Coucou tout le monde ! Bon ce chapitre devait arriver hier mais les exos de maths m'ont pris plus longtemps que prévu (limites de suites et produit scalaire dans l'espace, aïe aïe aïe) ! Donc je suis désolée pour le retard. Je commence par les réponses aux reviews (qui me font toujours très plaisir) :
leïlacmoi : merci beaucoup. Rassure-toi l'histoire a neuf chapitres.
Benelie : je suis tout à fait d'accord avec toi : plus aveugles que ces deux-là, ça n'existe pas ! (Mais bon, c'est ce qui est intéressant lol) Merci.
Valentina : je te confirme que ça a été une horreur à traduire. T'inquiète pas, ça ne se concrétise pas encore tout de suite entre eux.
LovelyHermione : merci. Il y a neuf chapitres dans l'histoire alors j'en ai encore pour quelques temps ! Au fait j'adore ton pseudo c'est mimi.
Elea013 : alors toi, on peut dire que ta review m'a donné du fil à retordre lol. Moi aussi j'aurais aimé que l'auteur décrive la soirée, mais je n'y suis pour rien ! Chourave leur apprend à cueillir les Fidelis parce que ça peut servir pour ceux qui ont l'intention de faire des études poussées en botanique et de s'appuyer sur la Fidelis pour exposer leurs théories. Quand au coeur doré, c'est un pendentif, et Chourave lui a effectivement donné parce qu'elle sait qu'il est amoureux d'Hermione (comme si personne ne le savait lol). Sache que toutes ces précisions viennent de l'auteur, je n'ai fait que traduire les réponses qu'il m'a envoyées ! N'hésite pas à poser des questions pour les prochains chapitres ! Bisous.
Sophia Grint : Encore une Mme Grint ? lol, c'est vrai qu'il est très mignon. Merci pour ton soutien, j'espère que la suite te plaira.
Allima : merci beaucoup beaucoup beaucoup. Continue à reviewer ça me fait très plaisir.
Bon voilà j'ai terminé pour les reviews du chapitre 2 !! Espérons qu'il y en ait toujours autant pour le chapitre qui suit...
Chapitre 3
On était à présent le vendredi avant que tout le monde ne parte pour les vacances de Noël, et même si la paresse des élèves battait son plein, les cours demeuraient aussi stricts que d'habitude. Ron, Harry et Hermione avaient commencé à parler avec excitation de leurs plans pour Noël, mais Hermione n'avait toujours pas mentionné le fait qu'elle resterait à Poudlard. Elle n'arrivait pas à mettre le doigt sur la raison pour laquelle elle faisait ça.
En Herbologie, cependant, Harry s'assit en dévisageant ses deux amis d'un air suspicieux au cas où ils prendraient encore des couleurs. Il ne comprenait toujours pas pourquoi Ron et Hermione avaient agi si étrangement après avoir appris des choses sur la fleur.
Le déjeuner arriva, et ce qui était habituellement un moment d'études pour les élèves devint en fait une heure entièrement sociale. Seamus Finnigan parlait d'une voix forte des confiseries qu'il recevait en général de ses parents à son ami Dean Thomas, qui ripostait en mentionnant les farces de Zonko, boutique de Pré-au-lard, qu'il découvrait normalement sous son sapin. (N/T : Ouf, un peu longue la phrase, j'espère que c'est pas trop embrouillé)
Ron poussa un grognement et se tourna vers son jus de citrouille. « Je parie que j'aurai encore un de ces pulls » dit-il d'un air maussade.
« Moi aussi » dit Harry. Ron se sentit mieux et sourit à son ami d'un air satisfait.
« Et alors, c'est l'intention qui compte » déclara Hermione.
« Qu'est-ce que tu as prévu de faire pour Noël, Hermione ? » lui demanda Ron. « Tu ne nous en a pas dit un mot . »
Elle haussa les épaules. « Je n'y ai pas encore réfléchi. » Pourquoi je mens ?
« C'est simplement trop bête que tu ne restes pas avec nous » dit Harry, et Ron lui donna un violent coup de coude dans les côtes. « Aïe ! Quoi ? »
Hermione fixa Ron férocement et Harry pouvait sentir la dispute arriver. « Oui, pourquoi as-tu fait ça ? »
Les yeux de Ron s'écarquillèrent, puis il secoua la tête si vigoureusement que ses épais cheveux roux lui balayèrent le visage. « Pour rien, pour rien. Pourquoi y'aurait-il quelque chose ? »
Hermione ne dit rien, et resta muette tout le déjeuner. Ron savait qu'il devait garder la bouche fermée et ses coudes là où ils étaient s'il voulait maintenir une conversation polie avec Hermione.
Ils ne se parlèrent pas l'un à l'autre en se dirigeant vers le cours de Métamorphose.
« Je vais vous répéter ce que je vous ai toujours dit dans le passé » aboya le professeur McGonagall à leur intention en ce froid vendredi après-midi. « C'est peut-être votre dernier jour avant les vacances de Noël, mais ça ne veut pas dire que je vais vous autoriser à devenir plus négligents dans votre travail. Nous allons passer en revue comment changer vos animaux en meubles, vos plumes en argenterie et vos livres en vaisselle de manière à ne rien avoir oublié après les vacances. »
Tous les élèves de la classe émirent un gémissement collectif mais prirent leurs baguettes. Alors que le professeur McGonagall leur avait rappelé les incantations dont ils avaient besoin pour exécuter leurs métamorphoses, les élèves firent le contraire de ce qui leur avait été demandé et s'affolèrent.
« Harry » murmura Ron en pointant sa baguette sur son livre Potions Magiques.
« Quoi ? » murmura-t-il en retour.
« Je crois que j'ai oublié l'incantation pour la métamorphose des animaux » dit-il d'un air coupable.
Hermione soupira. « Franchement » murmura-t-elle avant de noter peu soigneusement dans le Livre des Sorts et Enchantements, niveau 6 de Ron « Cella ».
Il lui écrivit sa réponse et poussa son livre vers elle pour qu'elle puisse la lire : « Merci ».
Elle acquiesça simplement en se retournant vers sa grande pile de livres qui était à présent devenue un attrayant service de vaisselle chinoise. Ron sourit avec envie, mais réussit à changer deux de ses plumes en cuillères convenables. Harry passait un moment difficile à essayer de retransformer ses assiettes noires en livres.
Après être sorti de Métamorphose, le groupe se dirigea vers la Grande Salle, alors qu'Hermione restait silencieuse une fois de plus. Ron était perplexe.
« Hermione, y'a quelque chose... »
Avant qu'il n'ait pu finir, le professeur McGonagall les dépassa en coup de vent avec une liste entre les mains. Hermione devint pâle. Ron ouvrit la bouche pour parler mais Hermione le distança rapidement, tête baissée. Il regarda Harry et en retour, Harry haussa les épaules avec curiosité.
Ils prirent leurs places à la grande table en déposant leurs livres et en se précipitant immédiatement sur la nourriture. McGonagall marchait à présent le long de la table, en demandant qui restait pour les vacances et qui ne restait pas.
« Tu restes toujours, hein ? » demanda Harry à Ron prudemment.
Ron rit. « Bien sûr. Je ne mens pas » dit-il en lançant rapidement un coup d'œil à Hermione, qui rougit.
« Potter, Weasley, je suppose que vous resterez ici pour les vacances » dit McGonagall en notant rapidement leurs noms.
Ils acquiescèrent en prenant des petits pains au centre de la table qu'ils mirent dans leurs assiettes. McGonagall regarda par-dessus ses lunettes et fixa Hermione. « Miss Granger ? Est-ce que vous accompagniez ces messieurs ? »
Les garçons se sourirent d'un air satisfait et Hermione acquiesça d'un air renfrogné. « Très bien. Vos parents m'avaient envoyé un hibou à l'avance pour m'avertir que vous changeriez peut-être d'avis. »
Alors que McGonagall continuait son chemin, Harry et Ron fixèrent Hermione d'un air interrogateur. Elle avait les yeux baissés vers son assiette, et picorait distraitement sa nourriture.
Ron la regarda en fronçant les sourcils. « Pourquoi tu ne nous avais pas dit que tu restais avec nous ? »
Elle haussa les épaules. « Je ne sais pas vraiment pourquoi je n'ai rien dit. »
« Tu aurais pu nous le dire » dit Harry avec calme.
Elle hocha la tête. « Je sais »
Ron la regardait encore en fronçant les sourcils. « Pourquoi tu ne nous as rien dit ? C'était stupide de ta part ! »
Les yeux d'Hermione étincelèrent tandis que Harry donnait à Ron un fort coup de coude dans les côtes à son tour. « Quoi ? Elle aurait pu nous le dire ! »
« Ron, laisse tomber ! Il y a une minute tout allait bien ici » murmura Harry.
« Et bien, je suis désolée » dit Hermione avec brusquerie. « Mais c'est juste que je ne l'ai pas crié sur tous les toits pour vous le dire. Vous croyez vraiment que j'essayais de cacher quelque chose ? Franchement ! Nous avons 16 ans, messieurs. Je pense que vous devriez m'accorder le fait d'être plus mûre que ça. »
Les garçons se regardèrent l'un l'autre et acquiescèrent, mais Ron regardait toujours Hermione en fronçant les sourcils. « Et bien, t'auras pas intérêt à me rembarrer à propos de ça ! »
« RON ! » hurla Harry, exaspéré.
« PAS POSSIBLE ! »
« QUOI ? »
Il y eut le silence à la table des Gryffondors alors que toutes les têtes se tournaient pour regarder Ron et Hermione. Ils se tenaient tous les deux debout à présent, et se penchaient sur la table en se regardant furieusement dans les yeux. Harry s'assit à côté de Ron en secouant la tête, complètement mortifié.
« TU AS ETE TELLEMENT RUDE DERNIEREMENT ! » cria Ron en levant les mains au ciel en signe d'exaspération. « Qu'est-ce que je suis censé penser ? »
« Tu n'es pas censé penser QUOI QUE CE SOIT ! » hurla-t-elle en retour. « Pourquoi est-ce TELLEMENT important pour toi de savoir ? Pourquoi te préoccupes-tu tellement du fait que je sois si BRUSQUE ! Ça a TOUJOURS été comme ça, Ron .» et avec un claquement de voix supplémentaire, elle ajouta : « Ce sera TOUJOURS comme ça. »
La seule chose que Ron put faire fut de regarder fixement la jeune femme qu'il avait connue tellement stable et tellement insouciante se décomposer. Ses mots avaient peut-être exprimé quelque chose mais son visage les démentait complètement.
« Qu'est-ce qui se passe ici ? » Le professeur McGonagall, de retour dans la salle, tempêtait, en serrant toujours la feuille de parchemin et manifestement très troublée. « Weasley, Granger ? Expliquez-vous ! »
Ils baissèrent les yeux vers la table et bégayèrent sans tarder. « Quoi ? » cracha-t-elle avec colère. « S'il vous plaît ! J'aimerais savoir pourquoi vous êtes debout ici à vous crier dessus et à déranger les autres élèves. Il doit y avoir une explication valable et je veux l'entendre ! »
Aucun des deux ne parla. « Si je n'ai pas une explication immédiatement, j'enlève 5 points à Gryffondor. »
Harry se leva automatiquement d'un bond. « Professeur, ils se disputaient et c'est devenu un peu trop chaud, vous voyez... »
« Potter, vous n'étiez pas impliqué. Asseyez-vous et taisez-vous. » Harry fit ce qui lui avait été dit.
Hermione s'éclaircit la gorge et dit d'une voix aiguë. « Je suis désolée professeur, nous nous disputions et nous n'avions pas réalisé à quel point nous parlions fort jusqu'à ce que vous interveniez. Nous n'aurions pas dû nous hurler dessus. »
Ceci sembla satisfaire le professeur McGonagall. Elle les fixa attentivement quelques secondes puis dit : « Très bien. Ne laissez pas ça se produire de nouveau. »
Voyant la tempête s'évanouir, Hermione sentit de chaudes larmes lui picoter les yeux. Oh non, pensa-t-elle pour elle-même. Cela ne peut pas arriver. Pourquoi ai-je subitement une envie urgente de pleurer ?
Rangeant rapidement ses affaires, Hermione s'enfuit hors de la Grande Salle, la tête basse et ses livres étroitement serrés contre sa poitrine. Ron la regarda partir, sans s'asseoir pour autant. Il regarda Harry avec curiosité, puis se dirigea à son tour vers la porte.
Ron sortit de la Grande Salle en courant tandis que la table entière des Gryffondors se tournait pour l'observer. Aussitôt qu'il fut hors de portée de voix, le bavardage reprit si fort que le professeur McGonagall dut revenir.
Certain du lieu où Hermione s'était dirigée, Ron prit la direction de la bibliothèque et, bien sûr, dès qu'il fut entré, il vit une mèche de cheveux bruns flotter derrière une étagère de livres. Ignorant le regard noir de Mme Pince dû au fait qu'il courait, il se hâta vers Hermione.
Il prit un virage et s'arrêta avant d'aller lui parler. Il était sûr de l'avoir entendue pleurer. Des sanglots, des reniflements et des petits soupirs venaient de derrière les livres, et il n'était plus certain de vouloir aller lui parler alors qu'elle pleurait.
Il devait sortir d'ici. Si elle pleurait à cause de lui, il serait incapable de la regarder dans les yeux. La vague de culpabilité qui le submergerait serait énorme.
« Oh vieux ! » dit une voix derrière Ron. Il se retourna vivement pour voir Justin Finch-Fletchey, un Poufsouffle de sixième année, juste derrière lui. « Regarde où tu vas, Ron, tu m'as presque fait tomber ! »
Alors que Justin prononçait le nom de Ron, il put entendre un léger hoquet de surprise derrière lui. Son entrain se dégonfla. Le son d'une chaise violemment claquée contre une table put être entendu et la seconde d'après, Ron avait été pris à part.
« A quoi tu crois jouer ? » hurla Hermione avec colère.
« A quoi...je...euh...et bien... »
« Ne m'approche plus jamais sans faire de bruit ! Tu m'as entendue ? JAMAIS ! »
Même si elle était en colère, elle était presque en larmes, et cela ne surprit pas du tout Ron. Elle était en train de pleurer à peine quelques secondes auparavant.
« Hermione, Hermione ! » lui dit-il calmement.
Elle agitait les mains frénétiquement, en dissertant sur les droits d'intimité qu'elle aurait dû avoir et qu'après cette scène dans la Grande Salle il aurait dû comprendre. Ron, presque en larmes lui-même, lui attrapa les mains. « « Hermione » dit-il encore, cette fois d'un ton désespéré.
Elle s'arrêta et le fixa du regard. « Ron »
Ils se tinrent les mains pendant ce qui sembla être une éternité. D'une certaine manière, il y avait une aura de paix qui émanait d'eux deux après qu'ils se soient touchés avec tendresse pour la première fois.
« Je t'ai entendue pleurer » murmura-t-il.
Elle essaya promptement de reculer, mais Ron s'accrochait désespérément à ses mains. « Je ne sais plus quoi penser, Hermione. »
« Qu'est-ce que tu veux dire ? » demanda-t-elle en détournant les yeux de lui.
« Je...c'est juste que...je... »
Hermione soupira, et voulut se détacher, mais Ron se cramponna de nouveau. Cela semblait être une idée complètement folle, mais il était persuadé que s'ils gardaient une forte prise l'un sur l'autre, ils ne se battraient pas.
Les joues d'Hermione étaient toujours souillées de larmes. « Pourquoi tu me provoques ? J'ai pleuré trop de fois pour m'en préoccuper encore. »
Un éclair de douleur passa dans les yeux de Ron et il dit : « C'est plus fort que moi. »
« Pourquoi ? » demanda-t-elle vivement, sans comprendre. « Pourquoi tu ne peux pas faire attention à ce que tu dis, ou être plus gentil dans la façon que tu choisis pour me parler ? Tu n'es pas comme ça avec Lavande ou Parvati ! Seulement avec moi ! Qu'est-ce qui ne va pas chez moi ? Pourquoi tu ne peux pas simplement me parler comme une personne civilisée ? »
Elle redevenait frénétique, et Ron commençait à paniquer, en la tenant de toutes ses forces.
« Ron, laisse-moi partir ! » exigea-t-elle.
« Non ! Pas avant que tu ne m'aies parlé ! Dis-moi pourquoi tu pleures s'il te plaît, je veux savoir ! » lui cria-t-il.
« Tu veux vraiment savoir ? Tu veux vraiment savoir ! » hurla-t-elle.
« Oui ! »
« A cause de TOI ! »
La bibliothèque devint silencieuse et ils purent entendre Mme Pince s'avancer vers eux à grands pas, en disant d'une voix acide : « Est-ce que vous allez finir par vous taire, vous deux ? »
Ils acquiescèrent gravement, et Mme Pince fit demi-tour, fâchée.
Après qu'elle soit partie, Ron demanda : « De quoi tu parles ? Moi ? »
« Oui, toi. Tu ne t'es jamais rendu compte à quel point nous nous disputons ? Ça ne t'a jamais paru étrange qu'on se batte comme ça seulement l'un avec l'autre ? »
« Si » Il haussa les épaules. « Ça a toujours été comme ça. »
Hermione gémit intérieurement. « Et bien, ça ne peut plus être comme ça. J'en ai marre. »
Ron ne savait pas comment réagir à ce commentaire. « Je ne sais pas comment arrêter ça... »
Hermione tenta de se détacher à nouveau, avec succès cette fois. Ron était tellement secoué qu'il passa un long moment à essayer de s'agripper à un support. Se tenant à peu près à un mètre de lui, Hermione avait l'air d'être au bord d'une totale dépression nerveuse et émotionnelle. Elle le fixa d'un air pitoyable t il était évident pour tout le monde qu'elle voulait être près de Ron à nouveau, mais qu'elle ne le pouvait pas.
« Alors je ne peux plus gérer tout ça. »
Hermione se tourna et s'enfuit de la bibliothèque avant que Ron ait une chance de répondre. La pièce entière était silencieuse une fois de plus, étant donné que la dispute avait cessé. Ron était tétanisé. Il ne pouvait pas faire avancer ses jambes pour la rattraper. Tout ce qu'il pouvait faire, c'était de laisser les paroles d'Hermione pénétrer dans son esprit.
Je ne peux plus gérer tout ça.
Alors qu'il restait planté là, à fixer l'endroit où Hermione s'était tenue, ses pensées résonnaient dans son esprit. Sa main atteignit sa poche, et le trésor qu'il y trouva le dérouta.
C'était le cœur en or que le professeur Chourave lui avait donné. Il avait monté la Fidelis dans son dortoir et l'avait cachée à l'abri des regards des autres. Mais il avait oublié le cœur.
Les pièces du puzzle commençaient à prendre place, même s'il en manquait encore quelques-unes. Ron était déterminé à venir à bout de ce casse-tête et à le mettre en ordre avant que sa chance avec Hermione ne soit passée.
Alors, verdict ? Personnellement j'aime assez ce chapitre (en tout cas l'original lol) ! J'espère que ça vous plaît toujours autant ! En tout cas j'apprécie énormément les reviews ça m'encourage à continuer !