TRADUCTION- La relation entre Ron et Hermione change l'été après la quatrième année d'une manière plus qu'innatendue...fic de lady anabella
Rated: Fiction T - French - Romance/Humor - Ron W., Hermione G. - Chapters: 4 - Words: 12,305 - Reviews: 73 - Favs: 21 - Follows: 10 - Updated: Jan 7, 2005 - Published: Jun 25, 2004 - id: 1929723
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Je sais pas ce qui m'arrive aujourd'hui mais je n'ai pas arrêter de la journée, j'ai même commencer le chapitre 3 de notre nouvelle fic. Alors voilà ce nouveau chapitre que j'adore. C'est une traduction alors rien mais rien du tout ne m'appartient, merci Lady anabella pour cette fic et à J.K rowling pour ses personnages. Je commence le quatrième chapitre mais je vais ralentir car il n'y a pour l'instant que 5 chapitres en anglais et malgrè tout les encouragements qu'elle reçoit, l'auteut n'update pas.
Merci pour toutes ses reviews, je vous jure que je veux vous répondre mais je n'ai pas arrêté de la journée. Bonne lecture.
« Vous deux vous nettoierez ici aujourd'hui. » dit Mme Weasley alors qu'elle ouvrait la porte du salon.
Ron entra à l'intérieur et se força à ne pas soupirer. La pièce était couverte par au moins trois couches de poussière. Il y avait une montagne de cendre dans la cheminée et si Ron n'avait pas fait d'erreur, il avait vu une araignée courir le long de l'âtre. Il n'y avait pas de fenêtre et sa mère courait allumer des torches dans la pièce.
« Nous devons nettoyer ça à la façon des moldus? » Ron grogna, sa mère se tourna vers lui et le regarda avec colère.
« ça ira. » dit Hermione rapidement « Nous ferons ça, Mme Weasley. »
« Ronald Weasley, tu as interet à faire ta part. Ginny et moi travailleront au troisième étage si tu as besoin de moi. »
Ron ramassa son sceau d'eau savonneuse et regarda Hermione. Elle étudiait la pièce, il pouvait dire qu'elle cherchait un plan d'attaque. Elle mordait ses lèvres et un souvenir de la nuit d'avant lui revint en mémoire. Ses cheveux étalés sur son oreiller, ses yeux noir de désir- et à sa grande surprise du désir pour lui. La façon dont elle mordillait ses lèvres alors qu'il soupesait son sein de sa main, le doux gémissement qu'elle avait laissé échapper l'avait presque rendu fou. Ses tétons étaient durs de ses caresses et il était étonné de pouvoir tirer ce genre de réponse d'elle.
Elle avait l'air passionnée et sauvage, ses lèvres meurtries et rouges de ses baisers et il avait presque perdu tout contrôle lorsqu'elle s'était cambré sous lui. Merlin, il voulait s'enterrer à l'intérieur d'elle…aller et venir en elle jusqu'à ce que la douleur s'arrête. Il lui avait fallu tout son courage pour pouvoir la laisser aller lorsque Hermione avait arrêté leur activité. Il s'était forcé à l'écouter- sachant qu'aucun d'entre eux n'était prêt pour aller plus loin, mais il était tellement plus dur qu'il n'avait jamais pensé qu'il pourrait l'être. Il n'avait pas été prêt à avoir tant envie, à ce qu'elle l'affecte si durement. Sa voix interrompit ses pensées, il baissa son t-shirt pour cacher le fait que son jean était devenu soudainement insupportablement serré.
« Très bien, Ron tu commences par la cheminée, et je commencerai par le bureau qui est dans le coin. »
« Hermione, est-ce que tu réalises qu'il y a des araignées dans la cheminée? Je pourai jurer en avoir vu une courir dans l'âtre. »
« si tu en vois une appelle moi-je te protégerais. » dit-elle, en lui souriant.
« Ce n'est pas drôle- tu sais très bien que je déteste les araignées! »
Il se retourna et marcha vers la cheminée. Merlin elle pouvait être tellement énervante- elle devait plaisanter sur la seule chose qui l'effrayait! Il ramassa l'éponge qui était dans le sceau d'eau et nettoya la poussière du dessus de la cheminée, déchargeant sa colère dans l'exercice physique. Il ne plaisantait pas sur elle - bien sur sa seule peur était d'échouer à un examen.
Il finit avec l'extérieur de la cheminée et s'attaqua à l'âtre. Il ramassa les cendres et la suie à l'aide d'une pelle, les plaçant dans la poubelle que sa mère leur avait laissé et continuant son monologue intérieur. Pourquoi n'était-il pas tombé amoureux de quelqu'un d'autre- quelqu'un qui n'était pas plus intelligent que lui…quelqu'un qui n'était pas si courageux. Il s'arrêta un moment et regarda Hermione- était-il amoureux d'elle?
Elle ne lui avait jamais dit qu'ils faisaient autre chose que de se réconforter entre ami. Partager un lit était juste un moyen de calmer ses cauchemars, non?
Hermione devait avoir sentit son regard car elle se tourna vers lui. Ils restèrent là, s'étudiant l'un l'autre pour ce qui paru être des heures.
« Tu es en colère contre moi, n'est ce pas? » demanda Hermione.
« Nous ne somme pas tous sans peur et sans reproche comme toi! »
Hermione ferma la distance qu'il y avait entre eu et quand elle fut à quelques centimètres de lui, elle lui jeta son éponge. Elle le frappa en plein visage puis retomba sur le sol.
« Ronal Weasley--Tu es un idiot! Je te taquinais, taquiner, tu peux certainement comprendre le sens de ce mot. »
« Tu m'as jeté ton éponge à la figure! Tu vas payer pour ça! » Ron cracha le savon qu'il avait dans la bouche et plongea son éponge dans le sceau d'eau. Il pris également l'éponge d'Hermione et se redressa pour la regarder.
« Tu n'oserais pas! »
« Oh je n'oserai pas? » Dit-il, essayant de cacher son sourire « Ne compte pas sur ça Hermione- tu sais que j'aime les défis et détestes les règles. »
Il avança vers elle jusqu'à ce qu'elle soit plaqué contre le mur. Il lança les éponges et elles atterrirent en pleins sur sa poitrine. Elle laissa échapper un petit cri en sentant l'eau froide traversé sa chemise.
Elle le dévisagea et son regard lui rappela celui de sa mère lorsqu'ils avaient pris la voiture pour aller chercher Harry en seconde année. L'image de sa mère s'évanouit rapidement quand il remarqua où les éponges avaient atterris et l'effet que l'eau froide avait sur le corps d'Hermione. Il prit une grande inspiration et sentit son corps se tendre en réponse. L'eau devait être très froide car ses tétons étaient dressés, il ne put enlever ses yeux de sa poitrine. Elle devait avoir remarqué sa réaction - comment aurait-elle pu la rater?- car elle couvrit rapidement sa poitrine de ses mains.
« Non… » dit il doucement, faisant un pas vers elle. « Non… »
Il força ses yeux à se détacher de sa poitrine et fit encore un pas vers elle. Il voulait…Merlin, il n'était pas sure de ce qu'il voulait…mais il devait s'approcher d'elle.
Il ferma la distance entre eux et plaça ses mains sur le mur, la piègeant contre celui ci pour qu'elle ne puisse pas s'enfuir. Si elle s'enfuyait, elle changerait sa chemise et il ne pourait plus la voir…la toucher…et il perdrait l'esprit si cela se produisait.
« Ron, tu regardais. » haleta t-elle dans un souffle alors qu'il courbait la tête pour embrasser la peau tendre juste sous son oreille.
« Vraiment. »
Elle pencha sa tête, l'autorisant à continuer, il mordilla le lobe de son oreille. Un éclair de plaisir traversa son corps et son désir augmenta encore en sachant qu'il avait le même effet sur elle qu'elle avait sur lui. Il s'approcha un peu quand ses bras entourèrent son cou - il fut captivé par son regard- elle était excité et cela lui donna le courage de continuer.
« Hermione, je veux t'embrasser. » chuchota t-il.
Il entendit sa respiration s'accélérer et il embrassa le coin de sa bouche. Il glissa ses lèvres le long de sa mâchoire laissant ici et là de petit baisers. Il l'entendit soupirer alors qu'il embrassait son front, ses yeux, son nez avant de s'attarder aux environs de ses lèvres.
Il resta comme ça pendant un moment, son front contre le sien, se battant pour garder le contrôle de son corps. Il voulait la presser contre lui…si proche que la seule barrière entre eux soit la fine couche de leur vêtements.
Ses doigts se serrèrent contre sa chemine et il soupira de soulagement lorsqu'elle l'attira près d'elle. Son torse était contre sa poitrine, il essaya de laisser ses hanches en retrait pour qu'elle ne puisse pas sentir ce qu'elle lui faisait. Ses yeux s'ouvrirent et cherchèrent les siens lorsque ses mains glissèrent jusqu'à ses fesses pour l'attirer vers elle.
« Plus.. »
Sa voix était douce, mais la demande ferme et Ron ne put se retenir un moment de plus. Il se contrefichait d'être au milieu d'une pièce sale qui sentait comme les vieilles chaussettes ou que n'importe qui pouvait entrer et les trouver ainsi. La seule chose dont il se souciait était la sensation de ses lèvres contre les siennes.
Il ferma la distance entre eux et sentit ses lèvres s'ouvrir sous les siennes. Son goût l'intoxiquait. Il n'y avait aucune hésitation pour elle lorsqu'il glissa sa langue contre la sienne. Elle le rencontrait complètement, passionnément ce qui menaçait de lui faire perdre le peu de bon sens qu'il possédait encore. Il pressa ses hanches contre les siennes, la laissant se rendre compte de l'effet qu'elle lui faisait, il glissa se main le long de sa poitrine et défit quelques boutons de sa chemise. Sa peau était douce et chaude…Il pouvait la caresser…provoquant de doux gémissements qu'il capturait de sa bouche. Il y avait une différence subtile dans ce baiser, pensait t-il, alors que ses mains l'exploraient, c'était à la lumière du jour et il n'y avait plus l'excuse du réconfort ici. Les baisers qu'ils partageaient ne pouvaient être mis sur le compte d'une intense amitié. Ils ne pouvaient cacher leur sentiments sous le manteau rassurant de l'obscurité. C'était une choquante réalité et aucun des deux n'était capable de cacher l'incroyable attraction qu'ils avaient l'un pour l'autre.
Il savait qu'il s'aventurait sur une pente dangereuse mais il ne s'en souciait pas. Il avait besoin d'elle- le désir était à la fois plaisir et agonie- il glissa sa main plus haut pour la caresser à travers son soutient-gorge. Sa paume glissa sur un de ses tétons et il le sentit durcir. Elle détacha ses lèvres de lui et pris une profonde respiration. Voulait-elle arrêter?
« Tu veux que je m'arrête? »
Elle mordilla sa lèvre, il vit que ces yeux étaient flous. Elle semblait désorienté, elle s'approcha de lui et captura sa lèvre inférieur entre ses dents. Ses mains se mirent entre eux, glissèrent sous son t-shirt et elle ratissa ses doigts contre son mamelon. Il gémit et laissa tomber sa tête en arrière. Elle en profita immédiatement et traîna sa langue le long de son cou.
« Non…je veux, » dit -elle, continuant ses caresses sur son cou.
Il continuait de brosser sa paume contre son sein, il glissa son autre mains autour de sa taille pour l'approcher encore plus près. Ses hanches poussèrent les siennes et elle gémit lorsqu'elles se touchèrent. Il était captivé par ses réactions- choqué de pouvoir retirer de telles réponses d'elle. C'était ennivrant et il réalisa que la seule chose qu'il voulait à ce moment était de faire disparaître la pression à l'intérieur de lui.
Il se pencha vers elle, ses hanches se présentaient pour rencontrer les siennes. Il se pressa contre elle jusqu'à ce qu'elle soit à nouveau plaqué contre le mur et il l'embrassa à nouveau. Il déversa tout son désir.. son besoin dans ce baiser. Il voulait qu'elle sente la même chose que lui…il voulait qu'elle sache que ses petits gémissements le rendait fou…qu'il lui donnerait tout ce qu'elle voulait juste pour pouvoir continuer à goûter ses lèvres-pour sentir le poids de ses seins dans ses mains.
Ses mains glissèrent le long de son torse… puis de son estomac…et il sentit ses genoux tremblaient lorsqu'elles passèrent à proximité de la ceinture de son jeans.
« Ron » chuchota t-elle, « je veux… »
Il se recula un peu d'elle pour la regarder, il retint son souffle attendant qu'elle continue. Ses mains le rendaient fou alors qu'elle l'avait à peine touché- le bout de ses doigts touchaient légèrement sa ceinture et il désirait de tout cœur que sa main descende juste un peu plus bas. Ses jambes tremblèrent quand d'un doigt elle joua avec le bouton de son jean.
« Quoi? » Haleta t-il, respirant lourdement, « Que veux tu faire? »
« Je peux te toucher? »
Ces yeux étaient emplis de désirs, il pouvait sentir la chaleur qui émanait de son cou et de ses oreille. Il ne pensait pas que son pantalon pouvait être plus serré mais tout son sang se précipita à nouveau vers son aine.
Elle posa sa joue contre sa poitrine et glissa timidement sa main sur le devant de son jean. Il laissa échapper un gémissement et poussa involontairement contre sa main.
« C'est chaud…Je peux le sentir…est ce que ça fait mal? »
Il respira difficilement et essaya de parler. Il ne put forcer les mots à sortir et ne put que laisser échapper un soupir. Elle glissa sa main le long de son érection, la plaisir était si intense qu'il lui était impossible de parler. Un autre gémissement s'échappa de ses lèvres, elle retira vivement sa main comme si elle avait été ébouillanté.
« ça te fais mal! »
« NON! »
Il cria plus durement qu'il ne le voulait et il vit une lueur de peur dans ses yeux. Il pris sa main dans la sienne et la plaça à nouveau sur son sexe. Elle le regarda et il sentit à nouveau cette pulsion de besoin au creux de son ventre mais combiné avec quelque chose de si puissant qu'il ne put lui donner de nom.
« Ne t'arrête pas. »
Sa main reprit ses mouvements et il se força à rester calme; C'était si différent…une autre mains que la sienne lui donnant du plaisir. Elle approfondit ses explorations, appliquant plus de pression, elle semblait étudier sa réponse. Ses yeux se fermèrent contre sa volonté et il grogna bruyamment lorsque sa main descendit plus bas entre ses jambes. Ses hanches bougeaient instinctivement et une pression familière monta en lui.
« Hermione…arrête…oh.. »
Elle devait s'arrêter-- c'était trop. Sa réaction sembla l'encourager, elle le caressait sérieusement maintenant, bougeant sa main de haut en bas sur son érection, elle pressa sa bouche cntre son torse puis gémit.
Ce doux gémissement fut sa perte, un éclair de chaleur explosa en lui. Il vit des étoiles derrières ses paupières.
« Oh…putain…oui! »
Il essaya de regagner son souffle et ouvrit les yeux pour la trouver le fixant.
« Tu viens juste? »
Il sentit le bout de ses oreilles rougir, bientôt suivit par ses joues. Elle devait le détester…
« Je suis désolé! Tu dois me détester! » dit-il, évitant ces yeux.
Il la repoussa et courut vers la sortie. Il devait s'éloigner d'elle- il devait nettoyer le désordre qu'il avait mis dans son jean avant que quelqu'un ne le voit. Il imagina avec horreur rencontrer Fred et George dans le couloir- ils ne le lâcheraient pas - une image encore pire le frappa alors qu'il franchit la porte, sa mère pourrait le voir et elle saurait.
« Ron! »
Elle l'appelait mais il ne pouvait pas s'arrêter.
Il était au milieu du couloir lorsqu'il entendit sa voix retentir doucement.
« Mais j'ai aimé ça. »
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