda, sachant à cet instant précis qu'elle l'aimait.
Il n'avait pas posé aucune question. Il ne l'avait pas bombardé de demandes d'explications. Il ne s'était pas montré surhumain pour offrir son aide. Il n'avait pas tenté non plus de l'obstiner. Il ne s'était pas plaint de son sort et de ce qui arrivait avec lui.
Le même jour où Ron fut déclaré mort sur la scène d'un terrible accident, Harry était là, en offrant son support inconditionnel. Il lui offrait lui-même.
Doucement, très tôt mais certainement, souhaitant qu'elle aurait du temps pour lui en dire plus, elle lui dit tout simplement, « Merci Harry. »
