La bouche du jeun homme, effleuradoucement la peau de la jeune fille, ses lèvres chaude s'attardait sur sa poitrine, et sur son cou
Elle sentait, ses épais, cheveux ébène, dans lesquels elle avait enfouit une main
L'autre caressant le corps musclé du jeun homme
Elle entendit les râle que poussait son amant et ses propres halètements de plaisir
Tous son corps était en feu
Elle s'effondra dans les bras de son amant ; et bercé par l'effluve familière de ses mèches, brune, et par sa respiration régulière, elle s'endormit
Quand elle ouvrit les yeux , sa chambre était baigné du pâle soleil d'octobre , elle était vide, il n'y avait qu'elle enroulé dans ses draps
Pourtant ce n'était pas un rêve, son amant était bien venu, elle s'était donné a lui et il était partis
Comme toujours
Elle se leva ouvrit la porte de la salle de bain, il y avait au moins un avantage a être préfet en chef, même si cela signifiait côtoyé Malfoy chaque jour, elle avait au moins une salle de bain privé
Elle ferma les yeux tandis que l'eau fraîche, contrastait avec la brûlure de son corps
Elle s'était tant de fois promis de lui dire non, de le repousser, de ne pas continuer cette torture , mais a chaque fois qu'il entrait dans sa chambre, elle ne pouvait pas s'empêcher de le désirer tellement fort, qu'elle lui ouvrait les bras
Et le matin, quand elle ouvrait les yeux il partait, invariablement il partait
Et elle allait rejoindre son petit amis, elle y pensa avec un sentiment proche du mépris, son si tendre et si attentionné petit ami
Son petit ami qui l'aimait tellement
Pouvait on en dire autant de son amant ? certainement pas, il n'y avait rien d'autre entre eux que le sexe, rien d'autre qu'une liaison qui la détruisait de l'intérieur, rien d'autre qu'une attirance physique pratiquement animal, qui la poussait a ne penser qu'a ses nuits
Depuis que tous ça avait commencer, ses résultats avait chuté, en cours, elle ne pensait qu'a lui, qu'a leur prochaine nuit
Elle ne vivait que dans l'attente de ces brefs instants de plaisir qu'il lui donnait
Elle ne vivait que pour passer sa nuit dans ses bras
Alors elle était là quand il voulait ou il voulait, et elle le laissait l'abandonner dés que le soleil se levait
Elle le regardait s'adresser a elle comme a une copine la journée, ce qu'elle était aux yeux des autres, elle le regardait dévoré par la jalousie, flirter, sortir avec d'autre filles
Le cœur déchiré elle le voyait s'éloignez vers le dortoir ou la salle sur demande, tenant une fille par la main
Deux jours plus tard avec un plaisir morbide, elle regardait la fille, se jeter a ses genoux, le suppliant de ne pas la quittez, elle la regardait pleurer toutes les larmes de son corps, elle voyait avec un immense énervement, toutes les autres attendre un sourire ou un regard, rougir quand il effleurait leur mains, elle voyait avec une satisfaction malsaine, les amoureuses transies, se désespérer d'attirer son attention
Il revenait toujours vers elle, pourquoi elle n'en savait rien, mais il revenait, dans l'ombre, dans les ténèbres mais il revenait
Il ne lui parlait jamais, elle n'entendait sa voix que lors, de ses halètement de plaisir, ou quand au comble de l'extase il répétait son fin son prénom
Et elle aimait ça, elle dépendait entièrement du plaisir qu'il lui donnait, elle jouissait d'entendre son nom mêlé aux gémissement du jeun homme, elle ne pouvait dormir que dans ses bras musclé
Comme une drogue, elle dépendait entièrement de lui
Et pourtant elle le haïssait , elle le haïssait comme elle n'avait jamais crût pouvoir haïr quelqu'un,
Elle le haïssait pour l'attirance qu'il avait sur elle
Elle le haïssait pour la possession qu'il exerçait sur elle
Voldemort la révulsait, elle détestait Malfoy, mais lui elle le haïssait
Il était le seul qu'elle haïssait vraiment, parce qu'il était le seul qu'elle aimait vraiment
Nulle haine n'a pas sa part d'amour
Elle sortit de sa chambre, et se dirigea vers la salle commune pour attendre son meilleur ami, et son petit copain
Le premier sortit, un sourire éclaira son visage fin, a la beauté distingué mais discrète , quand il la vit il s'écria d'une vis joyeuse
Lily, comment va tu ?
