Salut tout le monde !

bah voila, je me suis réveillée ce matin et j'avais 10 review, donc comme promis, le chap 7 (conscience : il ne sera pas dit que speedy n'a pas de parole !)

Juste un petit message... je suis allé voir le Prisonnier d'Azkaban hier, et sans rien dévoiler pour ceux qui ne l'ont pas vu, je peux vous dire qu'il est GENIAL !!! 10, 100, 1000 fois mieux que les deux premiers film, même si certaines choses m'ont super déçu par rapport au livre... donc, pour tous les fans de HP : A VOIR ABSOLUMENT !!!!!!!!!!!!

Voila, c'était juste pour dire... maintenant, reponse aux review :

Akashana : bah voila, la suite avec un jour d'avance... je sais bien que le chantage c'est pas beau, mais que veux-tu, c'est conscience qui m'enfluence (conscience : quoi ? non mais je reve, c'est toi qui m'en a donné l'idée ! moi : oui, je sais, mais tu es ma conscience et tu es censée me dissuader de ce genre de chose ! conscience : pas de ma faute si quelqu'un m'a fait plus diable qu'ange ! moi : si tu le dis... n'empeche que coté sadisme, on fait la paire, toutes les deux ! conscience : je confirme...) merci pour ta review et à plus !

Mely : coucou ! merci pour ta reiview, voila la suite ! bisous !

Niano : oh, oui... un super gateau au chocolat avec plein plein plein de chocolat dedans... (conscience : bah, si c un gateau au chocolat, il y a forcément plein de choco dedans ! moi : on se passera de tes commentaires à deux noises, merci !) merci pour ta review, voila la suite ! bisous !

Linalyna Malefoy : ce n'est pas la première fois qu'on me dit que le chantage c'est pas joli joli... mais je n'ai pas pu m'en empecher et c'est pas conscience qui va le faire ! (conscience : on le saura !) bref, merci pour ta review et à plus !

Phern : c'est bien de rire tout le temps, ça empeche d'etre constipé (si, si, je te jure que c'est vrai !) merci pour ta review et à plus !

Melhuiwen : un peu court ? oui, peut-être... je ne sais pas... bref, voila la suite et non, dix fois une review de la même personne ça ne marche pas ! lol !!!!!! bisous !

Nee Chan et Chana : vous compteez pour deux ? derrière votre écran, peutêtre, mais sur mon compteur de review... beaucoup moins, déjà ! lol !!! non, je plaisante, pour moi vous comptez bien deux review, j'ai failli d'ailleurs vous mettre ce chap hier, mais avant d'aller en cours j'ai du publier le dernier de mon autre fic et l'aprem bah... je suis allé o ciné et après j'ai taffé avec mes cops... bref, blem d'emploi du temps, quoi. Mais vous l'avez quand même avec un jour d'avance, alors ne vous plaignez pas ! Moi, je ne sais pas si j'ai détein sur mes amies... je crois qu'elle sont encore pire que moi et conscience tu peu te la fermer parce que sur ce coup-là t'as rien à dire ! (conscience : mmph...) non, mais c'est vrai, maintenant je ne peux plus dévoiler à tout le monde que deux de mes lectrices sont des perverses confirmées... je voulais faire des tracts et tout ! j'aurai pu me faire un max de thune ! (conscience : merde, c'est con, ça ! moi : à qui la faute ??!!) bref... bon, bah je crois que je vais devoir accepter ce marché... m'énerve, mais ça m'énerve ! lol !!!!! oui, j'ai plein de chapitres tout beau tout pret dans mon ordi... mais vous les aurez pas, nananèreuh !!! et pour dray... oui, bien sur qu'il aurait du le garder dans ses bras... mais c'aurait été un peu vite pour ma fic ! (j'ai 12 euh, non, 42 chap à faire, quand même ! conscience : lapsus révélateur... avis à tous, le chap 12 est génial !!! moi : mais tais-toi ! il ne fau pas le dire maintenant !) et puis, il se rattrape dans ce chapitre... ah, non, je dis rien, vous n'avez qu'à lire ! allez, à la prochaine, vous deux ! bizzzzzzzzzz !

Vif d'or : eh oui, nananèreuh ! nous on a les films deux jours aant vous ! ¤tire la langue¤ (conscience : pfff... c'est puéril ! moi : va te faire voir, conscience !) et c'est pas ça qui va me faire poster mes chap plus vite ! c'est logique, d'ailleurs... quand je suis o ciné, je peux pas écrire, donc je pers mon avance et je publie moins vite... moui, ça sa tient comme raisonnement... oui ? non ? non ? bon, bah tant pis, voila le chap 7 ! bisous à toi !

Alandra : bah, voila la suite ! merci pour ta review, bisous !

LN : bah, si, j'en ai dix, grace à toi, d'ailleurs ! merci beaucoup et bisous !

Voila voila... donc, maintenant, je vous laisse avec ce chap 7... que mes amies ont beaucoup apprécié, donc, donnez-moi votre avis ! merci, bisous !

speed'

Disclaimer : rien à moi sauf scénar et rédac...

Dédicace : à la SKCMDP et à CLEMENCE !!!

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titre :

Rien d'autre que ma haine :

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Chapitre 7 :

Relâcher la tension :

La vie prit un tournant routinier de début d'année, comme toujours. Je me levai le matin, la plupart du temps avant Malefoy, puis j'allais déjeuner dans la Grande Salle ou, quand le temps me manquait, j'appelais Dobby. Puis, j'allais en cours avec Ron et Hermione. La Défense Contre les Forces du Mal était passée matière obligatoire et le nouveau professeur, Joshua Cameron, prenait très à cœur son rôle de nous préparer, nous autres septième année, à la situation du monde extérieur. Je dus pourtant bien m'avouer, au bout de quelques semaines, que je commençais à m'ennuyer un peu. Plus je grandissais, plus j'acquérais une grande puissance magique et plus je réalisais facilement les sorts de Défense. L'attaque, par contre, était beaucoup plus intéressante. Rogue continuait de nous enseigner le Duel, à moi et Malefoy, trois soirs par semaine, et quand il comprit que j'étais capable de réaliser des sort sans baguette, il me confisqua celle-ci pendant la moitié des cours.

Je m'y donnais à fond. D'abord, ça ma fatiguait suffisamment pour que je m'endorme le soir comme une masse pour me réveiller le lendemain. Je faisais moins de cauchemars, mais je pris tout de même la précaution d'insonoriser ma chambre chaque nuit : je ne voulais pas que Malefoy puisse entendre mes cris et mes pleurs nocturnes. Et puis, j'aimais énormément ça. Sentir en soi le pouvoir, le pouvoir de dominer, le pouvoir de tuer... Parfois, ma propre violence me faisait peur. Plus d'une fois, Rogue fut forcé de me stupéfixer pour m'empêcher d'aller trop loin. Mais Malefoy ne se gênait pas non plus pour frapper très fort. Et je ne pouvais pas m'empêcher d'admirer sa puissance... ou plutôt de l'admirer lui, quand il la contrôlait. Ses yeux, surtout, étaient réellement fascinants. Gris et froids, ils luisaient d'un feu glacé de supériorité et de pouvoir quand je me tordait de douleur à ses pieds suite à l'un de ses sorts...

En Potions, Rogue m'avait mis en équipe avec lui. J'ignorais si c'était par mesquinerie de sa part ou parce qu'il s'inquiétait pour Malefoy, mais il était vrai que les Serpentard lui vouaient désormais une haine inimaginable. Au bout d'une semaine, il ne vint plus prendre ses repas dans la Grande Salle et restait la plupart du temps dans nos quartiers. Dumbledore lui avait ôté son rôle de préfet, étant donné que ceux-ci sont censé avoir un minimum d'autorité sur les élèves de leur maison - chose que Malefoy n'avait plus. Il avait également perdue sa place dans l'équipe de Quidditch, bref, Drago Malefoy était devenu un rebut de Serpentard. Il n'était pas étonnant qu'il soit si sombre ; il était passé de prince à exclu en bien peu de temps.

Quant aux Gryffondor, Serdaigle et Poufsouffle, j'étais désormais le seul qui puisse le supporter suffisamment pour ne pas provoquer de catastrophe. Les potions que nous étudiions étaient complexes et relativement dangereuses, et elles pouvaient même provoquer des effets irréversibles si mal préparées.

Je compris bien vite que Malefoy ne tenait pas ses excellentes notes en Potions qu'au favoritisme de Rogue. Il avait véritablement un don pour ça : il pouvait presque mesurer les ingrédients à l'œil nu. La composition lui venait presque toute seule et il n'avait presque pas besoin d'aide. Tout ce que j'avais à faire c'était suivre ses directives et ça me convenait parfaitement.

De temps en temps, je retournais à la Tour de Gryffondor pour prendre quelques nouvelles et pour me souvenir avec nostalgie du temps où j'y étais comme chez moi ; ce temps était révolu. Les semaines passèrent rapidement. Une nuit, je me réveillai en sursaut suite à un énième cauchemar où je voyais mourir Sirius. J'étais trempé de sueur, ma respiration était saccadée et un goût salé sur mes lèvres m'indiqua que j'avais pleuré. Cette situation était insupportable et je me levai et allai dans le salon pour trouver à boire. Les rideaux du salon n'étaient pas complètement tirés et une portion de ciel parsemé d'étoiles m'était visible. Cherchant le calme, je m'en approchais et ouvrai la fenêtre. L'air froid de l'automne me revigora un peu, et je restai là pas mal de temps, à observer les étoiles, la constellation du Grand Chien et Sirius, qui brillait de mille feux dans la nuit.

Tel ses yeux quant il me regardait : à la fois fier et triste, heureux et nostalgique... Cette étoile était devenue mon guide, mon espoir, ma source de motivation ; quoi qu'il arrive, que je meure ou que je survive à mon combat final, je le vengerai...

"Insomniaque, Potter ?" fit soudain une voix sarcastique derrière moi.

Je me retournai brusquement. Je ne l'avais pas entendu sortir de sa chambre, et s'il y avait bien quelque chose que je ne supportais pas, c'était qu'on me surprenne à ce genre de moment.

"Lâche-moi, Malefoy," murmurai-je d'une voix basse et menaçante.

Ses yeux gris luisaient de mépris dans la pénombre.

"Potter, ferme cette fenêtre," rétorqua-t-il tranquillement. "Le froid s'est infiltré dans ma chambre et m'a réveillé."

"J'en ai rien à foutre."

"On ne t'a jamais appris le vie en communauté, Potter ?"

"Quelle communauté ?" m'esclaffai-je. "Harry Potter le survivant, celui censé sauver le monde, et Drago Malefoy le sang-pur, ex-futur-Mangemort, une communauté ? Laisse-moi rire !"

"Celui censé sauver les monde ? Je vois que ta grosse tête n'a pas encore dégonflé, quel dommage !" répliqua-t-il.

"Ta gueule, Malefoy," rétorquai-je. 'Tu ne sais pas de quoi tu parles, alors fous-moi la paix."

"Je ne sais pas de quoi je parle ?" répéta-t-il. "Et toi, tu le sais, peut-être ? Tu n'imagines même pas à quel point tu te fourres le doigt dans l'œil, si tu te crois capable de lui tenir tête. Il connaît des sorts dont tu n'as même pas idée..."

"Et toi, bien sur, tu les connais," rétorquai-je. "Peut-être es-tu finalement plus proche de lui que nous ne le croyons... qui sait, peut-être es-tu un espion à son service..."

J'ignorais pourquoi j'avais dit ça. C'était totalement stupide, mais j'étais si énervé qu'il m'ait surpris dans mes pensées que je ne contrôlais plus tout à fait ce que je disais. Quoi qu'il en soit, sa réaction ne se fit pas attendre. En deux pas il fut près de moi, il m'attrapa par le col de mon pyjama et me plaqua contre le mur. Je levai des yeux défiants vers lui.

"Ecoute-moi bien, Potter," éructa-t-il lentement, "tu peux dire tout ce que tu veux, absolument toue ce que tu veux sur moi, sauf ça. Je ne suis pas l'esclave de ce sale serpent albinos, tu m'entends ? Jamais. Je ne l'ai jamais été et ne le serai jamais. Un Malefoy ne devrais pas faire de bassesses à qui que ce soit. Moi je l'ai compris, mon père non, mais j'en ai ras-le-bol de payer pour lui. Est-ce clair, Potter ?"

"Et tu vas faire quoi si je te dis non ?" rétorquai-je. Je voulais le provoquer, le pousser à bout. "Me frapper ? Me tuer ?"

Ses yeux brillèrent soudainement d'un éclat que je ne parvint pas à interpréter et qui ne me disait rien qui vaille.

"Oh, non," dit-il à voix basse. "Non, j'ai quelque chose de beaucoup, beaucoup mieux pour toi..."

"Ah oui ? Quoi ?"

"Tu tiens vraiment à le savoir ?"

"Dis toujours," répliquai-je.

Il se pencha alors et posa les lèvres sur les miennes. Je fus tellement abasourdi par ce geste que je ne songeai même pas à protester. Puis, sans me lâcher, il commença à me lécher les lèvres, comme pour quémander l'entrer à ma bouche que je gardai hermétiquement close. Alors il me mordit sauvagement la lèvre inférieure.

Je voulu pousser un cri de douleur et il n'hésita pas à en profiter. Il glissa sa langue dans ma bouche, explorant, cherchant, trouvant. Il embrassait fichtrement bien. Je ne pu m'empêcher de lui répondre, mêlant ma langue à la sienne. Et ses mains... ses mains commencèrent à se balader sur mon corps, me caressant à travers mon tee-shirt. Puis il les passa en-dessous. Ses caresses auraient pu m'emmener directement au paradis. Il avait les mains chaudes, très chaudes, brûlantes, même. Je me rapprochai encore plus de lui, passant mes bras autour de son cou, mes mains perdues dans ses doux et soyeux cheveux blonds.

Ce baiser avait le goût du sang. Mon sang. Il m'avait mordu fort, l'animal ! Et une pensée s'immisça alors dans mon esprit... "C'est Malefoy !" dit-elle brutalement.

Alors, je rompis le baiser. Il me jeta un regard surpris mas ne me lâcha pas pour autant. Lentement, très lentement, je baissai un bras, puis glissai ma main sous le haut de son pyjama et la posai sur son ventre. Il frissonna.

"Et maintenant," dis-je d'une voix faussement sensuelle. "Tu veux aller plus loin ?"

"Pourquoi pas ?" répondit-il. "Je peux te faire découvrir des choses merveilleuses, mon cher Potter..."

"Tu sais quoi ?" répliquai-je.

Il me regarda, étonné sans doute du ton menaçant de ma voix.

"Dans tes rêves."

Je lui envoyai une onde d'énergie magique par la main et il fut projeté dans un fauteuil qui - heureusement pour lui - se trouvait là. J'essuyai ma bouche de ma main d'un geste rageur. Une traînée rouge suivit sur mon bras. Puis je retournai dans ma chambre sans un regard pour lui et claquait la porte. Une seconde, deux, trois... Rageusement, je lançai mon poing, accompagné d'une décharge de magie dans un des montants de mon lit à baldaquin.

Explosé sur le coup.

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voila... fin du chap... conscience voudrait refaire le même coup que la dernière fois (tu parles d'un conscience ! jamais vu ça !) mais comme de toutes façon, je vous poste un chap tous les vendredi et tous les mardi, ça ne sert strictement à rien...

mais il ne faus pas que ça vous enpèche de laisser des reiview, hein ! surtout ne vous genez pas !

allez, merci à vous et bisous

à demain !

speed'