Le jeu du destin
Titre : Le jeu du destin
Source : Harry Potter
Auteur : Sugy (bah si, encore)
Disclaimer : Comme d'habitude... J'suis une simple fan ficeuse qui est reprit l'univers de la fabuleuse J.K Rowling pour créer cette fan fic. Bonne lecture et n'oubliez pas les reviews '
Chapitre 4 : La fin est proche...
Les vacances de Noël étaient finalement là. Une bonne partie des étudiants étaient partis en vacances. C'était le cas de Flint, Bole et Shuganye. Tout les trois étaient partis passer Noël avec leurs familles respectives. D'autre part Adrian préférait rester avec Terence, pouvant ainsi continuer ce qu'il avait commencé il y avait quelques temps, au parc. Dans le dortoir, pratiquement vide, du troisième année. Ils avaient ouvert le livre et lisaient a voix haute. Ils furent interrompus pas un claquement de porte. Terence se dépêcha à fermer le livre et l'enfouir sous un lit, mais il se rendit compte que son geste fut inutile lorsqu'il vit Shuganye, au pas de la porte, les yeux rougis. Pucey se leva et s'approcha d'elle, inquiet. Il passa un bras autour de ses épaules et l'amena sur son lit. Terence prit la parole :
- Qu'est-ce qui se passe ?
La jeune fille ouvrit la bouche mais la referma aussitôt. Elle s'assit sur son lit et essuya ses larmes avec la main gauche. Au même moment Peeves fit interruption. Son rire résonna dans la pièce et il pointa les trois jeune gens. Il leur fit quelques grimaces grossières.
- La pauvre petite ! fit-il en imitant une voix de grand-mère désappointé.
Pucey le chasse d'un geste de la main. L'esprit frappeur ne l'écouta pas pour autant. Après quelques bruits particulièrement rustres, il continua.
- Tu es une mal-aimée ! dit-il.
Les deux garçons levèrent un sourcil, ne comprenant pas. Puis, Peeves passa au travers le plafond en rigolant. avant qu'un tas de questions soit posé elle expliqua directement que ses parents ne voulaient pas qu'elle vienne chez elle pour Noël. Ils était très occupés, ces temps-ci. Adrian haussa les épaules.
- Ça fait trois ans que je passe Noël ici. Mes parents partent toujours en voyage de noce durant cette période.
Terence expliqua que ses parents le laissé, comme l'an passé, au collège. Par le même moment, il ressorti le grimoire que la jeune Serpentarde reconnut aussitôt. Il lui adressa un sourire et lui fit signe d'approcher. Elle se leva, suivit de Pucey, et s'installa sur le lit voisin appartenant à un Serpentard quelconque parti pour le temps des fêtes. Le jeune garçon avait ouvert le luire à la page soixante-huit. Un sourire narquois était posé sur ses lèvres. Les vacances étaient le moment idéal pour pratiquer un peu de magie. Shuganye était nerveuse. Bien que son père en avait souvent parlé, ça serait la première fois qu'elle se livrerait à ce genre de choses. Adrian, lui semblait parfaitement à l'aise avec ce genre de choses. Cette fois-ci, ils ne seraient pas interrompu par de stupides Gryffondors. Il pourraient enfin commencer leur début dans la magie noire.
De leur côté, Olivier et Percy était resté à Poudlard. Ce dernier était fort content. Il pouvait, durant les vacances, apprendre tout plein de nouveaux sorts, au plus grand désespoir de Dubois. Ils étaient affalés dans la salle commune depuis midi, lorsque Dubois regarda l'heure, il s'aperçut qu'il était bientôt l'heure du souper.
- Allons manger, Perc, fit-il.
Le rouquin se leva visiblement vexé qu'on l'appelle encore par ce stupide surnom. Il parti d'un pas rageur vers la Grande Salle, alors qu'Olivier tentait de le rattraper. Il le rattrapa à l'entrée de la Grande Salle, puisque Percy avait stoppé, estomaqué. Il ne restait plus que quelque tables, toutes collées. Les autres avaient été déplacés sur les côtés de la pièce. Déjà entrain de manger se trouvaient les professeurs. Pour l'occasion, même Archie Gimmer, le professeur de défense contre les forces du mal était là. Lui qui restait toujours cloîtrer dans son bureau. Il parlait gaiement avec Minerva McGonagall qui gloussait chacune de ses blagues. Le professeur Chourave aperçu les deux étudiants au pas de la porte.
- Allez venez nous rejoindre ! s'écria-t-elle joyeusement, un verre de vin à la main.
Au même moment, une vois traînante se fit entendre, suivit de quelques ricanements sournois.
- Eh rouquin et Dubois, vous bloquez le passage. Ça me surprend que vous ayez assez d'honneur pour venir ici.
Terence leur lançant un regard plein de hargne. Shuganye abordait un air hautain et Adrian restait calme, un peu trop calme.
- Alors Weasley, enchaîna Terence, tes parents sont trop pauvres pour t'apporter chez toi ?
Le jeune garçon pâlit. Il serra les dent avant de répliquer furieusement.
- Au moins, ils m'aiment, moi.
Adrian éclata de rire. Un rire froid et sans expression. Ces ricanements sonnaient faux. Il répliqua à la place de Terence qui était resté un peu bouché. La cadette perdit son sourire.
- Aimer c'est pour les faibles, d'un coup de tête il montra Olivier, et les pauvres.
Il pointa ensuite Percy. Cette fois-ci, cela en fut trop. Dubois se dégagea de Percy qui le retenait et sauta sur Adrian. L'autre élève lâcha sa baguette d'un coup, il allait se battre à la manière du jeune Gryffondor. Les professeurs se levèrent tous en même temps, ne comprenant pas ce qui se passait. Terence éloigna de quelques pas la jeune Serpentard qui regardait, horrifiée, la scène. Adrian étant plus fort et plus grand tentait d'assommer le jeune Dubois. Ce dernier esquivait, tant bien que mal, les coups et essayait de lui décocher un crochet de gauche en pleine mâchoire. Lorsqu'il réussit, l'élève de troisième l'empoigna par le gorge et l'accota au mur. Dans les yeux du Serpentard, on pouvait déceler une lueur de folie, un sourire carnassier apparut sur son visage. C'est à ce moment que Minerva l'interpella :
- Pucey ! Lâchez cet enfant !
Il s'exécuta. Olivier glissa le long de la parois rocheuse, reprenant son souffle. Il avait l'air d'une pauvre poupée de chiffon qu'on venait de jeter négligemment. Son visage exprimait la terreur, mais au profond de ses prunelles marrons, on pouvait discerner une lueur de pure vengeance. Percy, qui était resté en retrait voulut se précipité sur son copain, mais le professeur Hagrid l'en empêcha. Adrian recula de quelques pas, ses traits déformés par la fureur. D'un pas rageur, Minerva s'approcha de lui, prête à le sermonner. Rogue intervint alors.
- Minerva, attendez. N'est-ce pas cet élève qui à attaquer monsieur Pucey ?
Son regard se posa sur Olivier, toujours assis par terre le souffle court. Le Serpentard avait une chance de s'en sortir indemne, il passa une main dans ses cheveux brun. Terence était resté à l'écart, tenant la jeune fille par un bras. Il était surpris. Jamais Adrian n'avait frappé quelqu'un, bien sûr il adorait narguer et insultait, mais jamais il ne s'était rendu aux coups.
- Il m'a sauté à la gorge, se défendit Pucey.
Le jeune châtain passa près de lui, tenant toujours Shuganye par un bras, il fit un signe discret au Serpentard qui allèrent prendre une bouchée. Dans un murmure pratiquement inaudible, Adrian dit :
- Tu m'en rapporteras, hein ?
Terence hocha la tête, un faible sourire sur les lèvres. Même dans les pires situations, Adrian pensait au besoin vital de manger. Alors qu'ils entrèrent dans la grande salle, le peu d'élèves réunis, curieux de savoir ce qui s'était passé laissèrent passer les deux Serpentard. Terence et Shuganye s'installèrent silencieux à une table, alors que Rogue, Dumbledore et Mcgonagall partaient vers le bureau du directeur suivit des deux étudiants. Le reste du repas se passe silencieusement. Les autres professeurs étaient revenus et mangeaient tout en se lançant des regards plein de sous-entendus. Les élèves, eux, ne parlaient pas. De peur de se faire foudroyer du regard par les enseignants. Shuganye, qui s'était installé face à son ami, l'observait en silence. Elle n'avait jamais encore remarqué qu'il était extrêmement grand pour un deuxième année. Peut-être avait-il doubl ? pensa-t-elle. Les cheveux en bataille, il se préoccupait de manger sa soupe et tentait de subtiliser quelques morceaux de pains et de légumes pour Adrian. C'est sous le silence pesant que les élèves quittèrent la Grande Salle. Ni les professeurs ni les deux fautifs avaient refait leur apparition. Ce fut seulement plus tard dans la soirée qu'Adrian revint au dortoir. Terence lui lança ses provisions que le jeune garçon s'empressa de manger, tout en allant dans son dortoir. Il paraissait furieux et avait sûrement écopé de quelques retenues. Terence qui s'attendait tout de même à un merci haussa vaguement les épaules et continua sa dissertation de métamorphose qu'il devait remettre au début janvier.
- Tu as quel âge ?
Le jeune garçon leva son visage. Haussant un sourcil il regarda quelques instants hébétés son amie. Ça question avait été posé si innocemment qu'on aurait dit un jeune enfant demandant l'âge d'un inconnu.
- Je vais avoir quatorze ans, en septembre, finit-il par répondre.
Avant qu'elle ne put rouvrir la bouche, il enchaîna.
- Oui, je sais, je devrais être en troisième année. Ma fête est le premier octobre. Pour aller à Poudlard, il fallait avoir onze ans, avant, le trente septembre, j'ai du donc attendre une année complète.
Il sourit avant de retourner à sa passionnante lecture. La Serpentarde, elle, continua un croquis qu'elle esquissait sur un parchemin un peu jaunis. Lorsqu'elle eut fini, elle ne s'aperçut pas qu'il était passé minuit. Elle se leva donc, suivit du jeune garçon. Ils se dirent respectivement une bonne nuit et partirent chacun vers leur dortoir. La salle commune était beaucoup moins achalandé durant le temps des fêtes et encore moins le dortoir des filles de premières années. Shuganye était seule dans le grand dortoir. Elle enfila son pyjama et se coucha sous les couvertures de son lit à baldaquin vert sombre.
Lars poussa un cri de victoire. Il souffla un bon coup sur le petit livre poussiéreux. Un nuage de fumée s'éleva dans les airs, avant de se dissiper rapidement. Depuis début décembre qu'il cherchait se livre et voilà que, vingt jours plus tard, il le trouvait. Il enfouit rapidement le livre dans la poche de sa robe de sorcier et sortit du bâtiment qui semblait tomber en ruine. À la sortie, un homme ne cessait de le fixer étrangement, comme si il savait que, quelques instants auparavant, Lars avait volé un livre dans cette bibliothèque pour sorcier. Le mangemort lui lançant son plus grand sourire.
- Bonjour monsieur ! Beau temps, n'est-ce pas ? lança-t-il joyeusement.
Un peu surpris, le vieux bafouilla quelque chose que Lars n'entendit pas, ayant déjà transplanter chez les Malfoy. Son arrivé fut plutôt discrète, puisque personne ne se trouvait au salon principal. Seulement quelques tableaux représentant les ancêtres de la famille Malfoy le regardaient d'un air hautain. Il décida donc de monter à l'étage, supposant que Lucius devait se trouver à son bureau. Il lui en avait parlé, la semaine dernière, alors que les Malfoys l'avait invité lui et sa femme et ses deux enfants à souper. Alors qu'il posait son pied sur la première marche, on l'interpella.
- Monsieur ! Que faites-vous ici ?
La voix couinante de Dobby se fit entendre. L'elfe de maison semblait terrifié. Le mangemort annonça tout bonnement qu'il venait voir son ami. A ce moment, Dobby laissa échapper un gémissement. Il tenta d'expliquer plusieurs fois la situation, mais il s'interrompait tout le temps pour se punir, se maudissant de vouloir divulguer les secrets de sa famille. Finalement, Lars tenta seulement de savoir si Malfoy senior était présent.
- Non, répondit Dobby entre deux coups de lampe sur la tête, mais maîtresse Narcissa et monsieur Malfoy junior se trouvent à l'étage.
Soulagé d'avoir enfin appris quelque chose, l'homme remercia Dobby et monta à l'étage. Au fond du couloir, il entendait des faibles chuchotements terrifiés. Il hâta le pas, et prit sa baguette dans sa main gauche. A mesure qu'il approchait, il entendait de faibles sanglots. Lorsqu'il ouvrit la porte, il découvrit Narcissa assise sur son lit, dorlotant Draco qui semblait avoir pleuré toutes les larmes de son corps. La femme elle-même semblait avoir fondue en larmes. Lorsqu'elle vit Lars, elle serra davantage son fils contre elle. L'homme fut plutôt surpris d'apporter une telle peur à la jeune femme.
- Narcissa ? Que se passe-t-il, l'interrogea l'homme.
Reniflant, elle expliqua ce qui s'était passé. Lucius avait exploser dans une colère noire, comme elle ne l'avait jamais vu. Encore une fois, elle avait tenté de le dissuader de quitter le clan des mangemorts, mais il avait refusé, agacé. Puis, tandis qu'elle l'implorait il avait hurler dessus elle et l'avait giflé. Le petit Draco avait vu toute la scène et était apeuré. Malfoy senior l'avait regardé sombrement en déclarant que se sale gamin n'était qu'un faible, qu'un trouillard. Lars hocha la tête, toujours silencieux. Il ne pouvait rien faire pour les aider. Simplement agir en lâche et faire semblant de n'avoir jamais rien su, histoire d'épargner les foudres de Lucius envers sa femme. Il s'avança et posa une main sur l'épaule de Narcissa.
- Je suis désolé, pour vous.
Ce fut les seuls mots qui sorti de sa bouche. Le petit garçon, terrifié, s'accrocha solidement à sa mère. Il aurait voulut les rassurer, leur dire que tout s'arrangerait, mais il en eu pas le courage. Il s'avança doucement vers la sortie et se tourna vers madame Malfoy.
- Où est-il all ?
Elle hoqueta avant de répondre qu'il était allé rendre une visite de courtoisie à Higgs. Le visage de Lars, à ce moment du passer rapidement à l'affolement, puisque Narcissa demanda :
- Qu'est-ce qu'il y a ?
Il leva de nouveau les yeux vers la blonde. Il était inutile qu'elle se tourmente davantage. Elle en avait déjà assez à supporter. Il secoua la tête et marmonna un alibi peu convaincant. Higgs, depuis quelques temps, était le souffre douleur de Malfoy senior. A chacune de leur rencontre, il subissait un doloris, si ce n'était pas deux ou trois. Il salua poliment Narcissa et transplana de nouveau.
- Higgs... Higgs ! Tu m'entends ?
Lars secoua le mangemort comme un premier. Ce dernier remua un peu. Il commença alors à divaguer. Il se blottit contre lui-même, geignant d'arrêter ce supplice. Son état s'aggravais de jour en jour. Les doloris de Malfoy finirait par le rendre fou. Lars, toujours en alerte tenta de la faire revenir à la réalité. Puis, après maintes tentatives, il décida qu'il devait trouver de l'aide.
De son côté, Higgs junior dormit toujours, pour le moment. Une voix familière le réveilla, un peu enfantine.
- Joyeux Noël !
Le jeune châtain daigna ouvrir ses beaux yeux bleu. À quelques centimètres se trouvaient les prunelles vertes émeraudes de son amie. Elles scintillaient de bonheur. Terence la regarda quelques instants. Le cadran indiquait aux alentour de cinq heure du matin. poussant un soupir d'exaspération, il se recoucha.
- Espèce de folle, il est cinq heures du matin!
Shuganye croisa ses bras sur sa poitrine.
- Hey ! déclara-t-elle, indignée.
Son ami lui fit signe d'aller se recoucher, mais, bien entendu, rien à faire. Il finit par la tirer par le bras pour qu'elle se couche dans son lit. L'adolescent s'enfouit ensuite la tête dans son oreiller, espérant que son amie finirait par s'endormir. Après quelques instants, la respiration de la jeune fille devint régulière et profonde, tout comme celle du garçon. Ce fut seulement que trois heures plus tard qu'Adrian entra dans le dortoir des deuxièmes années Il semblait avoir retrouvé sa bonne humeur et apportaient des cadeaux dans ses mains. La surprise se lit sur son visage lorsqu'il remarqua les deux jeunes Serpentards endormis. Chacun tirait, inconsciemment, un bout de la couverture. Pucey les réveilla et tout les trois commencèrent à déballer leurs cadeaux respectifs. Shuganye avait offert un livre sur les techniques de Quidditch à Adrian, qui préférait lire, et un énorme sac de bonbons à Terence. Ce dernier le développa aussitôt et commença à manger les confiseries sous le regard surpris de son amie.
- Tu vas être malade...
- Mais non ! assura le jeune homme en enfonçant une nouvelle friandise d'un vert pomme dans sa bouche.
Il tendit ensuite un paquet à Shuganye. À en juger par la carte, ça venait d'Adrian, Bole, Flint et Terence. Avec empressement, elle déballa le papier argenté recouvrant la boîte. À l'intérieur se trouvait un tout petit chaton blanc. Le visage de la jeune fille s'adoucit aussitôt. Elle sauta au coup de ses amis et les embrassa sur la joue. Elle était ravi de son cadeau.
Le reste des vacances se passa plutôt bien, bien que Terence passa le une soirée complète enfermé dans le dortoir en se lamentant d'avoir d'affreuses nausées. Adrian leur appris qu'il aurait des retenues chaque lundi jusque en février. Flint et Bole revinrent de vacance trois jours avant les vacances. Shuganye leur offrirent leurs cadeaux. Un nouvelle écharpe pour Bole et quelques truc essentiels pour faire de bonne blague venants de chez Zonko pour Flint. Elle les remercia ensuite du chaton qu'elle avait baptisée Acid. Par la suite, les garçons se donnèrent leur cadeaux, dans un joyeux brouhaha.
Le reste des vacances passa trop vite, selon le élèves. Le premier matin, alors que comme à tout les lundis, Adrian et Shuganye se dirigeaient respectivement vers le cour de soin aux créatures magiques et le cour de botanique, ils rencontrèrent Dubois et sa bande Ils ne s'étaient presque pas vu depuis l'incident. Adrian le regarda de haut et son amie fit de même. Lorsqu'ils furent suffisamment éloigner Damien les imita, avant de se digère à la serre. Olivier, lui, ne riais pas. Mcgonagall lui avait passé tout un savon, le soir de la bataille. Il avait seulement pus retourner à sa salle commune au alentour de onze heures. Percy s'était grandement inquiété pour son cas. Il avait donc expliqué que, selon McGonagall, il devenait de plus en plus un fauteur de trouble. Tout d'abord, il ne respectait pas les limites du couvre feu et, maintenant, ils se bagarraient. Il avait tenter de lui expliquer, par tous les moyens, qu'Adrian les narguer et insultait Percy. Elle n'avait rien voulut comprendre. Il s'en était donc tiré avec deux semaines de retenues en compagnie de la sévère directrice des Gryffondors.
Lorsqu'il ouvrit les yeux, une atroce douleur lui parcourut tout le corps. Aussitôt, il referma ses paupières, tentant de ne pas crier. Une main se posa sur son épaule. Etait-ce une main d'ami ? Ça, il n'en savait rien, une voix s'adressa alors à lui.
- Ça va, Nelson ?
Ledit Nelson tenta de répondre qu'il n'entendait pas très bien ce qu'on lui disait, mais seul des râles sortirent de sa bouche. De nouveau, il entreprit d'ouvrir ses yeux. Cette fois-ci la douleur fut moins intense. Cela ne l'empêcha pas de contracter tous ses muscles en espérant que la douleur s'en aille. Devant ses yeux se trouvait un épais rideau de brouillard. Plusieurs fois, il cligna, tentant d'apercevoir quelque chose. Ce fut au bout du dixième essaie que des contours de plus en plus net se formèrent. Il reconnut son ami. Colin, lui qui avait perdu son œil gauche, lors d'une bataille avec Lars. Il était le contraire de Nelson. Il avait les cheveux noirs, alors que celui de Higgs étaient d'un brun pâle parsemé, par endroit, de cheveux gris. Les yeux de Colin était d'un noir profond tandis que ceux de son ami était d'un bleu éclatant, tout comme ceux de son fils. Nelson voulut pousser un soupir de soulagement, mais il n'y parvint pas. Pour le moment, il se savait en sécurité, jamais son ami le dénoncerait. D'ailleurs, il savait bien que tout les deux désiraient plus que tout s'échapper de cette misérable vie. Il prit quelques temps à apercevoir les grands drapés bordeaux derrière lui. À sa gauche se trouvait un grand tableau représentant une heureuse famille. Il reconnut alors l'endroit, il se trouvait chez Colin. Comment avait-il atterrit l ? Il en avait aucune idée. Tout ce qui se rappelait c'était que Lucius était allé chez lui. Pourquoi ? Il ne s'en rappelait plus, mais il savait que sa voix grave avait encore cri : « Endoloris ! ». Tout ces sortilèges impardonnables qu'il lui imposait commençait à l'affecté. Il pouvait resté plusieurs jours alités. De plus, sa mémoire flanchait beaucoup plus facilement. Finalement, après plusieurs minutes de silence, Colin répéta sa question.
- Ça va ? Nelson tu m'entends ?
Le blond lui répondit, Colin dû d'approcher pour entendre sa voix rauque murmurer un faible oui. Un sourire compatissant apparut sur le visage du noir. Il allait aller mieux, c'est ce qui comptait. Pour combien de temps ? Ça c'était à déterminer, Lucius se servait beaucoup de Higgs comme souffre- douleur, ces temps-ci et tout le monde remarquait que la santé de l'homme diminuait de jour en jour. Les mangemorts ne remarquaient que ce genre de chose lorsque cela était grave. Le cas Higgs, était un cas grave. Même Lars s'était rendu compte que quelque chose clochait, c'était pour tout dire.
- Colin ? murmura-t-il.
Son ami, à l'écoute, l'interrogea du regard. Prenant une grande inspiration, Nelson continua.
- Il ne m'en reste plus pour longtemps... Je vais devenir fou et avant que tout cela n'arrive, j'aimerais écrire une lettre à ma femme et à mon fils.
À chacune des phrase, Colin acquiesçait, se rendant compte de la gravité de paroles de son ami. Lui même avouait qu'il allait bientôt mourir.
- La fin est proche, continua-t-il. Bientôt, je serais prisonnier dans ma tête. Alors, je les écrirais tout de suite et tu les enverras à ma femme et à mon fils le moment venu, d'accord ?
- Foi de Colin, répondit-il.
Colin sortit hâtivement de la pièce et revint quelques instants plus tard, deux rouleaux de parchemins, une plume et un pot d'encre dans les mains. Il espérait sincèrement de n'avoir jamais à remettre ces lettres, bien que c'était peine perdue.
Notes :
Bon, encore un moment fatidique, soit j'en écris trop, soit j'en écris pas assez. ¬¬ Eh, j'me maintiens, environ une semaine pour ce chapitre ci ! Enfin... Je l'ai terminé depuis deux jours, mais j'étais trop lâche pour corrigé (Ce que je vois) et la mise en page ' Dû moins, ce chapitre commence aux alentour du 20 décembre et se termine environ le 15 janvier. C'est dans ce chapitre que j'ai commis une grosse erreur (J'suis un peu trop perfectionniste, parfois). Selon le site Avada Kadevra (http:membres.lycos.fr/lavadakedavra/) , Terence est née en 1973 et Adrian en 1975. Donc, techniquement, Terence est plus vieux que Adrian. C'est pourquoi Terence site qu'il a 14 ans et qu'il «perd un année», comme dans le système d'éducation québécois (Enfin, je sais pas si c'est de même pour tout les pays, mais au Québec la loi stipule que pour aller en maternelle il faut être âgé de cinq ans avant le 31 septembre (Je crois), sinon on attend l'autre année). Pour Adrian, eh bien, je me sis dit que sa fête était en juin. Donc, tout marche, ou presque. Lucius devient de plus en plus « méchant » à travers les chapitres, il s'en prend même à sa femme. Ainsi qu'à Higgs senior, c'est pour ça que le pauvre va sombrer, vous allez voir comment dans les prochains chapitres. Hum... Je crois que c'est tout, oh oui, j'avais décidé que Dubois se battrait à main nu, surtout qu'il n'a pas appris, en principe, comment se conduire en duel de sorciers. Et voilà, c'est les seules précisions sur ce chapitre. Passons maintenant aux réponses des reviews :
Yellow Submarine : Ouais ! T'a enfin compris ma phrase =P Et t'as vus ? Il y a aussi le verbe remuer (remua)! Dû moins j'espère que la suite te plaît toujours !! A plus ma vieille ! (Et michi pour ta review).
Jamesie-Cass : Merci ! Je suis énormément flattée . Désolé de pas avoir vu ton chapitre immédiatement, honte à moi. M'enfin... merci encore pour ta review ! Elle me font toujours un immense plaisir (Comm toute les reviews) Et j'espère que ça te plaît !
Lin Skywalker : Voilà, peu de Lucius pour toi pour ce chapitre, enfin il ne fait pas d'apparition ! J'espère que tu l'aimes autant même si il est sadique... Merci pour tes encouragement et je crois que ton inspiration est un peu revenu, non ?
Lily Petite Etoile : Merci beaucoup ! Si il ne se réconcilie pas, ils feront une trêve, lol. Nah, ma fic ne se passe pas qu'en première année. Sinon les chapitres engloberaient moins les mois (Enfin, je sais pas si tu comprends mon esprit est pas très clair en ce moment, je dors debout). J'espère que la suite te plaît !
Alors voil ! PLEASE R&R !
- Love –
Sugy
