Titre : Celui que je veux être.
Genre : Slash ( HP/DM)
Auteur : Sindra
Disclamer : Rien ne m'appartient sauf l'histoire, bref je suis pauvre à mourir ne me poursuivez pas..
Résumer : Après une nuit de passion inoubliable, Draco Malfoy n'a plus qu'une obcession Harry Potter ou comment ravoir son mec quand on n'a fait une énorme bourde.
A tous ces chers lecteurs qui ont eu la patience de suporté ce long silence de ma part, je dédie ce chapitre.
PS: Les et sont les pensées disont vertueuse de notre Harry et de notre Draco et celles entre et sont celles de leurs chères petites voix obsédés.
N/A: Désolé pour les fautes d'orthographes, j'ai fait de mon mieux mais depuis que j'ai été obligé de reformaté mon ordi, je nai plus word donc cest encore pire que d'habitude si une bonne âmes aimerait se voué a une cause perdu comme revoir mes textes et arranger tout ca, ca ferait vraiment plaisir.
Chapitre 8: Fantasme
Harry courrait par de-là les couloirs du chateau, la lueur phosforécente de sa baguette bougeant en cadence, illuminant un bref instant les visages ensommeillés des tableaux qui étoffaient les murs du chateau. Il courait sans répit, au son des battements de son coeur qui frolait l'apoplexie. Il ne voyait pas les couloirs ni les escaliers qui défilaient nombreux devant ses yeux obstrués par les images toujours plus nombreuses de Draco Malfoy audessus de lui.
Non, Oh! Non. Mais, qu'avait-il fait pour mériter cela?
Il ne put empêcher un rire de dérision de percé la fente serrée que formaient ses lèvres. Une boule semblait s'être formée à la basse de sa george, ses sentiments menacaient d'immerger mais, il ne fallait pas. Il était fort, il ne fallait pas qu'il pleure.
Qu'est ce que je suis bête, c'est Malefoy, voyons Harry! Tu vois bien, qu'il te faisait marcher....N'est ce pas?
Il aurait tant voulu se croire lui-même mais, les accents de vérité qu'il avait perçu chez Malfoy, personnes ne pouvaient commander une telle passion instantanément à l'aproche d'un autre corps sans y avoir dejà touché, le désir voilà ce que c'était et de plus ses propres preuves donnaient un appui incontestable à celles apporté par Malfoy.
°
Il entra dans une pièce au hasard et claqua la porte magiquement derrière lui. Bien que poussiereuse et comblé de fil d'araignée, la pièce autrefois semblait avoir été un salon pour les visiteurs de haut rang, il était tout de même acceuillant et n'avait en rien perdu son faste ni de ses chaleureuses parrures. Il avait vraiment besoin de repensé à tout ceci. Il pointa sa baguette vers le foyer et prononça un faible incendio! Le griffondor s'installa alors confortablement dans le fauteuil devant le feu ronflant qu'il avait allumé, posa ses jambes sur l'accoudoir et se prit la tête entre les mains. Premièrement, Malfoy venait de lui faire une déclaration d'amour. Deuxièmement, il lui avait fait comprendre qu'ils avaient non seulement couché ensemble mais, qu'en plus ce foutu Serpentard lui avait tout fait oublier par là suite et le plus important troisièmement avait-il aimé cela?
Ahaaaaaaahhhhggggggrgrrrrr.
Cette simple pensée lui écorchait les neurones.
Reprend ton calme Harry respire, ça ne doit etre pas si pire que ca, non? Siiiiiiiiiiiii!
°
Quelques minutes passèrent ainsi, dans le silence total. Laissant le temps aux pauvres araignées terrifiés le temps de reprendre leurs tâches ingrattes qu'étaient de piégés leurs nourritures. Harry était seul avec lui-même, se battant contre son esprit qui recommencait à disjoncter devant le vide total d'explication qu'il pouvait retirer de sa conversation avec l'horripilant prince des Serpentard. Toutefois, il devait bien se l'avouer, il s'était sentit flaté par la déclaration de Malfoy è son encontre mais, un gigantesque problème s'imposait, Malfoy était Malfoy et ça, il ne pourait pas faire avec il en était sur.
Envoyez-moi le seigneur des ténèbres en personne avec deux pomme de terre pour me défendre ou même dix seigneurs des ténèbres mais, pas un Malfoy s'il vous plait.
Une image sulfureuse du dit Malfoy s'imposa à son subconcient. Il était bon pour le suicide.
Ok, se reprit-il, faut bien que je l'avoue, il n'est pas mal Ses fesses, sa bouche pulpeuse et ses yeux envoûtant ne son pas mal du tout, tu veux dire, même vachement bien .
Il retint inextrémi un râle de désespoir. Il était fini, sa vie était finie, lui Harry Potter était un idiot fini. Alors au point ou il en était....... autant continué non?, se dit sa petite voie intérieure. Nous sommes ennemis depuis environs sept ans. D'accord, il n'a jamais manifesté jusqu'à récemment une quelconque attirance pour moi ni aucuns autres hommes C'est bien, même très bien , du coté des femmes, bin là sa ce corse . Car Draco Malfoy était catologué comme le tombeur de ces dames. À chaque couloir ont ne jacassait que de lui et de ses nombreuse, que dis-je ses millions de conquêtes, laissant soupir enfièvré et résignation derrière lui. Si lui Harry se prêtait au jeu et laissait Malfoy s'approcher et lui faire des avances, que se passerait-il pour lui. Perdre ses amis, leurs confiances, lui vinrent immédiatement à l'esprit. Des images de ses proches le regardant de loin lui taillardaient le cœur. Ron les lèvres retrroussé en signe de dégout, Hermione le retenant dans ses bras pour ne pas qu'il sévanouissent. Était-il impossible de vivre sans eux, de les voir chaque jour souffrir un peu plus de cette relation. Cela en valait-il la peine? Le griffondor revit en image les yeux de glace du dernier des Malfoy et se dit que, oui, il en valait largement la peine et pendant des heures, il se perdit dans des songes où Draco Malfoy le voulait lui et personnes d'autres, lui disait des mots d'amours et lui prouvait son attachement de son corps. Était-ce si mal que de pensé à lui de cette manière. Après tout se dit-il ce ne sont que des fantasmes, ce n'est pas la réalité.
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Draco Malfoy courrait dans les couloirs de poudlard à la recherche de son amour. Comment avait-il pu être bête à ce point, il l'avait laissé filer. Maintenant c'était sur, il avait perdu sa trace et ne le reverrait que le lendemain matin entouré de sa cour d'admirateur, la belette et la sang-de-bourbe. Et lui, il serrait là, désarmé et résigné à attendre le moment propice afin de pouvoir lui parler et enfin pouvoir réparer sa faute. Il regagna avec regret les cachots vers sa maison alors que non loin de lui un jeune griffondor du nom de Harry Potter, souhaitait de toutes ses forces vivre ne serait-ce qu'une seconde les sentiments et les sensations, qu'il lui avait effacé.
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Quelques jours passèrent sans que Draco ne puisse en aucun cas approcher le griffondor qu'il désirait chaque minutes un peu plus. Ses prunelles grise comme la tempête qui faisait rage à l'extérieur ne lâchaient pas la silhouette de Son Potter d'une semelle, parcourant ses allée et venue dans tout le chateau. Bien des serpentards s'appercurent du manège mais, en aucun cas, ils n'auraient parlé. Draco serait toujours un Malfoy malgré ses choix en amours que cela leur plaise ou ne leur plaise pas. Les Serpentard étaient rusés, traitres et mesquins mais, ils avaient tout de même un code de l'honneur entre eux. Une main froide s'abbatit sur son épaule brusquement, enfoncant ses ongles effilés à même sa veste. Draco se retourna vivement vers la personne qui lui agrippait l'épaule et rencontra le regard suave et dégoulinant de plaisir de Rusard qui le transperçait de ses yeux, son chat à quelques mètres de lui, les observait avec ravissement, se pourléchant les babinnes.
-Quoi? Lâcha abruptement le Serpentard, un oeil inquisiteur et supérieur fixé sur le pourpoint sale et encrassé du concierge, attendant avec espoir ce qui pourait être sa seule chance de revoir Harry seul loin de sa clique de sangsue.
Loin de s'offusquer de l'intonation du jeune Draco à son encontre, Rusard approfondit son sourire. -Quelle magnifique journée cela allait être, se dit-il.
-Monsieur Malfoy, sa voie se fit plus mielleuse encore, vous et monsieur Potter n'aviez pas fini la retenu de la dernière fois.
Le coeur de Draco bondit de joie.
-Mais, cette fois-ci vous n'y échapperai pas M. Malfoy. La peau flasque qui pendouillait toute autour de son visage frémit d'impatience et de bonheur.
-J'y compte bien, suivez-moi. Draco se leva et le suivit de bonne grâce, imaginant déjà les nombreuses occasions qu'il allait avoir pour parler à SON Harry.
°
Quelques temps plus tard dans le bureau de Rusard…..
-La forêt INTERDITE mais, vous êtes fous!, hurla-t-il. Draco sentit des sueures froides parcourir son épiderme d'un bout à l'autre de sa surface. Je n'irai pas là dedans, mon père…..
-Votre père est déjà au courant. Le professeur Dumbledore et moi-même lui avons écrit récemment pour l'informé de votre manquement au règlement et par la même nous avons été contraints d'attendre sa réponse M. Malefoy.
Merde, la forêt interdite Il allait se ridiculiser devant Harry comme jamais et alors le Griffondor ne voudrait pas d'un peureux comme lui.
Désoler mais, sa fini là. Je vais de ce pas commencer l'autre chapitre, non, je ne me met pas avant un bout de temps sur le pause, pas avant l'été entouca. je suis très contente d'ailleur de recommencer à lire et écrire ça faisait un bout. Un gros bonjours à tout le monde. xxx Sindra
