¤l'auteur baille looooooonguement¤

'tain, les vacances, c'est bien quelques jours, mais à la fin, ne rien faire à part rester planté devant son ordi, c'est relou... enfin...

¤l'auteur secoue la tête comme un chien qui vient de sorti de l'eau et recupèrent son énergie avec un immense sourire¤

BON, à part ça, un nouveau chap (j'avais envie, comme ça...) je suis motivée !

Merci à :

Syl2sy : tout relu ? tiens, un nouveau chap (je t'ai pas fais attendre trop longtemps...) merci pour ta review, bisous !

myhahou : mais non, il ne faut pas les detester... c'est leur nature, et c'est pour ça qu'on les aime ! t'inquiete, ça va s'arranger (enfin, je crois...) bisous à toi et merci pour ta review !

Ornaluca (artemis) : allons, allons pas de violence... ¤là, l'auteur se cache sous son bureau¤ steuplai, me tue pas, je suis trop jeune pour mouriiiiiiiiiiiiiir !!!!!!!!! voila bien, gentillement tu range le bazooka, et puis tu lis la suite... merci pour ta review, bisous !

Kaoro : Ron n'est qu'un salaud, c'est vrai... non, pas vraiment un salaud, juste un idiot... faut pas lui en vouloir, le pauvre ! allez, c bon, la voila la suite ! bisous et merci !

Melhuiwen : oui, c'est vrai, il est déjà écrit depuis longtemps ! et puis, je suis de bonne humeur, aujourd'hui, alors je le mets en ligne ! Ron est un con, on ne le dira jamais assez, mais bon... c'est pas grave, ça donne un peu de piment à l'histoire ! bisous et merci pour ta review !

Nee Chan et Chana : voila, deux jours, ça vous va ? le brevet, ah, le brevet, que de bons souvenirs ! enfin... cette année est cool, pour moi, pas d'exam', par contre l'année prochaine, bac de français (l'horreur, je n'aime pas le français du tout. Je préfere les maths, et les sciences en general) bref, je vous souhaite bon courage pour vos épreuves d'aujourd'hui, et je vous poste un nouveau chap pour vous reconforter (c'est pas royal, ça ? mais si, mais si...) bisous à toutes les deux !

Cassey le zombie fou fou : dégoutée de Harry/Drago ? naaann ! comment tu fais ? en tout cas, super flattée de savoir que ma fic t'a fais replongé ! oui, Ron est un crétin, on ne le dira jamais assez... mais bon, c'est la vie ! bisous à toi et merci pour ta review !

manehou : oui, le mauvais role à Ron, comme toujours... allons, il ne faut pas lui en vouloir, le pauvre... pour Ginny, aucune idée... ce n'est pas vraiment le sujet de la fic, enfin, je vais voir... bisous et merci pour ta review !

Lululle : de toute façon, Harry ne sait jamais se contenter de ce qu'il a... ça ne va pas changer ! merci pour te review, bisous !

Nahamy : merci beaucoup, bisous à toi ! voila la suite !

Cacile : NAON ! c'est pas vrai ! j'hallucine ! j'ai failli avoir une attaque cardiaque en voyant ton pseudo ce matin ! alors là, je te jure, que je n'y croyais pas. Bon, je m'explique, parce que tu ne dois pas comprendre, là. TOI, et TES fics, m'avez convertie au slash, particlièrement Harry/Drago. Les premières fics slash R que j'ai lu ont été Quelque chose que je ne sais pas nommer et Je te hais, et je peux te dire que j'ai vraiment ADORE, ce qui n'est pas peu dire. Alors, vraiment, MERCI à toi pour ce que tes histoires m'ont apporté ! Et merci aussi de me lire, c'est vraiment gratifiant de savoir que d'aussi bon auteur que toi me lisent, ça fait vraiment plaisir et ça me motive pour continuer. Je te fais de gros bisous et encore merci ! à plus !

dianael : merci beaucoup, voila la suite ! bisous !

Joli petit ange noir : merci ! pour Ron, non, je crois vraiment qu'il n'y a aucun moyen de le guerir... le pauvre, mais bon, c'est comme ça ! il peut quand même faire des efforts... du nutella ? euh... pas que je sache, non... peutêtre, qui sait ? oui, la literie de Drago est récupérable au lavage, Dobby aura juste besoin de l'aide d'une petite trentaine d'elfes, mais ça devrait aller... merci beaucoup ! et gros bisous !

Altair de l'aigle : merci beaucoup, voila la suite ! bisous !

fin des rar... je vous laisse ici !

bisous et bonne lecture à tous !

speed'

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Disclaimer : rien à moi, tout à JKR, sauf le scénar et la rédac, et non, je ne me fais pas de fric sur son dos...

Dédicace : à la SK, et surtout à CLEMENCE !

titre :

Rien d'autre que ma haine :

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Chapitre 16 :

Mon meilleur ami :

Une semaine. Ca faisait une semaine que Ron ne me parlait plus et ne me lançait plus que des regards dégouttés. J'en étais très attristé, j'aurais pensé qu'il comprendrait, ou au moins, qu'il essayerait d'accepter. Hermione voyait bien qu'il me faisait du mal et elle essayait de le raisonner mais il était têtu et, en l'occurrence, intolérant. Au moins tous deux avaient cessé de vouloir me jeter dans les bras de Ginny.

Elle était d'ailleurs venue me voir le lendemain de cette dispute.

"T'inquiète pas," avait-elle dit. "Il finira par l'accepter... Il lui faut juste un peu de temps."

"C'est lui qui te l'a dit ?" demandai-je, un peu surpris qu'elle soit au courant.

"Non," répondit-elle avec un sourire complice. "Mais j'avais deviné."

"Comment ?"

"Je t'ai observé..." dit-elle simplement. "Il suffit de voir comment tu le regardes, parfois..."

Je crois qu'à cet instant tout le sang avait quitté mon visage. Elle sourit plus largement encore.

"T'en fais pas, ce n'est pas si flagrant," dit-elle pour me rassurer. "Mais j'avais quelques intérêts personnels à t'espionner et j'ai fini par comprendre... Très bon choix, au fait. J'en connais qui te tueraient pour ça."

Je souris faiblement.

"N'oublie pas... il lui faut du temps..." termina-t-elle en s'en allant.

Du temps... je voulais bien, moi, mais cette histoire me minait. Tout le monde le voyait, sauf lui, moins qu'il ne fasse semblant... Je tentai de régler le problème une bonne fois pour toutes après un entraînement de Quidditch, mais quand je lui attrapai le bras pour le retenir il me repoussa brutalement et partit. Je ne rentrai pas tout de suite à l'appartement après cette violente rebutade mais me rendis à la falaise, pratiquement en larmes. Ca faisait un bout de temps que n'avait pas eu besoin d'y aller, mais Ron m'avait vraiment rendu malade.

Le temps était remarquablement doux pour un mois de janvier et il se mit à pleuvoir de la neige fondue quand je poussai la grille du petit cimetière pour me rendre auprès des tombes de Sirius et de mes parents. Je tombais à genoux devant, en pleurs.

Putain, Ron, pourquoi tu me fais ça ?

Je restai là au moins une heure, indifférent à la pluie glaciale qui me gelait jusqu'aux os, presque désespéré par tant d'injustice.

Tu m'as promis d'être toujours là, pourquoi me rejettes-tu ?

Je fus brutalement écrasé, pour la première fois depuis plusieurs mois, par la responsabilité que j'avais sur le dos. J'avais besoin qu'il soit là, je ne voulais rien d'autre... juste son soutien... juste sa présence...

Tu m'énerves, toi et ton intolérance ! Je reste le même... je suis juste un peu différent... Sirius est déjà parti... Ne me laisse pas à ton tour...

Tout ça pour une simple histoire d'orientation sexuelle... je remontai mes genoux sous mon menton et entourai mes jambes de mes bras en essayant de calmer les sanglots qui m'étouffaient. J'allais tellement mieux, depuis quelques temps, fallait-il vraiment que tout s'effondre maintenant ?

Il fallait vraiment que je me calme. Je ne devais pas me mettre dans un tel état... je ne devais pas retomber dans la dépression... pas maintenant... pas alors que la vie reprenait un semblait d'intérêt...

Oui, la vie n'était pas si moche... Et tout n'était pas perdu... Bellatrix et Queudver allaient payer pour m'avoir fait tant de mal. Et Voldemort... Voldemort allait payer pour les avoir dirigés... pour toutes ces vies perdues... pour Fred et George... pour Tonks...

"Je le tuerai," dis-je à voix basse en me relevant. "Et sans Ron à mes cotés, s'il le faut."

Puis je repris mon balai et rentrai au château... discrètement.. j'étais trempé, il fallait que j'esquive Rusard. Je finis par arriver à l'appartement. Drago était en train de lire dans le salon. Il me regarda, surpris, et me détailla des pieds à la tête. Puis son regard se troubla et il se détourna, les joues un peu roses.

Oh, non, ce n'était pas vraiment le moment... je n'étais pas dans mon état normal... je me mordis la lèvre.

"Je vais prendre une douche," dis-je en me dirigeant vers la salle de bain.

Je sentais son regard brûlant dans mon dos... oh, et puis zut. Je m'arrêtai à la porte et tournai un peu la tête.

'Tu veux venir ?" proposai-je.

Il ne répondit pas mais je l'entendis se lever furtivement. Je me rendis sans l'attendre devant le lavabo et me regardai dans le miroir. J'avais les yeux rougis d'avoir pleuré : ça expliquait peut-être qu'il ne m'ait pas fait tout de suite une remarque salace sur mon anatomie... étrange de penser à Drago Malefoy comme quelqu'un qui puisse faire attention à ce genre de détails. Mais tant de choses avaient changé... Il arriva derrière moi et passa ses bras autour de ma taille. Il croisa mon regard dans la glace et se colla à mon dos.

"C'est fou ce que tu es excitant, trempé comme ça," me chuchota-t-il à l'oreille.

J'eu un sourire entendu.

"Je sens ça," dis-je en faisant allusion à quelque chose de dur contre le bas de mon dos.

"N'as-tu pas peur de mourir d'un chaud et froid ?" me demanda-t-il, ironique.

"D'abord, un chaud et froid, c'est d'abord chaud et après froid," répondis-je. "Ensuite il faut quand même être sacrément malchanceux pour en mourir et de toute façon..."

Je me tournai vers lui, sentant au plus profond de moi-même ce que je m'apprêtais à dire.

"Je suis déjà mort," dis-je en sachant qu'il ne pouvait guère comprendre ce que je ressentais.

"Je vais te ressusciter," rétorqua-t-il en prenant brusquement possession de mes lèvres.

Il n'attendis pas pour approfondir le baiser et je lui répondis bien volontiers. Il se pencha un peu plus sur moi en m'appuyant sur le lavabo ; s'il continuait, il allait me prendre sans attendre. Je le repoussai un peu et commençai à le déshabiller en le poussant vers la douche. Je lui retirai rapidement sa chemise, lui fit de même avec mon tee-shirt trempé et mon pantalon, sans cesser de nous embrasser, impatients et assoiffés. Très vite nous nous retrouvâmes dans la douche. J'ouvris l'eau chaude alors qu'il quittait mes lèvres pour mon cou, mais je lui fit remonter la tête avant de nouer mes jambes sur ses hanches. Il me regarda, un peu surpris.

"Je n'ai pas envie d'attendre," dis-je d'une voix rauque.

Il sourit, m'embrassa de nouveau posant ses mains sur ma taille pour m'empêcher de tomber, et me pénétra juste un peu, histoire de me faire languir. Je n'étais pas préparé et ça ma fis mal, mais j'étais dans un état d'esprit particulièrement désespéré et je n'en tint pas compte. Je resserrai brutalement les jambes pour le faire venir plus loin et il poussa un cri de surprise et de plaisir à la fois. Je gémis bruyamment contre sa bouche.

Ca faisait très mal... la douleur me ramenait sur Terre.

"Tu es sur que ça va ?" me demanda-t-il. "Tu ne m'as pas l'air très bien et j'ai peur de te faire mal..."

"Je m'en fous," répondis-je.

Je l'embrassai follement, puis me détachait de lui et le regardai intensément.

"Empêche-moi de retomber dans le désespoir, Drago," le suppliai-je.

Il me regarda, un peu étonné de ce que je lui demandai et du ton que j'avais utilisé, puis m'embrassa très doucement.

"Laisse-moi faire, alors," chuchota-t-il.

Je fus surpris par l'inquiétude que je pouvais lire dans ses yeux. Je fermai les miens et une nouvelle larme s'échappa de sous mes paupières, invisible sans doute sous le flot de l'eau qui coulait sur nous. Je ne savais pas vraiment ce que j'avais, je savais juste que je n'étais pas bien et que seul le sexe et l'orgasme pouvaient me remettre dans mon état normal.

La main gauche de Drago quitta ma hanche et se glissa entre nos deux corps pour venir se poser sur mon sexe tendu. Il débuta un doux va-et-vient du bout de ses doigts brûlants, sans se retirer de moi, voulant juste m'exciter un peu plus. Il fit glisser sa bouche de mes lèvres vers mon menton puis mon cou. J'étais soudain au paradis. Rien ne comptai plus que lui, ses mains, autour de moi, sur moi, en moi... Il reprit ses mouvements du bassin, très doucement ; la douleur était partie et une forte décharge de plaisir déferla dans mes veines. Je me mis à gémir et crier et il accéléra un peu.

"Est-ce que ça va ?" me demanda-t-il dans un souffle.

"Ou... oui," sanglotai-je presque. "Ne... ne t'arrête pas... s'il te plait..."

Il ne s'arrêta pas. Il continua d'aller et venir en moi, allant de plus en plus vite, m'amenant toujours plus près du vide et m'en éloignant toujours avant que je n'y sombre. Puis, soudain, il me pénétra le plus loin possible en me serrant brutalement de sa main.

Nous atteignîmes l'orgasme en même temps, criant le nom de l'autre dans une jouissance libératrice. Puis Drago chancela un peu et il s'écroula dans la douche, m'entraînant dans sa chute. Nous restâmes prostrés, emmêlés l'un sur l'autre, ayant du mal à reprendre notre souffle.

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Je ressortis de la salle de bain dix petites minutes plus tard, avec juste une serviette autour de la taille. J'avais l'intention d'aller m'habiller pour me rendre ensuite à mon rendez-vous avec Dumbledore pour ces cours de sortilèges d'attaque avancés, mais je me figeai brutalement à la porte. Dans le salon se trouvaient Hermione et Ron, la première rouge comme une pivoine et le deuxième blanc comme un linge. Mione me fit un sourire gêné mais Ron me regarda comme si j'étais la pire chose qui existait en ce bas monde. Nul doute qu'ils étaient là depuis suffisamment longtemps pour avoir entendu au moins une bonne partie de ce qui s'était passé.

En voyant le regard que me lança Ron, j'aurais bien voulu m'enfermer dans la salle de bain, malheureusement Drago arriva derrière moi. Il posa ses mains sur mes hanches avant de voir nos visiteurs.

"Tiens, les tourtereaux Granger et Weasley," dit-il d'un ton narquois, "que nous vaut l'honneur de votre visite ?"

Ron lui jeta un bref regard glacial puis se tourna de nouveau vers moi. Il fit quelques pas dans notre direction. Il avait vraiment des yeux terrifiants et je reculai d'un pas, me butant contre Drago qui resserra ses bras autour de moi.

"J'aurais du me douter que ça venait de lui," dit-il à voix basse d'un ton sarcastique. "Evidemment... J'étais près à accepter le fait que tu sois gay... J'étais là pour te faire des excuses... J'aurais même pu accepter que tu ais un mec dans Poudlard... après tout, ce n'est pas comme si je ne pouvais pas comprendre ce besoin d'affection... Mais ça, Harry... je ne sais pas si je vais pouvoir te pardonner..."

J'étais désespéré par le dégoût et la colère que je pouvais sentir dans sa voix et voir dans son regard. Incapable de dire quoi que ce soit. Pas foutu de me défendre, de dire que c'était mon choix et qu'il n'avait rien à dire... surtout que Drago et moi avions une relation purement sexuelle...

Je sentis que Drago se crispait derrière moi.

"Je ne pense pas que tu ais quoi que ce soit à dire, Weasley," rétorqua-t-il, un peu énervé, semblait-il. "Tu n'as pas à le pardonner, il n'a rien fait de répréhensible ni à ton égard, ni envers qui que ce soit d'autre."

"Je t'ai pas sonné, Malefoy," répliqua vertement Ron. "Alors TA GUEULE !"

"Je n'ai pas d'ordre à recevoir de toi, Weasley," s'échauffa Drago. "Et tu n'es pas chez toi, ici. Dégage."

"Je ne crois pas, non," rétorqua Ron.

"Ron, sortons," fis Hermione qui s'était approchée en posant la main sur le bras de son petit ami.

"Non !" fit Ron, buté. "Je n'ai pas l'intention de faire ce qu'il veut !"

Et si c'était moi qui le lui demandais ?

"S'il-te-plait, Ron, va-t-en," dis-je d'une voix misérable.

Il me jeta un regard indescriptible et ne bougea pas. Alors, je sentis une bouffée de colère m'empourprer le visage.

"Putain, Ron," criai-je. "Si tu n'es pas fichu de passer outre tes préjugés et ta rancœur, même pour moi, alors casse-toi !"

Je me détachai du blond et m'approchai du roux, menaçant.

"Fous le camp !" hurlai-je. "Tu ne crois pas qu'il y a des choses plus graves dans la vie que ça ? Tu m'as dit que tu serais toujours là, visiblement c'est faux ! Alors pars ! Et ne revient pas avant de pouvoir accepter qu'il puisse quand même y avoir quelque chose de bien dans ma vie ! J'AI AUTANT LE DROIT QUE TOI D'ETRE HEUREUX, BORDEL !"

Comme il ne faisait pas mine de bouger, je le jetai dehors d'un geste du bras. Hermione le suivit, après m'avoir lancé "on se voit demain". Puis la porte se referma et j'appuyai un bras contre le mur en fermant les yeux. Drago s'approcha et posa une main sur mon épaule.

"Il ne faut pas que tu laisses ce connard fini te dicter ta vie," dit-il.

"Je n'en ai pas l'intention," répondis-je. "Mais ce n'est pas un connard fini," ajoutai-je en tournant vers lui un regard troublé. "C'est mon meilleur ami."

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fin cu chap... on va encore dire qu'il est trop court, que Ron est un crétin, et que ça coupe sec... JE SAIS ! et j'en suis fière ! na !

la suite... euh... je sais pas... d'ici deux trois jours ?

bisous à tous !

speed'

une review n'est pas obligatoire, mais si vous avez le temps... biz