One Night and Two Strays

Traductrice: Mestissa

Pairing: Harringrove

Rating: M

Genre : Romance – Drama – Hurt/Comfort

Disclaimer: Traduction de la fanfiction de Confettibites sur Ao3. Les personnages de Stranger Things ne m'appartiennent pas.

Résumé: Lorsque Steve Harrington quitta la maison cette nuit-là, il ne s'attendait vraiment pas à se retrouver bientôt entouré de deux animaux errants très différents. L'un d'entre eux s'avérait bien plus difficile à gérer mais pour l'autre, il connaissait déjà le bon endroit où aller. (Aka l'histoire de la façon dont Mme Henderson a eu un nouveau chat et Steve a finalement eu de l'action).

Blabla de la traductrice: Et voilà une nouvelle traduction très très longue puisqu'elle fait 100 chapitres ! Tout le mérite de cette histoire revient à l'auteur !


One Night and Two Strays

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Chapitre 91 – Comes in handy

«Tu dois vraiment arrêter de parler.» Dit Steve, essayant toujours de lutter contre le rougissement parce que, putain, il ne pouvait pas bien gérer la tentative de Billy de parler grossièrement ...

Il prit un visage inquiétant et retourna ses mains sur la poitrine de Billy, plus pour se soutenir et trouver un peu de stabilité que pour le plaisir de toucher. Même si Billy garda en effet la bouche fermée après cela, il était assis maintenant, et il attrapa le dos de Steve avec sa main pour l'empêcher de tomber de ses genoux. Steve grinça un peu au mouvement soudain, surtout quand il commençait à perdre son équilibre, mais dès que Billy referma ses bras autour de lui et qu'il put ajuster à cette position, c'était bien car cela rapprochait Billy de lui.

Billy laissa ses mains errer vers la petite partie du dos de Steve qui se voyait sous son pull à chaque fois qu'il levait les bras même un peu parce que le tissu n'était pas assez long. Steve inspira brusquement alors que des mains chaudes et fermes touchaient la peau froide et exposée. Il envoya la chair de poule sur tout son dos. Billy ne s'arrêta pas là et déplaça ses doigts sur le dos de Steve, tirant la chemise avec lui avant de la guider sur la tête de l'autre avec l'aide de Steve. Billy eut un sourire narquois en sortant Steve de la chemise, d'autant plus que Steve plissa les yeux et fronça le nez quand il remarqua que ce processus de déshabillage aurait pu lui défaire les cheveux.

« Tu vois ? » Demanda Billy sarcastiquement. « Ces choses sont une vrai épine dans le cul.

-Tu parles des vêtements en général là ? »

Steve leva un sourcil, légèrement amusé par la déclaration de Billy.

« Tu es toujours en colère que je n'ai pas mis de chemise ? » Demanda Billy en retour en jetant le pull vert sur le côté de la pièce sans réfléchir.

Il tomba sur le bord du lit. Le sourire de Steve s'élargit un peu et il secoua la tête.

« Eh bien, je suppose que c'est utile.

-C'est ce que je pensais. »

Billy rapprocha Steve de lui et Steve remarqua immédiatement la différence de chaleur corporelle. Il n'avait aucune idée de la façon dont Billy avait réussi à rester aussi chaud sans porter de chemise, alors que Steve tremblait partout où il ne touchait pas Billy en ce moment. Mais alors, même l'apparence de Billy semblait rayonner de chaleur. Probablement le soleil californien, pensait Steve. Billy était encore bronzé de là-bas, habitué à ce climat chaud.

Maintenant, ici à Hawkins, peut-être que son corps avait simplement réussi à obtenir un peu de cela, ne voulant pas encore laisser toute la Californie partir. Steve se demanda s'il en serait de même avec lui s'ils y allaient. S'il transporterait le froid avec lui et combien de temps il faudrait au soleil de Cali pour le brûler. Il ne pouvait pas imaginer être aussi bronzé ou aussi chaud. Comme si Billy avait remarqué que Steve tremblait un peu, il passa ses mains sur le dos de Steve dans de longs mouvements de caresses, essayant de répandre la chaleur, tandis qu'il attrapait les lèvres de Steve avec les siennes.

Steve se soumit au baiser. Peut-être que c'était la façon dont Billy massait son dos en ce moment de cette manière caressante et chaleureuse ou que c'était le rythme apaisant de sa respiration mais Steve se sentait juste à l'aise maintenant. Un sentiment d'appartenance juste. Billy l'embrassait presque doucement, ne le repoussant pas, ce qui, en conséquence, fit courir Steve après le baiser, encore plus, appuyé contre Billy de tout son poids, poussant sa langue dans la bouche de l'autre.

Il voulait tout. Billy gémit contre la bouche de Steve, écarta ses lèvres et lui permit finalement de l'approfondir, encore plus, en suçant les lèvres de Steve en retour ou en les léchant et le taquinant. En faisant cela, il n'était pas étonnant qu'il n'ait pas fallu longtemps à Steve pour se sentir suffisamment chaud, comme si son corps venait de se frayer un chemin jusqu'à Billy. Après un moment, Billy pencha sa tête en arrière et l'inclina légèrement, regardant les yeux de Steve, gonflés de désir et ses lèvres toutes rondes et roses à cause du baiser.

«Je commence à regretter d'avoir mis ce putain de pantalon.» Grogna Billy.

Steve commença à rire, imaginant non seulement comment les choses se passeraient maintenant si Billy ne le portait pas, mais surtout comment cela aurait changé son processus d'écriture plus tôt.

« Putain, si tu étais assis ici, nu, j'écrirais probablement encore ce stupide essai. » Dit Steve. « Je ferais semblant d'être concentré à chaque fois que tu lèverai les yeux, mais incapable d'écrire un seul mot. »

Billy eut un sourire narquois.

« Eh bien, je suis content d'avoir pu être utile. Et je suis sûr que ce n'est pas stupide. »

Steve roula des yeux, même s'il garda ce sourire.

« Tu ne le sais pas. » Argumenta-t-il.

Billy bougea la tête en hochant la tête.

« Je sais que nous avons convenu de discuter de cette question plus tard.

-Plus tard ça sonne bien. » Décida Steve alors qu'il passait ses bras plus fermement autour du cou de Billy pour se replonger dans un baiser profond.

Steve ne manqua pas que Billy souriait dans le baiser, manifestement assez amusé par la rapidité et surtout le volontariat que Steve avait pu ignorer maintenant, dont il aurait peut-être voulu discuter à un autre moment. Parce que pour l'instant, ce n'était pas le moment de discuter mais plutôt de ressentir les choses. Et à ce moment-là, Steve voulait sentir Billy partout et pas seulement à partir de sa taille.

Billy le regarda avec curiosité, alors que Steve se penchait en arrière du baiser puis commençait à se lever sur le matelas bancal, sa position un peu tremblante, mais Steve ne prit pas la peine de sortir du lit pour ça. Il s'était attendu à ce que Billy fasse la même chose et commence à se déshabiller, mais d'après ce qu'il avait vu, Billy mit juste ses deux mains derrière lui pour se soutenir alors qu'il regardait Steve avec des yeux curieux.

Steve n'était pas sûr s'il aimait être regardé comme ça. Bien sûr, cela semblait gênant de ressentir de l'attention sur vous lorsque vous essayez de comprendre comment déboutonner votre pantalon tout en ayant une érection. Mais ce qu'il aimait vraiment à ce sujet, c'était l'excitation croissante sur le visage de Billy alors que Steve cherchait son bouton et sa fermeture éclair.

Alors que Steve réussissait enfin à enfoncer le pantalon le long de ses hanches, Billy se lécha les lèvres et dit « Putain oui. » D'une voix rauque. Steve mordit un sourire, sortant de son jean maintenant et pour une seconde se sentant encore plus bizarre une fois nu maintenant. Il donna un coup de pied et lança le pantalon sur le côté et se remit à genoux.

« A ton tour. » Dit-il à Billy, pensant même à faire un clin d'œil maintenant mais en décidant de ne pas le faire.

Billy avait juste cette suffisance sur son visage, alors qu'il se penchait en arrière sur le grand oreiller moelleux de Steve, les bras croisés derrière sa tête.

« Vas-y, bébé. » Encouragea-t-il Steve, dont les yeux devinrent immédiatement un peu plus grands.

Steve déglutit et bougea ses mains pour commencer à ouvrir le jean de Billy qui était encore plus serré que le sien. Être dur dans ces jeans ne pouvait pas être confortable, tout comme il n'y avait pas un putain de moyen que cela passait jamais inaperçu quand Billy était en public. Même sans Billy en érection, ces jeans laissaient très peu de place à l'imagination.

« Tu as fini juste de regarder ? » Demanda Billy avec un peu d'agacement dans la voix.

Steve leva les yeux vers lui et haussa un sourcil.

« Pourquoi est-ce que ton pantalon est si serré ? » demanda-t-il.

Billy renifla.

« Parce que je suis dur ! »

Il roula des yeux, un sourire incrédule sur les lèvres.

« Maintenant, enlève le moi pour l'amour du Christ. » rit Billy.

« Je veux dire en général, espèce de connard. » Dit Steve, essayant de ne plus rougir. « Je veux dire ça ne peux pas être si confortable ... »

Billy le regarda comme s'il ne pouvait pas croire un mot qui sortait de la bouche de Steve, du moins à ce moment-là.

« Parce qu'ils font que mon cul a l'air génial, tu ne penses pas ? »

Billy pencha la tête. Maintenant, Steve rougissait pour de vrai, même s'il ne savait pas vraiment pourquoi. Si quelqu'un devrait pouvoir s'en tirer avec son appréciation pour le derrière de Billy, ce devrait être lui.

« D'accord, ouais, j'ai compris. » Dit-il rapidement, tirant soigneusement la fermeture éclair parce qu'il avait désespérément besoin que le sujet change.

Billy siffla alors que son pantalon s'ouvrait et Steve remarqua immédiatement qu'il n'avait même pas pris la peine de mettre des sous-vêtements. Billy souleva un peu ses hanches pour permettre à Steve de baisser son jean. Même si Steve ne le fit pas intentionnellement, il s'arrêta juste quand il atteignit les genoux de Billy, distrait par la vue qui lui était présentée.

«Bordel, Harrington ! Prends une putain de photo, ça à duré assez longtemps.»

Billy se frottait le front de frustration. Steve sourit simplement et garda un contact visuel avec Billy, alors qu'il refermait sa main autour de la base de sa bite et commençait à baisser la bouche. Il vit comment Billy écarta ses lèvres et tout son corps se tendit par anticipation avant que Steve ne descende assez loin pour planter le baiser le plus doux et le plus prudent sur le bout. Billy gémit.

« Mon Dieu, tu es tellement taquin. » Dit-il d'une voix très rauque.

« Tu veux que j'arrête ? » Demanda Steve avec une confiance nouvellement acquise, le côté de sa joue frôlant l'érection de Billy, alors qu'il continuait à le regarder.

« N'ose même pas ! » Avertit Billy.

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