Bonjour tout le monde !

l'auteur s'écrase à plat ventre à terre je... suis... désolée... pour mon retard, j'espère que vous ne m'en voulez pas trop...

je fais vite les rar, j'ai pas mal de trucs à faire aujourd'hui (dont mes devoirs, grrrrrrrrrr.......)

ornaluca (artemis) : je te le diré pas, nananèreuh... (conscience : et voila qu'elle retombe en enfance ! ça lui fait cet effet à chaque nouvelle rentrée... moi : même pas vrai, juste à chaque anniversaire !) même si le chocolat au lait aux noisettes me tente beaucoup... mais... euh... non. non, vraiment non. lol ! contente que tu ais aimé, gros bisous à toi !

Nee Chan et Chana : mais oui, je vous pardonne pour mon anniv, au moins vous y avez pensé, lol ! ça me fait seize ans, et oui déjà... mais je veux pas grandir, moi ! j'étais bien, là... bref ! pourquoi je dit que c'est un drame ? parce qu'un drame va arriver, voila tout... je n'ai cependant pas dit que ce serait la fin... regard démoniaque de l'auteur alors qu'une auréole apparait peu à peu au dessus de sa tête en fait, j'ai une bonne nouvelle pour Chana, je me suis plantée, le lemon est dans le chap 30... c'est à dire celui-là, oui, oui, j'espère que ça aidera à pardonner mon retard ! Avery va souffrir, je peut vous le garantir, même si je ne l'ai pas décri. Parce que Drake est un grand sadique (je ne vous apprends rien, après tout, nous avons tous un coté sadique, chez nous). Je suis contente que ça vous plaise toujours et je vous embrasse fort ! a plus !

myhahou : oui, moi aussi je préfère quand c'est Dray qui console Harry, mais on a tous droit à nos moment de faiblesse, alors il n'y a pas de raison... c'est un peu court, je sais, je sais, ça ne va pas changer, désolée. Mais non, tu me soule pas, c'est toujours un grand plaisir de savoir que ce que j'écris est suffisemment bon pour qu'on veuille la suite ! gros bisous à toi, et merci !

FairyLight Pan : un chapitre qui a eut du retard ? je ne voi absolument pas ce que tu veux dire... lol ! bon, je sais, celui-là aussi, mais désolée, j'avais dit que je le posterai dimanche dernier, malheureusement je me suis rendue compte dimanche matin que je ne l'avais pas envoyé à mon béta, alors... enfin bon. Il est clair qu'Harry n'est pas sur du tout de ce qu'il avance. Mais il aime Dray et il veut le réconforter. Alors... je suis contente que tu aimes toujours, et moi j'attends la suite de Ne me laisse pas ! gros bisous et à la prochaine !

akashana : il ne se passait pas grand-chose dans le chapitre d'avant, mais c'est le calme avant la tempète (je crois que je l'ai déjà dit). Il reste précisément treize chapitres, plus l'épilogue... et puis, naturellement, la suite... merci pour ta review, et gros bisous à toi !

Kass : tu as du bol pour ta conscience, moi la mienne connait les moindres recoins de mon esprit et je ne peux même pas lui raconter un truc horrible pour la faire tomber dans les pommes... (t'en fait pas, ya suffisement de trucs horrible dans ta tête pour me faire tomber dans les pommes sans que tu ais besoin de lever le petit doigt ! c'est plein de toiles d'araignée, ici ! il y a même une araignée... au plafond, je veux dire... hihihihihi... tu es ridicule chérie... je sais, je sais...) bref ! au lieu d'écouter les débilités que cette idiote débite à une vitesse alarmante ( tu crois que je peux l'emmener chez le psy pour ça ?) je te remercie pour ta review, je suis contente que tu aimes... oh, oui, c'est excitant des hommes en action... encore mieux s'ils sont en kilt... avec rien en dessous, bien sur... (t'inkiète surtout pas, oh toi lectrice, elle a un grand trip en ce moment sur les écossais... tu ne peux pas me contredire, conscience, il n'y a rien de plus sexy qu'un homme en kilt... arrete de baver, ton clavier, merde !) lol ! je t'embrasse fort, gros bisous !

Lumina : oui, tout a fait, à la fin de la fic, ils auront... euh, 24 révolus pour Dray, et presque 24 pour Harry (si ça peut te faire plaisir, sache que dans ma fic Dray est né en février...) voila pour ta question ! Euh, le champane ? non, je le sortirai quand j'aurais fini d'écrire la suite ! merci pour ta review, et gros bisous à toi !

Eowyn Malefoy : j'ai dit un drame, il ne va pas forcément mourir ! il y a pire que la mort, tu sais... niark niark niark ! je suis contente que ça te plaise, gros bisous à toi !

YunaFab : ça va recommencer, mais pas tout de suite. La suite avance, lentement mais surement (étant donné le nombre de plainte que j'ai eu à propos de la petite longueur de mes chap, ceux de la suite sont deux à trois fois plus long, donc plus long à écrire...) et mes autres fics aussi. AVec la reprise des cours je vais avoir du mal à écrire autant que pendant les vacs, mais je ferais mon maximum, promis. gros bisous à toi et merci !

Twiggy : un cadeau pour moi ? c'est trop gentil, ça ! mais tu l'as envoyé, déjà ? parce que je n'ai rien reçu... oui, je pause le décor, il faut bien. je suis contente que tu aimes toujours, tu auras la réponse à tes questions dans la suite (quoique, pas à la deuxième, c'est à mon avis d'un intéret secondaire. Imagine ce que tu veux, et puis il est même pas obligé d'avoir appris à parler français, cite-moi une seul pays ou on ne parle pas anglais...) tu es de Nantes ? moi aussi, enfin, non, pas vraiment, mes parents sont Nantais et toute ma famille (en gros) vis dans ce coin là. Moi je suis née à Paris et je vis à Fontainebleau, mais j'y vais asez souvent... bref, assez parlé de moi, je suis contente que tu aimes otujours, et puis j'attends mon cadeau (air débile de la gamine aux yeux qui pétillent). Gros bisous et à plus !

Fébla : trop d'angoisse ? j'ai fait pire, tu sais... et je ferais bien pire, sans doute... lol ! c'est normal de répondre aux reviews, même si ça prends du temps... je suis contente que tu aimes, et gros bisous ! merci !

Crystal : je suis contente qu tu aimes ! si je les envoie rapidement c'est parce qu'ils sont déjà tous écris... contrairemnt à ceux de mes autres fics, d'ailleurs. OUi, le drame approche, je suis contente que tu aimes, gros bisous à toi et merci !

Vif d'or : souffriront pas trop ? mais non, voyons, ce n'est pas du tous mon genre... niark ! je suis contente que tu aimes, gros bisous à toi !

Pithy : mais non, je n'oserai pas... enfin preque ! lol, tu verras dans la suite ! gros bisous à toi !

Melhuiwen : ah, la flemme... fléau de la jeunesse ! mais oui, je te pardonnes, tu sais combien moi-même je suis feignante ! ça fait plaisir de savoir que hache marche ! mais non, l ne va rien leur rriver de grave... tu me connais, hein ! je suis contente que tu aimes toujours, et gros bisous à toi !

tatunette : j'espère que tu pourras lire la suite un jour ! je suis contente que tu ais aimé, merci beaucoup pour ta review, et gros bisous !

manehou : bah, merci !

crazysnape : merci beaucoup, je suis contente que tu aimes toujours, voila la suite ! bisous !

missibou : oui, j'aime bien les happy end... mais je n'ai rien contre les unhappy end, au contraire... niark ! gros bisous à toi et merci !

niano crazy cookies : heureuse que ça te plaise toujours ! merci pour ta review, et gros bisous !

voila voila...

Un GRAND merci à Polonius Silver, mon béta... pour ses corrections, ses compliments, et son soutien... allez absolument lire Plus loin, Fantomes et Dans les pales méandre d'un Hiver brumeux !

ce chapitre contient un lemon. Il est relativement important pour la suite de cette fic...

je vous laisse ici. Bonne lecture à tous !

speed'


Rien d'autre que ma haine

Chapitre 30 :

Première neige :

Le match du lendemain fut une pure catastrophe. Les deux équipes semblaient rivaliser de nullité. Le seul joueur un minimum doué était Ginny et elle ne pouvait guère, seule, jouer pour toute l'équipe. Le score final fut de 210 à 70, en plus de quatre heures de match. La victoire à Gryffondor - voilà qui pouvait toujours consoler -, je regagnai le château avec Drago et Remus, tous trois un peu moroses après cette impressionnante démonstration de stupidité.

Toutefois, cette rencontre m'avait donné de nouveau envie de jouer. Je n'avais pas disputé de match de Quidditch depuis notre victoire en mai dernier, mais je devais bien avouer que chercher le Vif d'Or me manquait.

Je proposai donc une petite compétition à Drago - qui, lui, n'avait pas participé à la coupe l'année d'avant - et il l'accepta rapidement.

C'était également un moyen de faire baisser la tension que je percevais chez lui depuis quelque temps. La première fois fut géniale et nous décidâmes de recommencer, le soir, après les cours. Voler avec Drago est probablement l'une des plus fantastiques choses au monde.

C'est ainsi que nous nous retrouvâmes seuls, tous deux, sur le terrain, assez tard le soir. Notre petite compétition était terminée et nous nous apprêtions à regagner le château quand un flocon blanc m'atterrit sur le nez. Je louchai un peu, surpris, en le voyant fondre, puis jetai un coup d'œil à Drago qui retenait avec peine un éclat de rire.

Il se mit à neiger. Dray se rapprocha de moi et passa un bras autour de ma taille pour me coller contre lui.

"Je propose qu'on ne rentre pas tout de suite," dit-il doucement. "Une ballade sous la neige, ça te dit ?"

Je hochai la tête, les yeux fixés dans les siens. Il m'embrassa avec tendresse, puis me prit par la main et nous marchâmes en silence, dans la nuit, les flocons tourbillonnant autour de nous.

"Qu'est-ce qu'on fait pour Noël ?" demandai-je soudainement.

Il émit un grognement interrogatif.

"Qu'est-ce que tu veux faire ?" demanda-t-il en réponse.

"Etre avec toi," répondis-je automatiquement.

Je me sentis rougir sur cette preuve manifeste de mon attachement. Il sourit et passa un bras autour de ma taille pour raccourcir la distance qui nous séparait tout en marchant.

"Ca c'est prévu," dit-il avec évidence. "Non, je te demanderais ce que tu voulais faire parce que je ne vois pas vraiment le choix que nous avons. Le Terrier est encore trop dangereux pour toi -"

"Mais -"

"Je refuse que tu y ailles," coupa-t-il sèchement. "Après ce qui est arrivé la dernière fois, il est hors de question de prendre de nouveau un tel risque."

"Drago," soupirai-je.

"Ecoute-moi bien," dit-il brutalement en s'arrêtant et en me tournant vers lui. "Tu n'y retourneras pas. Il n'est pas question, tu m'entends, il n'est pas question que je prenne encore une fois le risque de te perdre."

Merlin, qu'il pouvait m'énerver, parfois, avec sa possessivité ! Je levai les yeux au ciel, exaspéré.

"Tu ne me perdras pas, Dray," rétorquai-je. "Je n'ai pas envie de me passer du plaisir de voir la famille que je considère comme mienne sous prétexte que tu as peur pour moi !"

Il sembla se figer brusquement et il se détacha de moi. Je le regardai, surpris et un peu coupable de mes paroles dures, et il me rendit un regard blessé avant de se détourner. Nous venions d'arriver près de son arbre - comme je me plaisais à le qualifier, de même qu'il le faisait avec ma falaise - et il s'assit au pied, se recroquevillant sur le sol froid couvert d'une fine couche de neige blanche. Je grimaçai légèrement et m'agenouillai derrière lui, passant un bras autour de son cou pour l'attirer contre moi.

"Désolé," dis-je doucement. "Je me suis emporté. Il est vrai que j'aurais aimé voir les Weasley, mais avec ce qui s'est passé cet été, l'Ordre ne me laissera jamais y retourner. Ron me l'a expliqué quand il est venu hier et j'étais encore énervé qu'on ait pris une décision pour moi sans mon avis. Je n'aurais pas du te parler comme ça. Pardon."

Il resta crispé pendant plusieurs secondes, puis se détendit et se tourna vers moi. Il m'embrassa fougueusement et me plaqua au sol sans préavis. Je frissonnai au contact glacial de l'herbe gelée et de la neige dans mon dos. Sentant cela, il se détacha de mes lèvres, sortit sa baguette et lança un sort de réchauffement qui nous enveloppa comme une couverture.

"J'ai envie de toi," dit-il doucement en frottant son nez contre le mien.

Je me sentis rougir. Ces simples mots me faisaient toujours un effet violent chaque fois qu'il les prononçait. Je me sentis toutefois le devoir de protester, sachant que lui ne se tempérerait certainement pas.

"Dray... je ne sais pas si..."

Il me fit taire en m'embrassant de nouveau, insinuant sa langue entre mes lèvres avec désir et passion. Je gémis sourdement dans sa bouche en sentant ses mains qui s'activaient avec détermination à me caresser tout morceau de peau qu'elle pouvait atteindre.

"Non, Drago, attends," haletai-je quand sa bouche glissa dans mon cou, laissant une traînée humide dans son sillage.

Bien sur, il ne m'écouta pas et continua de lécher et de mordiller avec application toute la surface de chair se situant entre mon menton et... eh bien, jusqu'à beaucoup plus bas étant donné qu'il avait déjà entièrement déboutonné ma chemise.

"Drago... n'importe qui pourrait arriver d'un instant à l'autre !" m'écriai-je quand j'au retrouvé assez de souffle pour cela.

Il s'interrompit une seconde et je crus pendant un instant, avec un mélange de soulagement, de regret et de frustration à la fois, qu'il allait - pour une fois - m'écouter et arrêter cette douce torture le temps que nous regagnions notre chambre. Mes espoirs et mes craintes furent vite réduits à néant quand il remonta son visage au niveau du mien et que je vis la lueur de perversité lubrique qui brillait dans ses yeux.

"Encore mieux," dit-il en me léchant les lèvres.

Son visage disparut de nouveau de mon champ de vision et je laissai finalement les quelques neurones qui me restaient prendre leur pause pour me concentrer uniquement sur les sensations incroyables que la bouche et la langue de Drago me prodiguaient. Merlin, qu'il était doué !

Je me mis à gémir incontrôlablement quand, une fois qu'il m'eut complètement déshabillé, il fit courir sa langue tout le long de mon sexe en érection, si lentement que je crus devenir fou. Je voulus lui agripper les cheveux pour le forcer à me prendre entièrement en bouche mais il prit un malin plaisir à me bloquer les poignets au sol sans faire ce que j'aurais voulu qu'il fasse.

"Ooh... Drago..." gémis-je en arquant brusquement les hanches, au bout de quelques minutes - voir secondes - m'ayant semblé des heures de torture linguale.

Il ricana doucement.

"Dray... s'il te plait..." sanglotai-je.

Il me maintenait à la limite de la jouissance et c'était insupportablement bon. Avec un ricanement sadique, il délaissa mon sexe et libera mes poignets. Il alla chercher quelque chose dans les vêtements éparpillés autour de nous, puis revint avec sa baguette, relançant le sort de réchauffement qui tendait à s'estomper - ce que j'étais bien incapable de remarquer étant donné l'étant d'excitation ultime où je me trouvais - puis lubrifia ses doigts.

Je me redressai légèrement et à travers la brume qui me voilait les yeux, je le vis s'agenouiller de nouveau entre mes jambes. Il m'écarta doucement les cuisses avant - enfin - de me prendre entièrement dans sa bouche.

Je criai, à la fois de plaisir et de douleur, en sentant deux doigts faire leur chemin en moi alors que sa bouche et sa langue entamaient un va-et-vient sur mon sexe tendu. Déluge de sensations incroyablement jouissives, qui m'emporta plus vite que je ne l'aurais cru dans un orgasme d'une puissance rare, me faisant hurler son nom dans la nuit noire, aux flocons qui tourbillonnaient autour de nous.

Haletant, je repris difficilement ma respiration, puis m'apercevait soudain que le visage de Drago était en face du mien, mes jambes nouées autour de ses hanches. Il me sourit avec une perversité incroyable et m'embrassa durement, une nouvelle saveur un peu amère dans sa bouche.

Et il me pénétra, lentement. Je ne m'étais pas attendu à ressentir un plaisir aussi aigu après l'orgasme qu'il venait de me donner, mais ce fut le cas et je poussai un cri rauque sous la surprise. Son visage se crispa légèrement et il entra entièrement en moi, effleurant ma prostate, me faisant crier encore plus. Il cria lui aussi en se retirant un peu avant de revenir brutalement, encore et encore.

Merlin, oh, Merlin, que c'était bon !

Il entama un va et vient furieux et rapide qui me fit rapidement haleter.

"Drago !" criai-je à un moment. "Putain, Drago !"

C'était la crête ultime, le dernier moment où le temps semble se suspendre, puis nous perdîmes brusquement pied et l'orgasme fut une nouvelle fois dévastateur, pour lui comme pour moi.

Couvert de sueur, pantelant, il me fallut un certain temps pour reprendre mes esprits. Puis Dray se dégagea de moi et j'eus un violent frisson, provoqué à la fois par notre récente relation, par la perte de chaleur et par le froid brutal qui m'envahit, le sort de réchauffement de nouveau estompé.

Il se releva et ramassa nos vêtements.

"Tu devrais te lever, Harry," dit-il avec un sourire. "Tu vas tomber malade."

Je me retournai péniblement sur le ventre et voulu me relever mais mes forces lâchèrent.

"Héla," dit-il avec inquiétude en s'accroupissant à mes cotés. "Ca ne va pas ?"

J'eus un léger rire moqueur.

"Si," répondis-je. "Ca va même très bien. Tu m'as simplement épuisé, et je me suis entraîné à des sorts puissants, aujourd'hui. Ils ont pompé pas mal de mon énergie et tu as pris ce qui me restait."

Il sourit.

"Je vois," dit-il simplement.

Il m'habilla d'un sort, puis me prit dans des bras et me cala contre lui avec douceur.

"Dans ce cas, ramenons son altesse sérénissime et présentement épuisée Potter dans sa chambre," fit-il moqueusement, me faisant pouffer, en reprenant le chemin du château.

"Tu crois que la salle de bain des préfets est libre, à cette heure-là ?" demandai-je pris d'une impulsion.

"Il y a des chances, oui," répondit-il, songeur. "Pourquoi, tu veux prendre un bain ?"

"Ca te dirait pas ?"

Il me regarda, hésitant visiblement.

"Tu es sur d'avoir assez d'énergie pour ça ?" me demanda-t-il.

Je lui fit le même sourire pervers qu'il m'avait fait peu auparavant.

"Si tu promets de ne pas trop me malmener..."

"Alors, allons-y," dit-il, décidé, en bifurquant dans le château vers la salle de bain des préfets.


fin du chap. une review fait plaisir !

je ne pense pas pouyvoir publier avant dimanche prochain, j'essayerai de mettre un chap de chacune de mes fics

gros bisous !

speed'