Disclaimer : Voir les chapitres précédents!
***
Rogue faisait les cent pas, seul (ou plutôt, il le croyait), dans les bois de la Lothlorien.
Ce vieil homme, dans le miroir, pensait-il. Cet homme! Qui était-il? Pourquoi me semble-t-il aussi familier? ARGH! Ce monde insensé est en train de me rendre fou! Pourquoi suis-je toujours ici? Pourquoi ne puis-je pas partir? Pourquoi Dumbledore n'a-t-il pas fait *quelque chose* ?
Je ne peux plus supporter d'être entouré de ces imbéciles aux pieds crasseux et poilus! Et Weasley va finir par me faire grimper dans les rideaux! Pourquoi ne peut-il pas tout simplement dire à Granger qu'il l'aime? Je veux dire, je sais que ce doit être embarrassant, mais ce n'est pas la fin du monde!
D'autre part, elle a tellement agi en salope, ces derniers temps; je suppose que ce doit être dur pour le pauvre garçon de dire quoi que ce soit. Être contre toute cette compétition. . . Oh, bonté divine! Je crois que je m'en viens doux! Je crois que je ressens effectivement de la sympathie pour quelqu'un! Ça n'est pas bon.
Rogue prit un moment de réflexion pour essayer de trouver comment il pourrait se racheter pour la soudaine gentillesse qu'il venait d'éprouver.
AHA! Je vais TOUT RACONTER à Gramger à propos de Weasley! Parfait. Une pierre, deux coups – le premier étant de venger mes sentiments de sympathie envers Weasley en étant méchant avec lui. Deuxième coup – faire savoir à Granger ses sentiments! Brillant. Je suis un génie. Rogue eut un large sourire.
"Severus?"
Rogue se retourna pour faire face à Galadriel.
Ooooo, pensa-t-il d'une façon toujours aussi hobbit, elle s'en vient de plus en plus belle! Il faut que je découvre ce qu'elle prend pour ça. . .
". . . Oui?" Répondit-il.
"Vous savez," Galadriel rougit, "mon miroir m'a dit que je rencontrerais un grand, sombre et bel étranger, aujourd'hui. . . "
***
PENDANT CE TEMPS, dans le bureau de Dumbledore, Voldemort, vêtu d'un joli veston, cravate, était assis en face de Dumbledore en train de lire Le Livre pour la première fois. Voldemort leva un mince sourcil.
"Severus Rogue? Grand. . . Oui. Sombre. . . Oui. Beau?" Il leva les yeux vers Dumbledore. "Nous. . . parlons bien du *même* Severus Rogue, n'est-ce pas?" Dumbledore, qui était occupé à caresser Fumseck sous le menton, haussa les épaules.
"Chacun ses goûts, Voldie." Voldemort ferma le livre, puis eut un léger sourire et dit lentement : "Albus, il y a des gens très, très malade, dans ce monde. Mais ça. . . eh bien, il y a malade et *malade*. Je veux dire, sûrement, vous devriez le savoir. . . "
Voldemort jeta un soudain coup d'oeil au Choipeau Magique, qui avait un tout nouveau ruban rose attaché autour de lui. Dumbledore se redressa dans sa chaise et dit d'un ton sans joie : "Ce que je fais de mes temps libres ne regarde que moi."
"Ou-oui. . . "
"Hah! Sûrement, vous n'avez pas oublié votre *propre* petite escapade, l'été dernier?" Voldemort et Dumbledore se fixèrent pendant un moment. Le silence continua pendant plusieurs minutes de profondes pensées de je- souhaiterais-l'oublier. Les deux hommes toussèrent inconfortablement au même moment et Dumbledore sortit du tiroir de son bureau un dossier sur lequel étaient écrits les mots : Les sept années de contrat de Voldemort.
"Enfin, la raison pour laquelle je vous ai convoqué ici est pour discuter de ceci. Bon, je sais que nous nous étions mis d'accord sur le fait que vous attaqueriez Harry sur le terrain de Quidditch durant le match de Serpentard contre Gryffondor le. . . " Dumbledore vérifia ses notes, "le 15 mars. Mais nous croyons tous que ce serait mieux d'attendre à l'année prochaine – Harry souffre de plusieurs problèmes mentaux dû à être dépassé au niveau de la popularité par ses, apparemment, amis inintéressants et plus détesté professeur. Ce n'est pas une période plaisante, pour ce garçon." Voldemort acquiesça.
"C'est bien vrai."
"Donc," reprit Dumbledore, " à la lumière de tous ces problèmes, nous nous sommes tous entendus sur le fait que Harry ne va probablement pas donner un assez bon combat pour les lecteurs – en fait, c'est très probable qu'il se tue avant même que vous n'ayez eu le temps de vous amuser un peu avec lui." Voldemort fit un geste de la main, signifiant que ce n'était pas grave.
"Ne vous en faites pas pour cela, Albus! C'est correct – je viens de m'acheter une nouvelle maison sur la plage, dans les Caraïbes. Et ce week- end, quelques demoiselllles et moi y allons. Vous savez, être un méchant fait vraiment des merveilles pour votre vie sexuelle! Maintenant, je comprends pourquoi la Mafia a des poulettes si ravissantes." Voldemort fit une pause. ". . . Ils ont tous de gros pistolets."
Voldemort fit un clin d'oeil et laissa échapper un rire grossier. Dumbledore, lui, ricana poliment à la plaisanterie qui pouvait être prise dans un sens sexuel. L'Auteur quant à elle, rit discrètement dans son coin pour ne pas se faire entendre. Après quelques moments à essayer de reprendre leur souffle, Dumbledore sourit joyeusement.
"Alors, dans ce cas je vous fixe au *prochain* terme, en printemps?"
"Certes." Voldemort et Dumbledore se serrèrent la main. "C'est formidable de faire des affaires avec vous, Albus."
***
Ron marchait joyeusement le long d'un petit chemin de pierre dans les bois de la Lothlorien. Il se mit à siffler. Oh, bien sûr, il n'avait pas Hermione – et alors? Il n'allait pas laisser une chose aussi insignifiante le démoraliser.
Oh, pensa-t-il avec un soudain désespoir, qui est-ce que j'essaie de duper? Évidemment que ça me démoralise! Et maintenant, Rogue, cet homme insupportable, est au courant. Il va tout gâcher; il le fait toujours! Il détacha enfin son regard du sol. Tiens, quand on parle du loup. . .
Rogue était de l'autre côté de la clairière avec Galadriel.
"Oh, Severus! Vous êtes si sombre et mystérieux!" S'exclama Galadriel, les yeux écarquillés. Rogue acquiesça et soupira :
"Je sais, je sais."
"Ah! Au diable mon mariage avec Celeborn! Tu es l'homme de ma vie, Severus!"
Rogue eut un large sourire, puis entoura Galadriel de ses bras et l'embrassa passionnément alors que de la musique quétaine d'amour était jouée par des elfes à l'arrière-plan.
Ron sentit son coeur s'arrêter dans sa poitrine. Il resta un moment figé sur place, puis fit volte-face et s'enfuit de la clairière en criant : "EUUUUUUUURK! Dégoûtant! Immonde! C'est. . . c'est. . . MAL! J'ai besoin d'une DOUUUUUUUUUCHE!"
(Ron aimerait également que l'Auteur inclue qu'après avoir vu cette scène, il était mentalement apeuré pour le restant de ses jours. Toutes les nuits, il faisait des cauchemars dans lesquels les lèvres de Rogue le poursuivaient. C'était très troublant.)
***
Tout le monde dans la Grande Salle étaient assis ou assise avec la bouche grande ouverte et touchant le sol en un mélange d'horreur, de dégoût et d'incrédibilité après avoir lu ce que Le Livre avait décrit leur Maître des Potions faire. Plusieurs filles fondirent en larmes. À la table des professeurs, le professeur McGonagall, Madame Bibine et le professeur Trelawney (qui avait effectivement décidé de sortir de sa tour) se levèrent.
"Oh, Severus!" Dirent-elles, toutes en choeur. Ceci entraîna tous les gens de la Grande Salle à fermer leur bouche et de lancer aux trois professeurs des regards étranges, excepté pour les nombreuses filles en larmes qui s'étaient évanouies dans un choeur de : "Oh. Professeur!"
***
La Compagnie (moins Gandalf l'Assassiné (. . . ou l'est-il vraiment?)) reçurent tous de merveilleux présents de la part de Galadriel. Enfin, merveilleux est un bien grand mot. . .
Ron reçut une petite boîte en métal de Galadriel. Et elle contenait une larme. Une de ses larmes. C'est ça, pensa Ron avec sarcasme, comme si une larme allait m'aider. Quel cadeau fantastique. Ça alors, je suis *tellement* heureux d'avoir eu ça. Oh, eh bien, je suppose que je ne peux pas toujours avoir de beaux cadeaux. Un instant. . . je ne reçois *jamais* de beaux cadeaux. Ron poussa un soupir, vexé. J'ai perdu le compte du nombre de pulls en laine avec un 'R' dessus que j'ai reçus au cours des années. . .
Hermine reçut un petit dictionnaire Elfique/Français. Ohhh, comme c'est intéressant! Pensa-t-elle. Cette Galadriel sait vraiment choisir ses cadeaux. . . mais comment a-t-elle su que j'aimais les livres et les langues? AHA! Grands-Pas lui a peut-être dit que je m'intéressais en la langue elfique! Alors Grands-Pas m'aime VRAIMENT! Je le savais! Il a juste trop peur de l'avouer. . . Mais je ne dois pas m'en faire; une fois que j'aurai appris les mots elfiques pour 'Eh, trésor, qu'est-ce qu'un type comme toi fait dans un endroit pareil?' je vais l'avoir à ma disposition! Hermione soupira. Oh. Grands-Pas. . .
Rogue avait évité Galadriel après leur *brève* rencontre dans les bois. Mais elle l'avait rattrapé alors qu'ils montaient à bord des barques pour quitter la Lothlorien et lui avait donné un présent. Un collier.
Oh, chouette, pensa Rogue en roulant les yeux. Exactement ce dont j'ai besoin! Elle n'aurait pas pu me donner quelque chose de mieux, comme une arme? Mais le monde est cruel avec moi, comme d'habitude, et on m'a donné un collier. Rogue regarda plus attentivement le petit bijou accroché au bout de la chaîne. Il était vert et argent. . . et était en forme de 'S'. . .
***
Alors qu'ils étaient sur le point de mettre les voiles, Galadriel se précipita vers Rogue, toute en larmes.
"Severus! Quand te reverrai-je?" Rogue soupira et lui tapota la main.
"Je suis vraiment désolé, Galadriel, mais je ne crois pas qu'une relation longue distance puisse fonctionner." Et tu m'as donné une foutu collier, pensa-t-il. Je veux dire, qu'essayais-tu de faire? Me dépouiller de *toute* ma dignité?!
Les barques dérivèrent le long du cours d'eau et pour une étrange raison (c'est-à-dire une sorte de vortex temporaire dans le monde des livres), l'Auteur, le professeur McGonagall, Madame Bibine, le professeur Trelawney et plusieurs étudiantes de Poudlard apparurent sur la rive. Ces nouvelles venues temporaires et Galadriel chantèrent à la Compagnie alors qu'elle s'éloignait :
"À un Serpentard, j'ai donné mon coeur.
Il était sombre, il était professeur.
À un Serpentard, j'ai donné mon coeur.
Je le croyais mon âme soeur. . . "
Puis, elles fondirent toutes en larmes et l'Auteur, le professeur McGonagall, Madame Bibine, le professeur Trelawney et les nombreuses étudiantes de Poudlard disparurent et retournèrent où elles étaient censées être, avec des coeurs brisés.
***
Gaeriel Jedusor : Lol, j'avoue que ce devait être pas mal dramatique. . . pourquoi est-ce que Rogue n'est pas réel? Je m'aurais bien portée volontaire pour raccomoder sa cape! Mmmh. . . ou j'aurais pu attendre que *tous* ses vêtements soient déchirés, hi hi hi! ;) Et puis j'espère que tu n'es pas trop jalouse de Galadriel. . . parce que moi je le suis!
meline snape : Oh, (rougie) merci pour le compliment! J'espère que tu es contente pour ce chapitre, puisque je l'ai envoyé assez vite. (J'aime trop ce chapitre, avec Galadriel!!! C'est pour ça que j'étais motivée à l'écrire vite. . . Quel chanceuse, cette Galadriel!)
***
Rogue faisait les cent pas, seul (ou plutôt, il le croyait), dans les bois de la Lothlorien.
Ce vieil homme, dans le miroir, pensait-il. Cet homme! Qui était-il? Pourquoi me semble-t-il aussi familier? ARGH! Ce monde insensé est en train de me rendre fou! Pourquoi suis-je toujours ici? Pourquoi ne puis-je pas partir? Pourquoi Dumbledore n'a-t-il pas fait *quelque chose* ?
Je ne peux plus supporter d'être entouré de ces imbéciles aux pieds crasseux et poilus! Et Weasley va finir par me faire grimper dans les rideaux! Pourquoi ne peut-il pas tout simplement dire à Granger qu'il l'aime? Je veux dire, je sais que ce doit être embarrassant, mais ce n'est pas la fin du monde!
D'autre part, elle a tellement agi en salope, ces derniers temps; je suppose que ce doit être dur pour le pauvre garçon de dire quoi que ce soit. Être contre toute cette compétition. . . Oh, bonté divine! Je crois que je m'en viens doux! Je crois que je ressens effectivement de la sympathie pour quelqu'un! Ça n'est pas bon.
Rogue prit un moment de réflexion pour essayer de trouver comment il pourrait se racheter pour la soudaine gentillesse qu'il venait d'éprouver.
AHA! Je vais TOUT RACONTER à Gramger à propos de Weasley! Parfait. Une pierre, deux coups – le premier étant de venger mes sentiments de sympathie envers Weasley en étant méchant avec lui. Deuxième coup – faire savoir à Granger ses sentiments! Brillant. Je suis un génie. Rogue eut un large sourire.
"Severus?"
Rogue se retourna pour faire face à Galadriel.
Ooooo, pensa-t-il d'une façon toujours aussi hobbit, elle s'en vient de plus en plus belle! Il faut que je découvre ce qu'elle prend pour ça. . .
". . . Oui?" Répondit-il.
"Vous savez," Galadriel rougit, "mon miroir m'a dit que je rencontrerais un grand, sombre et bel étranger, aujourd'hui. . . "
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PENDANT CE TEMPS, dans le bureau de Dumbledore, Voldemort, vêtu d'un joli veston, cravate, était assis en face de Dumbledore en train de lire Le Livre pour la première fois. Voldemort leva un mince sourcil.
"Severus Rogue? Grand. . . Oui. Sombre. . . Oui. Beau?" Il leva les yeux vers Dumbledore. "Nous. . . parlons bien du *même* Severus Rogue, n'est-ce pas?" Dumbledore, qui était occupé à caresser Fumseck sous le menton, haussa les épaules.
"Chacun ses goûts, Voldie." Voldemort ferma le livre, puis eut un léger sourire et dit lentement : "Albus, il y a des gens très, très malade, dans ce monde. Mais ça. . . eh bien, il y a malade et *malade*. Je veux dire, sûrement, vous devriez le savoir. . . "
Voldemort jeta un soudain coup d'oeil au Choipeau Magique, qui avait un tout nouveau ruban rose attaché autour de lui. Dumbledore se redressa dans sa chaise et dit d'un ton sans joie : "Ce que je fais de mes temps libres ne regarde que moi."
"Ou-oui. . . "
"Hah! Sûrement, vous n'avez pas oublié votre *propre* petite escapade, l'été dernier?" Voldemort et Dumbledore se fixèrent pendant un moment. Le silence continua pendant plusieurs minutes de profondes pensées de je- souhaiterais-l'oublier. Les deux hommes toussèrent inconfortablement au même moment et Dumbledore sortit du tiroir de son bureau un dossier sur lequel étaient écrits les mots : Les sept années de contrat de Voldemort.
"Enfin, la raison pour laquelle je vous ai convoqué ici est pour discuter de ceci. Bon, je sais que nous nous étions mis d'accord sur le fait que vous attaqueriez Harry sur le terrain de Quidditch durant le match de Serpentard contre Gryffondor le. . . " Dumbledore vérifia ses notes, "le 15 mars. Mais nous croyons tous que ce serait mieux d'attendre à l'année prochaine – Harry souffre de plusieurs problèmes mentaux dû à être dépassé au niveau de la popularité par ses, apparemment, amis inintéressants et plus détesté professeur. Ce n'est pas une période plaisante, pour ce garçon." Voldemort acquiesça.
"C'est bien vrai."
"Donc," reprit Dumbledore, " à la lumière de tous ces problèmes, nous nous sommes tous entendus sur le fait que Harry ne va probablement pas donner un assez bon combat pour les lecteurs – en fait, c'est très probable qu'il se tue avant même que vous n'ayez eu le temps de vous amuser un peu avec lui." Voldemort fit un geste de la main, signifiant que ce n'était pas grave.
"Ne vous en faites pas pour cela, Albus! C'est correct – je viens de m'acheter une nouvelle maison sur la plage, dans les Caraïbes. Et ce week- end, quelques demoiselllles et moi y allons. Vous savez, être un méchant fait vraiment des merveilles pour votre vie sexuelle! Maintenant, je comprends pourquoi la Mafia a des poulettes si ravissantes." Voldemort fit une pause. ". . . Ils ont tous de gros pistolets."
Voldemort fit un clin d'oeil et laissa échapper un rire grossier. Dumbledore, lui, ricana poliment à la plaisanterie qui pouvait être prise dans un sens sexuel. L'Auteur quant à elle, rit discrètement dans son coin pour ne pas se faire entendre. Après quelques moments à essayer de reprendre leur souffle, Dumbledore sourit joyeusement.
"Alors, dans ce cas je vous fixe au *prochain* terme, en printemps?"
"Certes." Voldemort et Dumbledore se serrèrent la main. "C'est formidable de faire des affaires avec vous, Albus."
***
Ron marchait joyeusement le long d'un petit chemin de pierre dans les bois de la Lothlorien. Il se mit à siffler. Oh, bien sûr, il n'avait pas Hermione – et alors? Il n'allait pas laisser une chose aussi insignifiante le démoraliser.
Oh, pensa-t-il avec un soudain désespoir, qui est-ce que j'essaie de duper? Évidemment que ça me démoralise! Et maintenant, Rogue, cet homme insupportable, est au courant. Il va tout gâcher; il le fait toujours! Il détacha enfin son regard du sol. Tiens, quand on parle du loup. . .
Rogue était de l'autre côté de la clairière avec Galadriel.
"Oh, Severus! Vous êtes si sombre et mystérieux!" S'exclama Galadriel, les yeux écarquillés. Rogue acquiesça et soupira :
"Je sais, je sais."
"Ah! Au diable mon mariage avec Celeborn! Tu es l'homme de ma vie, Severus!"
Rogue eut un large sourire, puis entoura Galadriel de ses bras et l'embrassa passionnément alors que de la musique quétaine d'amour était jouée par des elfes à l'arrière-plan.
Ron sentit son coeur s'arrêter dans sa poitrine. Il resta un moment figé sur place, puis fit volte-face et s'enfuit de la clairière en criant : "EUUUUUUUURK! Dégoûtant! Immonde! C'est. . . c'est. . . MAL! J'ai besoin d'une DOUUUUUUUUUCHE!"
(Ron aimerait également que l'Auteur inclue qu'après avoir vu cette scène, il était mentalement apeuré pour le restant de ses jours. Toutes les nuits, il faisait des cauchemars dans lesquels les lèvres de Rogue le poursuivaient. C'était très troublant.)
***
Tout le monde dans la Grande Salle étaient assis ou assise avec la bouche grande ouverte et touchant le sol en un mélange d'horreur, de dégoût et d'incrédibilité après avoir lu ce que Le Livre avait décrit leur Maître des Potions faire. Plusieurs filles fondirent en larmes. À la table des professeurs, le professeur McGonagall, Madame Bibine et le professeur Trelawney (qui avait effectivement décidé de sortir de sa tour) se levèrent.
"Oh, Severus!" Dirent-elles, toutes en choeur. Ceci entraîna tous les gens de la Grande Salle à fermer leur bouche et de lancer aux trois professeurs des regards étranges, excepté pour les nombreuses filles en larmes qui s'étaient évanouies dans un choeur de : "Oh. Professeur!"
***
La Compagnie (moins Gandalf l'Assassiné (. . . ou l'est-il vraiment?)) reçurent tous de merveilleux présents de la part de Galadriel. Enfin, merveilleux est un bien grand mot. . .
Ron reçut une petite boîte en métal de Galadriel. Et elle contenait une larme. Une de ses larmes. C'est ça, pensa Ron avec sarcasme, comme si une larme allait m'aider. Quel cadeau fantastique. Ça alors, je suis *tellement* heureux d'avoir eu ça. Oh, eh bien, je suppose que je ne peux pas toujours avoir de beaux cadeaux. Un instant. . . je ne reçois *jamais* de beaux cadeaux. Ron poussa un soupir, vexé. J'ai perdu le compte du nombre de pulls en laine avec un 'R' dessus que j'ai reçus au cours des années. . .
Hermine reçut un petit dictionnaire Elfique/Français. Ohhh, comme c'est intéressant! Pensa-t-elle. Cette Galadriel sait vraiment choisir ses cadeaux. . . mais comment a-t-elle su que j'aimais les livres et les langues? AHA! Grands-Pas lui a peut-être dit que je m'intéressais en la langue elfique! Alors Grands-Pas m'aime VRAIMENT! Je le savais! Il a juste trop peur de l'avouer. . . Mais je ne dois pas m'en faire; une fois que j'aurai appris les mots elfiques pour 'Eh, trésor, qu'est-ce qu'un type comme toi fait dans un endroit pareil?' je vais l'avoir à ma disposition! Hermione soupira. Oh. Grands-Pas. . .
Rogue avait évité Galadriel après leur *brève* rencontre dans les bois. Mais elle l'avait rattrapé alors qu'ils montaient à bord des barques pour quitter la Lothlorien et lui avait donné un présent. Un collier.
Oh, chouette, pensa Rogue en roulant les yeux. Exactement ce dont j'ai besoin! Elle n'aurait pas pu me donner quelque chose de mieux, comme une arme? Mais le monde est cruel avec moi, comme d'habitude, et on m'a donné un collier. Rogue regarda plus attentivement le petit bijou accroché au bout de la chaîne. Il était vert et argent. . . et était en forme de 'S'. . .
***
Alors qu'ils étaient sur le point de mettre les voiles, Galadriel se précipita vers Rogue, toute en larmes.
"Severus! Quand te reverrai-je?" Rogue soupira et lui tapota la main.
"Je suis vraiment désolé, Galadriel, mais je ne crois pas qu'une relation longue distance puisse fonctionner." Et tu m'as donné une foutu collier, pensa-t-il. Je veux dire, qu'essayais-tu de faire? Me dépouiller de *toute* ma dignité?!
Les barques dérivèrent le long du cours d'eau et pour une étrange raison (c'est-à-dire une sorte de vortex temporaire dans le monde des livres), l'Auteur, le professeur McGonagall, Madame Bibine, le professeur Trelawney et plusieurs étudiantes de Poudlard apparurent sur la rive. Ces nouvelles venues temporaires et Galadriel chantèrent à la Compagnie alors qu'elle s'éloignait :
"À un Serpentard, j'ai donné mon coeur.
Il était sombre, il était professeur.
À un Serpentard, j'ai donné mon coeur.
Je le croyais mon âme soeur. . . "
Puis, elles fondirent toutes en larmes et l'Auteur, le professeur McGonagall, Madame Bibine, le professeur Trelawney et les nombreuses étudiantes de Poudlard disparurent et retournèrent où elles étaient censées être, avec des coeurs brisés.
***
Gaeriel Jedusor : Lol, j'avoue que ce devait être pas mal dramatique. . . pourquoi est-ce que Rogue n'est pas réel? Je m'aurais bien portée volontaire pour raccomoder sa cape! Mmmh. . . ou j'aurais pu attendre que *tous* ses vêtements soient déchirés, hi hi hi! ;) Et puis j'espère que tu n'es pas trop jalouse de Galadriel. . . parce que moi je le suis!
meline snape : Oh, (rougie) merci pour le compliment! J'espère que tu es contente pour ce chapitre, puisque je l'ai envoyé assez vite. (J'aime trop ce chapitre, avec Galadriel!!! C'est pour ça que j'étais motivée à l'écrire vite. . . Quel chanceuse, cette Galadriel!)