Salut tlm!! J'ai l'impression que ça m'a pris des mois à faire ce chapitre.
Ce n,est pas que je ne sois pas inspiré, mais... j'en sais rien, je ne
savais pas trop comment vous présenter la situation et tout... Enfin, je vous
laisse jugé! Je le trouve spéciale et je ne l'ai pas travaillé tant que ça
pour vous l'envoyer le plus vite possible... tk, Bonne Lecture...
Ah oui, je suis vraiment contente de toutes les reviews que je reçois et c'est très motivant. Pour une des premières fois, je vais répondre personnellement à chacun de vous!! (twwo et ff.net en même temps)
Laloue : Héhé, fidèle au poste!! C'est vraiment géniale d'avoir de tes nouvelles à chaque chapitre!!! Merci! (Vous devriez tous prendre exemple sur elle :p)
Lady Radcliffe : Je suis très contente de voir que tu apprécies!! C'est génial de recevoir des reviews comme ça! Merci!
Moonfree : tout d'abord, tu es toute pardonnée. Ensuite, merci d'y avoir pensé, ça fait toujours plaisir à recevoir!!
Couzi : merci pour ta review, heureuse que ma fic ait de l'influence sur ta perception de Victor :p
Milou : Salut, pour la Belle, c'est Hermione... dsl, ce n'était pas vraiment claire!! Et Vlad, tu verras plus tard, ca fait partis de l'intrigue :p
Florence : Merci doublement pour ta review (je l'ai reçu deux fois) :p
Geen : Merci de m'avoir avertit du prob... j'm'en serais jamais rendu compte :p
Crépuscule : Marant comme reviews!!! J'aime bien le mot, je pourrais l'intégré à la fic dans le prochain chap... hum... !!!
Lune de Cristal : Merci beaucoup pour ta review, j'aime bien voir ce que le monde pense vraiment , ce qu'ils veulent voir!!! Merci!!!
Neigine : Merci!!! Et pour ta fic, faudrait ce que tu me dise où sa bloque pour ta fic! Écrit moi sur mon email, je te répondrai!!
Sir Integra Helsing : C'est vrai qu'il est méchant Victor, mais tu n'as encore rien vu!!! :P Merci!!
Hermione 22 : Merci !!! quoi dire de plus!!!
Disclaimer : Une des fois que j'y pense :p Tout à J.K. Rowling.
Chapitre 7 : Trahison
Mon réveil fut légèrement plus joyeux que la veille. Je me sentais totalement reposée et la douceur du lit me gardait dans une torpeur délicieuse. Je m'étirai en poussant un grognement de satisfaction sans toutefois ouvrir les yeux pour ne pas briser le rêve dans lequel j'étais. Je sentais les draps contre mon corps nu et cela fit revenir la pensée de ma soirée d'hier, unn léger sourire flotta sur mes lèvres. Tout à coup, mon cœur fit un bon monumentale. Je me redressai d'un coup, l'angoisse grandissant dans mon ventre. J'entendis un grognement à mes côtés et Victor se tourna vers moi les yeux encore embrumés par la fatigue.
-Qu'est-ce qu'il y a, Herrrrm'?
-Hier... Oh mon dieu!
Je n'arrivais pas à y croire. Je devais vraiment avoir l'air affolé car Victor s'assit immédiatement et me regarda dans les yeux.
-Tu regrrrettes, c'est ça?
Je secouai la tête, écoutant à peine ce qu'il me disait.¸ Quelle idiote j'étais! J'avais fait l'amour sans protection et sans contraceptif. Je devais absolument aller me procurer la pilule du lendemain, sans quoi les conséquences seraient néfastes. Je bondis du lit en me couvrant de la couverte, étant encore trop pudique pour courir nue jusqu'à ma propre chambre. Victor se leva immédiatement pour me rattraper avant que je n'aie pu atteindre la porte de sa chambre. Il m'attrapa par le bras et me força à me tourner vers lui.
-Qu'est-ce que tu as, pourrrr l'amourrrr de Dieu, Herrrmione!
Je le regardai, sentant mes yeux se remplirent de larmes sous le poids qui s'abattait soudainement sur moi.
-Je ne veux pas tomber enceinte, murmurai-je, le regard fixé sur le sol.
Il y eu tout d'abord un silence puis Victor explosa littéralement de rire. Je relevai mes yeux sur lui, toutes larmes disparues, trop frustrée pour y penser. Je tentai de me dégager de sa prise, mais il resserra sa main.
-C'est ça qui te met dans un tel état? Me demanda-t-il, enfin remit de sa crise de rire.
J'étais trop indigné pour parler. Je ne faisais que le regarder, les yeux ronds, la bouche ouverte. Comment pouvait-il être aussi détaché et insouciant des conséquences de notre attitude d'hier.
-Hého! C'est parce qu'on a couché ensemble, hier, tu ne te souviens pas? Aucun préservatif, ça ne sonne pas une cloche dans ta tête?
-Hum... c'est vrrrai, on a couché ensemble, hier, fit-il en m'enlaçant et en tentant de m'embrasser dans le cou alors que je le repoussais, exaspérée.
Je pus enfin me libérer de sa prise et sorti de sa chambre en claquant la porte. Je n'avais pas une seconde à perdre. S'il ne voulait pas m'aider, j'allais me débrouiller seule. Je couru jusqu'à ma chambre et entrepris de m'habiller. Je n'avais que ma brassière et mes pantalons de mis lorsque Victor poussa la porte avec une fiole dans la main.
-Qu'est-ce que tu veux, demandai-je le plus froidement possible tout en cherchant une camisole.
-T'aider, me répondit-il, m'en tendant une qui était sur la commode à ses côtés.
Je lui arrachai des mains en grommelant un vague merci.
-Tiens.
Il me tendit la fiole qu'il tenait.
-C'est un moyen plutôt efficace de ne pas tomber enceinte.
Je le regardai, sceptique. Un moyen efficace de ne pas tomber enceinte? Et si je ne pouvais plus jamais avoir d'enfant?
-Écoute, Victor, j'apprécie vraiment, mais je crois que...
-Ne t'inquiètes pas! C'est chose courrrante chez les sorrrciers. Et puis, je suis désolé, je ne pensais pas te vexer ainsi. C'est juste que je crrroyais que tu savais qu'il n'y avait aucun danger puisque c'est une potion si facile à fairrre.
Je lui lançai un dernier regard avant de la lui arracher des mains et de l'engloutir. Immédiatement, je sentis la nausée. J'eus un haut-le-cœur et me précipitai vers les toilettes. Je vomis. Je savais que c'était le même effet chez les moldus, mes amies m'en avaient parlé, mais je ne pouvais m'empêcher de regretter de l'avoir bu. Enfin, je faisais confiance à Victor, pourquoi m'inquiéter. Je tirai la chasse d'eau et me dirigeai vers le lavabo pour m'asperger la figure d'eau bien froide, histoire de faire passer le malaise.
Ma journée se déroula principalement ainsi, entre la toilette et le salon où je m'étais installé, trop nauséeuse pour faire autre chose qu'écouter des films. Victor fut au petit soin avec moi, m'apportant de l'eau et des biscottes sèches, les seules choses qui passaient. De temps en temps, je maudissais les gars de ne jamais subir les côtés négatifs du sexe, comme ça et l'accouchement, et à chaque fois Victor me menaçait d'arrêter de m'approvisionner ou de répondre à mes moindres désirs.
Le soir venu, je me sentais tellement faible que je n'arrivais pas à m'imaginer me traîner jusqu'à ma chambre. Alors que je regardais avec insistance le couloir de ma chambre, Victor vint vers moi avec une autre fiole. (Il a gagné un approvisionnement à vie ou quoi?)
-Bois ça, ça devrrrait de rrredonner des forrrces.
Je la lui pris des mains et la bu, voulant à tout prix me refaire des forces, ne serait-ce que pour aller me coucher. Pourtant, au lieu de l'effet régénérateur auquel je m'attendais, je sentis une fatigue encore plus grand m'envahir et ma tête se fit de plus en plus lourde. Je tentai d'en demander la raison à Victor, mais j'étais tout simplement incapable de bouger ma bouche, ni aucune autre partie de mon corps. Je me sentais détaché et mes yeux se fermaient d'eux-mêmes. Avant que je ne sombre dans l'inconscience, je sentis vaguement Victor me soulever dans ses bras.
-Herrrmione... Rrréveille-toi...
Cette voix me semblait lointaine, comme un rêve brumeux. Je me sentais lourde et faible. Un bras me tapota la joue et j'ouvris les yeux. Un Victor au contour plutôt flou était penché sur moi.
-Où sommes-nous, demandai-je faiblement, mes yeux ne trouvant rien de familier.
-Shut, ménage tes forces, tu en auras besoin plus tard. Tu vas maintenant revêtir cette robe noire.
Je ne comprenais pas ce qu'il attendait de moi. Il me tendait un bout de tissus, mais je n'arrivais pas à m'en saisir, mes bras étant trop lourds et maladroits. Qu'est-ce qui m'arrivais? Tout était confus dans ma tête et je n'arrivais pas à penser correctement. Voyant mon regard affolé, Victor me prit dans ses bras, chuchotant des paroles qui se voulait réconfortantes, mais dont le sens m'échappait. Il me fit boire une mixture au goût sucré et mon état s'améliora un peu. Mes membres s'allégèrent, sans pour autant effacer cet effet d'engourdissement, et mes idées s'éclaircirent quelque peu. Je pus ainsi remarquer que Victor me déshabillait et qu'il m'avait déjà retiré les pantalons.
-Hé, qu'est-ce que tu fais? Demandai-je, la bouche pâteuse.
Je tentai de me débattre, mais mes membres étant encore trop lourds et tout ce que je réussis à faire fut de l'aider à retirer ma camisole. À bout de souffle, complètement exténué par cet effort surhumain vu mon état (droguée, le ventre vide), je me laissai habiller comme une poupée de chiffon. Il passa la robe par-dessus ma tête et me leva debout pour la passer complètement. Mes jambes flageolantes me supportaient à peine et Victor du me soutenir fermement pour que je ne m'effondre pas. La robe, moulante, touchait le sol et le décolleté en « V » laissait voir ma poitrine à souhait. Tout se mélangeait dans ma tête, la soirée d'hier, le bar, cette robe provocante. Je me rassis et regardai Victor droit dans les yeux, rassemblant toute mon énergie pour rester droite.
-Maintenant, Victor, tu vas m'expliquer ce qui ce passe.
Le calme de ma voix ne faisait que couver ma colère. Il me regardait intensément dans les yeux, comme s'il voulait tester mon âme, sa solidité. Il se rapprocha de moi et m'embrassa violemment. Je tentai de l'esquiver, mais il me plaqua sur le lit et usa de son poids pour me retenir. Ses mains remontèrent la robe jusqu'à ma taille et il se glissa entre mes jambes, tandis que je lui criais d'arrêter. Je me débattais avec l'énergie du désespoir, mais je sentais déjà mes forces me quitter. Mes cris se transformèrent en gémissements désespérés alors qu'il tenait mes mains fermement au-dessus de ma tête. Je fermai les yeux, effrayé et épuisé. Tout devenait flou et comme dans un rêve. Je ne sentais plus le poids ni les lèvres de Victor sur moi. Trois coups frappés à une porte que je n'avais pas remarquée firent bondir Victor. Je le sentis vaguement replacer ma robe et m'aider à avaler une autre gorgé substance sucrée. Immédiatement je me sentis plus lucide. Ma première réaction fut de bondir vers la porte mais alors que je l'atteignais, elle s'ouvrait violemment et le gars qui nous avait accueillis au bar se tenait dans son encadrement.
-Woah! Ne chiffonne la robe juste avant la célébration, Il en serait triste... ou peut-être fâché, me lança l'inconnu anglais.
Je le regardai, complètement abasourdie. De qui parlait-il? Voldemort était ici? Il avait réussi à étendre son pouvoir ailleurs qu'en Angleterre? J'avais été bien sotte de croire qu'il ne s'intéressait qu'à ce pays.
-Allez, viens Herrrmione, il est temps, me susurra Victor à l'oreille alors qu'il me prenait le bras pour me conduire hors de la pièce. Je tentai de me dégager, mais il resserra sa prise et me poussa gentiment vers l'avant.
-Tu n'as pas à t'inquiéter, Il te veut, il a besoin de toi.
Mon cœur se serra. Quel était mon rôle dans toute cette histoire? Je n'arrivais pas à voir le bout du tunnel, à aboutir à une conclusion vraisemblable. Nous marchâmes le long d'un couloir en pierre bordé de torche. Seul le tapis rouge sang venait mettre de la couleur dans cet endroit sombre. Rouge sang... peut-être pour ne pas faire de différence justement avec le sang et le tapis. Un frisson me parcoura le dos et Victor, croyant que c'était le froid qui me faisait grelotter, m'entoura de son bras et me serra contre lui. La scène dans la pièce auparavant me revint indistinctement, comme si elle n'avait pas été réelle, bref, comme un rêve. D'ailleurs, peut-être était-ce vraiment un rêve. Tout me semblait si flou et irréel. Victor ne m'aurait jamais fait cela. Je restai tout de même froide à son approche. Il m'avait trahi. Il avait trahi ma confiance. Je me sentis complètement déchiré, mise à nu devant cette évidence. Il s'était totalement joué de moi, servi de moi. J'avais été trop naïve, bernée par sa belle attitude, son argent et son charme. La peur noua mon ventre alors que nous approchions d'une grande porte en chêne. L'inconnu anglais frappa trois coups et poussa la lourde porte. Pour la première fois de ma vie, j'allais me tenir devant Voldemort. Mes jambes flanchèrent sous la peur et Victor du me soutenir pour entrer dans la pièce. Cette dernière était ronde et très grande avec un haut plafond. Au milieu se tenait un autel de pierre. Des torches s'étalaient le long du mur et un immense lustre centrale complétait l'éclairage. Au lieu des robes noires et des cagoules auxquels je m'attendais, ce fut des chemises et des pantalons noirs qui nous attendaient. Des hommes de 20 à 35 ans se tenaient en cercle autour de l'autel et tournèrent tous leur tête vers nous à notre entré. Victor me tenait encore fermement et nous nous dirigeâmes vers un trou à la droite de la porte, où se situait probablement sa place. L'anglais se dirigea vers le fond de la salle où un autre trou l'attendait. Ma tête recommençait à tourner et je devais me tenir désespérément à la chemise de Victor pour ne pas tomber. Avec tout ce qui c'était passé depuis mon réveille, je n'avais pas remarqué que Victor était habillé exactement comme tous les autres. Il se tenait bien droit, un bras me soutenant sans pour autant y porter attention. Il regardait fixement devant, comme tous les autres d'ailleurs et un silence de plomb remplissait la pièce. Tout à coup, on frappa un coup à la porte de chêne et elle s'ouvrit. Une silhouette se tenait dans l'embrasure, vêtu d'une robe de sorcier rouge sang et d'une cape de même couleur. Le visage m'était encore caché par l'ombre, mais je retins mon souffle, m'apprêtant à voir le visage blanc et les yeux rouges, tel que Harry me les avait décrit. Il fit un pas dans la pièce et je retins une exclamation de surprise et d'horreur mêlée. Le surnommé Vlad s'avançait vers l'autel, sa cape voletant derrière lui. Il fit une pause, son regard survolant l'assemblé, un léger sourire sur les lèvres, puis commença à parler.
-Mes cherrrs amis, Anlgais et Bulgare. Nous sommes rrréunis ce soir pour célébrrrrer. Pour célébrrrer notre futurrr union. Aprrrès deux ans d'attente, nous allons enfin pouvoirrr atteindrrre notrrre but fixé et tout ça grrrâce à un grrrand homme, Victorrr Krrrum.
Sa voix grave et chaude se répercutait dans la salle et dans ma tête. Je tentai de m'éloigner de Victor, mais son bras et mes jambes m'empêchèrent de faire le moindre mouvement.
-L'an derrrnier, il a eu la chance de parrrticiper au tourrrnoi des trrrois sorrrciers qui se tenait au collège de sorrrcellerie de Poudlard, situé en Angleterrrre, où cerrrtain d'entre vous on fait vos études. Ce fut notrrre chance et, comme vous le savez, je confiai une mission à Victor : trrrouver un candidat pouvant infiltrrré le clan de Dumbledorrre, et du même coup le cerrrcle d'amis d'Harrrry Potter, pourrr nous perrrmettrrre d'êtrre dans les faveurrrs du grrrand Lorrrd Noirrr.
Une acclamation suivirent ses paroles et le silence revint.
-Victorrr est un homme intelligent. Il a su sonder le terrrain et trrrrouver l'alliée dont nous avions besoin. Herrrmione Grrranger, une jeune fille de 15 ans, la plus intelligente de Poudlarrrd et magnifique de surrrcrrroît, est, selon Victorrr, notrrre meilleurre chance de nous rapprrrocher du grand Seigneurrr des Ténèbrrres.
Les larmes coulaient le long de mes joues sans que je m'en aperçoive. Mon cœur était brisé, trahi et lacéré. Moi, qui avait cru être aimé et désiré par le seul fait de ma personne, j'avais été trompé. Victor m'avait manipuler pour seul but de servir son fou d'ami et pour ce rapprocher de l'homme qu'elle exécrait le plus au monde, Voldemort. Je sursautai quand j'entendis « Vlad » prononcer mon nom.
-C'est ce soirrr que nous prrrocéderrrrons à l'initiation d'Herrrmione.
Une initiation? Mais pour quoi faire? Je n'avais aucune envie de me lier d'amitié avec eux. Il n'allait tout de même pas l'obliger à espionner Harry et Dumbledore? Cela n'avait aucun sens. Vlad se tourna vers moi et s'avança. Il tendit un bras, mais je me rétractai.
-Ne me touche pas, sifflai-je, un regain d'énergie me submergeant (probablement l'adrénaline).
Les rires emplirent la pièce et la peur vint effacer tout autre sentiment. Vlad me saisit violemment par le bras et m'attira à lui.
-Allez, jolie jeune fille, suivez-moi, dit-il, sa bouche près de mon oreille.
Il me tira jusqu'à l'autel. Je savais que même si je résistais, cela ne servirait pas à grand chose. Quand il me lâcha, je ne fis aucune tentative de m'évader, n'ayant aucune chance contre une trentaine de gars en pleine santé, contrairement à moi. Je tentai donc d'utiliser la parole, moins épuisante et probablement plus efficace.
-Qui vous dit que j'ai envie de me joindre avec votre ... « groupe »? demandai-je, affectant le dédain.
Vlad ricana et me regarda droit dans les yeux.
-Parrrce que tu nous apparrrtiens.
Une boule se forma dans ma gorge. Je leur appartenais? Mais de quel droit?
-Je...je vous appartiens?
-Parrrfaitement!
-Mais je n'appartiens à personne, ajoutai-je fortement, recouvrant le contrôle de mes émotions.
-Oh si! Tu apparrrtiens à Victorrr et ce qui apparrrtient à Victorrr nous apparrrtiens.
Je restai bouche bée.
-Tu ne comprrrends pas? Me demanda-t-il, sourire en coin. Évidemment pas. Je vais t'expliquer. Tu as couché avec Victorrr, sans prrrotection. Herrrmione, tu serrras en enceinte et donc de ce fait, tu apparrtiens à Victorrr.
-Quoi? M'exclamai-je, complètement outrée par ce que je venais d'entendre.
Ce n'était pas possible, Victor m'avait fait boire une potion. Victor? Je le maudissais. Il m'avait trompé, encore une fois. Je me tournai vers Victor en quête d'une réponse à ma question muette. Il restait impassible devant mon regard, l'air dur et froid. J'étais seule maintenant. Je reculai jusqu'à butter contre l'autel. Une immense faiblesse m'envahit de nouveau et je dus m'agripper à la pierre froide pour ne pas tomber.
-Non, non, murmurai-je faiblement.
-Si, et ton initiation sera maintenant, répliqua « Vlad », aucunement troublé par mon désespoir.
-Mais vous ne comprenez pas, je ne veux pas, je ne ferai rien pour vous, ajoutai-je désespérément, les yeux suppliants.
Vlad se rapprocha de moi. Je ne pouvais reculai car l'autel m'en empêchait. Son corps était à présent collé sur le mien. Il se pencha, posa un doigt sur mon nez.
-Ce n'est pas une faveur que l'on te demande, c'est un ordre.
Son doigt descendit sur mes lèvres, mon menton, mon cou et il glissa entre mes seins jusqu'à mon ventre. Il se rapprocha et du bout des lèvres il embrassa mon oreille et me murmura :
-Tu comprends?
Je sais que je suis cruelle et méchante de finir comme ça, mais je préférais faire un chapitre spécial pour l'initiation. Et aussi, s'aurait été deux fois plus long avant d'avoir ce chapitre, alors... soyez pas trop fâché. Hein??? :s tk, dites moi ce que vous en pensez et vous gênez pas pour reviewer à chaque chapitre, c'est bien de voir ce que vous en pensez et que vous me lisez encore (
Bye bye et au prochain chap (probablement dans 2 semaines ou plus, j'ai une finale de math (si je gagne je vais à Paris () en fds et la fds prochaine (le 21) je vais à New York ( donc j'suis assez occupé !
CrickSha!! bisous
Ah oui, je suis vraiment contente de toutes les reviews que je reçois et c'est très motivant. Pour une des premières fois, je vais répondre personnellement à chacun de vous!! (twwo et ff.net en même temps)
Laloue : Héhé, fidèle au poste!! C'est vraiment géniale d'avoir de tes nouvelles à chaque chapitre!!! Merci! (Vous devriez tous prendre exemple sur elle :p)
Lady Radcliffe : Je suis très contente de voir que tu apprécies!! C'est génial de recevoir des reviews comme ça! Merci!
Moonfree : tout d'abord, tu es toute pardonnée. Ensuite, merci d'y avoir pensé, ça fait toujours plaisir à recevoir!!
Couzi : merci pour ta review, heureuse que ma fic ait de l'influence sur ta perception de Victor :p
Milou : Salut, pour la Belle, c'est Hermione... dsl, ce n'était pas vraiment claire!! Et Vlad, tu verras plus tard, ca fait partis de l'intrigue :p
Florence : Merci doublement pour ta review (je l'ai reçu deux fois) :p
Geen : Merci de m'avoir avertit du prob... j'm'en serais jamais rendu compte :p
Crépuscule : Marant comme reviews!!! J'aime bien le mot, je pourrais l'intégré à la fic dans le prochain chap... hum... !!!
Lune de Cristal : Merci beaucoup pour ta review, j'aime bien voir ce que le monde pense vraiment , ce qu'ils veulent voir!!! Merci!!!
Neigine : Merci!!! Et pour ta fic, faudrait ce que tu me dise où sa bloque pour ta fic! Écrit moi sur mon email, je te répondrai!!
Sir Integra Helsing : C'est vrai qu'il est méchant Victor, mais tu n'as encore rien vu!!! :P Merci!!
Hermione 22 : Merci !!! quoi dire de plus!!!
Disclaimer : Une des fois que j'y pense :p Tout à J.K. Rowling.
Chapitre 7 : Trahison
Mon réveil fut légèrement plus joyeux que la veille. Je me sentais totalement reposée et la douceur du lit me gardait dans une torpeur délicieuse. Je m'étirai en poussant un grognement de satisfaction sans toutefois ouvrir les yeux pour ne pas briser le rêve dans lequel j'étais. Je sentais les draps contre mon corps nu et cela fit revenir la pensée de ma soirée d'hier, unn léger sourire flotta sur mes lèvres. Tout à coup, mon cœur fit un bon monumentale. Je me redressai d'un coup, l'angoisse grandissant dans mon ventre. J'entendis un grognement à mes côtés et Victor se tourna vers moi les yeux encore embrumés par la fatigue.
-Qu'est-ce qu'il y a, Herrrrm'?
-Hier... Oh mon dieu!
Je n'arrivais pas à y croire. Je devais vraiment avoir l'air affolé car Victor s'assit immédiatement et me regarda dans les yeux.
-Tu regrrrettes, c'est ça?
Je secouai la tête, écoutant à peine ce qu'il me disait.¸ Quelle idiote j'étais! J'avais fait l'amour sans protection et sans contraceptif. Je devais absolument aller me procurer la pilule du lendemain, sans quoi les conséquences seraient néfastes. Je bondis du lit en me couvrant de la couverte, étant encore trop pudique pour courir nue jusqu'à ma propre chambre. Victor se leva immédiatement pour me rattraper avant que je n'aie pu atteindre la porte de sa chambre. Il m'attrapa par le bras et me força à me tourner vers lui.
-Qu'est-ce que tu as, pourrrr l'amourrrr de Dieu, Herrrmione!
Je le regardai, sentant mes yeux se remplirent de larmes sous le poids qui s'abattait soudainement sur moi.
-Je ne veux pas tomber enceinte, murmurai-je, le regard fixé sur le sol.
Il y eu tout d'abord un silence puis Victor explosa littéralement de rire. Je relevai mes yeux sur lui, toutes larmes disparues, trop frustrée pour y penser. Je tentai de me dégager de sa prise, mais il resserra sa main.
-C'est ça qui te met dans un tel état? Me demanda-t-il, enfin remit de sa crise de rire.
J'étais trop indigné pour parler. Je ne faisais que le regarder, les yeux ronds, la bouche ouverte. Comment pouvait-il être aussi détaché et insouciant des conséquences de notre attitude d'hier.
-Hého! C'est parce qu'on a couché ensemble, hier, tu ne te souviens pas? Aucun préservatif, ça ne sonne pas une cloche dans ta tête?
-Hum... c'est vrrrai, on a couché ensemble, hier, fit-il en m'enlaçant et en tentant de m'embrasser dans le cou alors que je le repoussais, exaspérée.
Je pus enfin me libérer de sa prise et sorti de sa chambre en claquant la porte. Je n'avais pas une seconde à perdre. S'il ne voulait pas m'aider, j'allais me débrouiller seule. Je couru jusqu'à ma chambre et entrepris de m'habiller. Je n'avais que ma brassière et mes pantalons de mis lorsque Victor poussa la porte avec une fiole dans la main.
-Qu'est-ce que tu veux, demandai-je le plus froidement possible tout en cherchant une camisole.
-T'aider, me répondit-il, m'en tendant une qui était sur la commode à ses côtés.
Je lui arrachai des mains en grommelant un vague merci.
-Tiens.
Il me tendit la fiole qu'il tenait.
-C'est un moyen plutôt efficace de ne pas tomber enceinte.
Je le regardai, sceptique. Un moyen efficace de ne pas tomber enceinte? Et si je ne pouvais plus jamais avoir d'enfant?
-Écoute, Victor, j'apprécie vraiment, mais je crois que...
-Ne t'inquiètes pas! C'est chose courrrante chez les sorrrciers. Et puis, je suis désolé, je ne pensais pas te vexer ainsi. C'est juste que je crrroyais que tu savais qu'il n'y avait aucun danger puisque c'est une potion si facile à fairrre.
Je lui lançai un dernier regard avant de la lui arracher des mains et de l'engloutir. Immédiatement, je sentis la nausée. J'eus un haut-le-cœur et me précipitai vers les toilettes. Je vomis. Je savais que c'était le même effet chez les moldus, mes amies m'en avaient parlé, mais je ne pouvais m'empêcher de regretter de l'avoir bu. Enfin, je faisais confiance à Victor, pourquoi m'inquiéter. Je tirai la chasse d'eau et me dirigeai vers le lavabo pour m'asperger la figure d'eau bien froide, histoire de faire passer le malaise.
Ma journée se déroula principalement ainsi, entre la toilette et le salon où je m'étais installé, trop nauséeuse pour faire autre chose qu'écouter des films. Victor fut au petit soin avec moi, m'apportant de l'eau et des biscottes sèches, les seules choses qui passaient. De temps en temps, je maudissais les gars de ne jamais subir les côtés négatifs du sexe, comme ça et l'accouchement, et à chaque fois Victor me menaçait d'arrêter de m'approvisionner ou de répondre à mes moindres désirs.
Le soir venu, je me sentais tellement faible que je n'arrivais pas à m'imaginer me traîner jusqu'à ma chambre. Alors que je regardais avec insistance le couloir de ma chambre, Victor vint vers moi avec une autre fiole. (Il a gagné un approvisionnement à vie ou quoi?)
-Bois ça, ça devrrrait de rrredonner des forrrces.
Je la lui pris des mains et la bu, voulant à tout prix me refaire des forces, ne serait-ce que pour aller me coucher. Pourtant, au lieu de l'effet régénérateur auquel je m'attendais, je sentis une fatigue encore plus grand m'envahir et ma tête se fit de plus en plus lourde. Je tentai d'en demander la raison à Victor, mais j'étais tout simplement incapable de bouger ma bouche, ni aucune autre partie de mon corps. Je me sentais détaché et mes yeux se fermaient d'eux-mêmes. Avant que je ne sombre dans l'inconscience, je sentis vaguement Victor me soulever dans ses bras.
-Herrrmione... Rrréveille-toi...
Cette voix me semblait lointaine, comme un rêve brumeux. Je me sentais lourde et faible. Un bras me tapota la joue et j'ouvris les yeux. Un Victor au contour plutôt flou était penché sur moi.
-Où sommes-nous, demandai-je faiblement, mes yeux ne trouvant rien de familier.
-Shut, ménage tes forces, tu en auras besoin plus tard. Tu vas maintenant revêtir cette robe noire.
Je ne comprenais pas ce qu'il attendait de moi. Il me tendait un bout de tissus, mais je n'arrivais pas à m'en saisir, mes bras étant trop lourds et maladroits. Qu'est-ce qui m'arrivais? Tout était confus dans ma tête et je n'arrivais pas à penser correctement. Voyant mon regard affolé, Victor me prit dans ses bras, chuchotant des paroles qui se voulait réconfortantes, mais dont le sens m'échappait. Il me fit boire une mixture au goût sucré et mon état s'améliora un peu. Mes membres s'allégèrent, sans pour autant effacer cet effet d'engourdissement, et mes idées s'éclaircirent quelque peu. Je pus ainsi remarquer que Victor me déshabillait et qu'il m'avait déjà retiré les pantalons.
-Hé, qu'est-ce que tu fais? Demandai-je, la bouche pâteuse.
Je tentai de me débattre, mais mes membres étant encore trop lourds et tout ce que je réussis à faire fut de l'aider à retirer ma camisole. À bout de souffle, complètement exténué par cet effort surhumain vu mon état (droguée, le ventre vide), je me laissai habiller comme une poupée de chiffon. Il passa la robe par-dessus ma tête et me leva debout pour la passer complètement. Mes jambes flageolantes me supportaient à peine et Victor du me soutenir fermement pour que je ne m'effondre pas. La robe, moulante, touchait le sol et le décolleté en « V » laissait voir ma poitrine à souhait. Tout se mélangeait dans ma tête, la soirée d'hier, le bar, cette robe provocante. Je me rassis et regardai Victor droit dans les yeux, rassemblant toute mon énergie pour rester droite.
-Maintenant, Victor, tu vas m'expliquer ce qui ce passe.
Le calme de ma voix ne faisait que couver ma colère. Il me regardait intensément dans les yeux, comme s'il voulait tester mon âme, sa solidité. Il se rapprocha de moi et m'embrassa violemment. Je tentai de l'esquiver, mais il me plaqua sur le lit et usa de son poids pour me retenir. Ses mains remontèrent la robe jusqu'à ma taille et il se glissa entre mes jambes, tandis que je lui criais d'arrêter. Je me débattais avec l'énergie du désespoir, mais je sentais déjà mes forces me quitter. Mes cris se transformèrent en gémissements désespérés alors qu'il tenait mes mains fermement au-dessus de ma tête. Je fermai les yeux, effrayé et épuisé. Tout devenait flou et comme dans un rêve. Je ne sentais plus le poids ni les lèvres de Victor sur moi. Trois coups frappés à une porte que je n'avais pas remarquée firent bondir Victor. Je le sentis vaguement replacer ma robe et m'aider à avaler une autre gorgé substance sucrée. Immédiatement je me sentis plus lucide. Ma première réaction fut de bondir vers la porte mais alors que je l'atteignais, elle s'ouvrait violemment et le gars qui nous avait accueillis au bar se tenait dans son encadrement.
-Woah! Ne chiffonne la robe juste avant la célébration, Il en serait triste... ou peut-être fâché, me lança l'inconnu anglais.
Je le regardai, complètement abasourdie. De qui parlait-il? Voldemort était ici? Il avait réussi à étendre son pouvoir ailleurs qu'en Angleterre? J'avais été bien sotte de croire qu'il ne s'intéressait qu'à ce pays.
-Allez, viens Herrrmione, il est temps, me susurra Victor à l'oreille alors qu'il me prenait le bras pour me conduire hors de la pièce. Je tentai de me dégager, mais il resserra sa prise et me poussa gentiment vers l'avant.
-Tu n'as pas à t'inquiéter, Il te veut, il a besoin de toi.
Mon cœur se serra. Quel était mon rôle dans toute cette histoire? Je n'arrivais pas à voir le bout du tunnel, à aboutir à une conclusion vraisemblable. Nous marchâmes le long d'un couloir en pierre bordé de torche. Seul le tapis rouge sang venait mettre de la couleur dans cet endroit sombre. Rouge sang... peut-être pour ne pas faire de différence justement avec le sang et le tapis. Un frisson me parcoura le dos et Victor, croyant que c'était le froid qui me faisait grelotter, m'entoura de son bras et me serra contre lui. La scène dans la pièce auparavant me revint indistinctement, comme si elle n'avait pas été réelle, bref, comme un rêve. D'ailleurs, peut-être était-ce vraiment un rêve. Tout me semblait si flou et irréel. Victor ne m'aurait jamais fait cela. Je restai tout de même froide à son approche. Il m'avait trahi. Il avait trahi ma confiance. Je me sentis complètement déchiré, mise à nu devant cette évidence. Il s'était totalement joué de moi, servi de moi. J'avais été trop naïve, bernée par sa belle attitude, son argent et son charme. La peur noua mon ventre alors que nous approchions d'une grande porte en chêne. L'inconnu anglais frappa trois coups et poussa la lourde porte. Pour la première fois de ma vie, j'allais me tenir devant Voldemort. Mes jambes flanchèrent sous la peur et Victor du me soutenir pour entrer dans la pièce. Cette dernière était ronde et très grande avec un haut plafond. Au milieu se tenait un autel de pierre. Des torches s'étalaient le long du mur et un immense lustre centrale complétait l'éclairage. Au lieu des robes noires et des cagoules auxquels je m'attendais, ce fut des chemises et des pantalons noirs qui nous attendaient. Des hommes de 20 à 35 ans se tenaient en cercle autour de l'autel et tournèrent tous leur tête vers nous à notre entré. Victor me tenait encore fermement et nous nous dirigeâmes vers un trou à la droite de la porte, où se situait probablement sa place. L'anglais se dirigea vers le fond de la salle où un autre trou l'attendait. Ma tête recommençait à tourner et je devais me tenir désespérément à la chemise de Victor pour ne pas tomber. Avec tout ce qui c'était passé depuis mon réveille, je n'avais pas remarqué que Victor était habillé exactement comme tous les autres. Il se tenait bien droit, un bras me soutenant sans pour autant y porter attention. Il regardait fixement devant, comme tous les autres d'ailleurs et un silence de plomb remplissait la pièce. Tout à coup, on frappa un coup à la porte de chêne et elle s'ouvrit. Une silhouette se tenait dans l'embrasure, vêtu d'une robe de sorcier rouge sang et d'une cape de même couleur. Le visage m'était encore caché par l'ombre, mais je retins mon souffle, m'apprêtant à voir le visage blanc et les yeux rouges, tel que Harry me les avait décrit. Il fit un pas dans la pièce et je retins une exclamation de surprise et d'horreur mêlée. Le surnommé Vlad s'avançait vers l'autel, sa cape voletant derrière lui. Il fit une pause, son regard survolant l'assemblé, un léger sourire sur les lèvres, puis commença à parler.
-Mes cherrrs amis, Anlgais et Bulgare. Nous sommes rrréunis ce soir pour célébrrrrer. Pour célébrrrer notre futurrr union. Aprrrès deux ans d'attente, nous allons enfin pouvoirrr atteindrrre notrrre but fixé et tout ça grrrâce à un grrrand homme, Victorrr Krrrum.
Sa voix grave et chaude se répercutait dans la salle et dans ma tête. Je tentai de m'éloigner de Victor, mais son bras et mes jambes m'empêchèrent de faire le moindre mouvement.
-L'an derrrnier, il a eu la chance de parrrticiper au tourrrnoi des trrrois sorrrciers qui se tenait au collège de sorrrcellerie de Poudlard, situé en Angleterrrre, où cerrrtain d'entre vous on fait vos études. Ce fut notrrre chance et, comme vous le savez, je confiai une mission à Victor : trrrouver un candidat pouvant infiltrrré le clan de Dumbledorrre, et du même coup le cerrrcle d'amis d'Harrrry Potter, pourrr nous perrrmettrrre d'êtrre dans les faveurrrs du grrrand Lorrrd Noirrr.
Une acclamation suivirent ses paroles et le silence revint.
-Victorrr est un homme intelligent. Il a su sonder le terrrain et trrrrouver l'alliée dont nous avions besoin. Herrrmione Grrranger, une jeune fille de 15 ans, la plus intelligente de Poudlarrrd et magnifique de surrrcrrroît, est, selon Victorrr, notrrre meilleurre chance de nous rapprrrocher du grand Seigneurrr des Ténèbrrres.
Les larmes coulaient le long de mes joues sans que je m'en aperçoive. Mon cœur était brisé, trahi et lacéré. Moi, qui avait cru être aimé et désiré par le seul fait de ma personne, j'avais été trompé. Victor m'avait manipuler pour seul but de servir son fou d'ami et pour ce rapprocher de l'homme qu'elle exécrait le plus au monde, Voldemort. Je sursautai quand j'entendis « Vlad » prononcer mon nom.
-C'est ce soirrr que nous prrrocéderrrrons à l'initiation d'Herrrmione.
Une initiation? Mais pour quoi faire? Je n'avais aucune envie de me lier d'amitié avec eux. Il n'allait tout de même pas l'obliger à espionner Harry et Dumbledore? Cela n'avait aucun sens. Vlad se tourna vers moi et s'avança. Il tendit un bras, mais je me rétractai.
-Ne me touche pas, sifflai-je, un regain d'énergie me submergeant (probablement l'adrénaline).
Les rires emplirent la pièce et la peur vint effacer tout autre sentiment. Vlad me saisit violemment par le bras et m'attira à lui.
-Allez, jolie jeune fille, suivez-moi, dit-il, sa bouche près de mon oreille.
Il me tira jusqu'à l'autel. Je savais que même si je résistais, cela ne servirait pas à grand chose. Quand il me lâcha, je ne fis aucune tentative de m'évader, n'ayant aucune chance contre une trentaine de gars en pleine santé, contrairement à moi. Je tentai donc d'utiliser la parole, moins épuisante et probablement plus efficace.
-Qui vous dit que j'ai envie de me joindre avec votre ... « groupe »? demandai-je, affectant le dédain.
Vlad ricana et me regarda droit dans les yeux.
-Parrrce que tu nous apparrrtiens.
Une boule se forma dans ma gorge. Je leur appartenais? Mais de quel droit?
-Je...je vous appartiens?
-Parrrfaitement!
-Mais je n'appartiens à personne, ajoutai-je fortement, recouvrant le contrôle de mes émotions.
-Oh si! Tu apparrrtiens à Victorrr et ce qui apparrrtient à Victorrr nous apparrrtiens.
Je restai bouche bée.
-Tu ne comprrrends pas? Me demanda-t-il, sourire en coin. Évidemment pas. Je vais t'expliquer. Tu as couché avec Victorrr, sans prrrotection. Herrrmione, tu serrras en enceinte et donc de ce fait, tu apparrtiens à Victorrr.
-Quoi? M'exclamai-je, complètement outrée par ce que je venais d'entendre.
Ce n'était pas possible, Victor m'avait fait boire une potion. Victor? Je le maudissais. Il m'avait trompé, encore une fois. Je me tournai vers Victor en quête d'une réponse à ma question muette. Il restait impassible devant mon regard, l'air dur et froid. J'étais seule maintenant. Je reculai jusqu'à butter contre l'autel. Une immense faiblesse m'envahit de nouveau et je dus m'agripper à la pierre froide pour ne pas tomber.
-Non, non, murmurai-je faiblement.
-Si, et ton initiation sera maintenant, répliqua « Vlad », aucunement troublé par mon désespoir.
-Mais vous ne comprenez pas, je ne veux pas, je ne ferai rien pour vous, ajoutai-je désespérément, les yeux suppliants.
Vlad se rapprocha de moi. Je ne pouvais reculai car l'autel m'en empêchait. Son corps était à présent collé sur le mien. Il se pencha, posa un doigt sur mon nez.
-Ce n'est pas une faveur que l'on te demande, c'est un ordre.
Son doigt descendit sur mes lèvres, mon menton, mon cou et il glissa entre mes seins jusqu'à mon ventre. Il se rapprocha et du bout des lèvres il embrassa mon oreille et me murmura :
-Tu comprends?
Je sais que je suis cruelle et méchante de finir comme ça, mais je préférais faire un chapitre spécial pour l'initiation. Et aussi, s'aurait été deux fois plus long avant d'avoir ce chapitre, alors... soyez pas trop fâché. Hein??? :s tk, dites moi ce que vous en pensez et vous gênez pas pour reviewer à chaque chapitre, c'est bien de voir ce que vous en pensez et que vous me lisez encore (
Bye bye et au prochain chap (probablement dans 2 semaines ou plus, j'ai une finale de math (si je gagne je vais à Paris () en fds et la fds prochaine (le 21) je vais à New York ( donc j'suis assez occupé !
CrickSha!! bisous
